J'ai les moyens d'ouvrir un commerce. Je pourrais faire comme mes parents : alimentation par exemple. Il y a suffisamment de concurrence pour me lancer vers ce secteur. C'est mon banquier ce me dirige vers ailleurs. Je l'écoute pour une fois. Mon magasin est à peine retiré du centre du patelin, pas loin de la ville principale.
Je suis étonnée de vois le nombre de curieux puis de clients venir das la boutique. Si au début ce sont des hommes, maintenant j'ai surtout affaire à des femmes de tout calibre, surtout en fin de journée.
Je vends des babioles, des jouets intimes pour madame, quelques un pour monsieur. La situation est particulièrement cocasses quand ce sont presque uniquement des femmes dans la quarantaine qui sont mes clientes, ou même des fois des femmes accompagnées d'autres femmes.
Ma vitrine est muette, fermés aux mineur par des rideaux neutres.
Par contre les étagères sont encombrées de ce que je vends. Outres le comptoir et les étagères j'ai aussi deux cabines « d’essayage ».
J'ai une bonne clientèle variée.
Au moins deux fois par jour je dois prêter un jouet pour essaie à une cliente. Je n’autorise jamais à sortir l'objet. Mais j’encourage les clientes de tester dans la cabine.
Il m’arrive de voir des clientes un peu rouges qui sortent d'une cabine. Souvent en fin de journée je le masse convaincre d'essayer moi aussi, avec une autre demande ce que je vend. Neuf fois sur dix, je connais déjà la fin. Pour moi c’est un geste que je présente comme commercial, alors qui il s’agit de ma part d'une envie de jouir avec une autre femme, ce qu j'aime bien.
A force je suis devenue amie avec une voisine. La première fois que nous sous sommes amusées ensemble, c'est elle qui 'a cherché.
Je me souviens encore de ses mains sur mes épaules , caressantes puis venant doucement sur mes seins qui n'en demandaient pas tant. Je n’allais pas me rebeller ! J'acceptais ses caresses, douces, prolongées, si agréables. Je restais offertes à sa bouche quand elle posait ses lèvres sur les miennes : ma première femme. Sa langue ne forçait par du tout en venant chercher la mienne. Elle descendait ses mains sur mes hanches. Ce me sentais fondre. Ce fut pire quand je sentais contre mon ventre sa mais puis un de gode que je vendais. Elle le faisait descendre sous ma jupe.
Brusquement j'avais envie quelle me fasses des choses par normales.
Je suis sorti de brouillard en sortant d'une cabine avec encore sa bouche sur la mienne. Mon ventre était satisfait : je venais de jouir. Ce n'étais pas assez. Je ne l'ai pas forcé recommencer. Elle se donnait à moi.
J'ai pu la mettre nue sous moi. Ma main allai de son épaules à son compas. Elle était encore mouillée. Je me souviens avoir crispé mes doigts vers sa chatte. Je sentais sa mouille. Je la goûtais : c'était bon. Quand j'ai pu toucher ses lèvres je devait frémir de désir. Je la voulais, je voulais lui faire connaître un arc en ciel différent. Je réussissais ma caresse. Elle me demandait une autre caresse différente.
J'étais encore naïve. Je me demandais où elle voulais que je mette mes doigts. Elle me prenait la main, la dirigeait dans la raie des fesses. Je m'y suis laissée entraîner.
Elle y était à la fois chaude et humide. Mes doigts se laissaient aller vers ce que je devinais.
J'arrivais ainsi sans le désirer vers son petit trou. J'étais sur elle, à plat ventre. Je sentais ses seins contre le miens, son pubis plaqué au mien. Et ma main qui fouillais vers son cul. Je devançais son désir, son besoin ? Je caressais son bouchon, pas plus gros en tout cas. C'était souple, élastique, en tout cas agréable à tripoter. Je lui ai peloté le cul. Elle forçait vers mes doigts. Je devait faire quelque chose.
Je l'ai fait au début uniquement pour lui faire plaisir. Et oui ça me faisait plaisir aussi. Sans que je le lui demander, elle est venu poser ses doigts à l'entrée du petit trou. J'ai en envie qu'elle me pénètre à cet endroit pourtant interdit. Que ça me faisait du bien. Je sentais d'abord un doigt dessus, puis vers la fin, je crois qu'elle a employé au moins trois doigts à la fois. Comme une folle, je me laissais faire. C'était à la fois dégoûtant et délicieux. Je me tendais vers sa main.
Je partais vers une nouvelle jouissance. J'oubliais même de la lui rendre.
Parfois quand il vient me voir j'offre une bricole au banquier : des réservations avec relief. Il aime ça.
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