Nuit magique ou Initiation à l'amour 1

Récit érotique écrit le 29-11-2016
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Catégorie Couple

..J'ai déjà jouit oui mais jamais comme ce soir là. Des tremblements ont agites tout mon corps et je n'ai pu retenir les cris de délices. En plein orgasme il c'est introduit, il m'a embrassé langoureusement, et tout en caressant mes cheveux, j'ai senti son gland contre ma vulve ; il était chaud et doux puis il a donné un coup de rein pour faire entrer sa queue en moi ; nous sommes restés ainsi le temps de quelques secondes. Malgré la faible lumière de sa lampe torche, je voyais son regard réjoui.
- hum c'est serré. 
Une étrange sensation m'envahit, une légère douleur dans mon ventre, j'imagine que l'hymen c'est déchiré.
José était en moi, légèrement sur le côté, il commença de lents va et vient. Mes mains se sont posées, instinctivement sur ses fesses. Son petit cul moulé dans ses jeans trop serrés me faisait craqué. 
Ses fesses sont musclées et ses 2 lobes rebondis sont très agréables à caressées.
Ses lèvres couvrent de baisers mes joues, mon front, mon cou ma bouche tout en accélérant et accuentuant ses coups de reins.
Je sens bien son membre dur en moi, d'un geste brusque il a relevé mes fesses pour me pénétrer plus profondément et son allure c'est accélérée, j'entends taper ses couilles contre mes fesses. 
Dans un râle il c'est dressé sur ses bras, je devine ses pectoraux qui se contractent et ses tétons dressés, sous mes doigts je les sens durs. Dans un gémissement José se contracte et s'enfonce en moi dans un tremblement, il lâche un cri de satisfaction et se couche sur moi, tel un guerrier qui a tout donné au combat.
Il est trempé de chaud, son cœur bat fort dans sa poitrine et résonne en moi. Son poids devient insupportable mais je ne lui dit rien, j'aime sa peau contre la mienne, son souffle court dans mon cou. Et son vit en moi. 
Nous sommes là dans la pénombre avec le bruit des vagues qui viennent lécher les rochers.
J'aimerais être magicienne et figer cet instant pour l'éternité ; qui ne rêve pas d'arrêter le temps dans ses moments délicieux ? 
Mes yeux se sont peu à peu habitués à l'obscurité et le faisceau de la lampe me révèle la pièce.
Une table de petite taille on dirait du Formica, 4 chaises retournées dessus. Un vieux bahut est posé contre le mur d'en face, parfois les phares d'une voiture traversent les vieilles persiennes et se reflètent dans le vitre où derrière,sont posées des assiettes. 
- il ne vit plus ici Paulo ?
- non, sa fille l'a pris chez elle depuis sa dernière chute, elle se sent plus rassurée de le savoir près d'elle à Bastia.

Il a un accent qui me berce et le ton de sa voix est très grave, viril, rassurant. Je le caresse, l'embrasse partout où je peux poser mes lèvres, il glisse sur le côté et son sexe me quitte, c'est alors qu'un étrange tremblement me prend les entrailles, délicieuse sensation et je sens son sperme chaud certainement mêlé à mon sang, couler sur ma cuisse. Il a allumé une cigarette, me l'a donnée, s'en est allumée une autre. Chaque fois qu'il tirait sur son clope son visage m'apparaissait comme un mirage.
- tu prends l'avion quand ? Me demande t'il.
- dans 3 semaines. Et le lendemain bahut. Soupirais-je.
- tu n'aimes pas l'école ?
- si.... non bof je sais pas.
Nous sommes restés de longues minutes puis il me proposa une toilette sommaire, de me vêtir et de rentrer ; lui devait retourner à la salle.
Il me donna un long baiser.
- passe à la salle demain matin, Gabie sera en courses en ville et sera absente toute la journée.
Il referma le volet derrière moi, j'ai pris la direction de la maison, heureuse, et comblée, pleine de belles images en tête.
Morphée a fini par me prendre dans ses bras et m'a transportée dans des rêves erotiques qui, enfin avaient un sens.
Souvent la nuit, je me réveillais brusquement ; en sueur l'entrejambe et mes doigts trempés. Parfois il me revenait des bribes, un homme sans vraiment de visage m'embrassant me caressant ; je voyais son sexe près de mon visage puis à l'entrée de mon vagin , jamais il ne me pénétrait, et pendant ces rêves erotiques je me masturbais mécaniquement sans vraiment, je pense savoir trop m'y prendre ; il fallait frotter cette fente jusqu'à ce cette sensation de bien etre m'envahisse et me secoue dans de longs spasmes incontrôlables.

Parfois je me sentais coupable ou honteuse et parfois soulagée.
Mais cette nuit, celui qui me rejoignit dans mon rêve à un visage,un regard.
Je pouvais enfin vivre la jouissance pleinement et elle m'emportait bien au delà de ce que j'avais pu vivre jusqu'à maintenant.
La nuit fut courte et agitée mais je ne me sentais pas fatiguée.
Je pris mon petit dej et fila à la salle.
Cette année je suis en totale autonomie, marraine me laisse gérer mon temps entre la plage les copains et les repas.

Il était là superbe dans son pantalon blanc, un Marcel ciel moulait ses pectoraux, il est bronzé et quelques poils sortent de l'encolure.
Il me lance un grand sourire et vient me faire la bise. J'aurai préféré un baiser sur mes lèvres, mais il a raison n'importe qui peut nous surprendre.
- je t'emmène pour la journée ?
- où ?
- surprise !
- pourquoi pas. Faut des sandwichs ?
- j'ai mieux !
- Anna est partie pour la journée je dirais que je suis avec elle. 
Pour pas que les voisins nous voient partir ensemble, je prends la direction du cap par le petit sentier dans le maquis Corse. Il rejoint la route à environ 2 km, je ferai mine de faire du stop quand j'entendrai la méhari .
J'ai planqué ma longue tignasse blonde sous une casquette, des lunettes de soleil cache une partie de mon visage un tee shirt et un short larges pourront me faire passer pour un garçon. 
Me voici partie sur le chemin encadré par la mer et la route ; j'entend le ressac,les cigales et les autos ou autres engins motorisés. Je sais qu'il me faut une trentaine de minutes pour rejoindre le point de rendez vous.
Je ne rencontre personne, je suis soulagée, parfois les joggers courent par de là ce chemin. C'est qu'il est agréable, la vue est magnifique sur cette mer aux eaux parfois turquoise parfois d'un bleu profond. Je me demande bien pourquoi les gens partent aux antipodes alors que notre pays regorge de superbes trésors. 
J'entends la méhari qui arrive je me rapproche de la chaussée et tends mon pouce. Mon beau brun est au volant il s'arrête à ma hauteur et dans un grand sourire me demande où je vais.
- n'importe où, avec toi !
- c'est justement là que je vais.
On éclate de rire, je monte.
Il démarre et nous voilà partis. Il pose sa main sur ma cuisse. Remonte doucement jusqu'à mon entrejambe, mon short est large sa main passe sans encombre seul le slip de mon maillot entrave le passage.
Il prend ma main pour la poser sur son sexe et me dit que je lui fait beaucoup d'effet et qu'il bande depuis qu'il m'a aperçu au loin sur le chemin.
Je sens comme des frissons à l'intérieur de mon bas ventre.
- on va loin ? Demandais-je tout en retirant ma main.
- non dans la montagne, un petit coin désert, tu verras curieuse !
Son auto est sympa mais je le sais rouler une banquette à l' avant comme dans les deuchs mais non une barre sépare les 2 sièges, qu'importe ma main caresse facilement sa cuisse nue.
Il prend la direction d'un chemin un peu chaotique puis débouché sur une sorte de clairière, on laisse l'auto à l'ombre d'un châtaignier, l'accès à son petit coin de paradis n'est accessible qu'à pied.
Sur la banquette arrière on prend un panier dans lequel il y a charcuterie fruits et boissons.
- Attrape la couverture, ma princesse !

Je méxecute et prenons le petit chemin qui s'enfonce dans le bois.
J'entends au loin un bruit d'eau plus fort qu'un ruisseau mais moins qu'une cascade. On s'approche de notre point de chute.
Quel émerveillement petit torrent m'apparaît au beau milieu il y a un gros rocher plat ; il avait raison personne nous sommes que tout les 2.
On traverse l'eau est bonne ni trop froide ni trop chaude ni profonde j'ai de l'eau à mi-cuisse je lève les bras pour ne pas mouiller la couverture.
Il dépose le panier au centre du rocher et m'aide à monter dessus on étale la couverture sur l'endroit le plus plat.
José retire son short un vieux jean qu'il a coupé, et son marcel. Il est nu.
- tu ne mets pas de slip ?
- jamais. Mets toi à l'aise.
Il s'approche de moi me retire mon t-shirt, mes seins se dressent fièrement il en attrape un qu'il avale goulûment et malaxe l'autre. Sa seconde main fait glisser mon short et caresse mes fesses.
Je suis debout mes mains dans sa tignasse noire. Naturellement j'écarte un peu les cuisses un doigt à glisser dans mon slip de bain, il cherche ma fente.
Doucement sa bouche quitte mon sein et descend sur mon ventre.
Il embrasse le tissu il cherche mon clitoris qui gonfle sous ses aspirations.
Il écarte ma culotte pour dévoiler mon pubis et ma fente et commence à lecher mon bonbon qui devient de plus en plus gonflé. Il est là à genoux sa tête collée à mon sexe, sa langue est experte, goulue tantôt elle glisse dans ma fente, tantôt elle agace mon clito, je le regarde, j'aime ca des lèvres contre les miennes il les suçote, revient dans la fente, 2 de ses doigts écartent mes lèvres pour dégager mon clito qui tout à fait sorti de son capuchon sa langue accélère tournoie autour, je sens un doigt glisser dans ma chatte trempée. Il me branle je sens que je vais m'abandonner dans sa bouche et sous ses doigts agiles. 
La jouissance arrive d'un coup et je ne peut retenir des cris et les tremblements mes jambes ont du mal à me porter, je m'accroche à ses cheveux. Il continue à me branler. Il enfonce 2 doigts et les agitent. 
Il me regarde, je suis aux anges je mords ma lèvre inférieure et pétri ferment un sein. Cest bon encore meilleur qu'hier. Et le voir m'excite énormément.
Il se relève m'embrasse et d'un coup me décolle du sol pour me coucher sur la couverture. Il a tout prévu elle suffisamment épaisse et matelassée pour ne pas sentir la durete du sol.
Sa langue explore ma bouche, il a pris ma main pour la plaquer sur son membre, il bande comme un taureau, il est dur droit tel un pic.
- branles-moi, souffle t'il.
Je caresse son gland où perle une goutte chaude et visqueuse. Puis attrape sa tige et comme un mouvement de va et vient tout du long.
- caresse mes couilles.
Elles sont petites et un léger duvet les recouvre. J'en attrape une et la faut tourner dans ma main. 
- tu as déjà sucer ?
- non jamais 
- tu en as envie
Ma respiration s'accélère
- j'ai très envie mais je ne sais pas vraiment comment m'y prendre.
Il se couche sur le dos sa queue est plaquée sur son ventre, son gland rouge de désir. Il écarte ses jambes pour que je me cale entre. J'embrasse sa poitrine, son ventre, mon menton bute contre son sexe. Je lèche son gland qui tressaille au contact de ma langue.
- humm suces moi.
Je gobe son gland et prends à pleine main sa queue. Ma bouche glisse le long de sa tige. José caresse mes cheveux et inconsciemment imprime un rythme à ma tête. Je sers sa queue et avale goulûment son sexe. Il appuie plus rapidement sur ma tête et remonte son bassin.
- cest bon, ma princesse.
Sa queue est sortie de ma bouche, un liquide transparent sort de son gland. Je la recueille du bout de la langue. 
Il est en appui sur ses coudes. 
- suces moi que je te regarde. 
J'aspire son gland et lui branle la queue.
Il m'encourage et me guide.
- plus vite, aspire mon gland, serre bien ma queue. Oui comme ca t'arrêtes pas. 
Je vais cracher.
Un jet chaud gicle dans ma bouche par saccade, José est pris de spasmes qui le secouent en enfonçant sa queue dans ma bouche. Je bave ma salive mêlée à son jus. Il a pris sa queue en main et la purge complètement et m'invite à lécher son nectar.
Nous nous embrassons à pleine bouche. J'ai très envie de sa queue en moi.
Apres de longues minutes enlacés, le soleil caressant nos corps à travers les feuilles des arbres. Nous prenons un bain dans l'eau qui entoure notre îlet.
J'ai viré ma culotte quelle agréable sensation de nager nue...

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