Mon cher mari. Je viens de lire les deux récits, que tu as posté, à mon insu, sur le site «MesFantasmes.net». Je tiens à apporter quelques modifications, à tes propos, dont certaines ne te feront pas plaisir. Surtout la fin.
Mais je veux que le lecteur sache.
Comme par exemple quand tu décrits les vacances avec Henri chez mes parents, que je me suis faites baiser, enculer, que j’ai pris une double, par Henri et Marcel. Comment peux-tu dire ça, alors que tu n’y étais pas. Et oui, mon chéri, tu n’avais pu te libéré. Ça doit être encore, un de tes fantasmes.
Mais je dois t’avouer, qu’effectivement, je me l’étais bien fait mettre. Quel salauds ces deux là. C’est pour çà que je ne te désavouerais pas, quand tu dis que je suis une petite salope.
Parlons aussi de mon adolescence, que tu décris si bien. Je devais avoir seize ans, et m’ennuyais beaucoup, dans ma famille d’agriculteurs, sans toutefois, ne manquait de rien.
Un jour, je décidais d’aller voir mon oncle Marcel, occupé à aiguiser une faux dans la remise. Je le surpris en train de prendre ma mère en levrette, contre l’établit. Il me semble encore l’entendre crier, quand elle atteint l’orgasme.
A cette époque, mon oncle avait acheté mon silence, contre quelques pièces de monnaies. Quant à maman, elle avait honte, refusait de me regarder en face, jusqu’au jour ou elle m’avoua que son mari, mon père, ne la touchait plus, et qu’elle se sentait encore jeune, désirable.
Quel reproche pouvais-je lui faire ? Sinon celui d’avoir trompé papa.
Je décidais quand même d’avoir une discussion avec mon oncle, pour lui dire d’arrêter cette relation sur le champ. Non seulement, il refusa, mais il m’attira sur ses genoux, glissa une main sous ma robe.
-C’est comme ça que ça à commencé, avec ta mère. Je lui mettais deux doigts dans la chatte, la branlais, puis je la laissais elle même envoyer des coups de reins, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Je craignais que ton père l’entende quand elle hurlait de plaisir. Depuis, elle passe souvent me voir, pour que je m’amuse avec sa petite chatte. Elle ne porte plus de culotte. Elle aime bien se promener la chatte à l’air. Quand elle me rejoint, sans rien lui dire, elle se met toute nue, tombe à mes genoux, et me taille une pipe...elle avale tout mon sperme. Il lui arrive de venir dans la chambre d’amis la nuit, quand ton père est ivre. Je la rends heureuse pendant un instant.
Peux-tu lui en vouloir ?
Depuis ce jour, il répercute ses fantasmes sur moi. Il me demande de me mettre toute nue, et de m’asseoir sue se genoux. Il caresses mes petits seins aux bourgeons naissant, glisse une main entre mes jambes, fait courir un doigt sur ma fente. Puis il me doigte mon clitoris. Malgré mon jeune âge, il parvient à me faire jouir.
Depuis ce jour là, je lui rendais visite régulièrement...sans culotte. J’adorais sentir l’air frais s’engouffrer sous ma robe, lécher ma petit chatte.
Quand il me caressait, je gémissais de plaisir, hurler quand il me faisait jouir. Il me comparait à ma mère, sauf qu’elle avait plus d’expérience.
J’avais dix huit ans, quand il cessa son odieux chantage, bien qu’il baisé toujours ma mère. C’est à cette époque que Guy, son fils, prenait le relais. Ces salauds avaient même projetés de me partager toute une nuit.
Les rapport avec Guy étaient torride. C’est à lui que j’ai offert ma virginité, alors que je t’ai fait croire que tu étais le premier.
Il prenait plaisir à s’amuser avec moi. Il m’allongeait dans le champs, me prenait dans toutes les positions, par tous les trous déjà. Il me forçait à lui tailler des pipes, de tout avaler. Il s’amusait à confisquer mes habits, puis m’obligeait à traverser le village, toute nue. L’enfoiré.
Cette relation se poursuivit, jusqu’à ce que je te rencontre toi, Sylvain, mon futur mari. J’avais vingt et une ans.
Je me souviens de Marcel et Guy, quand je leur appris.
Tu vois, mon cher Sylvain, tu n’en parles pas de tout ça, ou très peu. Et encore, tu ne sais que ce que j’ai bien voulu te raconter.
Le jour de nos fiançailles, par exemple.
Pendant que ma tante te présentait à toute la famille, Guy m’emmena dans la chambre d’amis, et me sodomisa. Après avoir atteint l’orgasme, je me dirigeais à la salle de bains me nettoyer, et surpris ma mère, en train de tailler une pipe à Marcel. Je me souvenais de son énorme queue.
Tu te souviens, que cette nuit là, on avait pas le droit de la passer ensemble, aussi me suis-je consolé avec, tour à tour Guy et Marcel...et oui, mon oncle Marcel. Ils me baisèrent toute la nuit, chacun leur tour. Je pris énormément plaisir à m’offrir à eux. Ils me firent jouir comme jamais. Cette nuit là, j’étais prête à me faire prendre une double pénétration, sentir leur queue dans ma chatte et dans mon petit trou.
Puis vint le jour du mariage. Il se déroulait dans la vaste demeure de Marcel. Ce n’est pas ta présence qui les empêcha de me draguer ouvertement.
Au cours de la soirée, alors que tu étais occupé, Marcel me murmura un truc à l’oreille. Je me rendis sur la terrasse, ou Guy m’attendait, la bite en érection,, entièrement décalotté, sortie de son pantalon. Il me prit la tête, m’obligea à me pencher, et à le sucer. Même si ce fut succinct, ça n’en fut pas moins agréable. Ceci est une anecdote comme temps d’autres. Celle de Marcel, par exemple, qui me demanda de l’aider à aller chercher du vin à la remise. Une fois arrivé, il me demanda de soulever ma robe, pour caresser ma chatte. Depuis mes tendres années, je ne portais pas de culotte. Mon
oncle décalotta mon clitoris, et le doigta. Je fermais les yeux, pensant à toi.
Excitée par la succions sur la queue de Guy, je ne tardais pas à jouir. C’est lui même qui mit sa main devant ma bouche, pour atténuer mes cris.
Quand je revint dans la salle, je te vis me chercher. Tu remarquas que ma robe était froissée, mes cheveux défait. Tu te posais des questions.
« Fais moi danser chéri, te murmurais-je» Tu n’eus pas le temps de réagir, que Guy me tira sur la piste. Au lieu d’éviter le scandale, Guy me serrait fort, palpait mes fesses, essayait même de me prendre la bouche. Impuissant, tu assistais à la scène.
En regagnant la chambre nuptiale, je te vis en grande discussion avec Guy.
«Que t-a-t- dit, te demandais-je?»
«Je lui ai demandé à quoi il jouait»
«Et alors...que t’a t-il répondu?»
«Il m’a dit qu’un jour, il baiserai ma femme»
Donc tu ne savais pas, à cet instant, que c’était déjà fait...avec Marcel aussi.
Nous sommes restés deux jours avant de partir, pendant lesquels j’ai eus le temps d’avoir une dernière relation avec Guy, et quelques caresses intimes de la part de mon oncle.
C’est les larmes aux yeux, que je quittais définitivement, ma belle famille.
A partir de là, ton récit est plus cohérent, même si certains points restent à éclaircir. Surtout sur ton fantasme, et ta naïveté.
Sur le trajet qui nous menait à Nice, j’eus droit, après seulement trois jours de mariage, à un flot de remontrances, auxquelles j’évitais de répondre.
Petit à petit, tu parvins à te calmer, et me proposa même de faire un bébé. Tu fus heureux, quand je te dis que j’étais prête, qu’à partir de demain, j’arrêtais la pilule. Mais il fallait vite nous installer.
Dès nôtre arrivée, tu te mis en quête d’un appartement.
Tu me dis en avoir trouvé un, mais que le propriétaire souhaitait me voir, pour me connaître. Tu me demandais de mettre une tenue un peu sexy.
Je te répondis que ma garde robes n’était pas déballée, et qu’une tenue de ville ordinaire, ferait l’affaire.
On fut reçu par Henri, c’est son prénom, la soixantaine, bien conservé. En cette période de vacances, il héberge Lucas, son petit fils, très beau gosse de vingt ans. On ne peut pas parler de coup de foudre, mais le contact passa bien. En croisant ton regard, je pense que tu t’en ais aperçu.
Dans ton récit, tu n’as jamais fat allusion à Lucas, car il te rappelait Guy.
Tous les matins, nous nous rendions ensemble au travail.
Je travaillais près de ton bureau, et avions, à quelques choses près, les mêmes horaires. Sauf que j’avais une matinée de libre par semaine.
Tu étais extrêmement jaloux, me disais de faire attention à ce jeune voisin, qui ne t’inspirait pas confiance. Un matin, avec ton accord, je lui demande de m’emmenait à la pharmacie. Il accepte bien volontiers.
Par contre, j’avais fini de ranger ma garde robe. Il rougit quand je m’assied dans la voiture, et que ma mini-jupe remonta haut sur mes cuisses. Je le
rassurais, en lui disant qu’exceptionnellement, aujourd’hui, j’avais mis une culotte. Il fut totalement décontenancé, ne s’apercevant pas que je le faisais mousser. Je décidais de jouer un peu avec lui. Quand il me ramenait, je lui dis que ça méritait bien une bise. Il fut surpris quand je l’embrassait, à la commissure des lèvres.
Je me souviens que tu avais éclaté de rire, quand je te l’avais raconté.
Alors que tout allait bien, voila qu’un jour, ma société m’envoie une lettre de licenciement, pour raison économique. La tuile. On pouvait assurer le loyer encore quelques mois...mais après.
Tu décidais d’en parler au propriétaire. Henri fut compréhensif, nous assura qu’on trouverait un arrangement. C’est là qu’il me proposa d’entretenir son appartement. En gros, de lui faire le ménage.
Tu as vite sauter sur l’occasion, me conseillant d’être gentille avec lui, et de m’habiller court, pour le séduire. Tu me conseillais même, en souvenir du passé, de ne pas porter de culotte.
Je te fis remarqué, qu’en gros, tu me demandais de faire la «pute».
Je dois avoué que ça ne me déplaisait pas, en souvenir de mon adolescence. Cela ne me gênait pas outre mesure, sachant que j’aimais bien les hommes d’un certain âge, et il avait Lucas aussi, qui me rappelait Guy.
Je décidais d’opter pour ta proposition pour la culotte. Je poussais même le vice, jusqu’à épiler ma petite chatte.
Là ou je fus surprise, c’est qu’Henri était très entreprenant. Il n’hésitait pas à glisser une main sous ma robe, et me mettre un doigt. Lucas, timide, quittait
pièce. Il se contentait de m’entendre jouir, quand son grand père me branlait.
Le soir, tu te demandais si ça s’était bien passé. Je soulevais ma jupe, et te demandais d’enfoncer tes doigts dans ma chatte, et les porter à sa bouche. Tu te régalais de les sucer. Tu sentais ton fantasme approchait.
Tu me donna l’autorisation d’aller plus loin si je le voulais. Je n’étais pas contre, mais avec le petit fils au milieu, ce n’étais pas simple. Tu me dis de patienter, que la fac reprenait lundi.
Effectivement, le lundi, je me trouvais seule avec Henri. Chaque fois que je passais près de lui, j’avais droit à un doigt dans la chatte, ou dans le cul. Il n’étais pas rare même, que je ne finisse entièrement nue. Je m’asseyais sur ses genoux, jambes totalement écartées, m’offrant toute entière à ses mains avide de caresses. Il prenait plaisir à me faire jouir, se moquer de moi quand j’atteignais l’orgasme. Je ne te disais jamais, comment Henri s’amusait avec mon corps. Même moi, ne pouvais plus me passer de ses caresses.
Tu t’apercevais que, petit à petit, je m’éloignais de toi sexuellement, que j’étais moins câline au lit, épuisée par les orgasmes à répétition de l’après midi. Tu commençais à envisager le pire, sans pour autant me demander, de cesser tout contact, bien au contraire, comme si tu prenais un réel plaisir à me sentir dans les bras d’un autre homme. D’être «cocu» en fait.
Un après midi, je me rendis comme d’habitude chez Henri, avec la ferme intention, de sauter le pas. Je voulais qu’il me baise. J’avoue que je n’ai pas été déçu. Celui qui dit qu’à un certain âge, on est moins performant, qu’il demande la lotion à Henri. Et je ne parle pas de ses mensurations, à faire pâlir la plus grande stars du X. Quatre...quatre fois, ce salaud me fit jouir. La dernière, en m’enculant, ce que tu n’as jamais été capable de faire.
Un jour, je jouais le tout pour le tout. Je te demandais de pouvoir passer une nuit entière avec lui, à me taire baiser, enculer, à lui tailler des pipes.
A ma grande surprisse, tu acceptas. Avais-tu une idée derrière la tête?
Ça me fit bizarre, quand je passais le pas de la porte. Henri m’attendais assis sur le canapé, enroulé dans une grande serviette de bain. Il m’invita à venir me blottir dans ses bras. C’était la première fois que j’allais coucher avec un homme, autre que toi, mon chéri, depuis le mariage. Cette nuit, tu allait être officiellement «cocu», et tu le savais.
Après quelques préliminaires qui déclenchèrent mon premier orgasme, il m’entraîna à la chambre. Le grand lit, circulaire, était fait pour baiser. Et c’est ce qu’on fit. Toute la nuit, je m’offrit sans retenue, brisant les interdits. Aucun de mes orifices, ne fut épargnés par la moindre goutte de sperme.
Vaincue, je lui demandais d’arrêter, mais il en voulait encore. Je sentais son jus épais envahir mes entrailles. Ses couilles n’étaient jamais taries.
Je rentrais à la maison, il était neuf heures du matin. Tu étais parti au bureau. Je pris une bonne douche, et me coucha.
Je fus réveillée par la sonnerie du téléphone. C’est mon oncle Marcel, qui m’informait que ma mère était souffrante. Je te laissais un mot, pour te dire que j’étais obligé de m’absenter.
Je restais environ une semaine. Dans ton récit, tu ne parles pas de cette escapade. tu te doutais très bien, que j’allais joindre l’utile à l’agréable.
J’ai passé une semaine de folie. C’est à celui qui me ferait le plus jouir. Et pendant une semaine, des orgasmes, j’en ai eu. Tous les soirs, je changeais de chambre. Une nuit dans le lit de Guy, une nuit dans celui de Marcel. Ils ont insisté pour obtenir une double pénétration, mais j’ai refusé, je le regrette. Tout comme le proposition de Guy, de faire participer sa copine.
En rentrant, tu me bombardais de questions. Je te mentais, en te disant qu’il ne s’était rien passé, que ma mère était malade.
Rassuré, tu me dis que j’avais reçu une bonne nouvelle.
L’entretien d’embauche que j’avais eu, chez un gynécologue, était retenu. Je commençais lundi prochain.
Je pensais soudain à Henri, à nôtre relation qui allait s’interrompre. Il me restais quatre jours, et j’avais bien l’intention de profiter de lui.
Tu étais un peu déçu, me disant qu’il fallait retarder la conception du bébé. Je te rassurais, disant qu’il était hors de question, d’annuler nôtre projet.
Tu me pris dans ses bras, me serrais très fort, et m’embrassa.
On s’y colla, six mois après avoir arrêté ma relation avec Henri. Tu voulais être sur, que c’était ton sperme qui allait me féconder.
Au bout d’un an, je mettais au monde Céline, une jolie petite fille.
Mon chéri, si tu lis ce récit, tu vas apprendre que Céline, n’est pas de toi, mais issue d’une relation torride avec mon nouveau amant, le gynécologue…
Je me connecte ou je m'inscris