Je m’appelle Sandrine, la quarantaine, mariée à Hervé, quarante trois ans, depuis cinq ans maintenant. Nous avons deux grands enfants, qui squattent souvent chez les grands-parents. Comme chaque vendredi, Hervé sort pour sa traditionnelle soirée poker, me laissant souvent seule, le temps d’un week-end.
C’est soir là, j’en profite pour organiser une sortie en boîte avec mes copines., A part quelques flirts, et quelques caresse coquines, il ne se passe pas grand-chose. Sauf qu’une fois débarrassé des copines, il m’arrive souvent à me faire baiser à l’arrière d’une voiture, ou tailler des pipes à des rencontres d’un soir. Une nuit, j’ai failli frôler la correctionnelle. Je demandais à un mec de me ramener chez moi, dans la ferme intention de me faire baiser. En montant les escaliers, j’aperçus de la lumière provenant du salon. J’ordonnais à ma conquête de retirer ses doigts qu’il avait délicatement enfoncé dans ma chatte pour me branler, tout en excitant mon clito, et lui demandais de partir.Il était trois heures du matin, quand je prenais une porte de service et allait à la salle de bains, pour m’essuyer. Puis, je me dirigeais au salon. J’y trouvais Hervé assis sur le canapé, un whisky à la main. A voyant sa tête, et sa présence tôt dans la nuit, je pensais qu’il c’était passé quelque chose. Je sais que mon mari joue souvent avec des professionnels du poker, des truands aussi, et j’ai toujours peur pour lui.- Tu es bien rentré tôt mon chéri, rien de grave ?- Ils ont fermé le club pour raison administrative…pour six mois.- A bon...et comment allez-vous faire.- Je pensais aménager un espace au sous-sol.- C’est une excellente idée, mon chéri...fais-le.En fait, il avait plus de rangements et de nettoyage, que des petits travaux. Moquette, rafraîchir les murs, un peu d’électricité. Quinze jour après, tout était prêt. La table de jeu, les boisson, les pizzas au congélateur, tout pour passer une nuit des plus agréables.- Tu veux pas qu’on fasse une petite fête, pour inaugure tout ça.- Ce serait super, ma chérie, on pourrait inviter mes partenaires de jeux.- Pourquoi pas mon amour...allez, lançons les invitations.Petit à petit les invités arrivaient, essentiellement des voisin de nôtre âge. Une demi-douzaine de couples.J’envoie Hervé les accueillir, pendant que je finis de me préparer.Il fait déjà chaud, en cette dernière quinzaine de juin. Je décide donc d’enfiler une petite robe d’été verte à fines bretelles entrecroisées dans le dos. J’ai envie de me sentir belle, ce soir. Ma poitrine encore très ferme, est mise en valeur par l’empiècement cousu, à cet effet, dans le tissu léger de la robe. Celui-ci s’évase ensuite jusqu’à mi-cuisse, cachant, par la même occasion, les rondeurs de mes fesses et de mon petit ventre rebondi. A quarante ans, petite brunette d’un mètre soixante neuf aux yeux noisette, je me sens bien dans mon corps et assume parfaitement ma féminité. J’applique une légère touche de maquillage sur mes yeux et mes lèvres. Satisfaite, je pars rejoindre, pieds nus, mes invités dans le jardin.
C’est le premier repas entre voisins, qui lance la saison d’été.
Lors de ce samedi d’ouverture, mon mari me présentait ses partenaires de jeux, ils étaient trois. Lucas, Gino, et Mateo...de vrai tête de truand. Au premier regard, je m’aperçus que je ne les laissais pas indifférent. Dommage pour eux.
Bien évidemment, je ne participais pas à leur soirée, sauf pour les alimenter en boissons, quand Hervé me le demandait.
Lors d’un service, je m’aperçus que le tas de jetons devant mon époux, diminuait considérablement. Je m’inquiétais, quand on sait qu’à ce jeu, il n’y a pas de cadeaux.
Au cours d’une pause, mon mari me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il allait se refaire. Je le souhaitas fortement, car je me souviens d’une anecdote qu’il m’avait raconter, qu’un joueur endetté, avait prêté sa femme pour la nuit. Je ne voulais pas en arriver là.
Mais les affaires ne s’arrangeaient pas pour mon mari, et le regard des joueurs sur moi, n’annonçait rien de bon. Ils semblaient attendre que mon mari accumule sa dette pour porter l’estocade, et me récupérer. C’est le cœur serré que je servais une novelle tournée. Et là, surprise...la pile de jetons devant mon mari, formait un imposant monticule.
Rassurée, et vu l’heure avancée de la nuit, je demandais à mon mari de me retirer.
Je restais cachée derrière la porte, suivant l’évolution du jeu.
Soudain, sur un coup, mon mari perdit tout. Il était à sec, et ne pouvait honorer la dette. Les joueurs devenaient menaçant. J’entendais alors mon mari leur faire une proposition effroyable. Un quitte ou double, ou, en cas dé défaite, il proposer son épouse pour la nuit. Je me précipitais das ma chambre, complètement effrayée.Au bout d’une demi-heure, la porte s’ouvrit. Je reconnu Lucas qui s’approchait du lit. Il tira le drap, et me vit apeurée, toute recroquevillée. J’avais eu juste le temps d’enfiler une nuisette, et une culotte. Je sentais ses mains parcourir mon corps, me conseillant de coopérer, il en dépendait de la vie de son mari. Je me rendis à l’évidence, et le laissais faire.
Il glissa ses mains sou la nuisette, caressa mes seins. Ses mains étaient douces, ses doigts assez fins. Une main glissa entre mes cuisses, se posèrent sur ma chatte. Puis, il sortit sa queue, qu’il promena sur mon visage. Je détournais la tête pour fuir cette bite, qui raidissait à vu d’œil. Un doigt écarta ma culotte, pour se trouver au contact de ma fente, qu’il caressait de bas en haut, jusqu’au clitoris, qui se mit à exciter. Puis le doigt pénétra ma chatte, qui, excitée, se mit à mouiller. La caresse se fit de plus en plus intense, et n’y tenant plus, je saisis la bite qui balançait devant mon visage, et la pris en bouche. Tout en caressant mes cheveux, il commençait à imprimer de légers va et vient entre mes lèvres. Lentement, il branlait ma chatte, qui maintenant, mouillait en abondance. Au moment ou j’atteignais l’orgasme, je sentais le sperme coulait dans ma bouche. A part mes gémissements de plaisirs, nous n’avons prononcé aucun mot. Il déposa un baiser sur mes lèvres, et quittait la chambre.
Malgré une bonne douche, je sentais encore le désir qu’il avait éveillé en moi.
Je n’eus pas à attendre longtemps, avant que la porte ne s’ouvre à nouveau. C’était Gino. Il s’allongea près de moi, glissa ses mains sous la nuisette. Il sortit son membre, le promenait sur mes hanches, il étai dur, mais restait de taille correcte.
Il glissa une main entre mes cuisses, les écarta. Sa main effleurait mon fin duvet, sillonnait ma fente, excitait mon clitoris. Je sentais le désir se décupler sous ses caresses. Puis je sentit son membre dur se frayer un passage vers mon intimité. L’intrus était au bord de mes lèvres intimes. D’un léger mouvement, il me pénétra. Je poussais un léger gémissement au passage de sa queue, qui se décalottait dans ma chatte. Il entama de lents va et vient, qui se coordonnaient aux miens. Tout en me pétrissant les seins, il me baiser, m’arrachant des cris de plaisir, jusqu’à l’orgasme. Il me tourna la tête, me pris les lèvres pour un tendre baiser. A son tour, il quitta le chambre.
Finalement, je commençais à apprécier de plus en plus, le gage de mon mari. Cette situation, excitante, ne m’apportait que bonheur, et jouissance. A tel point que j’avais hâte, que le troisième joueur...Mateo je crois, me rejoigne au plus vite dans mon lit.
Je me demandais ce que pensé mon mari de cette folle soirée, ou il offrait sa femme, quand la porte s’ouvrit. C’était Mateo.
Je fus surprise de lui tendre les bras, et l’inviter à venir se coucher avec moi. Il ôtait ses vêtements, debout au pied du lit. Sa queue devait allègrement atteindre les vingt centimètres, très loin des seize de mon mari. J’avançais à quatre pattes sur le lit, vers cet engin colossal. Il tenait seul dans le vide, tendu au maximum. Plus je le fixais, plus j’avais envie de le prendre en bouche. Ce que je fis. Son énorme gland se décalotté au passage de mes lèvres, je l’enroulais avec ma langue, avant de ne l’engloutir entièrement.
Malgré l’épaisseur, il parvenait à coulisser jusqu’au fond de ma gorge. C’est là qu’il commença à se branler, en faisant des allers-retours dans ma bouche.
Puis, il s’arrêta d’un seul coup. Il me prit la main, et m’entraîna au sous-sol.
Arrivé dans la salle de jeux, je lis la surprise sur le visage de joueurs, surtout sur celle de mon mari, qui se demandait sans doute ce qui allait ce passé.
Mateo tira sa chaise, s’y assis, me pris par la taille, et me força à m’asseoir sur ses genoux. Nous étions nus tout les deux, et l’on pouvait voir sa queue en érection, dépasser de mes cuisses. Tout en fixant mon mari, je masser le gland d’une main experte. Je me hissait sur mes jambes, saisit la bite de Mateo, commençai à la branler.
- Tu as vu sa queue mon chéri...comme elle est grosse...Eh ben, ma chatte est tellement mouillée, qu’elle va me pénétrer sans problème. M’en veut pas quand même, si je gémis de plaisir, quand il va m’enfiler.
Je vois le visage crispa de mon mari, fixant la queue de son adversaire, perforer la chatte de sa femme, sans ne rien y faire. Et moi qui enfonçais le clou, en faisant des comparaisons humiliantes au sujet de son sexe.
- Oh mon dieu...qu’elle est bonne cette queue...mon chéri...tu crois qu’il dira « oui » si je lui demande de me la mettre dans le cul….j’aimerais bien me faire enculer au moins une fois dans ma vie, et par une grosse queue, pas par ton fifre ridicule, que je sens à peine.
Mon mari sa lève, les poings serrée de rage. Il est aussitôt maîtrisé par les potes de Mateo.
- Je vais te faire une fleur, dit ce-dernier. Je vais baiser ta femme toute la nuit, et j’accepte que tu y assiste.
- Tu crois qu’il va pouvoir supporter ce qu’on va faire. Parce que ce soir, je suis excitée, et des choses, je vais t’en faire...des faveurs auxquelles il n’a jamais eu droit.
- A bon, sourit Mateo, et on peut savoir quoi par exemple?
Eh ben...après dix ans de vie commune, et cinq ans de mariage, il ne m’a jamais sodomisée, et ne le fera jamais. Tu vas être le premier. Se faire tailler une pipe, il connaît, contrairement à moi qui en taillais une par soir au lycée, à des étudiants qi m’invitaient dans leur chambre. Ces salauds me mettaient toute nue, et s’amusaient avec moi toute la nuit. Alors mon chéri, ne t’attends à voir la femme que tu as habituellement dans ton lit, mais une vrai salope accro de bites bien grosses, et capable de tenir toute une nuit.
Allez mon chéri...tu nous suis ?
Mateo me mets deux doigt dans la chatte, et m’entraîne vers l’escalier. «Oh...Mateo «.
Je me retourne sur le palier, et m’aperçois que mon mari ne suit pas.
Débarrassée de sa surveillance, je vais m’offrir à Mateo toute le nuit, au-delà de ce que je croyais être capable de faire. Il m’a pris dans toute les positions, par tous les trous.
Il quitta le villa vers six heures du matin.
Après une bonne douche, je rejoins Hervé au salon. Pas un mot. C’est moi qui engage la conversation.
- J’ai dit à Mateo qu’il n’avait pas besoin d’attendre une soirée poker pour me baiser. Je lui ai dit qu’il pouvait venir coucher à la villa quand il voulait, et me niquer toute la nuit. Que ta présence n’était pas un problème, qu’on dort très bien dans la chambre d’amis.
- Mais enfin ma chérie, c’est un adversaire de jeux...un ennemi du poker.
- Ben maintenant, ce sera un adversaire de baise...et je doute que tu arrives à sa cheville, en mensuration, et en endurance. Du reste, je tiens à ce que tu ailles lui annoncer dire toi-même, que tu acceptes ce que je viens de te dire.
- Heu...OK ma chérie...
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