Nous sommes assis sur le canapé, mon mari Cyril et moi, l’un près de l’autre, en nous caressant doucement. Nous venons de faire l’amour et nos corps chauds se calment peu à peu dans la tendresse qui nous enveloppe. Une de mes mains masse doucement son torse, alors que lui a posé la sienne sur le fin duvet de ma chatte, qu’il enroule de ses doigts pour en faire des boucles. Nous sommes bien, c’est un moment de calme et de bonheur que nous partageons. Parfois, se tête se soulève un peu , se tourne vers moi pour m’embrasser tendrement. Nous sommes tout entiers occupés à savourer ce moment privilégié où nos corps satisfaits nous plongent dans la tendresse. Je le regarde et je le trouve si beau. Son visage est encore illuminé par l’amour.
Nous parlons librement de nous, de nos désirs intimes, et la conversation se porte sur nos fantasmes. Cyril me dit qu’il paraît que ceux-ci gouvernent toute nôtre vie sexuelle.
- Eh bien, tu dois en avoir beaucoup car ta vie sexuelle m’a l’air bien remplie, lui dis-je. Raconte-moi ces fantasmes. Sûrement que ça va me faire jouir de t’entendre.
- Stéphanie, tu sais bien qu’un fantasme c’est quelque chose de personnel, c’est le domaine privé de chacun.
- Allez, parle-moi de tes fantasmes, insiste ai-je avec douceur. Je veux les connaître, pour t’aider à les réaliser.
- Mais est-ce qu’un fantasme doit être réalisé ? On risque d’être déçu. Et puis, c’est un rêve, mais je ne voudrais pas le réaliser. Tu es la seule que j’aime et avec qui j’ai envie de faire l’amour.
- A quoi penses-tu dans ces moments là ?
- A toi, je pense à ton corps, je pense que je vais te donner tout mon amour et qu’il va te remplir la chatte.
- Tu as bien un rêve secret ? Tout le monde en a un. Dis-moi ce que c’est.
- Tu sais c’est tellement personnel. Et puis tu serais fâchée d’apprendre que tu ne fais peut-être pas partie de ce monde imaginaire. Moi, c’est les jaunes… les petites chinoises ou les japonaises … Je les vois dans mes rêves, de vraies salopes… elles me font jouir.
- Quoi ? Tu as du goût pour l’exotisme ! Tu veux peut-être qu’on parte en vacances en Thaïlande ?
- Tu vois, tu commences à te moquer et à plaisanter, me dit-il d’un ton mi sérieux. Tu sais bien que ce n’est rien de plus qu’une idée dans ma tête, mais que c’est toi que j’aime et ne veux baiser que toi. Je ne sais pas pourquoi mais tout ça m’excite… le raffinement de l’Extrême Orient. Il paraît que, dès leur enfance, on apprend aux filles toutes les techniques pour bien faire l’amour. Elles connaissent tous les trucs qui rendent un homme fou au lit.
- C’est ça, les boules de geisha et tout le reste !
Je me doute bien du cinéma qu’il se fait dans sa tête. Des petites encore toutes jeunes, une sur chaque genou pour commencer. Il doit s’imaginer leur doigter le clito, qu’elle lui font des caresses inconnues en Europe qui le font bander puis jouir avec un plaisir inimaginable. La poupée chinoise, la roue, le chariot de feu, le grand portail…
Ses mains se sont arrêtées sur mon corps, il est devenu songeur. L’aurais-je vexé ? Aurais-je eu tort d’essayer de rentrer dans sa vie secrète ? Que faire pour lui ? Je prends sur moi de lui dire.
- Tu veux connaître mon fantasme… Si je te le dis, tu vas pouvoir te moquer de moi à ton tour, et nous serons à égalité.
Il ne répond pas.
- Quand je fais des rêves érotiques, ma plupart du temps, je me fais baiser par un homme avec un engin de taille géante. Je rêve qu’il me pilonne avec, je le sens battant le fond de mon ventre, si gros qu’il me déchire presque. Il a tellement de jus que je suis aussi inondée que si quatre ou cinq hommes s’étaient déversés dans moi …. Voilà, je l’ai dit !
Je m’arrête, je le regarde et vivement il réplique.
- Je ne te satisfais donc pas ? Il te faut un monstre !
- Mais non, pas du tout, c’est comme toi, c’est une idée, un rêve, c’est de l’imagination, mais ça n’a aucune réalité.
Il n’a pas l’air convaincu.
- Tu sais bien que tu as une belle bite, grosse, longue et bien juteuse. Tu sais bien que tu me fais jouir comme une cochonne et que tu me fais hurler de plaisir.
Mes deux mains descendent jusqu’à sa queue et commencent à s’en occuper avec douceur . Je vois son visage se détendre, un sourire apparaît, sa queue enfle, il grogne un peu de plaisir, il m’embrasse profondément et je sais que tout est oublié, je retrouve mon amant, chaud et amoureux.
C’est l’été, nous sommes partis en vacances dans le Sud avec notre camping car. Comme presque chaque année, nous allons dans l’arrière pays, loin de la côte et de ses foules. Nous nous installons souvent dans le camping de St Martin. Il n’y a pas grand monde, le terrain est vaste, au lieu de s’entasser tente contre tente sans aucune intimité, ici chacun peut s’isoler derrière des haies et passer son temps au calme. Nous sommes installés à l’ombre d’un grand platane et devant nous une haie nous protège de la vue des autres campeurs. C’est là que nous avons placé notre table et nos fauteuils. Nous passons notre temps à nous promener dans l’arrière pays, à visiter des endroits merveilleux, à nous arrêter en prenant notre temps, à faire la sieste et aussi à faire l’amour.
Ce jour là, il fait vraiment chaud. On entend les cigales chanter, l’air est presque immobile, au loin j’entends une cloche qui tinte. C’est cela le bonheur. Je pense. Cyril me caresse doucement les bras, m’effleurant à peine la peau. Allongée par terre sur un couverture, à l’ombre, je suis bien.
Ses caresses deviennent plus insistantes, ses mains passent doucement sur mes seins, sa bouche s’approche de la mienne.
- J’ai envie de toi, me murmure-t-il .
- Pas ici, on pourrait nous voir, allons à l’intérieur.
- Il y fait trop chaud, et d’ailleurs, j’ai vu les voisins partir il y quelques minutes. Il n’y a personne autour de nous. En plus, nous sommes bien abrités par la haie.
Je sens le désir monter en moi et je ne songe plus à protester quand il enlève mon chemisier puis mon short, bien au contraire je l’aide en soulevant un peu les hanches.
Étendue sur la couverture, je baisse mon slip, et je le passe par les pieds. Cyril en fait autant et je vois son sexe déjà dressé si bien qu’il a du mal a passer la barrière de la ceinture élastique. Il s’allonge à moitié sur moi, un coude par terre pour se tenir, une main sur mes seins qu’il se met à flatter. De mon côte, je ne reste pas inactive et je caresse ses fesses et don dos. En quelques minutes nous sommes enlacés en ne pensant plus qu’à notre bonheur. Soudain je sens Cyril essayer de se dégager, de se relever.
- On nous regarde » dit-il brusquement.
Je lève la tête et, j’aperçois un homme derrière la haie. Il semble avoir une trentaine d’année. Je pousse un cri. Il a l’air surpris, pris en faute, esquisse un pas sur le côté, peut-être pour s’enfuir. Cyril s’est complètement redressé maintenant et il tourne la tête et crie quelque chose. Tout va si vite. L’homme fait un pas, je vois qu’il essaie de rentrer son engin dans son slip. Il a une violente érection .
- Le cochon, il était en train de se branler en nous regardant, dis-je en un éclair.
Dans la même seconde je remarque qu’il ne parvient pas à rentrer son membre. Il est bien trop long. Au-dessus de ses couilles, je vois une hampe d’une longueur qui me paraît tellement phénoménale que j’ai l’impression d’être face à la queue géante qui hante mes fantasmes. Comme il est gros, presque comme mon bras !
Cyril est maintenant debout le regard tourné vers l’homme qui passe devant nous pour partir. Il essaie toujours de rentrer son sexe. Il remonte son short de bain, mais même là on voit toujours une grande longueur de son sexe, plaqué contre son ventre par l’élastique et un énorme gland violacé. Ne sachant plus que faire, il baisse son tee-shirt dessus pour cacher le tout. Une idée folle, un moment de démence, tout bascule dans ma tête.
Je me surprends à dire à Cyril d’une voix étrange.
- Tu vois la queue qu’il a ?
Et aussitôt , d’une voix plus forte pour que l’homme m’entende.
- Ne partez pas ! Insiste ai-je, je veux vous parler…
Il hésite, fait un pas vers nous et s’arrête. Mes yeux ne peuvent se détacher de l’énorme bosse que font son short et son tee-shirt. Ma vois tremble quand je lâche d’un seul trait, effrayée de mon audace.
- J’aimerais que vous continuiez ici ce que vous avez commencé derrière la haie. Venez avec nous… Asseyez vous ici.
Je désigne la couverture à côté de moi. Cyril se tourne vers moi et a voix basse me dit.
«Tu te rends compte de ce que tu dis ? Ça ne va pas, non ?
L’homme s’approche encore, sans oser s’asseoir, ne sachant comment se comporter, il veut parler mais rien ne sort de sa bouche.
- Il faut qu’on se parle. Asseyez- vous donc.
Il reste debout, se balançant d’un pied sur l’autre, presque face à moi et c’est seulement alors que je m’aperçois que je suis nue devant lui. Avec un reste de pudeur, j’attrape mon chemisier que je jette sur mes seins pour les cacher, sans penser que, les jambes écartées, ma chatte s’offre toute entière à ses yeux.
- Nous serions mieux à trois.
Cyril a compris ce que je voulais, sa main pétri mon épaule et il ajoute à l’intention de l’homme.
- Nous vous avons provoqué par notre attitude… il faut réparer cela. Restez avec nous… s’il vous plaît.
- Je suis sûre que vous ne demandez que ça…ajoute ai-je.
Soudain, lui aussi comprend. Si nous voulons le retenir, ce n’est pas pour lui faire des reproches, une scène, ou lui proférer des insultes, mais, au contraire, c’est une invitation à participer à nos jeux érotiques. Il se détend.
- Je suis vraiment désolé de m’être conduit comme un voyeur. S’adressant à moi, il continue. Votre corps est si beau et si tentant que je n’ai pas pu m’en empêcher. Et puis, vous aviez l’air si heureux, si complices. Vous n’étiez pas seulement un couple en train de faire l’amour et qu’on vient espionner, vous étiez autre chose. Ça a été plus fort que moi, j’étais comme paralysé au début devant le tableau d’amour que vous formiez. J’avoue qu’ensuite mes pulsions ont pris le dessus et c’est alors que vous m’avez vu avec ma bite à la main.
Je pose une main sur sa cuisse pour l’encourager. Je sens un frison la parcourir.
-Moi, c’est Stéphanie et voici Cyril, mon mari.
- Je suis Patrick.
Il hésite encore, ma bouche s’approche timidement de la sienne, un premier baiser, un simple effleurement de nos lèvres avant que le contact ne devienne plus intense. Ma main commence à parcourir son ventre, pendant que l’autre remonte son tee-shirt. Il m’arrête brusquement.
- Stéphanie, il faut que vous sachiez que j’ai un très gros membre. Je ne sais pas si je peux vous l’imposer.
- Pour être franc et vous mettre tout à fait à l’aise, nous l’avons vu quand vous étiez derrière la haie. Vous avez de la chance d’être monté comme ça. Les femmes doivent en rêver ?
J’entreprends de baisser son short, j’y parviens avec difficulté. On a l’impression que la masse de chair qui est dedans ne pourra jamais en sortir. Patrick m’aide d’une main, pendant que Cyril tire le short vers le bas. Soudain, le vêtement descend et, en soulevant les hanches, Patrick le baisse complètement.
J’étouffe un cri. Est-ce un cri de joie ou de terreur ou de surprise ? Une queue à peine raide apparaît, un membre qui mesure déjà plus de vingt centimètres, dont le hampe semble être d’un diamètre énorme. Dessous, deux bourse, dont une seule ferait plus que remplir ma main. Et le gland ! A demi révélé par le prépuce pas complètement décalotté, c’est une masse aussi grosse que mon poing. Quand Patrick touche mes seins, je vois la hampe se redresser, monter encore, se déployer portant fièrement son bout d’un rouge encore pâle, mais si monstrueux ! Je m’exclame.
- Je ne pourrai jamais prendre çà. Il va me déchirer !
J’ai peur, peur de ce sexe qui me menace, peur d’être livrée à cet homme, peur de devoir subir ses assauts au delà de tout ce qui est humain. Mais en même temps, je suis attirée, mon regard ne quitte pas cette bite qui m’obsède. Malgré moi, le bout de mes seins devient dur sous la caresse des deux hommes qui m’entourent et me pressent. D’un doigt habile Patrick titille le bout de mon sein gauche et allant et venant dessus rapidement.
Combien la queue qui s’agite juste devant moi peut-elle mesurer ? Je perds la notion des tailles et je pense qu’elle doit faire pas loin de trente centimètres, elle est aussi grosse qu’un de ces tubes en carton dans lesquels on range des affiches. Le bout et encore plus gros et d’une couleur plus sombre que le manche, comme le pommeau d’une selle.
Mes mains n’ont pas quitté la hampe géante, aussi dure qu’un arbre semble-t-il, et vigoureusement dressée entre les cuisses de Patrick. C’est à peine si je parviens à l’enserrer avec mes deux mains et, en hésitant, lentement d’abord, plus vite ensuite, je commence à le branler. Mes mains montent et descendent sur le manche congestion, sillonnée de veines protubérantes. Le prépuce complètement descendu maintenant serre un peu la base du gland géant, ce qui le fait ressortir encore plus. J’approche ma tête, je voudrais emboucher cette queue d’amour si fascinante, mais la peur me reprend. Je ne pourrai pas ouvrir la bouche assez grande, ça ne passera pas ! ça va m’étouffer ! Je reste penchée sur cette queue qui palpite à chaque fois que je la branle. Non je ne peux pas emboucher ce monstre !
Cyril m’appuie doucement la tête, me la pressant vers ce bout qui m’attire mais me terrorise aussi. Je résiste, il appuie plus fort. mais j’entrevois Patrick écarter la main qui cherche à m’empaler..
- Laissez-la, dit-il, elle le fera si elle en a envie; ne la forcez pas.
Je continue à branler cette queue, mes mains montent de dix, quinze, vingt centimètres sur le manche puis redescendent. Le bout de son pénis est à quelques centimètres de ma bouche et mes yeux fascinés suivent ses mouvements. Je me sens prise par quelque chose que je n’avais encore jamais ressenti, le désir de posséder ce qui est devant moi. Je murmure.
- Patrick, je te veux dans ma bouche.
Et je l’ouvre aussi grand que je peux pour l’accueillir. L’extrémité étire mes lèvres et finit par passer. Sa queue sent le savon, la sueur et le sperme. En même temps, je sens mon sexe qui devient encore plus humide, et sans honte, je plonge mes doigts dans ma moule, mon pouce passant sur le clitoris.
Il pousse encore un peu, ma bouche va éclater, mais à la fin le voilà logé au fond de ma gorge. Ma bouche est totalement pleine, ma langue ne peut pas même remuer pour le caresser. Chacun de ses mouvements de va et vient me distend les lèvres, sa queue est comme un fer chaud qui me brûle et me déforme, mais une brûlure si douce aussi. Je caresse les couilles ,en sentant son bout tressauter dans ma bouche. Il ne cesse de répéter.
- Oui, pompe moi … salope…. suceuse….encore, tu me fais du bien !
Sa respiration s’accélère. Il va jouir ! Non pas dans moi, ce n’est pas possible ! Je pourrais pas supporter la dose qu’il va m’envoyer. Comment avaler son litre de foutre ? Il faut que l’arrache sa queue monstrueuse. Affolée, je l’entends crier.
- Ça va partir.
Et il commence à retirer précipitamment sa bite de ma bouche. Le bout est gros, si gonflé qu’il a du mal à ressortir. Il halète maintenant, je sens les pulsations de sa queue me battre les lèvres quand il se retire. Et brusquement, je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête, mes deux mains attrapent sa queue , j’ouvre grand ma bouche, j’enfonce tout jusqu’au fond, jusque dans ma gorge au moment où le jus part, le premier jet. Il me remplit, j’ai l’impression de suffoquer, je ne peux pas tout avaler. Aussitôt arrive la suite, encore plus copieuse que la première, un jus épais et crémeux, les jets se succèdent , le foutre remplit ma bouche s’insère entre ma bouche et le membre qui me distend les lèvres, coule sur mon visage , liquide gras et blanchâtre qui reste autour de mes lèvres et qui descend lentement en filets dans mon cou. Tout mon ventre n’est que pulsations et tremblements . Maintenant, je commence à goûter le son sperme, un peu salé, mais onctueux, agréable. Des deux mains, je pompe la queue pour faire monter les dernières gouttes , je tourne encore ma langue, autant que je le puisse, autour de la queue pour tout lécher jusqu’au bout , pour ne rien perdre de ce liquide. Puis, c’est avec regret que je sors la queue de ma bouche, et je la couvre encore de baisers avant de la relâcher. Et c’est alors que je jouis. Une jouissance d’une force exceptionnelle, unique, jamais ressentie. Un cri monte du fond de mon ventre, des décharges électriques me traversent et je reste immobile, comme assommée quelques secondes.
Tellement absorbée par le trouble de cette fellation qui a mélangé le masochisme de ce sexe trop gros pour moi et la jouissance intense, inconnue qui s’est emparée de moi, je ne me suis pas tout de suite bien rendue compte que Cyril est maintenant rentré en moi, sa bite va et vient en moi, d’un rythme régulier, presque lancinant. Il s’enfonce aussi loin qu’il le peut, ressort complètement et pousse pour faire passer son bout et s’enfonce à nouveau. A chaque fois je sens ses couilles battre mes fesses, mais il y a quelque chose d’inconnu dans la façon dont il me baise. Il me pilonne aussi méthodiquement que le balancier d’une machine alors qu’habituellement il cherche à varier ses coups de butoir, frappant fort parfois, s’enfonçant à peine à d’autres moments, ou bien encore avec un mouvement circulaire. Cette fois ci, rien de cela, il entre et sort aussi régulièrement qu’un métronome comme si sa queue était devenu une machine à faire l’amour. Malgré cela, je sens le désir commencer à revenir en moi et brutalement, sans rien dire, il lâche sa semence, un long jet qui me brûle presque le vagin en folie. Il se retire aussitôt et m’attaque à la main. Un doigt rentre facilement dans le trou gluant d’où recolle son jus, puis un deuxième qui va et vient, s’insère, fait des cercles, se plie et s’allonge.
Patrick s’occupe de mes seins, il passe son sexe qui retrouve à peine sa rigidité sur eux, le dirige pour m’en titiller les bouts qui jaillissent des mamelons congestionnées par le désir et la jouissance. J’aime le contact avec ce membre si gros mais si doux en même temps. Sa peau est comme du satin qui glisse sur la mienne, me donnant mille frissons de plaisir à chacun de ses mouvements.
- Tu aimerais que je les suce et que je les lèche ?
Et je sens son souffle chaud, ses lèvres qui me touchent légèrement, puis saisissent les mamelons dressés , les roule, les pince, les font aller de droite et de gauche.
Tout mon corps n’est qu’une vague de pulsations qui me parcourent, une série de tremblements m’enveloppent. Je sens les doigts de Cyril me malaxer la chatte, s’y introduire de plus en plus loin, je jouis encore une fois. Mon ventre se lève et va à la rencontrent de ces doigts pour les avaler encore plus. Je le sens de plus en plus dans mon trésor intime, dans lequel ses doigts s’ouvrent comme des ciseaux. Mes yeux sont fermés, ma bouche ouverte, ma respiration est bruyante. Je sens Cyril qui tourne sa main sur le côté et qui introduit lentement un quatrième doigt. Je halète, la tête rejetées en arrière, les jambes totalement écartées pendant qu’il s’enfonce dans ma chatte qui n’a jamais encore été aussi ouverte. Je l’entends murmurer.
- Maintenant le pouce.
Il retire sa main et place son pouce entre ses les quatre autres doigts et recommence à entrer en moi, en appliquant une pression constante. Je défaille presque, tellement la sensation de jouissance est forte. Un poing entier dans mon ventre ! Je me tends, je pleure et des larmes de plaisir coulent sur mes joues.
Cyril se retire doucement et je l’entends dire.
- Ça y est, elle est prête, tu peux la prendre, je l’ai élargie.
Patrick quitte mes seins, et s’allonge, la queue raide. Cyril me soulève, me transporte au dessus de l’épieu dressé pour m’empaler. Toute ouverte et béante qu’elle soit, ma chatte a du mal à laisser passer l’énorme gland. Pendant que Patrick jette son ventre vers l’avant, Cyril me pousse vers le bas et soudain je sens une déchirure, une douleur brève me traverse et aussitôt, je me sens descendre et m’enfoncer sur le pieu.
- C’est bon ! Hurle ai-je, en jetant mon ventre vers l’avant pour accentuer la pénétration. Enfonce-toi encore plus.
Je suis véritablement pleine, tout mon vagin dilaté est rempli du sexe. Je sens cette masse loin en moi, comme si tout mon ventre était rempli jusqu’à l’estomac. Étrange et nouvelle sensation, mais tellement voluptueuse. Je suis accroupie sur ce manche dont à peine la moitié peut rentrer en moi et tout mon poids repose sur ma chatte. Malgré l’énormité qui m’a pénétrée, me dilate et me distend, ça ne me fait pas mal, bien au contraire. Je sens mon vagin tendu comme s’il allait éclater. C’est comme si je m’y étais introduite une grosse courge, une citrouille. Un instant, je m’imagine être au Moyen-Age, condamnée au pal. Que ce supplice devait commencer dans une grande jouissance sexuelle !
Patrick n’a guère besoin de bouger tant la pression qu’il exerce sur moi est grande. Je sens chacun des ses moindres tressaillements. Je mouille tellement que mon jus coule et soudain j’explose, hurle encore une fois, un long cri inarticulé qui monte de tout mon corps, ma chatte tellement étiré voudrait se contracter , des spasmes et encore des spasmes , je jouis en une longue série de tremblements qui se suivent, prise d’une crise orgasmique qui n’en finit pas….
Quelques heures plus tard, je suis blottie dans les bras de Cyril. Nue, dans le lit, ses mains me caressent. Je lui dis doucement.
- Je vais te donner du plaisir si tu veux, mais s’il te plaît ne touches pas à mon petit minou ce soir. Après ce qu’il a enduré cet après-midi, il a besoin d’un peu de repos ! J’aimerais bien faire l’amour avec un Chinois. D’ailleurs, je crois que je vais changer de fantasmes. Il paraît que les Chinois ont la queue très habile mais surtout qu’elle est toute petite.
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