Cette histoire, même romancée, est tirée de fait réel. Elle a commencé lejour ou j’ai décidé de partager ma femme, avec mon meilleur copain. En voici le récit.Souvent, le samedi, Gérard venait passer la soirée à la maison. L’après-midi, on profitait de la piscine, puis il restait à l’apéro, et à dîner.Gérard est le seul vrai copain, que j’ai eu. Toujours là pour aider quand on a construit nôtre maison, toujours une petite attention pour les gosses. Même quand j’étais à court, financièrement. C’est pour ça, que pour les nombreux services rendus, un jour j’ai déci-dé de partager mon épouse Francine. Avec son accord, bien sur. Dans cette relation, je tenais que ce soit lui qui en profite le plus. C’est pourquoi, de temps en temps, je me mettais à l’écart, et les laissais faire. Ce sont des moments inoubliables.Les ébats commençaient souvent l’après- midi, dans la piscine. Mon épouse jouait à « attrapait moi si vous pouvait ». On arrivait sur elle, hop,elle se dérobait. Il n’était pas rare que Gérard parvienne à la coincer dans un angle, contre les margelles. Il passait une main sous l’eau, la glissait dans son maillot. Elle se cambrait quand il glissait deux doigts dans sa petite chatte. Elle se pendait à son cou, en gémissant de plaisir.Quand le nuit commençait à tomber, on se mettait entièrement nus. On chopait Francine, la plaquait contre la paroi. On était tous les trois enlacés. Elle nous embrassait chacun nôtre tour, enroulait sa langue autour de la nôtre. De temps en temps, Gérard glissait une main entre mes cuisses, s’amusait à faire rouler mes petites couilles entre ses doigts, il décalottait mon sifflet, tout en caressant la chatte de Francine. Francine commençait à se prendre au jeu. Sous l’eau, elle saisissait nos queues, surtout le manche de Gérard, qu’elle branlait vigoureusement. Elle s’amusait à soupeser nos couilles, à les comparer. Elle savait qu’il n’y avait pas photo. Les couilles de Gérard étant presque deux fois plus grosses que les miennes. D’une main, elle branlait la bite de Gérard, de l’autre main, elle lui grattait les couilles. Quand je lui demandais ce qu’elle faisait, elle me regardait en souriant, d’un air de dire.
« Mon chéri, si tu voyais la paire de couilles que je tiens entre mes mains, comparés à tes petits œufs.»Je n’étais pas jaloux, je savais très bien que Gérard était mieux monté que moi. Je m’en apercevais quand on se trouvait nus tous les deux.Après cette baignade érotique, ou Francine avait joui plusieurs fois, on se dirigeait vers l’échelle. Gérard passait en premier, s’asseyait sur la dernière marche. Francine le suivait, posait un pied sur la marche en dessous. Sa bouche se trouvait face à la queue en érection de Gérard. Francine s’approchait, la décalotté avec ses lèvres, et la prenait en bouche. Calmement, elle commençait à lui tailler une pipe. Moi, placé au pied de l’échelle, ne restais pas inactif. Je glissais deux doigts dans la chatte de ma femme, et commençait à le branler. Comme elle bougeait son cul, la salope. Puis, on inversait les rôles. C’est moi qui passais sur la plus haute marche, et Gérard prenait ma place. Lentement, il prenait Francine par les hanches, la faisait glissait dans l’eau, jusqu’à sa petite chatte s’empale sur son gros calibre de chair. A chaque descente, Francine gémissait de plaisir.-Ah...t’es bien amarrée là, sur la grosse quille à Gérard...t’aimes ça... T’aimes sentir ma queue dans ta petite chatte, hein?-Comment ne pas aimer une grosse queue qui vous fait tant de bien...et en plus...tu me fais jouir enfoiré...oh oui...je jouis...t’arrêtes pas, défonce moi la chatte...oui...Michel...si tu savais comme il me baise...Vous savez quoi, je languis d’être au lit ce soir, à me faire baiser toute la nuit...tu vas rester Gérard...dis oui, j’ai trop besoin de ta grosse bite...Bien souvent, les ébats se poursuivaient sur la pelouse, ou là encore, Francine prenait un réel plaisir à se faire chatter et à sucer nos queues.Elle n’hésitait pas à nous saisir la queue, si on faisait mine de partir.Pendant que je la prenait en levrette, Gérard se faisait tailler une pipe. Elle se régalait de tout avaler.-Bandes d’enfoirés, vous savait que je me régale quand vous me baisait. Vous abusez de moi. Vous aimez m’entendre crier quand je jouis...Le soir, après le dîner, on s’installait devant la télé. Francine se plaçait toujours entre nous. Je voyais bien du coin de l’œil, Gérard lui caresser la cuisse, parfois plus haut, quand on avait une couverture sur les ge-noux. Mon épouse laissait faire, je l’imaginais écarter légèrement ses cuisses, quand il approchais de sa petite chatte. Il m’arrivait de passer une main sur ses épaules ma femme, de lui caresser un sein. Puis, elle trouvait l’excuse d’aller se rincer à la salle de bains. On savait qu’après, elle allait au lit, et nous attendre. Pendant ce temps, Gérard me caresser, faisait rouler mes petites couilles entre ses doigts, décalottait mon sifflet. Il savait que j’aimais ça ce salaud. Je faisais de même avec sa queue, et ses énormes couilles. Oui, parce que je dois avouer, que Gérard est mieux monté que moi. Du reste, ma femme s’en est vite aperçu, et ne s’est pas gênée pour me le dire.-Putain...la queue, et la paire de couilles qu’il a ce salaud...ouah.Après s’être donné du plaisir sur le canapé, on allait la rejoindre au lit. Elle n’attendait que ça. On se couchait, chacun d’un côté. Petit à petit, ontirait le drap, pour la découvrir. Elle était, entièrement nue. On pouvait commencer à s’amuser avec elle. A peine découverte, que déjà Gérard s’occuper de sa petite chatte. Il la faisait mouiller très vite, ce vilain. Elle se régalait, commençait à gémir. Il l’achevait, quand il se penchait entre ses cuisses, et se mettait à lui bouf-fer la chatte. Francine me disait tout à l’oreille.-Oh...que c’est bon ce qu’il me fait...comme il me lèche bien la chatte, comme il suce mon petit bouton...-Dis le lui que tu aimes ce qu’il te fait. -Vas-y salaud... passe bien ta langue dans ma petite chatte...suce mon clito, oh oui...oui...tu vas me faire jouir...Il savait ce que ma femme aimait. Il lui décalottait son petit bouton, l’atta-quait à coup de langue, pendant que ses doigts branlait se chatte. Elle se cambrait, se tordait dans le lit, en hurlant de plaisir.Il savait ce qu’elle aimait, et il en profitait ce salaud. Il prenait un réel plai-sir à la faire crier quand elle jouissait.-T’aimes ça polissonne, lui disait-il, t’aimes ce que fait à ta petite chatte. Elle est toute mouillée. Tu veux que j’arrête...-Oh non, s’il te plaît, manges la encore...tu sais si bien le faire toi.-Faut en laisser pour le Michel...c’est ton mari quand même.-Non...il en aura plus tard...c’est ta langue que je veux...après, je vais te tailler une bonne pipe...puis tu me baiseras.Francine avait une grosse envie de sexe. Avec Gérard, on s’y mettait à deux pour la satisfaire. Elle en voulait toujours plus. Faut dire que Gérardsavait ce qu’elle aimait. Il lui doigtait son clitoris, tandis qu’elle prenait sa grosse queue en main, la décalottait, commençait à la branler.Francine me murmurait à l’oreille, me disait ce qu’il lui faisait.La façon qu’il avait de caresser sa petite chatte, sucer son petit bouton. Comme il la faisait crier quand elle jouissait.Je lui disais « tu veux que je lui dise d’arrêter» . Surtout pas, me répondait-elle, c’est tellement bon, ce qu’il me fait. Tu asvu ce qu’il fait à ma chatte...oh mon dieu...Inlassablement, les doigts de Gérard doigte le clito, branle la chatte. Sa langue procure un plaisir intense à Francine, qui n’en finissait pas de jouir. Gérard est très vicieux. De temps en temps, il glisse une main entre mes jambes, caresse mes petites couilles, décalotte mon sifflet. Cesalaud, il sait que je me régale. Il s’amuse avec la femme et le mari.Francine ne se doute de rien. Si elle savait comme je suis bien quand il décalotte mon fifre. De son majeur, il doigte mon petit gland, et du ma-jeur de l’autre main, doigte le petit bouton de ma femme.Au cours de la nuit, je trouve une excuse pour les laisser seul un mo-ment, pour qu’ils puissent s’amuser que tous les deux. Et ils en profitent.Francine est allongée sur le lit, jambes écartées, Gérard est à genoux près d’elle. Avec deux doigts, il décalotte le clitoris, et le doigte avec le majeur. Francine se tord comme un ver, s’accroche au drap.-C’est bon de se faire doigter le petit bouton, dit Gérard, tu te régales. -Si tu savais...mon chéri, tu vas me faire jouir...oh oui, t’arrêtes pas...je jouis...salaud, tu as pas honte de faire ça à ta meilleure copine...Ma femme hurle de plaisir quand elle atteint l’orgasme.Puis Gérard, s’allonge auprès d’elle, l’embrasse.Ils s’enlacent, il la caresse. C’est elle qui le supplie de la baiser. Il la fait mettre à quatre pattes, se place derrière elle, et la baise en levrette. Elle pousse un petit gémissement quand sa grosse queue la pénètre. Hum...c’est bon...A chaque coups de queues qu’il lui met, il lui arrache un cri de plaisir. Elle se cambre pour mieux se faire baiser.-Tu l’as sens bien ma grosse queue dans ta chatte, hein?-Oh oui je la sens...elle est tellement bonne.-Celle du Michel est plus petite...il te baise pas comme ça...-T’es un salaud de dire ça...lui aussi il me baise bien...même si sa queue est plus petite que la tienne. Oh putain...tu me fais jouir...oui...je jouis.Pourquoi tu passes pas me voir un soir de la semaine. Michel travaille denuit. On pourrait s’amuser toute la nuit tout les deux. Tu pourras me bai-ser, m’enculer. Je te taillerai même des pipes, et j’avalerais tout. -Non, même si c’est très alléchant. J’ai fait une promesse au Michel, de ne rien faire sans lui. Il me prête sa femme, je ne veux pas le trahir.-Tu as raison, puis je vous aime tellement tout les deux, ce serait con de tout gâcher. En plus, vous m’apporter tellement de plaisir...surtout toi. Tu sais ce que j’aimerais tu me fasses.-Non, mais tu vas me le dire.-J’aimerais que tu mange mon petit bouton, et que tu me baises en-core...-OK, en levrette? Tournes toi.Placé à l’angle de la porte, j’entends tout. Je suis très heureux de voir mon meilleur copain baiser ma femme, et lui donner tant de plaisir. Il n’arrêtes pas de la faire jouir. Et encore une fois, je sens l’orgasme ap-procher. Gérard se met à gémir de plus en plus fort.Et ce qui devait arriver, arriva. Gérard s’est copieusement vider les couilles dans la bouche de Francine, qui a pris un réel plaisir à tout ava-ler, jusqu’à nettoyer le gland avec sa langue, jusqu’à la dernière goutte. Au fil des week-end, Gérard est devenu la drogue de Francine. Elle ne peut plus se passer de lui. Elle avait de plus en plus envie de lui. A tel point que, si pour une raison ou une autre, il ne venait pas, elle était très déçue. A tel point, qu’elle me demandait de l’appeler. Mais à l’époque, nous n’avions pas de portable, c’était pas simple. Et s’il ne venait pas, c’est moi qui en profitais.Le dimanche après-midi, Francine la passe chez sa mère. Nous en profi-tons, Gérard et moi, pour nous retrouver à la villa. On s’assoit sur le ca-napé, entièrement nus. On se caresse, Gérard veut jouer avec moi, comme il s’est amusé avec ma femme cette nuit. Il m’attrape par les hanches, et m’assoit sur ses genoux. Il passe un bras autour de mon ventre, et saisit mes petites couilles, qu’il fait rouler entre ses doigts. Il décalotte mon petit zob, le branle juste avec deux doigts, jusqu’à ce qu’ille fasse pleurer. Comme j’aimais quand il s’amusait avec mon petit oi-seau. Il me paralysait quand il grattait mon bout bien décalotté. Il se ré-galait de m’entendre crier, quand il me faisait cracher. S’il savait comme je l’aime. Je peux plus me passer de lui. Il est adorable. Merci pour tout mon chéri.Le samedi, il fait jouir la femme, et le dimanche, il fait jouir le mari. Il arri-vait à Francine de vouloir rester certain dimanche. Mais je l’envoyais voirsa mère, pour être seul avec celui qui était mon amant à présent. Elle n’avait d’autre choix, que d’attendre le week-end prochain. Elle avait de plus en plus envie de lui, envie qu’il lui mange la chatte, qu’il la baise. C’est le deuxième amour de sa vie...On voudrait que cette relation, ne s’arrête jamais
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