Ma femme est une jolie blonde aux yeux bleus, de taille moyenne, pas tout à fait un mètre soixante dix, pour 55 kilos. Bien faite, elle a de beaux seins bien fermes. Elle est plutôt réservée, mais son fantasme était que son patron, un homme BCBG d'environ dix ans de plus qu'elle, la convoque a son bureau, et, pendant qu'il lui ordonnerait de prendre des notes, passerait sa main sous sa jupe, en l'obligeant à continuer à noter...
Je lui suggérai, le jour où elle me révéla ce fantasme, d'essayer d'inciter son patron à transformer ce fantasme en réalité. Elle parut étonnée de ma demande, mais je lui expliquai que cette situation m'exciterait beaucoup, de l'entendre me raconter ce qu'il lui ferait. La sentant excitée par ce projet, je me mis, à chaque fois que nous faisions l'amour, à lui proposer de penser que son patron la faisait venir à son bureau, pour caresser sa petite chatte. A partir de ce moment, ses orgasmes furent plus forts, et je pris l'habitude de ponctuer le moment ou elle jouissait, de claques assez fortes, sur les fesses, qui augmentaient son plaisir de femme soumise.
Jolie comme elle est, je ne me faisais pas d'illusion. Je savais bien qu'un jour, elle se retrouverait avec la main de son patron dans la culotte.
Et j'avais raison, de ne pas me faire d'illusions, car, quelques jours plus tard, je la croisais en voiture, près de chez nous, et, ouvrant la vitre, me montra sa culotte, en m’annonçant avec un grand sourire.
« C'est mon patron qui me l'a enlevée ».
Je lui demandai de me raconter, mais nous gênions la circulation, et je devais aller à une réunion. Nous convenons alors qu'elle me dirait tout le soir même. Inutile de vous dire combien j'étais excité pendant ma réunion, et je fus de retour aussitôt celle ci terminée...
Je dus attendre que nos enfants soient couchés, pour qu'elle me raconte enfin. Ca s’est passé vers dix sept heures, quand tout le monde avait quitté le bureau. Son patron l'avait appelée, et lui avait demandé de lui apporter un dossier. Debout près de lui, elle lui avait commenté le dossier, et avait senti sa main passer sous sa jupe, remonter jusqu'à ses fesses. Elle n'avait pas bougé, le laissant faire, et, se sentant autorisé à continuer, il lui avait écarté le string, l'avait fouillée, doigtée le clito, puis, n'y tenant plus, l'avait assise sur le bureau. Il lui avait ouvert le chemisier, avait sortis les seins du soutien gorge, les avait embrassée à pleine bouche. Puis, il lui avait remonté la jupe à la taille, l'avait déculottée, avait sorti sa queue, et l'avait prise, sur le bureau, sans capote. Sans s'occuper de lui donner du plaisir, il l'avait pilonnée, profondément, et avait joui en elle, en la traitant de salope. Puis, sortant de sa chatte, il lui avait obligé de nettoyer sa bite avec sa bouche, puis lui dit de se réajuster avant que la femme de ménage arrive.
Mon épouse était alors sortie du bureau, avec le sperme de son patron qui lui dégoulinait entre les cuisses, et, toute fière de son coup, avait pris sa voiture, pour me raconter ses exploits.
Même si je lui faisais remarquer que son goujat de patron avait pris du plaisir, en omettant de la faire jouir elle, je la félicitais chaleureusement. Très excités tous les deux, nous avons fait l’amour une bonne partie de la nuit.
Je lui demandais alors de se laisser faire aussi souvent qu'il la sollicitait, et elle me promit de la faire. Depuis, son patron la prend de temps en temps, toujours sans se préoccuper du plaisir qu'il lui donne. Il jouit en elle, et lui demande de partir aussitôt. De temps en temps, il se fait sucer, et se finit dans sa bouche, mais le plus souvent, il l'enfile, elle sur le dos sur le bureau, les jambes remontées et lui la prend debout. Son abondante semence souille sa jupe ou sa robe, mais cela nous plait assez pour supporter ces petits inconvénients... Ce qui me plait énormément dans ce jeu, c'est qu'elle se soumet aux désirs de son patron.
J'ai alors
eu envie d'aller plus loin, tout en lui demandant de continuer à accepter les
assauts de son patron, je voulais pouvoir assister à ses ébats, ce qui est bien
sur impossible quand elle est à son bureau.
J'ai un vieil ami, beaucoup plus vieux que nous, soixante deux ans, nous en
avons trente huit, partouzeur acharné, et qui me raconte parfois ses exploit.
Je lui demandais récemment s’il aimerait baiser ma femme, qu'il connait un peu. Il me répondit sans hésiter qu’il la trouvait canon, et qu’il adorait son air de petite bourgeoise. Il ajouta qu'il serait très heureux de la baiser devant moi, et de transformer cette petite bourgeoise en petite pute. Ravi par cette perspective, je rentrais à la maison, et, une fois couché, je racontais à ma femme que je venais de montrer à mon ami Pierre, des photos d'elle nue, dans des situations très éloquentes, se faisant prendre tantôt en levrette, tantôt me taillant une pipe.
Je la sentis un peu paniquée par cette révélation, surtout quand j’ai ajoutais que j'avais envie qu'elle se laisse faire si il voulait la baiser, lui aussi.
D abord,
elle refusa en me disant qu’il était trop vieux et qu’il ne lui plaisait pas.
Je répondis alors que j'avais laissé l’album à photos à Pierre, ainsi que son
numéro de téléphone, et qu'il l'appellerait dans les jours à venir, pour lui
dire ce qu'il attendait d'elle pour lui rendre ses photos.
Ma femme était furieuse, et refusa de faire l'amour avec moi ce soir là.
Le lendemain, Pierre m'appela pour me demander si j'avais parlé de lui à ma femme, et je lui racontai. Il rit, et me proposa de se faire inviter à dîner, un de ces soirs. Il ajouta qu'il ferait ses recommandations à ma femme directement.
Nous raccrochâmes en riant, et j'attendis la suite.
Cela ne se fit pas attendre. Le soir même, ma femme me dit que Pierre l'avait appelée, et qu'il venait dîner le lendemain, puisque nos enfants étaient chez leurs grands-parents. Elle était stressée, et me dit qu'il voulait qu'elle le reçoive habillée seulement de bas et d'un porte jarretelles, de chaussures à talons, et d'un haut en voile transparent, sans aucun sous-vêtement, et qu'elle ait le sexe entièrement épilé. Il devait arriver quand elle serait encore seule à la maison, une heure avant mon retour, et qu'elle devrait se comporter avec lui comme une soumise parfaitement obeissante.il voulait qu'elle prépare un dîner fin, et qu'elle nous serve, sans que nous participions en aucune façon au service. Il voulait être traité comme un seigneur. Il avait ajouté qu'elle n'avait de toute façons pas le choix, car les photos qu'il avait, intéresseraient probablement un ou deux de ses collègues avec qui elle travaillait quotidiennement.
Ma femme
semblait furieuse, mais elle ne fit rien pour se soustraire à cette situation.
Le lendemain, elle posa une demi-journée de congé, pour pouvoir préparer le
repas commandé par mon ami, et se rendit chez son esthéticienne qui lui fit une
épilation totale.
Mon ami m'appela le matin pour prendre des nouvelles : je lui racontai la
mauvaise humeur de ma femme, mais aussi qu'elle avait accepté la situation...
il me confirma qu'il serait chez moi vers dix huit heures, et me demanda de ne
pas rentrer avant dix neuf heures, car il voulait que ma femme se laisse prendre
en mains. J'étais si excité que je lui confirmai mon accord sans réserve, et
qu’il avait carte blanche. Il pouvait faire absolument tout ce qu’il vouait avec
ma femme.
Le soir
venu, j'eus beaucoup de mal à attendre dix neuf heures pour rentrer. Je me
garai un peu plus tôt, assez loin de la maison, et m'approchai suffisamment
pour voir la voiture de mon ami, rangée à côté de celle de ma femme.
La nuit était tombée, et j'essayais de m'approcher, mais je ne vis presque
rien. J'aperçus seulement une fois ma femme qui passait dans le couloir de
l'entrée, habillée comme le lui avait demandé mon ami. Ses fesses, ses seins
étaient parfaitement visibles au travers de son haut en voile noir, et elle
portait un plateau sur lequel elle avait disposé deux verres.
À dix neuf
heures tapantes, j'ouvris la porte doucement, espérant les surprendre. La
vision de ma femme, à quatre pattes, devant mon ami, qui contemplait son cul, ses
fesses écartées, tout en me faisant signe d'approcher, suffit à me faire bander
immédiatement comme un âne !
Pierre me sourit, et, tout en enfonçant un ou deux doigts dans la chatte de ma
femme, me souhaita la bienvenue chez moi. Il me déclara que ma femme était une
hôtesse délicieuse, qu'elle lui avait fait couler un bain chaud, puis avait
soulagé sa tension en lui faisant une délicieuse fellation, qu'il avait
appréciée au point de permettre à ma femme d'avaler sa précieuse semence, ce
qu'elle avait fait avec application, jusqu’à la dernière goutte. Il attendait
maintenant mon retour, avant de se faire servir un apéritif...
Ma femme se releva, à sa demande, et nous servit un whisky, qu'elle nous
apporta en silence. Ensuite, il me montra la souplesse incroyable de ma femme,
en lui demandant de se couche sur le dos, devant lui. Ma femme prit alors ses jambes
dans ses bras, lui montrant son anus et son sexe épilés, à hauteur de ses yeux.
Amusé, il
lui enfonça un glaçon dans son petit trou, en l'obligeant à rester dans cette
position...
Il était seulement vêtu d'un slip, et l'enleva alors. il prit ma femme par la
main, l'allongea dans un fauteuil, lui releva les jambes en les passant sur ses
épaules, et, après avoir pris un peu de sa cyprine sur son sexe, présenta sa
verge sur l'œillet de ma femme,
soigneusement enduit. Sans effort, il entra en elle, et je vis, pour la
première fois, ma femme se faire sodomiser. Il entrait en elle complètement.
Elle grimaça un peu, puis se détendit, et il commença alors des allées et
venues en elle. Ses seins bougeaient au rythme de ses coups de bélier, et elle
gémissait à chaque fois qu'il s'enfonçait. Pour faire glisser mieux la peau de
sa verge dans l'anus de ma femme, il fit couler un peu de salive. Il crachait
sur ce cul écarté et l'enculait pour la première fois. J'étais aux anges...
Ma femme gardait presque toujours les yeux clos, mais, parfois, les ouvrait, en
poussant des gémissements de plaisir.
Lorsqu'il sentit qu'il allait jouir, Pierre accéléra sa cadence, et traita ma femme de belle salope, tout en lui déchargeant son sperme dans le cul. Elle souriait en le regardant jouir, et semblait prendre du plaisir à le soulager.
Pour un
sexagénaire, il était plutôt performant, Deux éjaculations en demi-heure.
Il sortit du derrière de ma femme, et essuya sa queue sur la chatte toute
lisse. Il lui donna une claque aux fesses, et lui ordonna de nous servir à
manger.
Elle allait aller se rafraichir, quand il la rappela en lui disant
"Si je veux que tu ailles te laver, je te le dirai. Pour le moment, je veux que tu restes comme ça... pas d'initiative, ma petite salope, tu fais ce que je te demande. Compris ?"
Elle était un peu vexée, et le prit de haut.
"Je
veux bien jouer les salopes, mais il y a des limites…je ne vais quand même pas
demander l'autorisation pour aller aux toilettes. »
Mon ami lui prit alors le bras, et l'attira contre lui. Je ne m’y attendais
pas. A la force du poignet, il la força à s’allonger sur ses genoux, jambes ouvertes. Il lui asséna alors, une très
forte fessée, qui la fit crier. Après une quinzaine de claques très fortes, qui
lui avaient boursouflé les fesses, elle criait, et voulait qu'il arrête. Il
arrêta alors et lui dit :
« Je
veux que tu me demandes la permission pour tout, et tu m'appelles maître, pour
me parler. Tu as compris ?".
« Oui, répondit ma femme immédiatement."
Une autre claque lui rappela qu'elle devait dire "Maître"...
"Oui, Maître" dit elle entre deux sanglots.
Pierre
caressa alors les fesses rougies, et enfila deux doigts dans sa chatte. Il me
montra la cyprine qui s'était déposée sur ses doigts, et d'un clin d'œil, me
fit comprendre que ma femme était excitée d'être traitée avec brutalité par un
homme dominateur...
A partir de ce moment, Pierre se fit servir, attrapa ma femme par les cheveux
pour l'embrasser ou se faire sucer. Il la prit sur ses genoux pour lui caresser
les seins, pour lui rouler des pelles, lui doigter le clito ou le petit trou...
Après le dîner, il ordonna à ma femme de débarrasser la table et de ranger la
cuisine, puis il lui ordonna de sortir la poubelle dans la tenue ou elle était.
Nous habitons dans une impasse, et je n'étais pas inquiet qu'elle soit vue par
les voisins, couchés à cette heure ci.
Mais cela me plaisait que Pierre la traite ainsi, et la fasse sortir de la maison,
de son cocon protecteur. Il me dit à l'oreille « qu'il sortait la
chienne... »
Il l'accompagna, et me fit signe de regarder par la fenêtre. Elle marchait, les fesses nues, à la lueur du réverbère. Pierre l’accompagné, un doigt profondément enfoncé dans le petit trou. Sous le halo de lumière, je la votais tortiller du cul. Il l’obligeait à se pencher, dévoilant entièrement sa croupe. Je n'en revenais pas. Il lui faisait faire ce qu’il voulait. Il lui branlait la chatte, doigtait son petit bouton.
Puis il me fit signe d’ouvrir la fenêtre, quand elle atteignit l’orgasme, pour que je l’entende crier de plaisir. Pierre, ravi, souriait.
Moi, j'étais
stupéfait, et je bandais comme un salaud... je n'avais pas joui de la soirée,
me tenant un peu à l'écart de mon ami, et de ma femme, ne manquant rien du
spectacle...
Quand elle eut fini son interminable orgasme, je la vis s'essuyer la chatte, et
alors que je pensais qu'ils allaient rentrer, je les vis partir, s'éloignant
vers l'entrée de l'impasse.
Je sortis à
mon tour de la maison, pour continuer à regarder. Ma femme avançait, retroussée
jusqu'à la taille. Ses fesses nues faisaient une tache claire dans la nuit. Il
faisait frais. Mon ami la tenait par la main. Au loin, on apercevait d'autres
réverbères, devant d'autres maisons. Pas de voitures.
Mon ami s'arrêta, et me fit signe de les rejoindre. Ma femme avançait seule,
devant nous.
"Tu as une salope parfaite", me dit Pierre, j’en fais ce que je veux.
Tu me la prêtes pour la nuit ? Je voudrais la ramener chez moi, dans cette
tenue, et demain matin je te la fais déposer devant la porte. Je branche la
webcam, et on se connecte sur Skype. Tu vois tout, mais elle ne le sait pas. Je
voudrais la baiser encore une fois ou deux, et si je peux, j'appelle un ami,
qui bosse avec moi, et qui la connait par son boulot, pour qu'il vienne prendre
le petit déjeuner avec nous. Je pense que s’il la voit dans cette tenue, elle
ne pourra rien lui refuser. S’il est dispo, je la lui fais baiser, et c'est lui
qui la ramènera demain matin. Qu’en penses-tu ?"
Je lui donnais immédiatement mon accord. Pierre rappela ma femme, qui revint
vers nous et il lui apprit la suite du programme.
"Je t'amène à la maison. Ton mari te prête pour la nuit. Pas besoin de prendre tes affaires, tu restes comme ça. Demain matin tu auras le temps de venir te préparer avant d'aller au bureau. Embrasse ton mari, et va m'attendre à près de la voiture".
Ma femme me
tendit ses lèvres, et en lui malaxant les seins, je lui dis que j’étais fier d’elle,
et d'être bien obéissante. Elle acquiesça sans un mot, puis s'éloigna vers la
voiture de Pierre.
Je demandai à Pierre de ne pas oublier de brancher Skype, et lui souhaitai
bonne nuit. Je lui déclarai que j'allais me branler en les regardant...
Pierre me demanda si j'acceptais que son collègue la baise aussi sans capote. Il me précisa qu'il est clean.
"Au contraire,
lui dis-je, ça m'excite de la voir pleine de foutre"...
Avant de retourner près de ma femme, Pierre appela son collègue sur son
portable.
"Tu es
seul ? Ça te dirait de baiser Muriel, tu sais la secrétaire de Gil ? Oui,
elle est complètement soumise. Son mari me la prête. Mais je te préviens, on
branche la webcam pour qu'il mate. Elle n'est pas prévenue que tu seras là. Ça
va lui faire une surprise ! Tu vas voir, elle est épilée, un vrai petit lot !
Va chez moi, et attends nous, on sera là dans une demi-heure. Branche la webcam,
et allume les lumières de l'appart. Tu vas voir, elle est quasiment à poils...
quand l'appart est prêt, attends nous dans le parking sous-terrain. Cache toi,
elle ne saura pas où se mettre quand elle va te reconnaître."
J'étais super excité, et un peu inquiet à l'idée de mettre ma femme dans cette
situation... mais surtout super excité !
Je dus attendre plus d'une demi-heure, pour les voir arriver, par la webcam,
dans la chambre de Pierre. Ma femme était complètement nue maintenant, et je
vis un inconnu lui bouffer la chatte pendant que Pierre se faisait sucer. Elle
fermait les yeux, mais son bassin ondulait et ses fesses se crispaient. Puis,
l'inconnu quitta le sexe de ma femme, pour à son tour, donner sa queue à sucer
à ma femme. Pierre installa ma femme en levrette, et entreprit de la baiser
pendant qu'elle s'appliquait sur la queue de l'autre.
Je pense qu'ils jouirent ensemble, car je les vis se crisper, et s'immobiliser,
l'un dans la bouche de Muriel, l'autre dans son chatte. Elle hurlait de
plaisir.
Du sperme s'écoulait maintenant de sa bouche.
Je vis Pierre s'allonger, il semblait fatigué, et s'apprêtait à dormir, laissant ma
femme rassasier son ami. Lui, n'avait joui qu'une fois, et semblait prêt à d'autres exploits. Il n'avait pas quitté la bouche de ma femme, et s’y branlait avec force, lui maintenant la tête pour qu’elle puisse tout avaler.
J'ai joui
enfin, à longs jets, en la regardant subir une gorge profonde, loin de moi.
Pierre s'endormait, et son collègue s'amusa à amener le visage de ma femme sur
la queue de mon ami, enfin ramollie.
Muriel était à quatre pattes, en train de lécher les couilles de Pierre,
toujours assoupit. Grace à la caméra
bien placée, sa croupe, bien cambrée était au premier plan. L’inconnu lui
claquait les fesses, la tripotait, la doigtait. Elle subissait tout.
Je vis encore l'inconnu la sodomiser, après lui avoir enduit le cul de pommade.
Probablement de la vaseline. Il s'enfonça en elle jusqu'aux couilles, et
défonça ma femme avec entrain. Il jouit encore en elle.
Je m'endormis probablement à peu près en même temps qu'eux, et fus réveillé par ma femme, qui rentrait à la maison, toujours dans la même tenue, accompagnée par le collègue de mon ami, qui voulut faire ma connaissance, et me déclara qu'ils étaient convenus, Pierre et lui, de voir Muriel une à deux fois par semaine, si j'étais d'accord.
Je lui donnais mon accord, et sentais Muriel se réjouir de cet accord. Elle demanda ce qu'elle ferait quand elle aurait ses règles.
"Tu
nous donneras ta bouche, et ton cul" lui répondit son nouvel
amant..."en attendant, va prendre une douche, et habille toi, je t'amène
au boulot. Ne mets pas de culotte, c'est inutile. Et rappelle toi, si tu
désobéis, je te grille à ton boulot"
Ma femme lui répondit qu’elle avait compris.
Pierre me rappela dans la journée, pour me demander ce que j'avais pensé de la
soirée. Je lui confirmais que j'étais super content, et que ma femme était à sa
disposition, quand et où il voulait.
C’était la nuit dernière... je suis certain qu'il y en aura d'autres. Et je
l'espère. Ma femme est au bureau en ce moment. Je ne sais pas si son patron va
passer sa main sous sa jupe, mais, s’il le fait, il aura la surprise de la trouver
le cul nu...
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