Ces vacances de juillet, le plan c’est pas de plan. En gros on passe voir des potes vers Montpellier et ensuite on avise. On ira où on veut, au gré de nos envies.
Avec ma compagne on part donc pour un road trip de 15 jours. On a chargé tout ce qu’il faut dans la voiture pour être autonomes, tente, matelas, duvets, de quoi cuisiner un peu et se mettre à l’aise pour l’apéro, glacière, surf sur le toit, morey dans le coffre, les VTT, de quoi faire bronzette et faire du sport. On y go!
Bon le week-end chez les potes c’était top, retrouvailles, bonnes bouffes, franches rigolades, et du coup c’est reposant après le rythme infernal du boulot et du train train quotidien, même si on a profité de nos soirées jusqu’à pas loin du lever du jour.
Donc on repart de chez nos potes avec en tête un coin à découvrir: la Camargue. Besoin de calme, de se reconnecter avec la nature, de faire de belles photos et ballades juste en amoureux.
On improvise une place dans un camping, pas facile d’en trouver mais finalement on en dégote une. Donc ça c’est fait, on est tranquilles.
On passe une première journée super, on se ballade en barque dans les canaux, on découvre une belle plage, très peu fréquentée avec l’eau certes fraîche mais belle. Je peux vous dire qu’avec la chaleur qu’il faisait et les 15-20 km, je ne sais plus trop combien, à pédaler, la baignade a été salvatrice.
Bon le retour sera long mais on a le temps. On s’est posés un peu sur la plage pour profiter de nous. On s’est câlinés, massés, embrassés sans arrêt…et notre désir mutuel s’est réveillé sous le soleil. Mais on était pas non plus tous seuls, pas motivés pour chercher un coin discret sachant qu’on voyait à des kilomètres à la ronde. Donc voilà on a profité et on a le temps pour faire l’amour pendant ces vacances. Bon ok on s’est quand même fait quelques caresses intimes mais pas plus.
On repart et arrivons au camping. Branle bas de combat pour tout installer pour deux nuits, une bonne douche, repas au resto et début de soirée sympa. HS tous les deux on file se coucher. Le problème c’est qu’on a un emplacement tout proche de la station d’épuration du camping. Ça schlingue pas mal et ça fait pas envie. Dodo, et demain on se barre au plus vite.
Je revêt un short fin et léger en lin, une chemise de randonnée à manches longues pour se protéger du soleil, une bonnes paire de pompes, et ma chérie porte un chemisier blanc très léger où l’on voit un peu son soutien-gorge violet dessous, une jupe légère comme un voile, fendue, orange pâle. Elle lui arrive juste au dessus des genoux, et une bonne paire de pompes aussi. Je sais que dessous elle porte le string violet que j’adore. On visite les salines d’Aigues-Mortes, on randonne et on se dit que la fin d’après-midi serait propice pour visiter le parc ornithologique. C’est un beau parc, grand, et même s’il y a un peu de monde aux alentours de l’entrée, vers les flamands roses, ailleurs pas grand monde n’a envie de faire le grand tour. On profite du spectacle vers l’entrée, c’est super sympa, l’appareil photo crépite bien, et je me donne à cœur joie d’associer sa jupe orange à la robe des flamants roses.
On continue sur le chemin qui fait le tour des étangs, en s’arrêtant regarder les oiseaux et profiter de la nature. Il y a des plateformes en hauteur, des petites cabanes d’observation où on peut contempler les oiseaux à la jumelle.
On continue comme ça un bon moment, et dans le dernier quart du chemin, il commence à être tard, oui le parc reste ouvert. Le soleil a bien baissé et donne de magnifiques teintes orangées, les oiseaux reprennent leur vie après la chaleur écrasante de la journée et le brouhaha des visiteurs.
On trouve une très grande cabane d’observation et on s’y pose. Comme quasiment partout il n’y a personne. On boit un petit coup mais il y fait chaud. Je verse un peu d’eau sur le cou de ma chérie, qui apprécie grandement. J’en verse alors un peu sur sa poitrine. Elle me regarde avec un petit sourire coquin, prend les jumelles et regarde l’étang en s’accoudant sur les bords des petites ouvertures de la cloison de bois. Du coup elle est penchée en avant et sa jupe moule magnifiquement son petit cul. Je viens me coller contre elle pour regarder l’étang au dessus de son épaule. Je l’embrasse dans le cou et caresse ses seins à travers son chemisier. Elle gémit doucement et presse ses fesses contre moi.
De mi-molle ma queue gonfle à vue d’œil et c’est maintenant une grosse barre qu’elle sent contre elle. Je passe ma main par devant sa jupe et caresse le haut de ses cuisses. Mais je préfère le contact de sa peau, et passe ma main dessous, jusqu’à son string. Je caresse son pubis, alors qu’elle décolle un peu ses fesses de moi pour glisser sa main sur la bosse formée sous mon short.
On a clairement envie l’un de l’autre. Je caresse sa fente par dessus l’étoffe de son string, puis elle écarte un peu ses jambes. Dans un élan, je remonte sa jupe sur ses reins et caresse ses fesses. Rapide je fait glisser son string à ses pieds. Elle rit en regardant autour, et rassurée elle prend son string et le range dans son sac à dos. Elle déboutonné les boutons de mon short, sauf celui du haut, fait glisser mon boxer sur le côté en attrapant mon sexe et en le sortant par la braguette. Elle le masse un peu, et se retourne. Je lève sa jupe, me plaque contre elle qui guide mon sexe vers le sien et passant sa main entre ses jambes.
Han…la pénétration est délicieuse, douce, chaude. J’ai toujours aimé le plaisir de cette première pénétration. Une vague de bien-être envahit mon corps…
Je baisse sa jupe au maximum sur ses fesses et ondule mon bassin pour faire glisser mon sexe en elle. Elle m’attrape une main, la glisse sous son chemisier et me la plaque contre son sein. C’est très excitant car nous ne faisons pas non plus l’amour très souvent en dehors de notre cocon ou de lieux où notre vie intime est intime.
On fait l’amour délicieusement, ses ondulations du bassin, ses changements d’inclinaison, ses mouvements de gauche à droite mêlés à mes coups de reins tantôt rapides tantôt lents nous excitent énormément. Je ressors parfois de sa fente pour la repénétrer ou caresser sa fente humide avec mon gland. D’autres fois je ne rentre et ne sors que mon gland, puis presque par surprise coulisse toute la longueur de mon membre en elle, jusqu’à écraser ses fesses contre mon bas ventre. À chaque fois cela la fait gémir, et ça m’excite encore plus. J’adore aussi voir sa croupe en relevant sa jupe. C’est comme un cadeau pour mes yeux à chaque fois que je la relève.
Je sens son vagin mouiller abondamment, ça glisse presque trop et je ressens moins de plaisir, alors j’accélère le rythme pour la rendre folle de plaisir. Elle l’a bien compris et compense en serrant bien ses jambes l’une contre l’autre, m’emprisonnant la queue comme dans un étau.
Mais je ne ralentis pas, même si du coup mes sensations sont redevenues plus qu’agréables. Elle ne peut s’empêcher de gémir. Je glisse un doigt dans sa bouche pour lui faire comprendre qu’on devrais être plus discrets, cela marche pour elle mais comme elle suce mon doigt comme si elle suçait mon sexe c’est moi qui me mets à gémir.
Elle en veut, et moi je suis chaud comme la braise. Je la pénètre alors puissamment, en la maintenant par la taille et l’amenant à moi pour me planter au plus profond d’elle. Elle va jouir, je le sais.
Mais là …stupeur ! On entend des voix assez proches!
Je ressort de son sexe en feu, baisse sa jupe et ai tout juste le temps de me plaquer contre elle et faire semblant d’observer les oiseaux…je n’ai pas eu le temps de ranger ma queue, elle est trempée contre le derrière de sa jupe…Les gens sont déjà dans la cabane, nous on est au fond, il fait sombre, pas sûr qu’on nous a captés. Enfin il y a de quoi bien douter vu comme on est placés et collés l’un à l’autre.
-Bonjour !
-Bonjour nous répondons presque en haletant sous l’effet combiné de l’excitation et du stress de la situation.
Ils font un tour dans la cabane, lisent les panneaux d’informations, regardent dehors. Ça me semble trop long…ça doit faire retomber son excitation, elle qui était sur le point de prendre son pied. Je commence à débander, et je sens de la liqueur d’excitation poindre au bout de mon gland.
Histoire d’entretenir la flamme, je chuchote doucement à son oreille :
-Attends je suis en train de tacher ta jupe tellement je mouille, lui dis-je.
-ah non tu taches pas ma jupe hein! Moi aussi je suis bien mouillée mais je tache pas ton short !
-pas sûr qu’il ne soit pas déjà mouillé de quand on était emboîtés l’un dans l’autre…
-On va essayer de se séparer discretos, si tu veux je te cache le temps que tu remballes ta belle queue me répond-elle.
Hop, elle avance son bassin vers la rembarde et je fais face au mur du fond de la cabane, elle me couvre. Je remballe mon sexe dans mon caleçon. La vache il est tellement sensible et mouillé, glissant…puis je referme mes boutons et me promène dans la cabane, comme si de rien n’était. Je repasse vers ma compagne et souris, elle a un regard mutin et souris aussi, elle est toute rouge. Elle me demande:
-Tu crois qu’ils nous ont grillé ?
-Je sais pas trop, mais ils ont certainement deviné ce qui se passait quand même. Je suis vraiment désolé, je t’ai laissée au meilleur moment !
Elle se remet en position accoudée à l’ouverture vers l’étang, en m’implorant du regard de faire de même.
-oui j’étais en train de commencer à prendre mon pied, quand tu t’es retiré j’ai même eu des petites contractions…je te raconte pas comment je suis trempée, je sens que je mouille le long de mes jambes…mais je me sens vide. J’ai envie de te sentir en moi.
- 30 secondes plus tard ils t’auraient entendu jouir…
Elle rit en bougeant son derrière contre moi.
-T’inquiètes pas je vais te libérer de ton trop plein de plaisir.
-moi aussi je vais te libérer mon chéri, j’ai bien envie de t’arracher une bonne giclée.
-je crois qu’après la journée de voyage, le week-end chez les potes et les deux jours passés, je suis chargé à bloc…
On s’embrasse, collés l’un à l’autre et les gens repartent, peut être gênés. On attend 2 minutes le temps que les voix s’éloignent, et là je la plaque contre un poteau, lui lève une jambe et libère mon sexe. Je remonte sa jupe et la prend dans un râle de plaisir. Elle se cambre en arrière tellement ça lui fait du bien. Je presse ses seins. Elle me dit:
-Attend je vais enlever ça, j’ai envie de sentir tes doigts sur ma peau…
-vas-y oui j’aime tellement tes beaux nichons…
Elle fait tomber son soutif et le range dans le sac à côté du string, non sans relever sa jupe et me montrer son beau petit cul.
Elle revient vers moi en soulevant son chemisier. Je bande sévère à la vue de ses seins. Je déboutonne un peu son chemisier et lui malaxe la poitrine. Ses tétons sont durcis, raidis et pointent entre mes doigts. On rapproche nos bassins et je la pénètre à nouveau.
-là j’espère qu’on nous dérangera pas, parce que je vais te rendre dingue.
-vas y prend moi et lâches tout, remplis moi.
Je glisse mon gland contre sa fente, et arrivé au bon endroit j’enfourne ma queue en elle.
-Han. Oh c’est bon de te sentir à nouveau en moi. Vas-y baises moi bien!
- mmmmh ça m’avait manqué…je suis trop bien dans ton petit minou.
Je la pénètre par des vas et viens puissants, et agrippe ses belles fesses en même temps pour bien la plaquer contre moi.
-ma petite coquine va…
-c’est toi le coquin
-j’adore être en toi ma belle
-j’adore la sentir en moi
J’accélère le rythme…
-et là tu aimes encore mieux hein?
-vas-y oui, t’arrêtes surtout pas
J’accélère encore
-han han han c’est trop bon…
-ah tu m’allumes bien comme il faut…
-tu me rend dingue
-tu es délicieuse…
-vas-y à fond mon cœur j’ai envie de jouir
-accroche-toi bien alors
Je la pilonne aussi vite que je peux. Je sens le feu prendre en moi.
Je vois qu’elle commence à plisser ses yeux et haleter tout en gémissant. Elle va jouir c’est sûr. Et là , même si quelqu’un arrive je m’en fiche je vais lui faire prendre un pied d’enfer. Je bande encore plus mon sexe en elle et viens me coller au plus profond d’elle , tout en malaxant son sein. Elle ouvre la bouche, plisse fortement les yeux et jouit. Elle jouit fort, je sens tous les muscles de son corps se tendre, son vagin me serrer la queue comme dans un étau, je sens sa mouille déborder de ses lèvres et couler le long de mes boules…
-han han han aaaah aah haaaan …oh oui oh oui haaaaaaaaan haaaan elle ne peut pas retenir ses cris. Moi ça me rend dingue.
-ooohh …c’est trop bon de te sentir jouir sur ma queue chérie, oooh j’en peux plus…
Et là elle sort mon sexe d’en elle.
-mais qu’est-ce que tu fais je vais en foutre part…
Même pas le temps de finir ma phrase :
- aaaahh ah aaaaaaaaaaaah aah je gicle de grosses lampées de jus épais, il y en a partout…aaah
-ohoh, ben je voulais juste te finir proprement, dans ma bouche, mais là c’est raté !
-ah oui c’est raté, regarde y en a partout! Ta jupe est couverte de sperme, tes jambes, ton chemisier…y en a même par terre!
Là on se marre comme des dingues, elle trempe son doigt dans mon sperme blanchâtre qui coule sur sa jupe, et le porte à sa bouche.
-je voulais en avoir ici moi! Mmmh tu me le paieras !
-Désolé j’ai explosé à peine sorti de ton minou…mais tu en auras encore bien l’occasion, et j’ai envie de goûter ta mouille aussi, enfin s’il t’en reste un peu après tout ce que tu as donné aujourd’hui !
-oui c’est dingue j’ai rarement autant mouillé je crois, l’excitation du lieu et de se faire capter peut-être !
-Ben en tous cas si y en a qui nous ont vu ils ont dû en prendre plein la vue!
-sois pas prétentieux non plus, tu n’as quand même pas giclé jusqu’à la fenêtre !
-hahaha…je sais pas, mais effectivement avec tout ce qu’il y a déjà sur toi il ne doit pas en rester beaucoup ailleurs.
Je remballe mon sexe apaisé, elle reboutonne son chemisier mais sans remettre ses sous vêtements. On essuie ce qu’il y a à essuyer, on y passe tout un paquet de mouchoirs tellement y en a.
-dis donc, grosse envie me dit-elle !
- tu es trop belle et tellement désirable…c’est toi qui me donne envie !
On fini le tour du parc et rentrons boire l’apéro pour fêter ce moment de sexe incroyable. Belle entrée en matière ce road trip…
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