Jenny et moi étions à peu près comme n'importe quel autre couple de jeunes mariés. Au cours de la première année de mariage, on trouvait de nouvelles façons, et de nouveaux endroits pour baiser, discutant de nos fantasmes les uns avec les autres. Je lui dit que pour moi, je voulais la voir se faire baiser jusqu’à l'orgasme, avec un gros jouet, pendant que sa meilleure amie me sucerait la queue, pendant qu'elle l'asseyait.
Jenny a en retour avoué, que son fantasme était d'être utilisé par plusieurs gars, non pas comme un gang bang, mais en privé, un après l’autre, juste des va-et-vient comme elle l'aimait. Elle ajouta que ce n'était qu'un fantasme, après avoir vu mon regard choqué.
Je n'ai jamais eu l'occasion de me faire chevaucher par sa copine, mais j’avoue que l’envie grandissait en moi. Quant à Jenny l'idée qu'elle avait de se faire baiser par une série de gars, n'a jamais été prise au sérieux et a progressivement été oubliée.
Pour nos cinq ans de mariage, nous avons loué une semaine sur la côté d’Azur. Nice plus précisément.
C'était notre première sortie depuis nôtre lune de miel .
Jenny s'amusait vraiment sur la plage, exhibant son corps toujours sexy dans son maillot de bain deux pièces, spécialement acheté pour les vacances. Elle n'avait que vingt cinq ans, et prenait soin de son superbe corps. Je ne pus m’empêcher de remarquer les regards
admiratifs, que beaucoup de vacanciers lui lançaient, alors qu'elle marchait sur le sable.
Je remarqua un groupe de jeunes étudiants, venus participer à un tournoi de volley, prêtaient une attention particulière aux seins, et à la croupe cambrée de mon épouse.
Jenny était consciente de l’effet qu’elle leur faisait, alors qu’elle se penchait de façon provocante pour ranger son fauteuil, et son sac de plage.
J'étais allé au bar chercher des boissons, et sur le chemin du retour, j'ai remarqué que quelques étudiants avaient engagé la conversation avec Jenny. Ils devaient avoir une vingtaine d’années, et étaient plutôt séduisant.
Ma femme, ils riaient comme s’ils étaient copains, Quand je suis arrivé, ils se sont présentés, et Jenny a expliqué qu'ils l'avaient aidée à ouvrir son fauteuil inclinable. Une explication probable que j'ai eu de peine à croire. Je me suis installé sur le sable, et bu quelques gorgées. Les garçons n'ont fait aucun effort pour partir, alors que Jenny discutait avec eux un certain temps. Je remarquais que leurs yeux parcouraient les courbes de Jenny, et que les insinuations sexuelles faisaient partie de la conversation. Plus surprenant pour moi, était que la plupart provenaient de Jenny, dont les yeux reluquaient leur entre jambe.
Au cours de l'heure qui a suivi, nous avons bu quelques bières, et la conversation s'est déroulée librement. Finalement, deux autres étudiants sont venus se joindre à nous. L’un d’eux dit s’appeler Dean.
Dean se mêla au groupe, racontant ses aventures amoureuses.
Jenny buvait ses paroles sur ses lèvres, le trouvait mignon.
Dean semblait lire dans ses pensés. En garçon bien élevé, il lui apporta une bière. Jenny le foudroya du regard.
Tour à tour, chacun lui servit à boire.
Elle buvait beaucoup plus qu'elle ne l'avait jamais fait, et était bien ivre quand elle s'est retournée et m'a demandé de l'aider à la mener à la chambre, pour changer de maillot.
Elle a dit aux garçons de l’attendre, qu’elle aimerait bien faire une partie d volley avec eux. Dans son état, je m’attendais au pire.
Alors que nous montions dans l'ascenseur, elle s'est jetée sur moi en m'embrassant, et en caressant ma bite à travers mon short.
Elle me dit qu'elle était tellement excitée, qu'elle avait très envie de se faire baiser. Elle n’a pas cessé de jouer avec mon entrejambe, jusqu’à ce que nous atteignions la chambre.
Une fois à l'intérieur, elle l'a laissée tomber son paréo, et m'a poussé sur le lit. Elle a chevauché mon visage, abaissant sa chatte chaude et très humide sur ma bouche, et a commencé à glisser d'avant en arrière, alors qu'elle doigtait son clitoris jusqu'à un orgasme fracassant. Je pouvais.
C'est alors qu'elle m'a rappelé son fantasme.
« S'il te plaît, souffla-t-elle, laisses-moi tous les avoir »
J'ai essayé de la raisonner mais elle était décidée. Je n'avais pas vu me supplier de lui permettre de réaliser son fantasme.
-OK.. ais-je accepté, mais comment veux-tu faire ça ?
-Tu vas envoyer l'un d'eux à la chambre, a-t-elle dit .Je m’occuperai du reste...s'il te plaît, fait vite, n'importe lequel d'entre eux, mais retiens les autres. Je veux me faire baiser par les quatre, et garder Dean pour la nuit.
Mon esprit était en pleine tourmente. Est-ce qu'elle voulait vraiment que je reste avec avec ces gars sur la plage, pendant qu’ils attendaient leur tour. Elle voulait les baiser à tour de rôle, gardant le meilleur pour la fin...Dean.
Avant que les ébats ne commencent, je lui envoyais un SMS, pour lui dire de ne pas oublier,d’actionner le caméscope. Elle du être excitée par cette idée, et me dit qu’elle l’avait placé sur une étagère, pour bien surplomber le lit. Puis, m’envoya un message.
-S'il te plaît, fait venir l'un d'entre eux maintenant… je suis prête.
Le me demandais ce que j'allais dire ou faire, quand elle me rejoindrait au bar de l’hôtel pour le petit déjeuner, après sa nuit torride passée à se faire baiser par cette bande d’étudiants.
Quand je les rejoignit, Ils étaient toujours au même endroit sur la plage. Ils avaient acheté des bières, et semblaient déçus quand ils s’aperçurent, que Jenny n’était pas avec moi. Ils étaient déçu, car elle leur avait promis de faire une partie de volley avec eux. Ils m’ont demandé si elle aller venir.
J’ai pris une longue bouffée d’oxygène, et leur ai dis, que l’un d’eux devait la rejoindre dans la chambre « 204 ».
Ils se sont regardés dans les yeux, et m’ont demandé si je me moquais d’eux. Je leur ai assuré que non, en avalant une gorgée de bière.
-Je peux y allait alors, demanda Dean.
-Non...pas toi, elle tient à finir la nuit avec toi.
-Hors de question, poursuit-il, invoquant qu’elle serait épuisé, quand tout le monde lui aurai défoncé la chatte et son petit trou. Il ne tenait pas, qu’il ne lui reste que la bouche.
Je le rassuré en lui disant qu’il n’avait pas de souci à se faire, que Jenny était capable de tenir toute une nuit, à se faire baiser. Dean finit par accepté. Je tapais sur l’épaule d’un étudiant, et l’envoyait à la chambre.
Pendant que leur petit copain était en train de baiser ma femme, je les vit discuter entre eux, à voix basse. Je ne pouvais vraiment suivre leur discussion, mais d’après leurs gestes, il était évident qu’ils décidaient de l’ordre de passage. Se moquant éperdument de savoir, que ma femme, me faisait cocu.
La relation dura environ, demi-heure. Très peu pour satisfaire l’appétit sexuel de Jenny.
Les deux qui suivirent, ne firent guère mieux. Tous furent unanime, trouvèrent mon épouse d’une beauté à couper le souffle.
Puis vint le tour de Dean…
Bizarrement, je vis la porte de la fenêtre s’ouvrir. Je pensais que Jenny voulait aérer la pièce, après les premiers ébats. Finalement, elle la laissa ouverte. Je compris que c’était pour que je l’entende crier de plaisir, pendant qu’il la baisait. Ce qui fut le cas.
Leur relation, torride, dura jusqu’au petit matin.
Jenny ne se gênait pas pour exprimer ses orgasmes, réclamant à corps et à cris, qu’elle voulait qu’il s’amuse avec elle, qu’elle lui était toute offerte.
-Je suis peut-être jeune, mais tu vas pas être déçu. Tu sens ma queue dans ta chatte.
-Oh oui...comment ne pas la sentir...elle est tellement grosse.
-Tu vas la sentir d’avantage, quand je vais t’enculer, assure-t-il.
Malgré moi, je sentais ma queue, pousser dans mon short. Les étudiants s’en aperçurent, me regardèrent en souriant.
-Que t’arrive-t-il, dit l’un d’eux. Montres nous qu’on rigole.
-Allez, insista un autre.
Vous allez vous moquer de moi, leur dis-je.
Effectivement, ils éclatèrent de rire, en voyant mes mensurations, apparemment en de ça de les leurs, malgré mais dix sept centimètres. L’un d’eux comprenait même, pourquoi ma femme se faisait baiser par des mecs bien montés.
Petit à petit, leurs rires s’estompèrent, et le rouge sur mes joues s’atténua. Voyant ma gêne, un étudiant me mit une tape amicale sur l’épaule.
Les gémissements à l’étage, reprennent de plus belle. Il est clair que Jenny prend énormément de plaisir, à se faire baiser.
Les étudiants me soutiennent à chaque orgasmes. Et ils sont nombreux.
Malgré son âge, Dean s’avère être un amant exceptionnel. Il impose Jenny à se soumettre à tous ses caprices. Et elle se soumettait totalement. Les cris quand elle atteint l’orgasme, en témoignent.
Ils est trois heures du matin, quand Dean nous rejoint sur la plage, le visage épanoui, il prend une bière, et me demande si j’ai des préservatifs.
-Alors, demande un étudiant...racontes
-Oh putain...elle en veut la salope.
-Elle doit être mal baiser, poursuit un autre. Tu y retournes.
-Ben oui, répond Dean, elle m’a suppliée de passer la nuit avec elle. Elle a dit qu’elle adorait ma grosse queue.
Dans la chambre, les gémissements redoublent d’intensité. Dean lui fait dire n’importe quoi à mon sujet, des comparaisons humiliantes. J’en arrive à me demander s’ils n’ont pas raison, en disant que la baisé mal. En tout cas, cette nuit, elle se fait mettre le compte.
Il est six heures du matin, quand Dean quitte le chambre.
Il me croise, alors que je suis assis dans les escaliers. Un regard vainqueur éclaire son visage.
« Putain...qu’elle est bonne ta meuf ».
J’incline la tête, pour ne pas croiser son regard.
Je rentre dans la chambre, découvre Jenny écartelée sur le lit.
-Oh mon chéri, si tu savais comme il m’a baisée.
-Je sais mon amour, j’ai tout entendu. Je t’ai entendu crier quand tu jouissais. Je suis heureux pour toi, tu l’a réalisé ton fantasme.
-Tu m’en veux pas.
-Non ma chéri, rentrons à la maison.
Pendant que prépare les valise, mon épouse descend régler la note à l’accueil de l’hôtel. Soudain, je suis attirés par des cris provenant de la plage. Je me précipite à la fenêtre, et aperçois Jenny en compagnie des étudiants. Elle était entièrement nue. Les jeunes garçons jouent avec elle, la roulent dans le sable, la jette dans l’eau. Leurs mains promènent sut tout son corps, caressent ses seins, des doigts pénètrent sa chatte, doigtent son petit bouton. Leur énorme queue pénètrent sa chatte, son petit trou, se vident dans sa bouche.
Malgré la distance, je l’entends hurler de plaisir.
-Oh oui...encore, encore, réclame-t-elle...baisez-moi...enculez-moi.
-Ouah, je vous avez dit qu’elle mal baisée, sourit Dean...vous voyez comme elle aime la queue...hein salope, avoue.
-Oh oui j’aime vos queues, elles sont tellement bonne...tellement grosses...je veux vôtre sperme partout...dans ma chatte, mon petit trou...dans ma bouche...remplissez-moi…
On est plus en individuel. Elle qui ne voulait pas de «gang bang», elle y est en plein dedans. Et d’après les cris de plaisir que j’entends, elle n’a pas l’air de s’en plaindre.
Je décide de descendre la sortir de ce mauvais pas. Mais Dean demande à ses copains de me tenir en respect. Il tient à lui donner une dernière fois. Après l’avoir faite jouir à plusieurs reprise, il la libère.
Je couvre son corps nu avec une serviette, la monte à la chambre. Je lui fais couler un bon bain.
Nous finissons de boucler nos valise, quittons l’hôtel, et le sud de la France. Son fantasme s’est réalisé, au-delà de ses espérances.
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