Carole, vingt deux ans, plutôt jolie, rentre d’une formation d’une semaine. Elle a hâte de retrouver son petit ami Rémi, qui lui a beaucoup manqué. Le sexe aussi lui a manqué.
Le jeune couple habite un coquet appartement niché sous les toits. Après une bonne douche, ils passent l’après midi au lit, à faire l’amour. Mais Carole reste sur sa faim.
Samedi, les locataires ont décidés d’organiser une fête entre voisins. Bien évidemment, Carole et Rémi tiennent à y participer, ne serait-ce pour faire connaissance, étant installé dans le quartier depuis peu.
Le samedi, une soixantaine de personnes se réunissent sur la place du village. Des jeunes, des moins jeunes. Bref, toutes les tranches d’âges qu’on peut trouver dans un village.
Rémi remarque quand même, que sa copine attire pas mal de regards. Il est vrai aussi, que sa tenue vestimentaire, ne passe pas inaperçu. Un courte jupe à franches, avec un bustier assorti, le tout monté sur des talons de six centimètres. Elle est d’une beauté, à couper le souffle.
Ils s’approchent du bar, fait de tables gracieusement prêtées par la municipalité. Tout comme la sono. Roger, qui fait office de Barman, s’avance.
-Vous prenez quoi, madame heu…
-Carole...un rosé, s’il vous plaît.
-Pareil, répond Rémi.
Ils prennent leur gobelet, et laissent la place. Voilà que le DJ envoie la musique. Carole adore danser, tandis Rémi, ça n’est pas son truc, mais alors, pas du tout. Ceci dit, il n’empêche pas Carole de danser dès qu’un cavalier se présente.
C’est un homme d’une trentaine d’années, qui a les faveurs de la première danse. Une lambada...
Le duo se lance dans une danse effrénée. De suite, un cercle de curieux se forme autour d’eux. Les encouragent en tapant des mains. Les applaudissements fusent de toutes part.
A la fin de la danse, le couple, essoufflé, se dirige vers le bar. Rémi fend la foule, et les rejoint.
-Oh mon chéri, dit Carole, je sens qu’on va bien s’amuser.
-Oui...mais va doucement sur les boissons, quand même. Tu sais que tu fais n’importe quoi quand t’as bu…
En effet, lors d’une soirée chez des amis, Carole avait poussé un peu trop poussé sur l’alcool. Rémi l’avait trouvé dans une voiture, en train de tailler une pipe à un invité. Il l’avait surprise en train d’avaler, et nettoyer le gland de l’heureux élu.
-Vous inquiétez pas, répond l’inconnu, on habite à côté. Et puis...je la surveille.
-C’est gentil, mais je suis son copain. Je peux m’en charger.
Carole ne s’arrête pas. Elle est dans une forme éblouissante. Aussi, les cavaliers se bousculent. C’est à celui qui aura les faveurs de la prochaine danse.
C’est lors d’une série de slows, que le DJ tamise la lumière.
Rémi parvient malgré tout, à suivre Carole du regard.
Son cavalier n’est autre que Roger, le barman. La trentaine, assez séduisant. Il prend Carole par la taille, tandis qu’elle, pose ses mains sur ses épaules. Du classique sur un slow. C’est après Rémi remarque un changement. Une main du bel inconnu s’est faufilée sous la jupe à franges, entre les cuisses de Carole. Celle-ci ne fait rien pour la repousser. Il semble à Rémi, voir le bassin de sa copine onduler légèrement.
L’inconnu serait-il en train de caresser sa petite chatte.
Rémi en a la confirmation, quand Carole étouffe un cri dans le creux de l’épaule de son cavalier.
Carole s’écarte, rouge de honte. Elle se dirige vers les toilettes communales, installées sur la place. Rémi voit un large sourire éclairer le visage de Roger.
Carole revient cinq minutes plus tard.
-Mais ou étais-tu ma chérie.
-Si tu savais mon amour...l’homme avec qui je dansais…
-Oui...alors.
-Ce salaud m’a mis deux doigts dans la chatte, et il m’a branlée. Comme il m’a fait jouir ce vicieux. C’est pour ça que je suis allé aux toilettes, pour essuyer ma petite chatte...elle était toute mouillée…
-Quoi...il a fait ça. Attends, je vais lui casser la gueule à se connard
-Non mon chéri, fait pas ça. On est nouveau dans le quartier, ne nous faisons pas remarquer. Promis, ça ne se reproduira plus. Cette nuit, on fera un gros câlin...tu veux.
Pour cette fois, Rémi passe l’éponge, mais demande à Carole d’être prudente. Il ne veut pas passer pour le cocu du village.
Carole se pend à mon cou, le remercier de sa compréhension.
Soudain, le DJ envoie une farandole. Rapidement, les villageois se prennent par la main, pour former un cercle. Rémi aperçois Carole, placée entre deux jeunes maghrébins.
Et c’est parti.
A chaque tour, Carole envoie un large sourire à Rémi, ou encore un baiser. Le tour d’après, Rémi décèle un truc étrange, et ce malgré le faible éclairage. Il s’aperçoit que le maghrébin, placé derrière, à glisser une main entre les cuisse de Carole.
Le tour suivant, le jeune beur lui jette un truc au visage. Il s’agit de la culotte de la culotte de sa copine. Rémi en déduit que la petite chatte de Carole est à l’air, accessible à tous.
Rémi attends le prochain tour, pour tout arrêter. Sauf que, le
dernier tour, Carole et un des jeunes beur a disparu.
Rémi part à leur recherche.
Il fait le tour du parking, en vain. Il les trouve dans une ruelle adjacente à la place. Le jeune maghrébin est appuyé contre le mur, son bermuda à ses chevilles. Carole, à genoux, est en train de lui tailler une pipe.
-Oh putain...comme tu suces toi.
-C’est vrai...ta queue est tellement belle...t’aimes ce que je te fais...te retiens pas. Je peux tout avaler tu sais.
-Oh oui...salope, je jouis…han...han...
Rémi voit le jeune beur, se vider les couilles dans la bouche de la jeune femme, qui comme promis, avale tout.
Après s’être bien vider les couilles, le maghrébin relève Carole, la fait mettre dos à lui. Il passe ses mains sous le bustier, caresse les seins dépourvus de soutien gorge.
-Déshabilles toi, lui dit-il. J’ai envie de te baiser.
-Sérieux...hum...il me tarde d’avoir ta grosse bite dans ma petite chatte.
Carole s’appuie contre le mur, cambre sa croupe pour mieux s’offrir. Le jeune maghrébin s’approche, la queue à la main, et pénètre la chatte ainsi offerte. Rémi assiste, impuissant, à la saillie de sa copine. Il voit la bite aller et venir, lui arrachant des gémissements de plaisir. Soudain, elle atteint l’orgasme dans un cri de plaisir. Ils se donnent un torride baiser.
-Je m’appelle Djamel, dit le jeune rebeu.
-Moi, c’est Carole.
-On peut de revoir dans la soirée, j’aimerais te présenter Samir, un pote à moi.
-Je sais pas, répond Carole...mon copain doit ma chercher.
Rémi se cache dans un recoin, quand Carole regagne la place. Son copain arrive juste derrière elle.
-Mais ou étais-tu, dit-elle, je te cherche de partout..
-Ah bon...tu me cherchais. Tu me prends pou un...
-On va danser, coupe-t-elle…
Malgré son piètre talent, Rémi accepte. Il se colle à sa copine. Elle doit sentir son excitation, à travers son pantalon. Elle insiste, se frotte contre lui, comme si elle avait quelque chose à se faire pardonner.
Des habitants du quartier voisin ont rejoint la place.
Un groupe arrache littéralement Carole des bras de Rémi, et l’entraîne dans la foule.
Pour la trouver, ça va pas être simple, avec tout ce monde.
Il commence à se faire tard, et malgré ses recherches, on lit la déception sur le visage de Rémi.
C’est à ce moment que, levant la tête, il aperçoit de la lumière, à la fenêtre de son appart. A tout les coups, elle m’attend à la chambre se dit-il.
Il monte les escaliers quatre à quatre, arrive dans le salon.
Soudain, il entend des bruits provenant de la chambre. Il s’avance sans bruit, et découvre un spectacle hallucinant.
Carole est empalé sur l’énorme bite de Djamel, tandis que Samir pénètre le petit trou. Rémi assiste à la double pénétration de sa copine. Un qui lui baise la chatte, l’autre qui l’encule.
-Oh putain...que c’est bon de se faire enculer…
-Et ma queue dans ta chatte...tu la sens…
-Comment ne pas la sentir...elle est tellement grosse…
-Ouah, dit Samir, elle est bonne la meuf...on va bien la remplir.
-T’as raison...on va bien la baiser...hein que tu en veux encore.
-Oh oui j’en veux...baisez moi, enculez moi, videz vos grosse couilles dans ma bouche...oh oui...oui...je jouis...ah...ah…
Rémi, les bras ballants, s’appuie à la cloison, en larmes.
Il entend sa copine hurler de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Et ils sont nombreux.
Il va s’asseoir au salon, attends que tout ça se termine. Deux heures plus tard, il voit les deux jeunes beur quitter l’appart.
-Oh putain, quelle chaudasse la meuf...ouah. Elle en voulait encore la salope.
-T’as raison...son mec doit pas assez lui donner. Je lui ai filé mon adresse. Elle doit passer dans la semaine. Je t’appelle.
Rémi a mal...très mal.
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