Au début, elle m´a déclaré simplement qu´elle prtéférait coucher avec des hommes murs. "Je suis restée vierge jusqu´à 18 ans. Bien sûr j´ai flirté, je me suis laissée caresser et j´ai caressé aussi avec des copains de classe, mais ilsm´ont laissée tomber dès quy´ils ont vu que je ne voulais pas aller su-delà. Et puis je me suis décidée quand l´envie a été trop forte, et je l´ai fait avec mon moniteur de sport. Il m´a bien préparée et s´est ému de ma viginité. Et puis comme il était stérilisé, on n´avait pas besoin de prendre des précautions. On a tout fait"
Comme elle me l´a raconté, son expérience sexuelle s´est chargée d´amour et puis de désespoir quand il l´a laissée tombée. Elle m´a tout raconté en détail, et il y avait dans ses confessions une bonne dose de provocation, d´impudeur. La même impudeur avec laquelle elle se déculottait, Et d´autre part, elle jouait de lapureté viginale de son visage aux traits réguliers, son teint diaphane. À l´époque où j´ai commencé à la baiser, elle ne faisait pas mystère de ses aventures. Elle habitait à la Cité Universitaire, et la liberté sexuelle y est assez débridée. Il y a les fêtes de week-end, les parties où l´on boit bien et baise pareillement. Des soirées pyjama et chemise de nuit avec rien dessous. Elle m´a confié qu´elle avait baisé parfois avec plusieurs, l´unaprès l´autre. Je n´étais pas amoureux d´elle mais un peu jaloux tout de même, sans raison véritable.Et cette jalousie, je dois l´avouer, mettait du piquant dans nos rapports. J´imaginais, quaand elle glissait ma queue entre ses lèvres fines, à tous les jeunes mâles qui giclaient dans sa bouche, cette chatte qui exigeait beaucoup de caresse pour s´ouvrir largement. Elle me montrait ce qu´elle faisait avec les autres, ses positions, ses exigences. La jeune fille d´apparence chaste,réservée aux longs cheveux blonds, très minces, aux seins minuscules était en même temps la furie qui s´agitait comme une folle sous l´impact de ma queue et quin hurlait au moment de l´orgasme. Je suis sûr que les hommes demon äge appréciaient bien mieux ce mélange d´impudeur et de virginité, classique aufond, la vierge et la pute.Mais elle va encore plus loin. Elle s´est consolée après sa rupture avec un ami de son ex, un homme marié. Il l´avait carrément installée dans un studio, lui rendait visite de temps en temps lors d´un voyage d´affaires. "Il est généreux" me dit-elle avec un sourire narquois".J´ai dû tout accepter. Elle avait rompu avec le milieu étudiant mais était à sa disposition sur une coup de fil. Jalousie encore qui troublait un amour grandissant. Quant à lui, homme marié, il était indifférent à la vertu de ma jolie amante. Tout ce qu´il demandait, c´était qu´elle observe une hygiène du sexe. La pute donc, pourquoi ne pas le dire, une fille entretenue. Mais en même termps cette sihouhette fine, cette poitrine de gamine, ce visage respirant l´innocence.
Entretemps un événement est intervenu qui m´a fait flipper.
Je suis allé frapper à sa porte un matin assez tard. Quand elle m´a ouvert elle était nue. Elle a eu l´air gêné: "oui, Michel est passé en coup de vent cette nuit. Je l´ai pressée contre moi, je l´embrasse et en même temps je glisse ma main entre ses fesses. Trempée, ma chérie était trempée encore chaude, la chatte distendue.Je bandais comme un fou, et il n´a pas fallu longtemps pour que je déshabille et que glisse ma verge dans la fente. Normalement, elle a besoin de préparation ,mais lá elle est venue en même temps que moi.
Je l´aime, je suis jaloux et ma jalousie me rend fou de désir. Est-ce de la perversité? Tout, dans nos rapports, est pervers, son petit jeu de vierge timide qui se déculotte sans facon quand elle a bu un coup de trop ou qu´un mec l´attire. La baise comme une hygiène sexuelle, naturelle. La jeune pute qui se fait entretenir. "Tu sais, a-t-elle dit une fois, j´ai plusieurs copines qui font la même chose.
Nous avons choisi d´épicer nos rapports, et de refaire l´expérience. Je passe chez elle dès qu´il est parti et nous baisons comme des fous. Depuis son premier amant avec qui elle a passé presque deux ans et qui la baisait à peu près tous les jours, depuis les petits copains de la Cité auxquells elle offrait sa chatte, combien de fois a-t-elle recu une giclée desperme? Et combien dans la bouche? La pensée de la regarder baisée par un autre ou plusieurs, la pensée de participer à un jeu collectif me hantait. Je nourrissais déjà ces fantasmes quand elle écartait les cuisses et m´offrait une chatte gluante d´un autre. Je lui en ai parlé. Pour elle, m´a-t-elle dit, ce n´était pas nouveau, elle avait essayé avec plusieurs à la cité universitaire.
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