Hier était un jour que je n'oublierai jamais. Jordan, mon neveu était venu passer quelques jours de vacances. Ça avait commencé comme une journée normale, mais mon neveu m'a surpris d'une manière inattendue. J'ai décidé de préparer le petit- déjeuner et le soleil traversait la fenêtre, rendant la cuisine lumineuse et chaleureuse. Je me sentais bien, comme si rien ne pouvait mal se passer.
Excité de cuisiner, j'ai choisi de faire des pancakes, son plat préféré. Pendant que je mélangeais la pâte, j'entendais les oiseaux chanter, le bruit des sabots des troupeaux qui descendait au pré. Le calme régnait. Quand les pancakes grésillaient, mon neveu est entré se frottant les yeux et souriant.
- Qu'est-ce qu'on mange, demanda-t-il.
Quand je lui ai dit qu'on mangeait des pancakes, son visage s'est illuminé. On a rit ensemble pendant que je retourner les pancakes, et une douce odeur remplissait la pièce. Soudain il a proposé.
- Si on partait à l'aventure aujourd'hui, un pique-nique, ça te dit ?
Curieuse, je lui ai demander ce qu'il avait en tête. Il parlait d'explorer le parc voisin et de chercher des trésors cachés. Après le petit-déjeuner, je préparais un panier repas, et on est parti. Le soleil brillait encore plus fort et me sentais pleine d'énergie. On a arpenté le parc à la recherche de choses intéressantes, on a trouvé des pierres étranges, des fleurs magnifiques, et même quelques insectes. Son enthousiasme rendait tout plus amusant. On a étiré une couverture, et avons mangé. Charcuterie, œufs durs et un fruit.
J’ai débarrassé, et nous sommes allongé sur la couverture. Involontairement, ma légère robe fleurie remonta sur les cuisses. Jordan le remarqua, me dit que j’avais de très belles jambes. Quand il posa une nain sur mon genoux, mon corps frissonna. Je ne l’arrêtais pas quand la main remonta sur mes cuisses, atteignant rapidement mon entre jambe. Calmement, ses doigts écartèrent mon string, caressa mes lèvres intimes déjà humide. Aucune pénétration, mes des douces caresses qui me firent gémir de plaisir. Excitée, je prenais ses doigts et le guidais vers mon clitoris qui pointait de son fourreau. Il compris mon désir, et fit tourner son majeure sur le petit organe. Soudain, j’enroulais mes bras autour de son cou, entre-mêlant mes doigts dans ses cheveux. Nos lèvres ses soudèrent pour un sulfureux baiser, tandis que j’atteignais l’orgasme. Un nuage de honte traversa mon esprit. Je venais de jouir surs les doigts d’un jeune garçon de vingt ans plus jeune que moi. Je rangeais mes vêtement et me leva, les larmes au yeux.
De retour à la maison, fatiguée mais finalement heureuse du plaisir qu’il m’avait donné, nous ne dire pas un mot. j'ai réalisé que ces simples caresses avaient transformé ce pique-nique en une journée mémorable. Arrivé à la maison, je pris une douche rapide et repris mes taches culinaire. Je n'avais pas seulement fait des pancakes, j'avais créé une journée spéciale avec mon neveu, un souvenir à chérir. Ce matin-là , alors que je préparais les ingrédients, l'air frais traversait la fenêtre. J'ai commencé par des œufs et du bacon, sachant que ce serait délicieux. Le son du bacon grisollant me faisait sourire, c'était mon moment de calme, avant que la journée ne devienne mouvementée.
En cuisinant, je me suis rendu compte que j'avais oublié un ingrédient essentiel. Les saucisses. C'était nôtre ingrédient préféré à moi et mon neveu. Il les réclamait à chaque petit déjeuner. je pouvais déjà imaginer son visage déçu si elle n'était pas sur la table. Alors que je fouillais frénétiquement la cuisine pour les trouver, il est entré souriant.
- Qu'est-ce qui te stresse autant, demanda-t-il calmement.
Je me suis retournée un peu gênée. Je lui ai dit j'ai oublié de faire ses saucisses préféré. A ma grande surprise, il sourit encore.
- Ce n'est pas grave dit-il doucement, si tu peux t’en passer, moi aussi.
Ce sourire inhabituel m'a désarçonné. D'habitude mon neveu était sérieux, réservé, mais là , il semblait léger comme si rien ne l'inquiétait. je lui ai demandé s'il était sûr que ça ne le dérangeait pas, il m'a répondu.
- Ou, j'aime les saucisses, comme toi, mais tu as oublié, ce n'est pas la fin du monde.
Pour une raison que je ne comprenais pas, cette interaction m'a touché. Ça m'a fait réaliser que parfois les moments simples sont les plus significatifs. Il ne savait pas à ce moment là , que je pouvais palier à mon envie. Je me suis laissé tomber à genoux et baissé son bermuda. L’objet de tout mes désir était là , dans toute sa splendeur, sa jeunesse, dressé orgueilleusement. Je le décalottais, le caressais, puis le pris en bouche. J’entamais une douce fellation que Jordan n’avait certainement encore jamais connu.
Il fut surpris quand je le retins, alors qu’il tentait à se retirer. J’avalais toute sa semence, enroulant ma langue autour du gland pour le nettoyer minutieusement. Ça, il est certain que s’était la première fois que ça lui arrivé.
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