Après la publication de « Invité chez des apprentis candauliste », j’ai reçu un mail de Michel qui m’a demandé de raconter son histoire. Nous avons pas mal échangé par mail, Il a aujourd’hui 62 ans il est marié à Emilie depuis plus de 30 ans et ensemble ils élèvent des animaux mais voila comment tout a commencé pour lui (comme pour les histoires d’Albert je vais utiliser le « Je » même si contrairement à lui je suis plutôt dominateur):
Je suis fils unique et j’ai grandit dans la ferme de mes parents. Comme je m’ennuyais seul à la maison je passais la plus grande partie de mon temps chez ma tante qui avait une fille de 2 ans mon ainée. Les deux parents de ma cousine travaillaient alors on était souvent seul. Son grand jeu était de me faire essayer toute sa garde robe.
Je ne trouvais rien d’anormale à tout ça et je dois bien avouer que j’aimais ça aussi, surtout quand elle m’obligé à enlever mon slip sous les jupes ou les robes ou quand elle invitais ses copines et qu’elles se moquaient de moi. Ce petit jeu s’est passé de mes 8 à 12 ans, tout s’est arrêté quand ma cousine est partie en pension.
J’ai beaucoup regretté le départ de ma cousine parce qu’au delà du plaisir de m’habiller en fille, mon monde était que masculin à part ma tante et ma mère que je voyais trop rarement. Même à l’école nous étions que des garçons et tous nos maitres étaient des hommes. Ma construction sexuelle a vraiment commencé l’année où j’ai redoublé ma cinquième.
Cette année bien que je suis avec des garçons plus jeune que moi, physiquement je fais plus chétif qu’eux. Même si j’ai déjà 13 ans je n’ai toujours pas de poils alors que je remarque bien quand nous sommes dans les vestiaires de la piscine que les garçons de ma classe commence à être poilu et que leur sexe est déjà plus grand et gros que le mien.
A l’école ma bête noire c’est les maths et cette année nous avons un nouveau professeur de mathématique qui est très sévère. Les mauvais élèves sont collés le jeudi (à cette époque c’est le jour de repos) pour rattraper les leçons et refaire les exercices ratés. Nous sommes par petit groupe de maximum 5 élèves mais c’est souvent arrivé que je sois seul avec lui.
Mr R., notre prof de maths, a déjà un physique impressionnant pour un enfant de 13 ans, il doit bien mesurer 1m80 il est assez carré avec une barbe grisonnante, il a plus de 50 ans et il est très autoritaire. Il crie beaucoup en classe mais ce n’est rien par rapport aux heures de colle que je dois subir, là on peut dire qu’il hurle, il doit sûrement profiter que l’école soit déserte. Il me fait vraiment peur.
Dès le retour des vacances de la toussaint les colles tombent à nouveau. Ce jeudi là nous sommes 4, les habitués, à être collés. Je me suis encore trompés dans mon exercice, je me prépare psychologiquement à me faire hurler dessus mais rien. Mr R. vient derrière moi, il pose ses grosses mains sur mes petites épaules et me dit très calmement:
« Michel, je vois que te crier dessus ne serre à rien alors j’espère que cette méthode va enfin marcher sur toi », je suis pétrifier surtout qu’il rajoute sur un ton sadique
« Lève toi, viens derrière ta chaise, baisse ton pantalon et ton slip et penche toi sur ton dossier».
Intérieurement je boue mais je n’ai pas le courage de dire ou faire quoi que ce soit, on doit toujours obéir au maitre, alors rouge de honte je me lève et une fois devant le dossier j’ouvre mon pantalon que je baisse avec mon slip en prenant bien soin de cacher mon petit sexe, je me penche en avant et je prépare à recevoir une fessée (j’ai l’habitude avec mon père!). Mais en criant il me dit:
« Les mains sur le dossier de la chaise et penche toi vraiment », je m’exécute après avoir glisser mon pénis entre mes cuisses et je sens immédiatement ma fesse gauche chauffer sous le claquement de cette énorme main bien plus grande que ma fesse. Je commence à me rhabiller quand j’entends:
« C’est pas fini et je veux t’entendre compter, je te rappelle que je suis ton professeur de mathématiques! »
Du coup timidement je dis « 1 », maintenant c’est ma fesse droite qui chauffe et j’ai du compter jusqu’à 10 même si depuis 7 je pleure. Quand je m’assoies la douleur est encore plus forte. Je ne sais pas si c’est du à cette méthode mais mes notes ne se sont pas améliorer.
Pendant que nous rangeons nos affaires le professeur me demande de rester. Il m’explique que c’est moi qui l’oblige à faire ça et que c’est uniquement pour mon bien. J’ai honte pendant qu’il me parle mais une étrange sensations s’y mêle aussi.
Evidement personne n’a jamais parlé de ce qui s’était passé pendant cette colle ni les suivantes, on avait trop honte que les autres se moque de nous à la récréation.
La semaine suivante je ne suis pas le seul à être fessé et en un mois on y est tous passé mais moi j’en reçois chaque semaine, heureusement ça me fait de moins en moins mal et même des fois j’ai l’impression de sentir mon zizi gonfler entre mes cuisses.
Ce jeudi je suis le seul à être collé, tous les élèves ont eu la moyenne sauf moi, j’ai eu 4! C’est la deuxième fois que je me retrouve en tête avec lui, mais cette semaine il est venu avec un sac en plus de son cartable. Mes affaires sont prêtes je suis debout derrière mon pupitre alors qu’il n’a pas dit un autre mot que « Bonjour », il ouvre le sac et en sort une robe. En voyant cet habit rose je pense à ma cousine.
Il me fait signe de m’assoir et me dit:
« Je t’ai préparé un contrôle similaire à celui fait en classe, si tu n’as pas la moyenne tu devras porter cette robe. »
J’ai fait mon maximum pour bien réussir mon contrôle, mais aujourd’hui je suis sur que même si j’avais tout eu juste il ne m’aurait pas mis la moyenne. Il pose la robe sur sa table et me dit de venir devant son bureau. En marchant je sens l’excitation et la gêne se mêler.
Je commence par enlever mes chaussures et mes chaussettes, ensuite je retire mon pantalon, mon tablier et ma chemise. Je vais pour attraper la robe mais il m’ordonne d’enlever mon slip. Je cache mon sexe, qui même s’il a un peu grandit reste plutôt ridicule quand il crie
« Arrêtes avec tes mains on a tous la même » plus calment il rajoute « enfin plus ou moins! »
Je fais tomber mon slip en essayant de me cacher avec mes mouvements, j’attrape la robe que je me dépêche d’enfiler. Une fois habiller il me dit:
« Penche toi sur mon bureau ».
Je m’exécute et quand j’arrive à 5 fessées il me demande d’écarter au maximum les jambes et pour les 5 coups suivants sa main s’abat sur mes petites couilles, je sens mon pénis se durcir, c’est la première fois que ça m’arrive.
Je retourne faire des exercices dans ma robe et comme je n’ai pas tout juste à la fin des 2 heures de colle je suis automatiquement collé pour la semaine suivante et il m’annonce que je devrais porter la robe pendant les deux heures!
Alors que je me change à nouveau devant son bureau pendant que Mr R. tourne autour de moi, quand je suis entièrement nu je reçois à nouveau 2 fessées et je rentre vite chez moi.
Jusqu’à la fin de l’année pendant toutes les colles de groupe, celui qui avait la plus mauvaise note devait porter la robe pendant toute la colle suivante mais pour moi c’était chaque semaine et une fois par moi je me retrouvais seul avec lui. A la fin de l’année le professeur est allé voir mes parents à la ferme et leur a parlé de mes lacunes en Maths. Il leur a proposé de me donner des cours particuliers 2 fois par semaine pendant l’année scolaire suivante mais chez lui. Mes parents content que je puisse enfin faire des progrès en maths ont acceptés surtout quand Mr R. à préciser qu’il le ferait bénévolement. Il a proposé que l’on démarre dès les grandes vacances afin que je sois à niveau pour ma rentrée en quatrième.
Du coup j’ai passé mes vacances à aider mes parents à la ferme et 3 après midi par semaine j’allais chez Mr R. pour étudier. Nous étions seuls dans sa petite maison et évidement dès que j’arrivais chez lui je devais mettre une robe et rien en dessous.
La deuxième semaine de juillet j’arrive chez lui comme prévu, il ne vient pas m’ouvrir mais me dit de rentrer et de mettre la robe qui est dans l’entrée avant de le rejoindre dans le salon. Une fois en tenu je vais le rejoindre, il est entièrement nu dans son fauteuil club, son sexe me semble énorme et plus je m’approche de lui plus il grossit.
Quand je suis face à lui il me dit qu’aujourd’hui il va me faire un cours d’anatomie. « J’ai remarqué que des fois ton sexe grossissait, c’est tout à fait normale ».
Il me fait m’assoir à genoux devant lui et commence à se caresser il m’explique plein de trucs mais je suis obnubilé par sa queue qui est vraiment grosse. Je suis partagé entre la honte et l’envie de toucher un vrai sexe d’homme. Il attrape une de mes mains par le poignet la lèche puis l’amène jusqu’à son sexe. Sans me lâcher il me fait faire des mouvements de haut en bas tout en appuyant sur mes doigts pour les serrer autour de son sexe.
Je suis bien concentré sur ce que je fais depuis plusieurs minutes, quand il lâche ma main je continue malgré tout mes mouvements mais il me dit d’arrêter de lécher ma main et de recommencer mais tout seul.
Il m’a fait encore 2 fois lécher ma main puis il me demande d’arrêter, de me lever et de soulever ma robe. Mon zizi est dure et droit, il l’attrape à deux doigts et commence à me caresser comme je lui ai fait. Bien que j’aime beaucoup mon sexe se ramolli jusqu’à revenir se coller contre mon pubis. Comme résultat j’ai eu le droit à 10 fessées et nous avons travaillé le restée l’après midi lui nu et moi en robe.
Tout le long des vacances nous avons continué ainsi d’abord je devais le masturber, des fois il éjaculait mais pas à chaque fois, lui aussi me masturbait mais je n’ai jamais éjaculé même souvent je perdais mon érection au bout d’un moment et après des series de fessées nous étudions.
Autour des vacances de Noel de ma quatrième alors que j’étais chez lui en train de le masturber il me dit: « Embrasse moi le sexe ». Je ne sais pas trop quoi faire mais je sens que j’en ai envie alors je me penche vers lui et je commence à déposer des baisers un peu partout sur son gland et son sexe qu’il tient bien droit par la base. Au bout d’un moment il me demande de tirer le plus possible la langue, il pose son gland décalotté déçu et le fait bouger puis il frotte tout son sexe contre ma langue mais c’est le plus souvent son gland et son frein qui reviennent dessus. Ce petit jeu dure plusieurs minutes ensuite il me fait me reculer et m’ordonne de le branler jusqu’à ce que ses jets de sperme viennent s’écraser contre ma robe.
La semaine suivante alors que son sexe se ballade sur ma langue tiré il me demande d’ouvrir la bouche en grand, il m’attrape par les cheveux et fait aller et venir son gland dans ma bouche lentement. Il me demande d’en même temps le caresser avec ma langue, ce que je fais avec grand plaisir alors que je sens mon zizi encore plus durcir. Au bout de quelques minutes il me serre encore plus les cheveux et ses vas et viens sont encore plus rapide, je sens sa queue encore plus rentrer entre mes lèvres qui sont extrêmement tiré, j’ai l’impression que ma bouche va exploser. J’ai mal, je pleure mais j’ai l’impression que de me voir comme ça lui donne encore plus de plaisir. Malgré tout je sens mon penis palpiter contre ma cuisse. Au bout de plusieurs longues minutes il fait sortir sa grosse bite de ma bouche, ça fait du bien et sans même se caresser il éjacule sur mon visage.
Immédiatement il m’essuie avec ma robe et une fois qu’il a repris ses esprits nous étudions.
Depuis ce jour à chaque cour particulier je l’ai sucé mais il ne m’a jamais éjaculé dans la bouche bien que j’en ai eu très envie. Nos contacts physique n’ont jamais était plus loin que ça. C’est même lui qui m’a fait jouir entre ses deux doigts pour la première fois par contre quand j’ai vu ce qu’éjaculais comparé à lui j’ai eu, une fois de plus, honte.
Tout ça a continué jusqu’au milieu de ma troisième, Mr R. a totalement disparu de l’école, je suis aussi retourné chez lui mais ça maison était vide. A la fin de l’année je suis parti en école agricole. Ma formation sexuel n’a repris qu’à l’armée mais ça sera une autre histoire si celle ci vous a plu…
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