Moi Marlène

Récit érotique écrit par mazaudier le 28-09-2018
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Catégorie Partouzes-Orgies

Je vais vous racontez l’aventure qui m’est arrivé.

Un soir, mon copain de l’époque, m’emmène voir un match de foot. Même si j’ai horreur de ça, je ne pouvais pas lui refuser après le sale coup que je lui avais fait.  En effet, il y a une semaine, lors d’une soirée arrosée,  j’avais taillé une pipe à son meilleur pote, et il l’avait su. Pendant une semaine, il ne m’a pas touchée. Ca m’inquiétait un peu, alors qu’on faisait l’amour, pratiquement tout les jours. Pour me faire pardonner, je décidais donc de lui faire plaisir, en le suivant au stade.

Il faisait très beau ce soir là, aussi, pour attirer l’attention de mon copain, j’avais mis une tenue des plus sexys. Mini jupe, chemise nouée sur le ventre, chaussure compensé de huit centimètres. Une vraie bombe. Hélas, malgré cela,  j’attirais plus le regard des mâles en quête d’aventure, que celle de mon copain. Mais bon, la soirée n’est pas finie. 

On s’installe en haut des tribunes.  Mon copain est juste derrière moi, entouré de ses copains, et de quelques supporters.

Le match commence. Après quelques minutes, je sens une main me prendre par la taille, puis glisser sous ma courte jupe.

« Tiens, mon copain reviendrait-il à de meilleures intentions ».

Pour ne pas le décevoir, j’écarte légèrement les jambes, afin de facilité le passage. Un doigt écarte ma culotte, court sur ma fente.

« Le salaud, franchement, il est gonflé. On peut nous surprendre à tout moment. »

La caresse devient de plus en plus vicieuse. Un doigt pénètre ma chatte, un autre excite mon clito, le doigte. Je sens le désir monter en moi. Au bout d’un court moment, j’atteins l’orgasme. Autour, personne ne s’est aperçu de rien.

Soudain, on glisse un papier dans ma main. Je le lis à l’abri des regards, et là, stupeur.

Mon copain qui m’invite à le rejoindre à la mi-temps, derrière les vestiaires, pour lui tailler une pipe. Si je suis d’accord, je dois lui remettre le papier, déchiré en deux. Ce que je fais. J’ai hâte d’y être, d’autant que ce petit câlin m’a ouvert l’appétit.

 

Je passe devant les vestiaires, quand une voix m’interpelle. C’est Guy, un des potes de Michel qui était dans les tribunes. Guy est un vrai cavaleur. Avec ses copains, sept ou oui garçons et filles, il écume les clubs libertins de la région. Il a toujours voulu coucher avec moi, mais je suis d’une fidélité à toutes épreuves.

 

-Tiens, salut Guy, ça va. T’as pas vu Michel.

-Non, je suis juste venu me laver les mains. T’as rien à me remettre ?

-Heu…je ne vois pas, non. C’est quoi.

-Un papier déchiré peut être. C’est moi qui ai gratté ta chatte tout à l’heure, mes doigts sont plein de mouille, tu veux gouter.

-Quoi…ne me dis pas que c’est toi qui ma branlée…salaud. Et alors, t’attends quoi ?

-Il faut assumer maintenant. Je ne sais pas si Michel apprécierait de savoir que sa femme s’est fait gratter la chatte par un autre. Après la pipe que tu as taillée à Gérard la semaine dernière.

 

Je suis piégée. Guy s’approche de moi, glisse une main entre mes cuisses.

 

-Hum, mais t’es encore toute mouillée. Allez, passons derrière, tu verras, ce sera vite fait.

 

Je n’ai pas le choix. Soumise, je suis Guy derrière les vestiaires. Il ouvre sa braguette, et sort sa queue. Il super monté, comparé à Michel.

Je m’approche lentement, me met à genoux, prend le calibre en bouche. C’est lui qui entame les premiers va et vient.

 

-Hum…tu suces bien. Gérard avait raison.

 

C’est maintenant moi qui fais le travail. Je me délecte de son gland entièrement décalotté. Je me surprends même une main entre mes cuisses, en train de caresser ma chatte.

Plus ça avance, plus ca me fait envie. Envie d’avoir cette queue dans ma chatte

.

-S’il te plait, baise moi.

-La salope, elle a envie de se faire niquer…tournes toi.

 

Je prends appuie sur un muret, jambes bien écartées. Guy soulève ma jupette, écarte mon string. Il frotte sa bite contre ma chatte, et me pénètre. Il glisse ses mains sous ma chemise, caresse mes seins durcit par le désir.  Les bouts sont dur, tout comme mon clito. Je sens le souffle chaud de Guy dans mon cou, sa respiration saccadée. Il commence à pousser des râles de plaisir, pendant que j’atteins l’orgasme.

Soudain, il se retire, place sa bite à deux centimètres de ma bouche.

 

-Ouvre, dit-il…avale, Gérard m’a dit que tu aimais…

 

De puissantes giclés de sperme déferlent au fond de ma gorge…un vrai tsunami. Gourmande, je suce le gland jusqu’à la dernière goutte. Guy se relève, arrange sa tenue, et s’en va.

 

Le match reprend. Je regagne ma place afin d’y retrouver mon copain. Il me jette un regard glacial. A tous les coups, il se doute de quelque chose.

 

-D’où tu viens, me dit-il sèchement.

-Des toilettes mon amour.

-Je sais tout, dit-il en se levant, je t’ai vu te faire baiser par Guy. Je ne veux plus te voir.

-Mais mon chéri…attend…

 

Trop tard, il s’éloigne sans se retourner.

Je me retrouve seule à réfléchir ou je vais passer la nuit, quand je sens une main sur mon épaule.  C’est Guy.

 

-Qu’est-ce qu’il t’arrive, j’ai l’impression que tu t’es faites larguer.

-Il nous a surpris…mon dieu, que vais-je faire.

-Viens, on sort avec des potes ce soir, ils sont très sympas. Ca te changera les idées.

 

J’accepte la proposition de Guy.

En effet, le soir, nous allons en boite. L’ambiance est assez chaude. Des couples, à moitié nus se frottent, s’embrassent. Les copains de Guy me serrent sur les moelleux coussins, leurs mains glissent sous ma chemise, entre mes cuisses. L’alcool aidant, je me fais un plaisir de les ouvrir, pour que leurs doigts puissent caresser ma chatte. Ils se débarrassent de leurs vêtements. L’un d’entre eu m’oblige à m’empaler sur sa bite. Même si ce n’est pas le calibre de Guy, elle n’en est pas moins intéressante. Ils me baisent, m’enculent chacun leurs tours, me prennent en double, je les suce. J’ai déjà eu trois ou quatre orgasmes.

Les copines de Guy, elles, sont plus vicieuses. Elles m’emmènent sur la piste, et dansent colées derrière moi. Elles enroulent ma jupette autour de ma taille, offrant ma chatte et mon clito à qui veut bien les gratter. Ma culotte a disparue depuis longtemps. Ces salopes ouvrent ma chemise, font jaillir mes seins aux yeux des danseurs,  glisses leurs doigts entre mes cuisses, branlent ma chatte. Je me cambre au rythme  de la musique, n’en fini pas de jouir. Une autre fille, inconnu du groupe, vient me mettre un doigt, en plus des deux qui occupent déjà la place, prélève un peu de mouille, et file vers mon petit trou qu’il pénètre. Quand elles arrêtent de me branler, c’est moi qui fait des va et vient, sur les doigts qui me fouillent. J’entends des gens applaudir.

La fille inconnue, enfonce deux doigts dans ma chatte, et me fait faire le tour de la piste. Soudain, je sens l’orgasme monter en moi, je prends appuie sur ses épaules. Elle a compris.

Elle s’arrête, et tout en me branlant, attend que j’ai fini de jouir, puis reprend sa marche, m’entraine dans un coin obscur, ou l’attende ses copains. Là encore, je me fais baiser, enculer, je suce des bites, avale du foutre épais, je me fais gouiner. La totale

Il est cinq heures du matin, quand Guy me récupère, allongée sur un canapé, jambes écartées. Ma chatte, ma bouche, mon petit trou dégoulinent de sperme.

Il me soulève, me prend dans ses bras, et me couche à l’arrière de la voiture. Il jette une couverture sur mon corps dénudé, et m’emmène chez lui.

Aujourd’hui, je fais parti de sa bande. Je suis devenu le jouet sexuel de Guy et Francesca, sa  vicieuse copine.

Certains soirs, ils m’emmènent sur un parking de la ville. Je suis installée côté passager, entièrement nue, jambes écartées. C’est Francesca qui conduit, Guy est assis sur la banquette arrière. Francesca baisse la vitre de la voiture, donne un coup de klaxon. Des hommes et des femmes, d’un certain âge, s’approchent. Ils glissent leurs mains entre mes cuisses, me caressent la chatte, mon petit trou, les branles. Je me cambre sur les doigts pervers de ces mâles et de ces femelles assoiffés de sexe. Certains, plus souple,  plonge leur corps dans la voiture, jusqu’à ma chatte, excite mon clitoris à coup de langue.

Je suis totalement soumise. Ils rient quand j’atteins l’orgasme. Et des orgasmes, j’en ai à cadence infernale, surtout de la part des femmes, beaucoup plus vicieuses.

 

-Regarde la cette salope, dit une femme, elle se régale.

-T’as raison, répond une autre, sa chatte est toute mouillée.

 

Vers deux heures du matin, Guy et Francesca jugent que la soirée est finie. Comme j’ai été docile, il m’ont promis une récompense. Passer le reste de la nuit dans leur lit.

Certain soir, quand Guy sort tout seul, je passe le plus clair de mon temps au lit, à me faire gouiner par Francesca. On fait l’amour des heures entières. Elle est très vicieuse, perverse. Elle me fait prendre les positions les plus odieuses qu’il soit. Mais j’aime sa façon de jouer avec moi, elle me fait hurler de plaisir. Quand à moi, assez novice dans ce domaine, je suis fière quand je parviens à la faire jouir.

Puis, épuisées malgré une bonne douche, on s’assoupit dans les bras l’une de l’autre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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28-09-2018 0 6056

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