Je me présente, je m’appelle Cécilia, jeune avocate de vingt neuf ans, au barreau de Paris, D’après mes amis et confrères de travail, je suis plutôt jolie, Norbert, mon époux de vingt ans mon aîné, est en permanence en déplacement, Aussi, je sui très souvent seule, mais surtout en manque de sexe,
Un soir, lors d’un séminaire, je rencontre une jeune avocate, super canon, célibataire, qui comme moi, est délaissée par son époux, Elle m’avoue que quelques fois, elle se rend à un club de rencontre, pour passer du bon temps, et bien se le faire mettre, De fil en aiguille, un soir elle me propose de l’accompagner. Le rendez-vous est pris un vendredi soir.
Elle me conseille une tenue vestimentaire des plus sexy, Courte jupe, petit haut, escarpins, Tout pour attirer le mâle assoiffé de sexe,
Il est clair qu’elle connaît l’endroit. Des femmes et des hommes la prennent par la taille, l’embrassent.
Soudain je sens un bras me prendre par la taille, Je me retourne, est tombe nez à nez avec une jeune maghrébin, très beau, Celui-ci me sourit, m’entraîne vers un épais canapé. Il me prend par le cou, me tire à lui, et me donne un tendre baiser. Calmement, il promène ses mains sur mon corps, caressent mes seins, vont plus bas, entre mes cuisses, Je veux le repousser, mes me ravise vite, Je suis venu pour connaître d’autres sensations, et malgré ma situation d’avocate, je prend sur moi.
Les mains sont douces sur mes cuisses, Elles remontent, écartent mon string, et caresse ma fente déjà humide par l’excitation, Je pousse un léger gémissement, quand un doigt pénètre ma chatte, Je passe un bras autour de son cou, lui prend les lèvres.
Ca va très vite, Cinq minutes plus tard, nous voila entièrement nus, Ma main branle sa bite que je découvre énorme, pendant que lui fouille ma chatte déjà bien trempée, Je l’enfourche, et m’empale sur sa queue toute décalottée,
J’en suis à mon deuxièmes orgasmes, quand il me propose d’aller prendre un verre au bar, Malgré le faible éclairage, je vois son visage, j’avoue qu’il est assez séduisant,
-Alors, petite salope, on est sorti se faire baiser, C’est la première fois que je me tape une avocate,
-Pardon, dis-je interloqué, on se connaît,
-Je connais surtout vôtre mari, quand il va apprendre que sa charmante épouse se fait baiser dans les clubs de rencontre,
-Quoi, que dites-vous, Vous connaissez mon mari,
-On a eu à faire ensemble, et d’après ce qu’il m’a dit, il est très amoureux de sa femme,,,s’il savait,
-Je vous en prie, dis-je, ne dites rien, combien voulez-vous,
-Je ne veux pas d’argent Madame, mais je connais quelques jeunes délinquants, que vous avez fait condamner il y a peu, Ils aimerait vous rencontrer,
-D’accord,,,mais ou ça ?
-J’ai ma voiture, je peux vous y emmener,
Nous voila parti, La voiture se dirige vers les hauts quartiers de la ville, Elle s’arrête en face un local désaffecté,
Un simple appel de phare, et voila une bande de jeunes beurs qui jaillissent du hangar, Trois garçons et une fille,
Le chauffeur baisse la vitre, et un jeune beur passe une main à l’intérieur de la voiture, entre mes cuisses, Je la repousse vivement, d’autant plus que mon string à disparu dans la soirée,
-Ne résistez pas, dit mon partenaire d’un soir, ils peuvent être très méchant, Je vous conseille de vous laisser faire.
La main remonte entre mes cuisse, un doigt caresse ma chatte, doigte le clitoris, La caresse est loin d’être désagréable. Petit à petit, je me détend, accepte la caresse, Je tend mon bassin vers ces doigts qui me branlent, et me donnent tant de plaisir. Soudain, l’orgasme, je ne peux retenir un cri, ce qui fait rire le groupe, Entre temps, un jeune beur a sorti sa queue, Il m’oblige à la prendre en main, puis s’approche d’avantage, pour que je puisse le sucer, Je n’ai jamais sucé mon mari, mais j’y trouve un réel plaisir, Ce calibre qui se branle dans ma bouche m’excite au plus haut point, Je ne suis même pas surprise, quand le jeune maghrébin vide ses couilles dans ma bouche, J’avale tout, Si mon époux savait ça,,,
Les deux autres beurs, jusque là spectateur, veulent leurs part, Et ils ne sont pas déçus, Je leur donne tous les droits, leurs offre ma chatte, mon petit trou, ma bouche, je suis prise de partout, recouverte de sperme, Ces petits délinquants m’ont fait jouir trois ou quatre fois,
Mais le reste de la nuit est humiliant pour moi, C’est au tour de la jeune arabe de s’occuper de moi, Et je lis l’esprit de vengeance sur son visage,
Elle sort un énorme gode de son sac,
-Tu vas bien t’écarter salope, Mon frère à juré de t’enculer, et tu l’a fait coffrer, et j’ai promis de le faire à sa place.
La jeune maghrébine monte dans la voiture, Elle me met entièrement nue, s’amuse avec moi, Elle me prend dans toute les positions, par tous les orifices...la chatte, le petit trou, la bouche, Elle éclate de rire quand j’atteins l’orgasme, quatre ou cinq fois en rien de temps, Elle finit par me donner une fessée,
-Oh non, s’il vous plaît, ne tapez pas ma petite chatte
-Tu préfère que je te la branle, maintenant qu’elle est bien mouillée.
-Oh oui, suppliais-je, mon petit bouton aussi,,,décalottez le, doigtez le,,,oui,,,comme ça, faites-moi jouir encore,,,,oui,,,je jouis,,,jouis,,,
Cette nuit là, je me suis offerte sans retenu, Ces jeunes beurs m’ont fait jouir comme jamais,
Ils m’ont demandé de passer les voir, Je leur ai promis, que je viendrai avec une surprise,
Un soir, j’ai ramené le petit frère de la jeune beur, Ce salaud m’a obligé de conduire toute nue, pour pouvoir caresser ma petite chatte. Les jambes bien écartées, il est parvenu à me faire jouir, à me faire hurler de plaisir, Lui aussi a pris du plaisir quand je lui ai taillé une pipe,
Il me tarde d’arriver au vendredi, pour empaler ma chatte, mon petit trou sur leurs jeunes mais viriles queues, Leur tailler des pipes, sentir leur semence couler dans ma gorge de salope, est devenu un réel besoin,
Puis, je finis la nuit à me faire gouiner par la seule fille du groupe, qui prend plaisir à s’amuser avec ma petite chatte d’avocate, jusqu’à me faire jouir.
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