Bonjour, je m’appelle Stéphanie, jolie femme de vingt cinq ans. Je vais vous raconter ce qu’il m’est arrivé aujourd’hui.
Ce matin, Jérôme et moi décidons d’emmener nôtre fils Kevin, âgé de deux ans, à la plage. Il est neuf heures, et même s’il fait déjà chaud, il y a encore très peu de monde. Quelques personnes qui promènent dans l’eau ou sur le sable.
Notamment deux jeunes blacks d’une vingtaine d’années, qui passent près de nous, et se dirige vers les rochers. Sur leur tee short de l’un est inscrit Fred, l’autre Martial.
Je ne peux m’empêcher de fixer la bosse sur leur maillot, qui laisse deviner un sexe assez imposant.
Je me mets sur le ventre pour faire bronzer mon corps un peu trop blanc. Mon mari prend le tube de crème, et me frictionne le dos. Je m’imagine en train de me faire masser par les grosses mains d’un de ces noirs. Depuis toujours, j’ai fantasmé sur les blacks, vérifier si la légende concernant la mensuration de leur bite est vrai.
Après un petit somme d’une demi-heure, je décide d’aller me baigner. Je distingue, un plus loin, les deux blacks jouer dans l’eau. Je sors, et regagne la plage.
-Tu gardes le petit, je vais marcher un peu.
-Pas de problème, ma chérie, en plus il dort.
Je prends ma serviette, et me dirige vers les rochers. Je trouve un coin de sable, et m’y installe. Deux autres serviettes se trouvent tout près de moi. A peine installée, j’entends des rires. Ce sont les deux blacks qui reviennent de l’eau.
-Ouah, bonjour Mademoiselle, il fait beau n’est-ce pas ? Je m’appelle Fred.
-Bonjour, poursuit le second, moi c’est Martial. Vous êtes seule.
-Bonjour, je m’appelle Stéphanie, mon mari garde nôtre fils sur la plage.
-Mariée donc poursuit un des blacks.
-Oui, que je réponds, ça fait cinq ans.
-Dommage…
Je me mets sur le ventre, pour faire un peu de bronzette. Mais la vision de ces bites sous le maillot me trouble énormément. Soudain, je sens une main se poser sur mon dos. Le frisson que provoque cette caresse est indescriptible. Une autre main tente de dégrafer mon haut de maillot. Je reviens à la réalité, il est hors de question de me laisser draguer par ces inconnus.
Je récupère ma serviette pour partir, quand deux mains fermes me saisissent par la taille. J’essaie de me dégager, en vain. Je ne peux lutter contre la force de ce gaillard. Je ne veux crier non plus, de peur d’alerter les autres baigneurs.
Il me soulève comme une plume, et m’arc boute sur le rocher.
Je me retrouve les reins cassés, jambes écartées, la tête dans le vide. Je sens leurs grosses mains parcourir mon corps. Calmement, l’un d’eux dénoue les cordelettes de mon maillot. Ma fente apparait, bien dégagée, suite à l’épilation du matin. L’autre black fait la même opération avec le haut. Je me retrouve entièrement nue, entre les mains de ces lascars.
-Assez, je leur dis, ou je crie…vous allez voir si mon mari arrive.
-Pourquoi crier, répond l’un d’eux, pour attirer les gens, pour qu’ils voient deux jeunes blacks s’amuser avec une belle française, c’est ça que vous voulez.
- Laissez-moi, s’il vous plait…je vous dis que je suis mariée, que j’ai un petit garçon.
Les deux jeunes quittent leur maillot, mettent à jour leurs imposants attributs. Un me bloque les poignets derrière ma tête, l’autre me caresse, glisse une main entre mes cuisses largement ouvertes. Je sens ses gros doigts écarter mes lèvres intimes.
-Ouah, dit-il, quelle belle grotte, bien rose. Comme on les aime Fred.
-Non, pas ça…arrêtez…ne me mettez pas un doigt, ça appartient à mon mari...
-Il peut bien nous la prêter, juste une petite heure…
-Assez, ma chatte va être toute mouillée après…s’il vous plait.
Pour toute réponse, un deuxième doigt part à l’assaut, mais de mon clitoris cette fois, qu’il sort de sa capuche. L’enfoiré, il sait ce qu’aiment les femmes.
Petit à petit, mon corps accepte les odieuses caresses, et ils s’en aperçoivent.
Fred, c’est son prénom, libère mes poignets. Il approche son sexe près de ma bouche. J’ouvre grand les yeux en voyant cette énorme bite balancer devant mon visage. L’envie est trop forte. Je la prends entre mes lèvres, la décalotte et l’engloutit au fond de ma gorge. Lentement, je commence à la sucer.
Martial, son copain, ne reste pas inactif. Avec sa queue décalottée, il excite mon petit bouton mis à nu, puis me pénètre. Je sens une agréable chaleur au creux de mon ventre, et ne peux retenir un cri de plaisir.
Il entame de lents va et viens dans ma chatte humide, tout en doigtant mon clito avec son pouce. Je gémis de plus en plus fort.
-Ouah, comme elle taille les pipes la salope, dit Fred…
-Et sa chatte, poursuit Martial, comme elle mouille…elle aime la bite la vilaine.
A les entendre parler, j’ai l’impression d’être une pute. Mais c’est tellement bon, aux antipodes de ce que mon mari me procure lors de nos relations sexuelles.
Mon corps commence à vibrer sous l’assaut des jeunes black. Ma respiration s’accélère, malgré la bite qui se branle dans ma bouche, et qui m’étouffe. Celle qui est dans ma chatte n’est pas en reste, fait un travail de sape énorme. L’orgasme est là, il est terrible, un ouragan. Je me cambre sur les reins, hurle de plaisir.
Au même moment, Fred se vide les couilles dans ma bouche. Je sens le sperme chaud sur ma langue, en apprécie le gout, l’avale.
C’est au tour de Martial de pousser des « Hans » de bucheron. Lui aussi se vide copieusement de son abondante semence au fond de ma chatte.
Les deux copains éclatent de rire de m’entendre crier, mais n’en reste pas moins galant. Un prend le bord de la serviette pour essuyer ma bouche, l’autre pour essuyer ma chatte. Calmement, Fred s’allonge sur une partie sablonneuse. Il maintient sa bite en érection en la branlant. Il me force à m’accroupir, et m’empaler sur son énorme calibre. Puis il m’oblige à me pencher sur lui.
Je comprends trop tard la manœuvre. En fait, dans cette position, mon petit trou est disponible, offert à la bite de Martial. Je sens déjà son gland le taquiner, et le pénétrer d’une simple pression. Il me semble recevoir une décharge électrique traverser tout mon corps. Fred me prend la bouche pour atténuer mes cris de douleurs.
Je suis en train de subir une double pénétration des plus torrides. Petit à petit, la douleur s’estompe, pour laisser la place à un indéfinissable plaisir. Un plaisir nouveau pour moi, c’est la première fois que je subis un tel traitement.
Là encore, j’atteins l’orgasme, tandis que je sens déferler leur jus au fond de mes deux trous.
On reste dans cette position un petit moment, pour qu’ils prennent le temps de se vider les couilles. Lentement, ils se retirent, essuient leurs dernière goutes dans ma bouche.
-Hum…hum, c’est bon, je me prend à dire…encore.
-Hey, mais la salope est en manque, sourit Martial.
-C’est encore une de ces françaises mal baisée, répond Fred…tu veux quoi salope.
-Une double…j’en veux une autre…prenez moi, je vous en prie…
-Et si ton mari rapplique, tu y as pensé…
-Non, je le vois d’ici, il joue avec le petit.
-Bon, comme tu voudras, mais on change de bite, d’accord.
-Faites ce que vous voulez, mais baisez- moi, enculez-moi…
On se remet en position. Les deux blacks répondent plus que favorablement à ma requête. Je me fais prendre encore et encore, n’en fini pas jouir, de sucer, d’avaler.
Jugeant enfin qu’ils avaient obtenus ce qu’ils voulaient, ils me quittent, non sans m’avoir donné un sulfureux baiser.
Je reste plantée sur les rochers, les suis du regard. Je les vois passer devant mon mari, caresser même la tête de mon fils.
Je reprends enfin mes esprits, remets mon maillot, et rejoins mon mari.
-Alors ma chérie, tu as bien bronzé ?
-Je ne sais pas, dis-je en le fixant dans les yeux...ça te plait…
-Super belle, me répond-il. Tu sais quoi, je te baiserai bien là…sur le sable.
S’il savait que pendant une heure, je me suis fait prendre par tous les trous par deux blacks hyper monté…Et oui mon chéri, je t’ai trompé.
Deux jours plus tard, j’ai rencontré les deux jeunes black. La encore, je me suis faite baiser, enculer, j’ai taillé des pipes, avalé leur sperme. Un vrai régal.
Pendant ce temps, mon mari faisait des pâtés de sable avec nôtre fils.
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