Ma femme s’appelle Judy. Elle est âgée de trente cinq ans, cheveux brun tombant sur les épaules, avec de grands yeux gris-vert. Elle mesure un mètre soixante douze, des seins bien fermes, de longues jambes conduisant vers une croupe bien cambrée.
Bref, une belle paire de fesses galbées naturellement, comme une invitation agressive à les croquer. Une bombe.
Elle est très féminine, et pour en dresser un tableau complet, elle est très ravissante. Elle a, certainement, comme beaucoup de femmes d’ailleurs, une double personnalité. Un côté très sage, très rangé, limite bourgeoise, dans la vie quotidienne, s’occupant de la maison, et des enfants, et un côté, dans l’intimité de la chambre, très salope, chienne en chaleur, et friande de sexe, préférant s’occuper des bites et les couilles.
Ainsi, quand je la vois tranquillement assise sur le canapé de cuir, en train de feuilleter un magazine, je ne peux m’empêcher de penser, que ce même visage angélique, concentré et absorbé par la lecture, était à d’autres moments transformé par le plaisir, les yeux dans le vague, la bouche ouverte, gourmande, gémissant en taillant une pipe, sur une queue bien dure. Mais n’est-ce pas là, toute la beauté d’une femme.
Bref, nous nous aimons, aimons le sexe et nous racontons souvent, pendant nos ébats, nos fantasmes, même si nous ne les réalisons pas tous…
L’un des plus courants, qui nous excitait tous les deux le plus, était de faire l’amour à plusieurs, avec une autre femme, ou, plus spécialement pour Judy, avec un autre homme. Souvent, quand, entièrement nue, elle me chevauchait, empalée sur ma queue, se démenant sur ce pieu, la laissant à la fois combler bien à fond, et remuant son ventre, pour frotter son clitoris contre le mien, ses mèches dansant dans son cou, ses seins se balançant au rythme de ses coups de reins frénétiques, tout en empoignant ses fesses à pleine mains.
- Hum...ma chérie...tu aimes ?
- Oui...j’aime, roucoulait-elle
- Tu aimes la bite ?
- Oui...tu les sais...j’aime la bite…
- Tu aimes te faire enfiler...tu aimes sentir des centimètres de queue partout en toi…
- Oh oui...c’est trop bon...encore ; disait-elle en gémissant.
Puis ma main remontant le long de son corps pour caresser sa nuque, tourner vers l’avant, et effleurer ses lèvres.
- Je suis sûr que tu aimerais avoir des centimètres de bite, en même temps, dans ta bouche.
A ces mots, elle happait goulûment mon doigt, et le suçait avec frénésie, redoublant d’une intense excitation.
- Tu vois, tu aimes ça...tu es une salope…
- Oui...je suis une salope….j’adore me faire ramoner...hum...j’adorerais me faire prendre par deux queues.
- Dis-moi...tu penses à quoi là ?. Qu’elle image traverse ton esprit en ce moment ?
D’une voix tremblante, secouée par les ondes du plaisir qui l’inondait, elle avouait alors.
- Je vois des queues, plein de queues, de grosses queues bien dures autour de moi … plein de mecs qui me bourrent tous les trous et qui déchargent…plein de sperme qui ruisselle sur moi … j’aime ça … je veux être une salope juste bonne à être enfilée…
Dans un ultime râle, je jouissais également, lui envoyant de longues et chaudes giclées dans la chatte. Alors elle se laissait tomber sur mon torse et nous nous embrassions tendrement et amoureusement, oubliant toutes nos envolées jusqu’au prochain moment d’intimité. L’idée de passer du fantasme à la réalité me trottait dans la tête, mais je savais que Judy, redevenue l’épouse modèle et sage une fois l’orgasme passé, refuserait catégoriquement toute expérience de ce type. Il faudrait donc pour arriver à mes fins, et aux siens, user de créativité et profiter du bon moment.
Celui-ci arriva par un beau soir d’été. Nous étions seuls toute la semaine, les enfants étant en vacances pour quelques jours chez leurs grands parents. Judy avait passé toute l’après-midi à se reposer au bord de la piscine, laissant la chaleur et l’éclat du soleil envelopper et dorer sa peau. Quand je rentrai de mon travail vers dix neuf heures, je la trouvais encore allongée sur un transat, assoupie et bercée par les derniers rayons. Je déposais un délicat baiser sur ses lèvres closes, laissant le revers de ma main dessiner légèrement les courbes de son corps.
- Oh, mon chéri … tu m’as réveillée … mais quelle heure est-il ?
- Dix neuf heures … pourquoi ?
- Mince … Franck va arriver …
- Franck ?
- Oui, l’étudiant qui fait du modelage avec moi, il m’a téléphoné, il me ramène ma pièce.
En effet, Judy faisait partie d’un groupe qui suivait des cours de modelage artistiques, et la cuisson de sa dernière pièce, une femme nue étendue aux chairs voluptueuses, venait d’être cuite et était donc disponible, et l’un des participants, Franck, lui proposait de lui rendre service en la lui rapportant. J’avais à peine digéré l’information qu’un grand jeune homme, pas mal fait de sa personne et au sourire enjôleur, vêtu d’un jean et d’une ample chemise de coton, apparaissait sur la terrasse avec la fameuse pièce en main.
- J’ai sonné … et comme personne ne répondait je suis passé par derrière.
Judy le remercia et je le saluais en lui proposant un verre. Il posa la pièce sur la table de bois et je voyais ses yeux dériver sur le corps presque nu de ma femme, s’attardant sur ses hanches qui laissaient deviner des fesses aguichantes. Ma femme se leva pour aller chercher trois verres et une bouteille de muscat. Il suivit le déhanchement lascif de ses hanches, tout en me parlant de ses études. Je l’invitais à s’asseoir au bord de la piscine pendant que Judy nous servait. Je crus qu’il allait s’évanouir quand, pour remplir mon verre, elle se pencha, lui mettant involontairement, et sans penser à mal, pratiquement à un mètre de son visage, la vision de sa croupe rebondie et tendue.
La bouteille de muscat se vidait tandis que le soleil déclinait à l’horizon. L’alcool aidant, la conversation se fit plus cordiale, plus amicale, voire par moment, plus intime.
Nous étions donc tous plus ou moins assis sur la terrasse en bois bordant la piscine et le jardin. A l’arrière de nôtre maison, des arbres nous masquent totalement d’éventuels regards indiscrets et les plus proches voisins se trouvent à près de cent mètres. J’avais laissé tomber ma veste et Judy n’était toujours vêtue que de son maillot de bain noir, dont le bas était échancré et dont le tissu semblait comme collé entre ses cuisses, épousant si parfaitement le renflement se son sexe. Elle devenait d’ailleurs d’humeur enjouée, voire polissonne par instants, et questionnait sans relâche Franck sur sa vie privée, s’amusant de ses réponses quelquefois embarrassées.
Quand Franck s’éclipsa cinq minutes pour aller aux toilettes je lui murmurais à l’oreille de Judy.
« Qu’est ce qui t’arrive ma chérie … je te reconnais plus …»
« Tu sais, moi non plus … mais j’ai la pêche ce soir …vivement ce soir qu’on soit seuls. car j’ai très très envie …»
« Moi aussi … , lui dis-je, tout en glissant ma main entre ses cuisses, ma paume couvrant le renflement de sa chatte...et en plus ce soir au lit je suis sûr que tu imagineras que c’est la queue de Franck qui est en train de te baiser …»
À ces mots, je sentis son ventre se contracter davantage et ses cuisses se serrer autour de mes doigts. Le tissu de son maillot était à nouveau mouillé … mais cette fois-ci ce n’était pas l’eau de la piscine
« C’est vrai mon chéri .. cela m’excite déjà rien que d’y penser...
Elle venait à peine de finir sa phrase que Franck réapparut, un peu gêné et mal à l’aise par la vue de ma main emprisonnée entre les cuisses de ma femme. Je la retirai vivement. Ne sachant quel comportement adopter il bafouilla.
- Heu…je crois que je vais vous laisser …il se fait tard … excusez-moi.
Sentant que le moment tant rêvé était peut-être arrivé de réaliser notre fantasme non avoué, je décidai en une fraction de seconde de franchir le pas, de transgresser la morale éventuelle, de sauter dans le gouffre de la luxure et du plaisir. Je pris mon courage et lui dis :
- Mais non, Franck… restez encore, au contraire. Ne soyez pas gêné par la situation, nous, cela ne nous gêne absolument pas, d’ailleurs pour vous rassurer je vais le refaire.
Ma main s’immisça alors pour la seconde fois entre les jambes de Judy. Elle les ouvrit amplement pour me faciliter l’accès et ferma les yeux en renversant sa tête en l’arrière, pendant que doucement je lui massais la chatte par dessus son maillot. Franck n’en perdit pas une miette, son regard semblant vissé à mon geste.
- Elle n’est pas belle, ma femme, ainsi ?
- Si .. si .. bien sûr … réussit-il à articuler
- Et excitante aussi … non ?
- Oui … oui … bien sûr …
Me penchant alors vers Judy, je lui dis.
- Ma chérie … ton étudiant te trouve belle et en plus tu l’excites … je pense qu’il serait normal que tu lui en dévoiles un peu plus … ça te dérange pas ?
En guise de réponse, elle serra ses jambes posées sur le sol pour me permettre d’enlever plus facilement le slip de son maillot, et tout de suite les rouvrit presque impudiquement pour continuer de s’abandonner à ma caresse. J’invitais Franck à s’approcher pour mieux voir. Il s’accroupit entre les jambes de mon épouse à environ un mètre de son ventre. Elle était maintenant à moitié couchée sur la terrasse, prenant appui sur ses deux coudes pour pouvoir nous observer. Moi j’étais donc agenouillé à ses côtés, la caressant d’une main, et nôtre étudiant se tenait en face. De temps en temps, je stoppais mon geste pour lisser et écarter ses lèvres intimes d’un doigt avant de revenir titiller son petit bouton décalotté, en faisant des commentaires chauds sur son anatomie, pour décupler ses envies.
- T’as vu sa belle petite chatte comme elle s’ouvre… et elle est super mouillée…regarde comme mon doigt coulisse bien, écoute le bruit que ça fait quand il rentre et qu’il sort…
Ses yeux semblaient sortir de ses orbites devant le spectacle que nous lui offrions et une bosse impressionnante tendait son jean.
- Et en plus elle adore ça… là elle est chaude comme elle ne l’a encore jamais été… n’est pas ma chérie ?
- Oui… Philippe… j’ai envie de me faire baiser… je suis toute mouillée…
- Hum … tu veux de la queue ?
- Oh oui … de la bonne grosse queue bien dure … Franck … tu veux pas me montrer la tienne … je te montre bien ma chatte…t’as pas envie de baiser une belle salope ?
- Alors, dis-je en regardant Frank…t’as pas envie de lui en donner ?
- Oh oui Frank, gémit Judy, sors ta queue et viens me niquer…
Franck semblait comme pétrifié, comme changé en statue de glaise … la glaise qu’il pétrissait chaque semaine à ses cours de modelage avec ma femme. Alors elle se redressa et se mit à genoux. Son visage était à la hauteur de la fermeture de son jean et d’une main experte, elle fit sauter les boutons et plongea directement sa main dans le caleçon pour en sortir une queue bien entendu déjà bien dure et grosse.
- Ouah, mon chéri...tu as vu comme elle est grosse? Plus grosse que la tienne.
- C’est vrai, mon amour...mais nous n’en sommes pas au stade des comparaisons. Si elle te plaît tant que ça, qu’attends-tu pour las prendre en bouche ?
Immédiatement elle la saisit pour se l’engloutir dans la bouche et la sucer avec déchaînement. C’était la première fois que je voyais ma femme sucer une autre bite que la mienne, mais le spectacle de son visage comme aspiré par cette queue, de sa joue déformée par le gland quand elle l’embouchait de ses lèvres que j’embrassais si souvent, même d’un simple baiser chaste, et qui là se fermaient sur une hampe bien dure et la faisait glisser du sommet jusqu’aux couilles, m’excita comme jamais. En trente secondes, mes vêtements gisaient épars sur le sol et je dégrafais le haut de son maillot pour libérer ses seins. Puis mes mains se posèrent sur ses fesses, qu’elle tendit à mon approche, comme une invitation à une dégustation plus poussée, et, accroupi derrière elle je plongeais deux doigts dans sa chatte, qui ruisselait de mouille et de cyprine, tout en la regardant administrer une superbe fellation. Elle ondulait sa croupe comme une chienne, perdant toute notion du temps et de l’espace, se libérant de toute contrainte pour ne laisser cours qu’à ses envies de sexe. Pour la rendre folle, je lui disais :
- Alors chérie, est-ce qu’elle est bonne sa queue? Est-elle assez grosse pour une gourmande comme toi ? Et toi, Frank, elle te suce bien ? finalement tu ne dois pas regretter pas d’être resté … tu pensais, pendant vos cours de modelage, qu’un jour ma femme aurait ta bite dans la bouche ?
- Euh .. non, répondit-il entre deux râles, …elle semblait si réservée … je n’aurais jamais imaginé çà …
- Mais tu en avais envie … peut être même que tu fantasmais déjà sur elle ?
Franck ne répondit pas, mais Judy, recrachant un instant son sexe, leva ses yeux coquins vers lui et renchérit :
- Oui … dis-nous, Franck … je te faisais bander pendant les cours ? peut-être que tu te branlais même le soir dans ton lit en imaginant tout ce que je te fais là …
Notre étudiant perdit alors sa timidité et enfin se lâcha.
- Hum .. oui Judy… tu m’excitais déjà … je rêvais de ta chatte, de tes lèvres pulpeuses, de ton corps … je me demandais si tu étais une coincée ou une chaude … mais j’aurais jamais pensé que tu étais aussi salope et aussi bonne …hum oui … bouffe ma grosse queue … on dirait que tu en raffoles de mon zob…alors pompe-la bien à fond...ton mari a de la chance d’avoir une chienne comme toi qui aime s’enfiler des queues bien dures et en redemande ….
Dans un ultime soubresaut il déchargea alors de longs jets chauds de sperme dans la bouche de Judy. Ma femme l’avala jusqu’à la dernière goutte … puis, contente d’elle-même, elle se laissa choir sur la terrasse, couchée sur le dos, entièrement nue, les jambes totalement écartées, les bras en croix, semblant attendre la suite des évènements. Franck reprenait ses esprits … et moi aussi, mais Judy n’avait pas encore joui. Alors sa main se posa sur sa chatte et elle se mit deux doigts dans la fente, commençant à se ramoner en nous implorant.
- Donnez-moi encore de la queue …
- Je vais te bourrer la chatte, ma chérie … en attendant que Franck retrouve la forme, d’ailleurs si tu le branlais un peu je suis certain qu’il redeviendrait rapidement dur ! ajoutai-je en plaisantant.
Je me positionnais alors entre ses cuisses, lui levant les jambes pour l’ouvrir totalement et impudiquement, et j’appelai Franck, alors que je présentais mon gland à l’entrée de son antre humide.
- Regarde bien comme ça va s’enfoncer et glisser sans problème tellement elle coule … elle n’a pas une belle fente ma femme ? Remets-lui ta queue dans la bouche qu’elle te fasse rebander, comme ça tu pourras aussi la bourrer et lui décharger dans la chatte.
Il ne se fit plus prier, et s’installa à califourchon sur le visage de Judy, lui mettant ses fesses sous les yeux et ses couilles sous la langue, se frottant contre ses joues, ses lèvres, son nez. Elle emprisonna aussitôt sa queue encore un peu molle dans sa main et se mit à la branler avec vigueur. Moi je la besognais, faisant rentrer puis complètement ressortir ma bite de sa chatte, la limant tout en la regardant branler la queue de Franck qui durcissait, et lui léchouiller les bourses velues. Quand il fut à point, je me retirai et ordonnai à ma femme de se mettre à quatre pattes.
Les derniers rayons de soleil illuminaient son corps ainsi offert. Elle était nue, soumise et heureuse, avançant comme une salope qui a envie de se faire sauter sur la terrasse en bois, cambrant au maximum sa croupe pour nous exciter davantage, secouant de temps en temps la tête pour faire retomber ses mèches de part et d’autre de son visage, faisant darder sa langue et humectant ses lèvres.
- Hum, ma chérie, tu es sublime…on dirait un fauve…une lionne en chaleur qui est sortie chasser la queue …
- Oui .. mon chéri…ce soir je suis une chasseuse de queues…et là j’en ai vu deux qui me font trop envie…que j’ai envie de me mettre ..
- Et tu les veux où ?
- Celle de Franck, je la veux dans ma chatte … elle ne la connaît pas encore. Viens, Franck, viens me ramoner … tu vas voir, j’ai la fente brûlante et inondée … viens me donner un bon coup. Et la tienne mon chéri, tu me la fous dans la bouche … je vais la sucer … comme ça tu seras près de moi quand je jouirai et tu pourras lire dans mon regard le plaisir que prend ta salope de femme de se faire ramoner par la queue d’un autre mec devant toi…
Franck n’attendit pas qu’elle eût fini sa phrase pour se positionner derrière elle, la saisir aux hanches et s’enfoncer par derrière dans sa chatte, après avoir bien sûr revêtu un préservatif. Le voyant faire, je saisis Judy par les cheveux et lui fourrai ma queue prête à exploser, tellement j’étais excité, dans sa bouche vorace. Il la pilonnait avec force. À chaque assaut de sa part, Judy était un peu projetée vers l’avant et mon gland butait contre le fond de sa gorge. Quand elle sentit l’orgasme arriver, elle redoubla de frénésie sur ma queue et me regarda intensément. Je pus alors lire dans ses yeux les ondes de jouissance qui submergeaient son corps. Franck éjacula dans la foulée, alors que je déchargeais dans la bouche. Judy saisit la queue de Frank, la faisait aller et venir contre se petit trou, en me regardant.
- C’est vraiment ça que tu veux, dis-je.
- Je voudrais essayer mon chéri...je ne me suis jamais faite sodomiser...s’il te plaît.
- Soit...t’as entendu Frank...encule ma femme…
Frank humidifia délicatement, le petit orifice. Sachant que c’était la première fois, il y alla doucement. J’assistais, impuissant, au dépucelage anal de mon épouse.
- C’est bon...elle est bien en place...vas-y, encules-moi...bien profond.
Je n’en voulais pas à Judy, de ne mas être le premier à le sodomiser, ça lui faisait tellement plaisir que ce soit son collègue de modelage. Soudain, Judy poussa un cri. Elle venait d’atteindre un puissant orgasme, provoquant un tsunami autour de la piscine.
- Je t’adore ma chérie…c’est trop bon de voir sa femme se faire mettre…je n’ai jamais joui aussi fort.
- Et Frank, poursuit-elle...quel amant…
Je la pris dans mes bras, et on se donna un torride baiser. Quand nos lèvres se décollèrent, Frank avait disparu. Nous regardâmes dans les yeux en souriant, et plongions dans la piscine pour calmer nos ardeurs.
Ce qui n’empêcha pas, de passer la nuit à faire l’amour. Judy m’offrit tout ce qu’elle ne m’avait jamais donner jusqu’à présent...grâce à Frank.
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