Une famille pas ordinaire.
Mes deux femmes se partagent ma bite.
Je passe pour la 1ère fois depuis deux jours une fin de nuit enfin seul dans ma chambre.
Je me demande ce qui va se passer demain après les paroles qu’ont échangées ma mère et ma sœur.
Je n’en reviens pas du changement dans ma vie sexuelle depuis deux jours, j’ai enfin trouvé deux femmes qui acceptent et apprécient ma bite, et tout ça sous le toit de la maison familiale.
Ma mère est une très belle femme. Elle a 42 ans. 1 mètre 70 pour 66 kilos, une silhouette à damner un saint. Des jambes fines, toute en longueur, un ventre plat, et des seins énormes quiparaissent trop gros pour sa fine taille.
Des fesses rondes, bien fermes et tout aussi rebondis malgré l’âge. Elle a des cheveux longs, auburn qui lui cachent les seins lorsqu’ils sont détachés. Elle a un nez fin et une bouche aux lèvres très pulpeuses. Il y a deux jours je n’aurais jamais décrit ma mère comme ça.
Quand à ma sœur, c’est une bombe de 22 ans, un peu moins grande que ma mère, dans les 1m60, blonde aux yeux verts, hyper bien roulée avec des seins et des fesses à faire bander un curé. Et pour ce qui est du sexe, elle a beaucoup « testé » avant de se marier.
A la suite de la soirée « mouvementée », nous nous retrouvons pour le petit déjeuner tous les trois ensembles.
Maman et ma sœur en peignoir léger et moi en boxer et tee-shirt.
Autant le dire, le climat est lourd, je ne sais pas ce qui va se passer.
Par l’entrebâillement du haut de leurs peignoirs, je vois la naissance de leurs seins qui sont visiblement libres en dessous. Aux souvenirs que ça m’évoque, ma bite commence à se tendre.
Aude le remarque et fait un signe de tête à maman puis engage la conversation sur le sujet.
-Y a pas photo, Damien a la plus grosse que je n’ai jamais tenue en main !
Maman lui rétorque entrant dans son jeu.
-Qu’est-ce qu’il a de plus gros ?
On dirait presque qu’elle veut faire semblant de ne pas avoir compris.
Maman rajoute.
-On ne va pas se mentir ni faire comme si rien ne s’était passé. Damien, aussi bien pour ta sœur que pour moi dès que l’on a vu ton formidable engin nous n’avons pas pu nous empêcher de vouloir en profiter. Mais pourquoi te masturbais-tu ? Avec un tel gourdin, tu dois avoir le choix dans tes conquêtes.
Au point où j’en suis, autant dire ce qu’il y à dire. -Je suis trop imposant pour les filles de mon âge, tu comprends ? Elles n’ont pas votre expérience et recherchent des petits amis équipés d’un modèle plus standard.
Ma mère insiste.
- Comment ça ?
Je lui rétorque assez violemment.
-Et bien !…J’ai
un trop gros sexe pour que les filles apprécient et je risque de les blesser!
Ma mère c’est figée, ma sœur me regarde une lueur que je ne connais pas dans
les yeux.
Je me suis emporté et je sens le rouge me monter aux joues.
-Effectivement, souligne ma sœur, ton défonce-cul est si gros qu’il n’est pas à mettre dans n’importe quelle main, ou plutôt n’importe quel trou !
C’est ma sœur qui ouvre le bal en déclarant directement et crûment à Maman quelle regarde dans les yeux.
- Maman, ne nous voilons pas la face, ce n’est pas la peine d’aller chercher ailleurs ce qu’on a sous la main et d’après ce que je vois, Damien ne va pas tarder à avoir des problèmes avec sa queue s’il continue à bander comme un âne.
Je passe par toutes les couleurs de l’arc en ciel et baisse les yeux vers le pieu caché dans mon boxer.
On voit déjà le bout du gland pointer son nez. Sans me laisser le temps de réagir, Aude saisit mon boxer à deux mains et le baisse jusqu’aux chevilles.
Sans complexe, elle attrape ma bite à pleines mains et se met à jouer sur la hampe des allers retours très lents.
Maman hésite un instant et se penche pour constater ce que ma sœur vient de lui dire.
Ma mère ne réagit pas, elle regarde toujours silencieusement ma sœur, qui les deux mains sur ma verge, a pris ce qu’elle a pu de ma queue dans sa bouche et me suce ouvertement, et elle me laisse totalement libre de lui peloter ses beaux nichons, ce qui me procure un grand plaisir.
Je sens ses tétons
durcir, elle ne peut dissimuler son excitation, puis je descends ma main le
long de son dos et me mets à lui caresser les fesses aussi, et je sens qu'elle
frémit de plus en plus...
Tout à coup, elle n'en peut plus :
- Putain,vous m'excitez trop, donne -la moi que je la suce moi aussi!
Elle cède enfin. Ma
mère descend à hauteur de ma sœur, et approchant une main, s’empare de mes couilles
en un massage électrisant puis saisit ma queue que ma sœur a retirée de sa
bouche mais ne veut pas lâcher,et la plonge
directement dans la sienne.
Elle se met à me sucer frénétiquement, comme une chienne en chaleur, en y
mettant toute sa science, sa langue et sa salive.
- Alors, elle est bonne sa queue hein? Un beau petit pain !... lance ma
sœur à ma mère.
- Ah oui
j'adore!
Je suis soulagé de voir qu’elles préfèrent me partager plutôt que de s’étriper.
Je me rends compte de ce qu’elles veulent faire ; me branler jusqu'à la jouissance.
Maman a glissée une main sous le peignoir d’Aude et lui caresse la chatte mais comme le vêtement cache tout ça, je ne vois pas ce qu’elle fait.
Ma sœur accélère son mouvement et maman commence à me presser les boules plus fortement.
Au bout de cinq minutes de ce traitement à deux bouches pour une pine, je les préviens alors que je vais jouir.
Maman ouvre et enlève à toute vitesse son peignoir en disant à Aude d’orienter ma grosse pine rougie vers ses seins.
N’en pouvant plus et sentant monter mon jus dans ma queue, j’envois cinq belles giclées sur les seins et le visage de ma génitrice en braillant comme un putois et en lançant.
- Maman, oh Maman !
Ma sœur se précipite et lèche la peau de ma mère pour ne rien perdre de ma semence et la partage d’un baiser fougueux avec Jeanne.
Mon excitation retombe et je me retrouve debout contre la table de la cuisine, la queue toujours raide, le boxer sur les chevilles en teeshirt l’air un peu couillon après ce qui vient de se passer.
Je ne sais plus quoi faire et c’est ma sœur qui rompt le silence en disant qu’elles ont eu la crème et que maintenant il était temps de prendre le café, ce qui provoque bien sur un éclat de rire général et déstressant pour moi.
Après le petit déjeuner, Maman met les choses au point:
Au vu de ce qui vient de sa passer, il est inutile que je continue à l’appeler Maman et qu’elle préfère que j’utilise son prénom.
D’autre part, avec notre accord bien sûr, elle propose qu’au stade où nous en sommes il n’est plus utile de se planquer sous des vêtements et que nous pouvons nous promener nus chez nous et qu’elles prennent toutes les deux la pilule.
Je monte alors prendre ma douche et Aude vient me rejoindre quasiment aussitôt, se met nue et rentre avec moi dans la douche, nous nous lavons mutuellement en restant presque sages.
Je lui demande.
-Ça ne te gène pas de baiser avec ton frère ?
- Un peu, tu es si
jeune, mais quand je vois ton engin en comparaison de celui de mon mari, je ne
me maîtrise plus!... me dit-elle en rigolant et en se mettant à genoux...
Là, elle
commence à me sucer, en un rien de temps ma queue est tellement dure que j'en
ai presque mal et le fait de la voir dans la bouche de ma sœur, avec sa langue
de velours qui s'active dessus me procure un plaisir fou!
Elle me lèche la verge de tous les côtés, du gland aux couilles, qu'elle met aussi de temps en temps dans sa bouche, testant l’élasticité de la peau des bourses, tout en me fixant du regard, comme une vraiepute!
Ma mère vient de rentrer dans la salle de bain et nous observe dans la douche.
- Vas-y Damien, baise-la bien !
Aude la questionne.
On est ses deux putes, hein maman?
- Oh oui c'est trop bon, c'est vrai qu'on est deux belles salopes, ça sert à rien de le cacher...
Je suis fière de vous les enfants, vous êtes aussi chauds que votre pute de mère!
-Allons dans ma chambre pour continuer. Suggère ma mère.
Le bas de mon anatomie continue de subir les assauts de la bouche d’Aude mais en plus, cette ravissante salope de sa main droite me branle vigoureusement. Elle tient bien en main son « bâton de berger » et met tout son cœur à me branler.
Fatalement il arrive ce qui devait arriver, je sens ma bite gonfler encore plus et avant qu’Aude n’ait le temps de se reculer et sans que je puisse la prévenir, je libère plusieurs puissants jets de sperme qu’elle se trouve obligée d’avaler puisque je lui tiens fermement la tête.
Voyant cela, maman va au-devant d’Aude pour partager à nouveau ma semence en un joyeux mélange de langues.
Je vais peut-être avoir un instant de calme.
Mais c’est mal connaître mes deux coquines, qui après quelques jeux lesbiens s’allongent chacune d’un côté de moi et leurs mains partent à la rencontre de mon corps en entretenant mon désir par de douces caresses en évitant toutefois mon bas ventre ou mon sexe est un peu en berne mais toujours à sa taille « habituelle », enfin pour moi.
Ma sœur se met alors à quatre pattes sur le lit et m'invite ainsi à venir la
prendre en levrette.
Je me mets immédiatement à la chevaucher ainsi en limant sa belle chatte brûlante et dégoulinante de mouille.
Ma mère écarte les grandes lèvres de ma sœur pour mieux faire pénétrer ma bite et surtout mieux admirer le spectacle de ma queue dans la chatte de sa salope de fille. Puis très vite, ma mère se place à côté de ma sœur en écartant ses jambes à fond et en se mettant à se caresser la chatte.
Ma sœur, surexcitée, lui dit alors :
- Vas y maman, mets toi devant je vais te lécher la chatte!
Ma mère ne se fait pas prier évidemment et avec plaisir se place ainsi en face de ma
sœur, et Aude commence alors à lécher son sexe!
C'est un vrai film de cul en direct, ma sœur que je suis en train de baiser en
levrette, lèche la chatte de ma mère, qui me regarde en gémissant de plaisir
sous ses coups de langue.
- Elle est bonne la chatte de maman? Je demande à Aude
- Grave!
- Vas-y bouffe-moi la foufoune c'est trop bon! Râle ma mère
- Et toi, comment tu trouves la chatte de ta sœur? poursuit-elle.
- Trop bonne! J’adore la baiser cette salope!
- Ben viens
me baiser moi aussi, tu verras que t'as pas qu'une seule salope ici, t'en as
deux!
Avec bonheur, je vois ma sœur se retirer et se placer sur le côté et ma mère
s'avancer vers moi, spontanément je saisis à pleines mains les deux gros seins
de ma mère et je les serre fort autour de ma queue pour une bonne branlette
espagnole.
Malgré ses gros
seins, ma queue vient frapper régulièrement son menton, elle penche la tête
pour accueillir mon nœud à chaque poussée.
Elle me suggère.
- Tu veux goûter ma chatte?!
Sans répondre, je me mets à lécher sa belle chatte toute chaude et toute mouillée, et avec délice je promène ma langue sur ses lèvres, puis je titille longuement avec le bout de ma langue son clito, son sexe est une vraie fontaine, elle mouille comme une folle.
De temps en temps je fourre ma langue dans sa fente en feu, avant d'y glisser un doigt, puis deux, puis trois, et en relevant ma tête, je la branle avec trois doigts dans sa chatte tout en regardant l'expression du plaisir sur son visage.
Ma sœur en profite pour me traire pour entretenir l’érection de mon engin.
Ma mère me regarde, en setordant deplaisir et en pétrissant ses gros seins qu'elle tient fermement dans ses mains.
Je pose ma queue à l'entrée de sa grotte trempée, en frottant mon gland sur son clito, ma mère prend ma bite et la dirige à l'entrée de son orifice.
Après quelques secondes où je la rends folle en ne glissant que la tête de mon gland dans sa vulve, j'enfonce d'un grand coup toute ma queue au fond de sa gaine de velours.
Ses muscles intimes entrent en
action et broient ma verge.
Putain! La
chatte de ma mère! Ce n’est pas bien moral, mais qu'est ce qu'elle est bonne!!!
Je me mets à
la chevaucher de plus en plus vite, de plus en plus fort, en tenant fermement
ses hanches, elle écarte ses jambes à fond!
- Oh
ouiiiiiiiiii défonce-moi! Encore! C’est trop bon putain!
Elle a du mal
à étouffer ses cris de plaisir, sa chatte est si chaude, si mouillée, c'est
irrésistible!
Je me retire et mets deux doigts dans la moule toute trempée de ma mère en même temps qu'elle se caresse le clito, et quelques secondes après, elle atteint un énorme orgasme qui la fait crier à mort, c'est plus ma mère mais une grosse chienne que j'ai en face de moi, ou plutôt c'est ma mère et c'est une grosse chienne!!!
Sans hésiter, je renfonce ma queue d'un coup jusqu'au fond de la caverne
bien chaude et bien humide de ma mère.
C'est le pied putain, à ce moment là je réalise que c'est ma propre mère que je
suis en train de baiser!
Pendant que je m'emploie à limer la chatte de ma mère, ma sœur lui pelote les
nichons.
Aude se met alors à parler à l’oreille de maman qui s’écarte de moi pour laisser sa fille prendre « les choses en main ».
C’était le moins que l’on puisse dire puisqu'elle se saisit de ma bite et enserre la hampe dans sa main tout en me regardant droit dans les yeux et me dit de m’étendre.
Je m’allonge sur le dos quelque peu passif et je la vois, sous les yeux de notre mère qui n’en perd pas une miette, se mettre à califourchon au-dessus de moi tout en continuant à me branler doucement.
Elle guide mon sexe tendu vers son berlingot parfaitement rasé et promène le gland sur sa fente déjà bien mouillée.
Je sens sur mon gland la chaleur de son intimité et la seule pensée qui me traverse l’esprit à ce moment est que je nage dans le bonheur
Pendant que je défonce ma sœur comme un malade par de furieux coups de reins, Aude tourne sa tête vers maman qui a placé sa fente juste sur ma bouche et après quelques coups de langue, maman se met à jouir violemment en tremblant de plaisir m’inondant le visage.
Ça m'excite
tellement que je me retire de la chatte de ma sœur en annonçant que je vais
jouir!
Ma mère grogne :
- Vas y chéri,
mets-moi tout sur les seins!
J'ai à peine le temps de m'approcher de sa grosse poitrine que de puissantes
giclées de spermes'écrasent sur
elle.
Ma sœur me nettoie alors le gland en avalant les dernières goûtes de sperme,
puis se tourne vers ma mère qui est en train de se caresser frénétiquement le
clito, les seins et le visage souillés de mon sperme, et lui promet :
- Attends maman, je vais te nettoyer tout ça! Et se met aussitôt à lécher tout le sperme que j'avais déversé.
Ma mère reste comme tétanisée, fascinée par ce spectacle si pervers et si excitant à la fois.
Elle est là, à trente centimètres de moi, encouragé par l'audace de ma sœur et excité par ses coups de langue de plus en plus grands.
Quand elle a fini sa dégustation, Aude se tourne vers moi et s’exclame.
- Regarde son formidable chibre maman, il a à peine perdu de sa superbe, c’est le seul homme que je connaisse capable de jouir plusieurs fois sans pratiquement débander !
Et pour la énième fois de la matinée, leurs bouches se sont relayées sur mon nœud.
C'est une pipe très agréable qu'elles me font, longue, très longue, ma mère et ma sœur se partagent ma bite, ralentissant quand elles me sentent sur le point d’éjaculer, se l'échangent plusieurs fois, parfois l'une me suce et l'autre me lèche les couilles en même temps, c'est trop trop bon!!
Déjà que j'avais découvert
que ma sœur était une vraie salope, mais à vrai dire, ce n'était pas une
surprise absolue, mais voilà que je découvre là que ma mère est aussi cochonne et
qui s'est finalement laissée aller à franchir le pas de baiser avec son propre
fils!
- Vas-y, faut le sucer à mort, il va bien finir par jouir ! Dis ma mère à
ma sœur en se penchant sur ma
bite et suce le gland, il va te donner son sperme dans ta bouche.
Je ne peux plus me retenir, c’est incroyable la quantité que je lui déverse encore dans la bouche, elle le recrache et en a partout, le sperme coule sursa poitrine, elle vient d’en avaler une bonne dose et il en sort toujours, mes grosses couilles ne sont pas encore vides.
-Pour fêter ça, on se fait un resto à midi ! Propose ma mère.
Suite au prochain épisode.
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