La pane d'essence

Rémi, vingt huit ans, cadre dans une société d’informatique, et Audrey, superbe blonde de vingt cinq ans, secrétaire médicale, se rendent à Salon de Provence afin d’y célébrer leur mariage.

Il est environ vingt heures quand ils prennent la nationale. Il fait un temps superbe, aussi, ont-ils adopté une tenue légère. Bermuda pour lui, mini jupe et chemise nouée sur le ventre pour elle.

-Ca va mon trésor, demande Rémi.

-Mais bien sur mon amour, demain est un grand jour.

-Tu sais ce que j’aimerai, poursuit Rémi, c’est que tu me taille une petite pipe.

-Sérieux, demande Audrey, pourquoi pas. Vas-y, sors ta queue.

Tout en roulant, Rémi se fait sucer. La langue de sa future épouse s’enroule autour du gland. Il sent qu’il va jouir.

-Ah…vas-y ma chérie…putain comme c’est bon…je vais cracher…vas- y, avale…

-Quoi, parvient à dire Audrey, hors de question, tu sais que j’ai horreur de çà…

Faute de mieux, Rémi éjacule dans le mouchoir en papier prévu par Audrey.

- A toi maintenant, quittes ta petite culotte que je puisse caresser ta chatte.

-Salaud, tu sais que j’aime me faire doigter le clito…t’as pas peur qu’on nous voit…

Audrey quitte sa culotte et la met dans le coffre à gants. Elle commence à s’agiter sur le siège  quand le majeur de Rémi doigte son petit bouton, elle va jouir. Soudain, la voiture commence à faire des embardées. Rémi a juste le temps de se garer sur le parking d’un relais routier.

-Merde, dit-il en tapant sur le volant, j’ai oublié de faire le plein…quel con.

-Mon dieu mon chéri, qu’allons-nous faire ? D’autant que la nuit va tomber.

Ils sortent du véhicule, quand des clients sortent du restaurant. Deux jeunes maghrébins d’une vingtaine d’années, devinent la détresse du couple. Ils s’approchent pour proposer leur aide.

-Que vous arrivent-t-il, demande l’un d’eux, un problème.

-On est en pane d’essence, répond Rémi, on a encore de la route, et on se marie demain.

-Je peux vous emmener à la station la plus proche si vous voulez. Khaled  va rester avec vôtre fiancée, on ne sait jamais.

-Très sympa de vôtre part, dit Rémi. Audrey, tu offriras un verre au jeune homme en attendant.

-D’accord chéri, poursuit Audrey, soyez prudent, on est plus à une heure près.

Voila Rémi et le jeune arabe partis à la recherche d’une station service.

Audrey et Khaled se dirige vers le relais, pour prendre un verre.

-Il y a de la fumée là dedans, bougez pas, je vais chercher deux bières. On les boira dehors.

-Ok, répond Audrey, je vous attends, mais tenez, c’est moi qui paie…si si si…j’insiste…

Khaled reviens avec les consommations, et il s’installe sur un banc, au côté de la jeune femme.

Petit à petit, le ciel se couvre d’épais nuages noirs. Les orages sont fréquents en cette période. Et ce qui devait arriver, arriva. Une pluie violente s’abat sur la région. Le temps de s’abriter dans la voiture, Audrey, moins rapide que Khaled, est trempée jusqu’aux os.

-Vite, ordonne le jeune maghrébin, abritons nous.

-Oh mon dieu, râle Audrey, mes habits…il faut que je récupère des vêtements secs dans le coffre.

-Laissez passer l’orage, dit Khaled. Vous pouvez vous mettre à l’aise, ça ne me gène pas. Allez, je vous aide à ôter vôtre chemise…voila…waouh, quels beaux seins vous avez.

-Je vous en prie, ne regardez pas. Je suis timide vous savez, et puis si mon fiancé apprend que je me suis déshabillée devant vous, il ne serait pas content, déjà qu’il est jaloux…

-Mais il n’en saura rien, poursuit Khaled, parole.  Allez, quittez vôtre jupe maintenant.

Audrey hésite, puis rougit en se rappelant qu’elle n’a pas de culotte. Elle se ravise, et se dit qu’après tout, personne n’en saura rien. Et puis, se Khaled est tellement séduisant. Elle prend la décision de quitter sa jupe. Elle se retrouve entièrement nue devant un étranger.

-Oh la vilaine, dit Khaled surpris, mais elle ne porte pas de culotte, c’est quoi ça ?

-Je vous en prie, dit Audrey, c’est mon fiancé qui m’a demandé de la quitter.

-A bon, et pourquoi ça.

-Il voulait gratter ma petite chatte en roulant…euh…il sait que j’aime me faire doigter le clitoris… j’allais justement jouir quand on est tombé en pane.

-Quel dommage, mais ça peut s’arranger, sourit Khaled, je peux finir ce qu’il n’a pas pu finir.

 Allongez-vous sur moi, et écartez vos jambes.

Audrey s’allonge sur le dos, la tête appuyée sur les genoux du jeune maghrébin, offerte. Elle sent la main de Khaled descendre entre ses cuisses, lisser la fente humide, exciter le clitoris.

Des clients passent en courant, abrités sous des parapluies, mais avec la buée, ils ne peuvent voir ce qui se passe à l’intérieur de la voiture.

-C’est avec ce petit bouton qu’il jouait…vous sentez comme je vous l’ai décalotté…vous aimez…

-Oh oui j’aime, gémit Audrey, allez-y, branlez le…oui…regardez comme je suis bien écartée…

Khaled est très doué pour ce genre de caresse. La jeune fiancé se tord comme ver, se cambre sur les pieds pour mieux sentir le doigt qui est en train de la faire jouir. L’orgasme est tout près.

-Ah…ah…hou…hou…oui…oui…ah…ah…salaud…je viens….oui…oui…je joui… ahou…ahou…

Audrey se pend au cou de Khaled, lui prend violemment les lèvres. Ce dernier en profite pour baisser son bermuda, libérant un sexe assez imposant, déjà en érection.

-Waouh, s’extasie Audrey, quelle belle bite…et quelle belle paire de couilles…hum…

-Vous pouvez vous y asseoir dessus si vous voulez…

Audrey ne se le fait pas dire deux fois. Elle s’empale sur la queue entièrement décalottée, dos au jeune beur, avec la ferme intention de se faire caresser les seins et son petit bouton, pendant qu’il la niquera. C’est elle qui fait le travail, monte et descend sur ce calibre qui lui donne tant de plaisir. Elle est prête à jouir quand son portable sonne. C’est tout essoufflé qu’elle le sort de son sac.

-Oh non, peste-t-elle, maintenant que ça devenait intéressant…C’est Rémi, mon fiancé…oui mon amour, ça va ?

-« Pas trop, les routes sont coupées,  on ne pourra venir que demain, vraiment désoler…mais que t’arrive-t-il ma chérie, je te sens essoufflé, ça va ? »

-Oui, mais tu sais, avec cette humidité, il fait un peu frais.

« Ce que tu devrais faire, c’est prendre une chambre au relais, tu seras mieux »

-C’est ce que je vais faire mon chéri, j’y vais…à demain, t’inquiètes pas pour moi…oh…

Pendant la conversation, Khaled n’a pas cessé de caresser les seins d’Audrey, mais surtout son clito toujours sorti de sa cachette. A peine raccroché, elle hurle de plaisir.  Audrey ne veut pas laisser de traces dans la voiture, aussi se retire-t-elle quand elle sent Khaled atteint l’orgasme. Elle prend la bite en bouche et reçoit de plein fouet les giclées de sperme au fond de sa gorge.

-Tu as entendu…on est coincé ici…seuls au monde…

-Tiens, relève Khaled, tu me tu toi maintenant.

-Attends, on va baiser toute la nuit…on ne va pas se faire des courbettes…ne soyons pas con…la seule courbette que je vais faire, c’est quand je vais te tailler une pipe…

-Oh, sourit Khaled, pour une femme qui se marie demain, je la trouve bien chaude…

-Je veux finir d’enterrer ma vie de jeune fille avec une grosse bite. Quant à mon futur mari, il n’avait qu’à être là. Je m’occupe de la chambre, occupes toi des bières.

Audrey récupère des vêtements dans le coffre de la voiture, et se dirige vers le relais.

Quand Khaled la rejoint, Audrey est entièrement nue, jambes et bras écartés sur le lit.

-Ouah, quel morceau dit-il…

-C’est ma dernière nuit de célibat, profites-en, je suis à toi, choisis le morceau que tu veux.

-Et mon morceau à moi, tu ne le veux pas.

-Bien sur que si, souffle-t-elle, c’est peut être la dernière grosse bite de ma vie que je vais sucer. Ne me fais plus attendre, viens me niquer.

Sur ce, Audrey se met à quatre pattes, la tête dans les draps, la croupe cambrée, avec la ferme intention de sa faire prendre en levrette. Khaled s’approche, frotte sa bite décalottée contre la chatte de la future mariée, puis excite le petit trou.

-Oh non, pas ça, dit-elle, j’ai réservé ma petite rosette à mon mari pour la nuit de noces…

-Tu crois qu’il sen rendra compte, insiste le jeune beur.

-Salaud, poursuit-elle, après tout, tu as raison….à se faire déflorer le cul, autant que ce soit par une grosse bite…enfoiré…doucement, c’est la première fois…ça y est…tu m’encules salaud …

-Tu sais bien que les arabes aiment bien enculer les petites françaises…même leurs maris…

-Penses à moi d’abord, souffle Audrey, bourre moi le cul…vide tes couilles dans mon ventre…

Audrey ressemble à un pantin désarticulé au bout de la bite de Khaled. Elle commence à sortir des mots obscènes.

-C’est vrai que vous aimez enculer les française…et les françaises, comme des putes qu’elles sont, préfèrent la grosse bite des arabes que le petit fifre de leur mari…vas-y, maque moi…rends cette nuit inoubliable…

C’est vrai que la nuit va être inoubliable. La grosse bite de Khaled passant indifféremment de la chatte d’Audrey,  à son petit trou, à sa bouche. A chaque trou, il se vide copieusement ses énormes couilles, pour le plus grand plaisir de la future mariée.

Quand Rémi regagne le relais au petit matin, il trouve sa fiancée dans un état d’épuisement assez prononcé. Des cernes sous les yeux, les traits du visage tirés. S’i voyait sa chatte.

-T’as pas l’air en forme ma chérie, lui dit-il.

-Si tu savais mon amour, répond Audrey, je n’ai rien dormi de la nuit avec le bruit de la route.

-Et Khaled, demande Rémi.

-Le pauvre, il a dormi dans la voiture, il doit être fatigué lui aussi. Allons-y maintenant, insiste Audrey, une dure journée nous attend.

Rémi remercie les deux jeunes maghrébins. Audrey aussi, sauf que, légèrement à l’écart, elle donne un sulfureux baiser à Khaled, le merveilleux amant d’une nuit. Hors de la vue de Rémi, elle lui glisse un papier avec son téléphone…on sait jamais.