Bonjour. Je m’appelle Pat, vingt huit ans, marié à Coralie depuis trois ans. Coralie a un physique à tomber par terre. Nous sommes un couple assez libertin, aussi nous arrive-t-il d’aller souvent en club. Cela fait quelques temps que mon épouse couve un fantasme. Celui de sucer la queue d’un inconnu. Après lui avoir demandé de me tailler une pipe, ce qu’elle fit avec plaisir, je lui accordait cette faveur.
Pour l’occasion, je lui demandais de faire les boutiques de lingeries fines, afin qu’elle soit sexy, et mettre tous les atouts de son côté, pour se faire brancher.
De mon côté, je cherchais un club que nous n’avions jamais fréquenté, pour ne pas être reconnus par des accros à l’échangisme, que nous connaissons bien.
Nous nous retrouvons donc en cette soirée d’été, après avoir partagé un agréable dîner avec des amis, au cours duquel Coralie, ma ravissante épouse, a bu plus que de raison, sans doute pour oser franchir le pas. Oser me tromper ouvertement
même si cela se faisait d’un commun accord.
Alors que je l’observerais, elle devait séduire un homme lors d’une soirée en boîte, et voir ce qu’elle se sentirait capable de faire, sachant que nous n’étions pas sensé nous connaître, et que je pouvais mâter à loisir. Elle me confie qu’elle aurai envie de sucer une belle queue, peut-être deux si l’occasion se présente.
Une fois nos amis partis, Nous nous dirigeons vers le club que j’avais choisi, et que nous pensons pas trop fréquenté par nos relations. Je demandais à Coralie d’aller aux vestiaires se changer. Elle revint vêtu d’une petite robe noire très courte, couvrant à peine ses fesses, que les volants découvrent dès qu’elle bouge, et un profond décolleté, laissant entrevoir ses seins, maintenus par deux fines bretelles.
Après nous être aventurés une première fois sur la piste, je me dirige vers le bar, alors que mon épouse persiste aux milieu des danseurs.
Je l’observe du coin de l’œil, me doutant que son visage, son corps, sa robe, ne vont laisser indifférent, les mâles qui gravitent autour d’elle.
D’abord timide malgré l’alcool, elle danse bientôt sans retenue dans un coin de la piste. Insensiblement, un petit groupe d’hommes se réunit à proximité, lui lançant des regards intéressés, l’entourant parfois afin de nouer le contact.
Souriant presque de manière angélique, elle se trémousse, à la fois de manière très élégante, innocente et provocante, au milieu de ce groupe de quatre ou cinq hommes, très certainement des potes, avec lequel se crée de toute évidence, une certaine intimité. Lequel choisira-t-elle, pour assouvir son fantasme.
Sa petite robe noire est suffisamment transparente et courte, pour laisser deviner l’absence de tout sous-vêtements...ce qui ne laisse pas de marbre ses courtisans, qui ne laisse pas passer une occasion de caresser un bras, ou de la prendre par la taille pour un pas de danse, gestes auxquels elle répond d’un regard entendu.
Y Aillant été invitée, elle les suit dans un coin de la salle, à leur table, pour partager un verre, et faire plus ample connaissance. Assidûment entourée de deux mecs, assise sur le canapé, la robe remontant presque à la naissance de son entre jambe, et laissant sans doute entre voir sa petite chatte, à son vis à vis. Elle accepte sans broncher les effleurements sur ses jambes et ses bras.
Ayant repris leurs tours de danse, je me mêle petit à petit au groupe, sans qu’il ne se doutent de l’existence d’un quelconque lien avec cette jeune femme qu’ils aimeraient séduire , me permettant ainsi d’être aux premières loges, pour jouir des tournures de la soirée.
Tout en poursuivant les tours de danses, et les discutions particulières, les copains se pressent, par deux. Les discutions s’éternisent, des gestes rapprochent les corps.
Les bretelles de sa robe tombent régulièrement, dévoilant parfois brièvement l’un de ses superbes seins. Elle les remonte, comme si rien ne s’était passé.
Puis les contacts physique se font plus pressant, des mains passent plus ou moins discrètement sur les reins. Lorsque l’une de se bretelles tombent, elle offre désormais de plus en plus longuement, ses seins à la vue des convives, jusqu’à ce que l’un d’eux la remonte, en caressant le bourgeon au passage, lui valant, en guise de remerciement, de se coller à lui, passant les bras autour de son cou.
Passant de mains en mains, elle danse sans retenue, montant sur le podium, virevoltant sans se soucier de dévoiler sa petite chatte aux mâles qui se pressent à ses pieds.
Une partie du groupe ayant rejoint le bar, elle prend place sur l’un des tabourets. Me trouvant juste à côté d’elle, je l’entends soudain soupirer, et constate que la main de Marc, l’un des courtisans du groupe, remonte le long de ses cuisses, jusqu’à effleurer la chatte, quelle dévoile maintenant largement, ne tardant pas à lui rendre quelques une de ses caresses. Le tout l’air de rien, en sirotant un verre.
Voici donc l’homme qu’elle aurai choisi de sucer ? Je suis de plus en plus excité de connaître la suite des évènements…
A son invitation, Coralie le suit alors, pour aller danser en privé. Ne la voyant alors plus, je la cherche du regard, mais aperçois à sa table, les trois hommes, les trois potes présent au restaurant, et espère qu’ils ne nous pas vu, ni l’un, ni l’autre, et surtout qu’ils ne s’apercevront de rien, car il est trop tard pour arrêter la machine.
Un quart d’heure plus tard, mon épouse et son cavalier reparaissent, aussi soudainement qu’ils ont disparus, venant semble-t-il, des toilettes. Ma femme passa devant moi, avec un sourire coquin, et en passant sa langue au coin de sa bouche, là ou une goûte de plaisir qu’elle a donné à son bel inconnu d’un instant, perle encore. Ils se dirigent vers le reste du groupe, avec une complicité qui ne laisse rien ignorer de leur brève relation charnelle. Coralie s’assied autour de la table, dans un moelleux canapé. Elle est happée par David, un autre des potes, avec lequel elle entame la discussion.
Et là, contrairement à ce qui était prévu, le scénario recommence. Bretelles qui tombent, robe qui remonte en voulant saisir son verre, effleurements, caresses, et escapade sur la piste de danse...et disparition.
A peine Coralie et David ont-ils quittés la table pour rejoindre la piste de danse, que les invités assaillent Marc de commentaires sans ambiguïtés, pour obtenir des confidences. Après avoir fait durer le suspense, Marc leur raconte qu’il a passé ses mains sur ses fesses par dessus sa robe, sur la piste de danse, et qu’elle a ré
pondu en caressant sa queue, tout en lui disant à l’oreille. « J’ai envie d’elle ».
L’ayant entraînée dans l’une des cabines des toilettes pour homme, elle s’est agenouillée, pour le sucer longuement, avec délectation.
Puis, elle lui a enfilé un préservatif, et il l’a prise en levrette, avant de jouir dans sa bouche. Elle a tout avalé. Ses confidences déchaînent les commentaires des copains, qui se demandent avec envie, si d’autres auront l’occasion de baiser ma femme.
Pour ma part, je suis sidéré. Elle est allé beaucoup plus loin que ce que nous avions prévu...je suis aussi inquiet, qu’excité.
Les effets de détails de Marc, m’ont fait oublier que Coralie et David s’étaient absentés maintenant depuis plus de vingt minutes, moment qu’ils choisissent pour réapparaître, tout sourire. Chacun des potes se regardent de manière complice, très excités.
Après avoir ingurgité un grand verre de vodka orange, en expliquant en me regardant dans les yeux, avoir tout donné sur la piste, elle embrasse David à pleine bouche, avant de s’effondrer sur le canapé, entre Sacha et Lucas, deux autres potes, avec lesquels elle entame un dialogue. Lorsque la bretelle tombe une fois de plus, le premier en profite pour caresser un seins, avant qu’elle ne la remonte elle même, d’un air aguicheur.
S’étant absenté pour aller aux toilettes, les commentaires reprennent de plus belle. David se révèle plus prompt à partager ses exploits, et à raconter qu’après qu’elle l’est sucé sur le siège des toilettes, elle s’était empalée sur sa queue, sans même prendre le temps de se protéger. En rigolant, il explique même que, dans leur précipitation, ils avaient oubliés de fermer la porte à clef. Il dit même que quelqu’un était rentré, et avait profité du spectacle pendant quelques instants, au moment ou il la prenait en levrette. Tout fier, il finit son histoire en disant qu’il l’avait faite crier, avant de lâcher tout son sperme dans sa bouche et sur son visage, concluant que c’était une belle salope, qu’elle avait tout avalé. Ils sortirent des toilettes sous les applaudissements de quelques curieux qui se trouvaient là.
Lorsque elle revint, Coralie demanda si quelqu’un pouvait l’accompagner à la voiture. Ayant l’embarras du choix, elle choisi Sacha. Me doutant de la tournure de l’invitation, je me décide de les suivre discrètement, de plus en plus inquiet de son audace. Se faire baiser par un homme, n’était pas prévu, baisée par un autre, encore moins.
Sur le retour du parking, ma curiosité est récompensée. Dans l’escalator, Sacha glisse un doigt sous la robe, déclenchant un violent soupir de la part de Coralie. A tout les coups, il lui avait mis un doigt dans la chatte. Elle se retourna et lui donna un baiser.
En sortant du parking, Coralie l’entraîne dans une galerie faiblement éclairée, et s’offre à lui. Je peux la voir se laisser embrasser, caresser, baiser. M’approchant un peu plus, je l’entend gémir, puis atteindre l’orgasme, avant de s’agenouiller et lui sucer la queue.
Je reviens à la table quelques minutes avant eux, le temps de lui laisser nettoyer sa queue. En arrivant, Coralie me demande à l’oreille un mouchoir. Je la regarde d’un air inquisiteur, me doutant à quoi il allait servir..
Elle me répond sans détour et sans gène aucune, qu’elle a du sperme qui coule de sa chatte. Elle prend le mouchoir que je lui tend, et tente le plus discrètement possible de lever les traces de leur relation, en se cachant derrière un pilier. Je la rejoins, et lui demande à l’oreille ce qu’il s’est passé.
Gênée, se rendant compte de la situation et craignant ma réaction, elle me dit que, dans l’excitation, il n’a pas pu se retirer à temps, et qu’il a éjaculé au plus profond de sa chatte, et que son sperme commence à en sortir. Elle se dit désolée, et demande si nous rentrons.
Je ne sais pourquoi, mais mes craintes disparaissent soudain, pour ne laisser place qu’à l’excitation.
Bien qu’il ne soit pas plus de trois heures du matin, tous les fantasmes n’étant pas assouvis, le groupe que nous formons désormais, propose de poursuivre l’aventure chez l’un d’eux. Coralie tente de se défiler, mais j’approuve la proposition, en la prenant par la taille. Interloquée, elle essaie de protester, puis finit par suivre le mouvement.
En arrivant, certains vont se coucher, alors qu’avec d’autres, nous nous installons au salon. Les convives étant très excités, les choses ne tardent pas à dégénérer, malgré une certaine perte d’enthousiasme, de l’objet de leurs fantasmes.
Coralie semble à son tour inquiète, ne comprenant pourquoi nous ne sommes pas rentrés.
Je viens m’asseoir à côté d’elle, la prend dans mes bras. Je lui caresse les bras, puis l’embrasse sous le regard approbateur des invités encore valide. Je fais tomber les bretelles, caresse longuement son sein droit, avant de le lécher, ce qu’elle accepte sans protester.
Je la bascule sur le canapé, relève complètement sa robe, découvre entièrement sa chatte à la vue nos amis. Elle me regarde, surprise. Je me mets à lui caresser la chatte, arrachant quelques soupirs. Un des hommes s’approche vient s’asseoir sur le canapé. Il baisse son pantalon, en sort une queue énorme, qu’il présente à portée de la bouche de Coralie. Elle proteste, la soirée ne se déroulant pas selon le scénario prévu, et semble partir en vrille.
Je redouble de caresses sur sa chatte, et elle finit par prendre la queue en bouche, pendant que ma langue lui lèche le clitoris, et lui arrache des soupirs de plaisirs.
Il ne faut pas longtemps pour que je la pénètre, tandis qu’elle suce cette belle bite, pendant que les deux autres potes, revigorés, suivent la scène.
Ce spectacle aiguise encore plus l’excitation de chacun, et malgré les protestations de Coralie qui, maintenant dessaoulée, comprend qu’elle va se faire baiser à la chaîne.
Je cède ma place à un autre qui la pénètre sauvagement, et qui ne tarde pas à la faire gémir de plaisir. Déchaînée par l’excitation, mon épouse perd parfois tout contrôle, et ne se rend pas compte que les queue défilent dans sa chatte.
Lorsque soudain, l’un des mecs tente de la sodomiser. Elle essaie une dernière fois de se soustraire en me regardant pour me demander de l’aide, mais je n’interviens pas. La grosse queue pénètre le petit trou, lui arrache un cri de douleur, puis petit à petit, se calme, acceptant l’intrus qui l’encule.
Elle se fait longuement baiser sur le canapé, ou sur la moquette du salon, dans toutes les positions. Les queues se succèdent dans sa chatte, dans son petit trou, pour se vider dans sa bouche. Ses cris lors de terribles orgasmes, finissent par réveiller les assoupis, qui après avoir observé la scène, viennent se mêler à l’emballage.
Pris de fatigue, je décide d’aller me coucher, et m’endors, bercé par les soupirs de ma ravissante épouse.
Au réveil, je pars à sa recherche. Je la trouve endormie sur le ventre, dans un grand lit, aux côté de deux hommes. La pièce sent le sexe, le sperme. Je soulève le drap, et découvre sa petit chatte à moitié ouverte, et luisante, dont suinte avec abondance les offrande que lui ont faites ses amants.
Je vais alors me recoucher, apaisé et excité en sachant tous les plaisirs qu’elle a pris, mais aussi inquiet de ce qui s’était passé, inquiet de sa réaction au réveil.
Je suis réveillé quelques heures plus tard par les mêmes gémissements, qui m’avaient bercés pour m’endormir. Je me relève et découvre Coralie, suçant une queue, pendant qu’elle se fait prendre sure le côté, par les deux hommes qui l’encadraient pendant son sommeil. Je m’approche, elle me regarde dans les yeux, d’un regard perdu, jusqu’à ce qu’elle soit submergée par le plaisir.
Les potes de la veille se réveillent les uns après les autres et la vue de ces ébats suscite en eux un regain de désir. J’observe les ébats pendant un long moment, les queues se succèdent dans les différents trous de Coralie. Elle n’en finit pas de jouir, et doit régulièrement essuyer sa chatte, qui dégouline de sperme des mecs qui la baisent chacun leur tour, et à plusieurs reprises.
Je lui glisse un mot à l’oreille, et lui dis que je vais l’attendre à la maison, ou elle doit me retrouver, pour me raconter ses plaisirs.
Elle me demande si elle ne peut rentrer que le lendemain. Sa voix est saccadée, elle a de la peine à contenir ses soupirs, que les coups de queues qu’elle reçoit lui arrachent...je lui donne mon accord.
Elle ne rentre que le lendemain après-midi, épuisée, heureuse, mais aussi craintive de connaître ma réaction.
Elle commence par s’excuser des risques pris en laissant ces inconnus vider leurs couilles en elle. Elle me dit qu’elle ne s’est tout d’abord pas rendu compte de ce qu’elle faisait, et qu’après, il était trop tard. Ils étaient en train de la baiser, leur grosse bites encrées dans tous ses trous.
Lorsque je l’ai rassurée, elle me raconte dans les détails, ce qui réellement passé.
Dès le début, la situation lui a échappée.
Excitée par l’aventure, étourdie par l’alcool, elle s’est laissé baiser sans arriver à protester contre le premier homme. Puis, elle était tant excitée, qu’elle a voulu me faire la surprise d’aller plus loin que prévu.
Ce n’est que lorsque le troisième mec a fini par lâcher son sperme au plus profond de sa chatte, qu’elle se dit qu’il fallait tout arrêter.
Elle n’a accepté qu’à contre cœur de poursuivre la soirée, mais après coup, elle est heureuse de cette expérience, et aurai regretté de ne pas l’avoir vécu.
Je m’excuse pour la responsabilité que je porte, car je n’ai rien fait pour qu’ils se protègent, et lui explique que lorsqu’elle est revenue du parking, je n’ai plus eu que pour envie, qu’elle se donne entièrement à eux. Pour toute réponse, elle m’embrasse, et m’avoue qu’elle n’est pas sure de pouvoir se passer à l’avenir, de sentir différentes queues la pénétrer, et surtout de sentir sa chatte pleine de sperme d’autres hommes que moi.
Elle m’apprend que lors de la seconde nuit, seul quatre d’entre eux sont restés, mais ils l’ont baisée toute la soirée et toute la nuit, avec douceur et violence à la fois. Elle m’avoue même, qu’ils lui ont fait essayer la double pénétration. Elle a adoré, et s’est faite tringler pendant des heures, avec parfois, en plus, ce petit plaisir de la sodomie, qui l’a emmenée à jouir comme jamais. Mais ce qu’elle ale plus apprécié, c’est de sentir autant de queues, et de grosses couilles se vider en elle, ce qui lui arrivait un nombre de fois incalculable, durant ce week-end.
Nôtre conversation dure longtemps. Elle me confie avec beaucoup de gène, le rouge au joues, qu’elle aimerai se faire baiser par d’autres hommes en mon absence, car c’est un plaisir différent, de se trouver seule avec eux. En parlant, elle me dit notamment qu’elle aimerai avoir un petit cercle d’amant réguliers, avec lesquels elle pourrait renoncer à se protéger, sans prendre des risques inconsidérés, comme ce week-end.
Sans lui avouer et surtout lui montrer que cette idée m’excitait terriblement, j’accepte à une condition...qu’elle soit d’accord que je la prête à mes amis, quand ceux-ci ont envie d’une belle femme à baiser.
Choquée par ma proposition, elle refuse, en me disant qu’elle ne veut pas que mes potes sachent. Elle est sidérée et pleine de honte quand je lui dis que certains d’entre eux l’avaient probablement vue, le soir ou elle s’est offerte en public.
Après une longue discussion, elle accède à ma demande, en me disant qu’elle se laisserai baiser, si l’occasion se présentait, mais uniquement s’ils sont autorisés à vider leurs couilles en elle.
Je lui dis que je lui dirais le nom de celui qu’il avait surprise en train de tailler une pipe à un inconnu, à condition qu’il est la primeur de lui mettre deux doigts dans la chatte, et de se faire sucer...et me baiser, ajouta-t-elle.
Marché conclus...nous décidons de répéter ce genre d’aventure, aussi souvent que nous le souhaitons...a suivre donc...
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