Je suis atterré, ne peut m’empêcher de penser, que bien que ce repas se déroule dans un ambiance feutré, leur manège risque fort d’avoir attiré l’attention d’autres convives. Ce qui me trouble, c’est que pendant que je lui souriais, des doigts étrangers sont en train de lui branler la chatte.
Comme dans un rêve, elle me sourit puis, sans aucun doute sous le coup d’une onde de plaisir plus forte, provoqué par ces doigts qui la fouillent, ferme les yeux, non sans avoir jeté un rapide coup d’œil à son branleur. Toujours en souriant, Tamara glisse une serviette sous la table, et essuie sa chatte.
Elle m’envoie comme un message, pour me faire savoir qu’elle a énormément pris du plaisir. Elle se dégage, se lève et vient vers moi. Elle s’arrête à la hauteur de Fanny, et lui glisse quelques mots à l’oreille.
Enfin elle arrive à ma hauteur, se penche à mon oreille pour me prévenir qu’elle va se refaire une beauté dans la salle de bain, et qu’elle a besoin de moi.
Je la laisse s’éloigner puis me lève à mon tour. La porte est entrouverte, elle m’attend les fesses appuyées contre le meuble des lavabos. Elle me regarde entrer, je ferme la porte derrière moi puis sans un mot, me dirige vers elle.
Elle a juste le temps de me dire.
- Pardon mon amour.
- Pardon...tu t’es conduite comme une salope, et tu me demandes pardon…
- Je sais...s’il te plaît...prends-moi…
- Pas maintenant, et pas ici. J’espère que tu me raconteras ce qui s’est passé.
- Promis mon amour...mais veux-tu que je vienne m’asseoir avec toi ?
- Non...les invités comprendraient pas…
Après un fougueux baiser, Tamara rejoint sa place initiale, ou semble l’attendre Bruno. Il l’accueille, tout sourire, Tamara lui offre un regard attractif.
Malgré tout, le repas continue, et s’approche allègrement du dessert. La position des deux tourtereaux en face, n’a guère changer, et Bruno se fait fort de voir mon épouse prête à succomber à ses avances.
C’est maintenant la main de Tamara qui disparaît sous la table. Surpris, et alors que mon épouse me regarde, je plonge sous la table. Là, je vois l’énorme queue de Bruno, entièrement décalottée, aller et venir sans la main de ma femme. Puis, c’est sa tête qui apparaît. Elle me regarde, et prend la queue de Bruno en bouche. Petit à petit, le mouvements des lèvres s’accélèrent. Je vois le bassin de Bruno se tendre en avant, au point de glisser une main sous la table, et faire pression sur la tête de ma femme. Elle a tout avalé. Puis elle sort de dessous la table. Je me relève, et lit la joie de Tamara, qui est parvenue à faire jouir, celui qui lui avait donné tan de plaisir. Celui-ci avait la tête inclinée en arrière, gémissent son plaisir.
Alors que Bruno prenait une serviette pour s’essuyer, elle lui retient son bras, et glisse sous la table. Je glisse avec elle. Et à, j’assiste à un spectacle hallucinant. Tamara se penche, prend la queue en bouche, et s’emploie à la nettoyer. Je vois sa langue s’enrouler autour du gland, lécher toutes les souillures de spermes, et les avaler. Je me redresse d’un bon. Je vois Fanny se pencher sur Bruno, lui demander ce qu’il lui arrive.
- Oh putain...cette langue...ouah…
- A bon...qui ça...Tamara...
Tamara réapparaît, en se léchant les lèvres. Elle se pencha sur Bruno, et lui prend la bouche, dans un tendre baiser.l’embrasse.
Sentant que l’ambiance risquait de se dégrader, Fanny demanda à Alain, de lancer la musique. Tous les couples se lèvent, et rejoignent la piste en bois, mis à dispositions par un voisin. Très mauvais danseur, je me retirais à la table-bar. C’est là que Viktor me proposa, à moi et ma femme, de venir travailler chez lui. Moi, en tant que jardinier ; Tamara en tant que femme de ménage. Emploi très intéressant, en sachant que l’hébergement était compris ;
L’après-midi se débloquait enfin. Tamara adorait la danse, et se démenait sans compter. De temps à autres, elle se reposait sur l’épaule du richissime Viktor, au cours d’un slow langoureux. J’avoue l’avoir encouragée dans ce sens, pour, sans être aguicheuse, s’offrir ses faveurs financières, comme il l’avait fait à Fanny.
Petit à Petit, la crémaillère tournée à l’orgie. Les invités s’adonnaient aux plaisirs de la chair, même les plus incroyable, comme la maman de Fanny, en train de se taper sa belle-mère, la maman d’Alain, sous les yeux grands ouverts de leurs maris.
Tout près, c’est Fanny qui bouffe la chatte par Tamara, tandis que celle-ci taille une pipe à Gilbert, un invité de dernière heure. Quand à moi je prend Fabienne, pourtant gouine, en levrette. Elle reconnaît qu’avoir une bite dans la chatte n’est pas désagréable, en tout cas aussi bon qu’un gode, ou une langue sur le clitoris.
Ses scènes, d’une forte intensité érotique, se répercutent dans tout le parc. Des personnes, que tout oppose, se mélange dans des baises incroyables. Des femmes, hétéros jusqu’au bout des ongles, se font choper par des gouines, qui prennent plaisir à les faire crier de plaisir. Elles se soumettent aux caprices de ces jeunes filles, la plus part bi.
Et mon épouse, me direz-vous. Elle reste le clou de la fête. Tout le monde veut la baiser, lui manger sa petite chatte. Des femmes la culbute dans l’herbe, lui bouffe les seins, la branle. Tamara n’arrête pas de jouir, atteint de puissant orgasmes. Ses hurlements de plaisir raisonnent sur tout le terrain. Les hommes, avide de sexe, lui courent après, la saisissent par la tailles, la roulent au sol. Ils la couvrent de baiser, enfonce leurs queues au plus profond d’elle ; Elle éclate de rire quand elle parvient à leur échapper. Mais un, plus malin et plus patient que les autres, est à l’affût. C’est Bruno. Il parvient à l’isoler dans un coin du parc, derrière les haies. J’ai vu comme sa façon d’accepter de le suivre. Je m’approche, caché derrière un arbuste. Mais voila, il m’a vu, mais m’ignore.
Il l’allonge Tamara dans l’herbe, la caresse tout en lui prend tendrement les lèvres.
Il la force à écarter les jambes, exposant sa chatte parfaitement épilée, à ma vue.
Il la pénètre, doigte le clitoris entièrement décalotté. Tamara commence à se tordre comme un serpent sur l’herbe verte.
- Hum...c’est bon ça, sourit-il...t’aimes hein…
- Oh oui c’est bon...vas-y, caresses-moi.
- Ton mari te caresse pas comme ça ?
- Si...mais...salaud, tu vas me faire jouir...oui...je jouis…
Comment a-t-il fait pour la faire venir si vite. Je veux bien croire qu’elle en avait envie, mais quand même. Il doit avoir un secret. Mais ses connaissances sur les femme ne s’arrêtent pas là. Il arrive à la faire supplier de la baiser. Ce salaud joue avec elle, veux lui imposer ses caprices, même les plus outranciers. Il s’allonge sur le dos, l’oblige le sucer, à s’empaler sur sa queue dressée au ciel. Puis, il lui demande de se mettre à quatre pattes, pour la prendre en levrette. Il se place derrière elle, prend sa queue en main, qu’il dirige vers...le petit trou de Tamara.
« Non...pas ça, me dis-je...elle a jamais fait ça...»
Cet enfoiré, il sait que je suis là, sue je les regarde.
- Tu veux hein...tu as envie que je t’encule...dis le
- Oui j’ai envie...vas-y.
- Hum...salope...j’aimerai que tu le dise à ton mari...tu lui le diras...promets-moi.
- Oui...je te le promets...mais vas-y...encules-moi maintenant.
Impuissant, j’assiste à la première sodomie de ma femme, et ce n’est pas ma moi qui en est eu la faveur. Tamara remarque ma présence, me regarde des se yeux hagards, mélange de douleur et de plaisir. Soudain, Bruno, accroché aux hanches de ma femme, se tend comme un arc, Ses coups de reins s’accélèrent, tandis que Tamara hurle son orgasme. C’est au tour de Bruno. Il se retire, vient poser sa bite sur les lèvres de Tamara. Celle-ci les ouvre, au moment ou il éjacule, prenant de plein fouet son sperme dans sa bouche. A deux doigts de l’étouffement, elle avale toute sa semence. Lentement, il se retire, s’attardant sur ses lèvres, attendant que ma femme lui nettoie le gland avec sa langue. Puis il se lève, et va rejoindre le groupe, laissant Tamara pantelante sur l’herbe verte.
Je sors de mon buisson, et la relève.
- Allez ma chérie, rentrons...tu as tellement de chose à me dire.
- Promis mon amour…
Arrivé à la maison, la priorité est de prendre une bonne douche.
Pendant qu’elle finit de se préparer, je sers deux verres de whisky, bien tasser.
- Racontes-moi tout sans rien oublier, petite salope.. Dis-moi comment tu as pu te laisser fourrer les doigts dans la chatte par un inconnu.
- Il a su me parler, me convaincre de me laisser faire, que ce n’était qu’un jeu...
- Continue.
- Rapidement, il a retroussé ma jupe pour pouvoir accéder à mon entrejambe. J’étais excitée, j’avais le goût de ton sperme dans ma bouche. Je l’ai laissé faire.
Pour un peu, c’était ma faute. Je ne réponds pas tout de suite, préférant la laisser continuer. Et savoir si ça n’allait pas m’exciter à mon tour.
- N’empêche que tu t’es conduites comme une salope...
- Pardon mon amour. Je t’aime.
- C’était bon ?
- Oh oui...si tu savais comme Il m’a fait jouir. T’es fâché ?
Ces mots, même s’il me faisaient mal m’exciter. Sans l’excuser, j’arrivais à la comprendre. Ce qui l’a déstabilisée, c’est quand il lui a dit, que lui aussi, méritait une récompense. A partir de là, j’ai assisté à tout le reste.
Quand à la partie orgie, je ne pouvait lui en vouloir, ayant moi-même participer.
Six mois plus tard, Tamara et moi, signons nôtre contrat chez Viktor. Je dois reconnaître qu certaines clauses ne sont pas à mon avantage, comme par exemple celle de laisser ma femme à disposition, quand Viktor le souhaiterait. Au niveau travail, c’était cool. Pendant que je m’occupais du jardin, Viktor s’occupait de celui de Tamara, la baisant, ou la faisant baiser par les autres employés. Ce n’était pas rare Fanny vienne participer à ses parties à plusieurs.
Pendant que je tondais la pelouse, et taillais les haies, ma femme taillait les pipes. Sur le contrat, il était également prévu que Tamara passe deux nuits avec le boss.
Le pire, c’est quand il organise des soirée entre amis.
Ces soirs là, c’est moi qui m’occupe du service. Je vois Tamara lécher la chattes de Fanny, de vieilles femmes aussi, se faire baiser ou sodomiser sur les canapés par de vieux messieurs. Souvent elle finit la nuit avec Viktor et Bruno.
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