Je sais depuis longtemps que ma cousine est une salope, qu’elle trompe son mari dès qu’elle peut, et que le plus souvent, elle est à poil sous sa jupe… Mais jusqu’à hier, je n’avais pas encore eu l’occasion de l’essayer. Elle m’a appelé parce qu’elle avait un problème de plomberie, et que je suis réputé dans la famille pour être l’homme à tout faire. Tout faire, oui, mais là , j’ai eu des surprises. Je débarque en milieu de matinée, avec un peu de matériel. Elle m’accueille en peignoir, vaguement fermé, suffisamment peu pour que je devine le galbe des seins, la peau blanche, mais suffisamment pour que je n’en voie pas davantage. Elle m’emmène dans la cuisine : voilà , non seulement l’évier est bouché, mais le lave-vaisselle fuit, c’est la cata. Bon, faut couper l’eau, c’est où ? Elle ne sait pas, fait le tour avec moi, c’est peut-être derrière, dans le garage ? On fouille, elle se penche, se relève le peignoir complètement ouvert, les seins lourds et la chatte touffue, et me dit triomphante, comme s’il était normal qu’elle soit ainsi à poil, voilà , c’est là . Je me glisse, elle ne s’écarte pas vraiment, je frôle ses nibards, je me penche à mon tour et je ferme l’arrivée d’eau. Quand je me retourne pour me relever, elle est devant moi, toujours le peignoir ouvert, et j’ai sa chatte sous le nez. Moi, ces trucs d’eau, ça me fait mouiller, me dit-elle en éclatant de rire, tu veux pas vérifier ma tuyauterie ? Je glisse un doigt, c’est sûr, c’est mouillé. T’as raison, on dirait qu’il y a une fuite ici aussi. Il faut examiner ça. Je la renverse sur le capot de la voiture, je lui écarte les cuisses, et je sors mon tuyau de plomb. Putain, ça rentre tout seul, ça fait des bruits d’eau, elle mouille vraiment beaucoup. Elle gémit de plus en plus fort, elle s’en fout, son mari n’est pas là , et les voisins, ils ont déjà dû y goûter aussi… Je la besogne vite fait, comme on trousse une vraie chaudasse sur le capot d’une voiture, et je lui envoie mon foutre au fond de la chatte. Bon, c’est pas tout ça, mais faut voir dans la cuisine… On remonte, mais elle n’a pas eu son compte… Je suis donc à moitié sous l’évier, je dévisse, je nettoie, je répare, et elle me retire le froc que j’ai remis, et commence à me sucer. Eh, fais gaffe quand même, c’est fragile. Mais elle a trop envie, et elle vient s’asseoir sur moi. C’est vachement plus serré que tout à l’heure ; je jette un coup d’œil : elle s’est empalée sur le petit trou. Et ça, c’est clair qu’elle aime. Moi, je m’occupe des tuyaux de l’évier, elle de sa propre tuyauterie. Et quand elle jouit, elle gicle fort, la salope ! Bon, cousin, et le lave-vaisselle, tu peux faire quelque chose. Pas de problème, là aussi, des trucs à nettoyer, des joints à remplacer, rien de méchant. Vers midi, j’ai fini. Oh, super, t’es un ange ! Voilà son mari qui rentre. Génial, t’as tout réparé, je ne savais pas quoi faire ! Bon, il faut qu’on te paye. Non, c’est pas la peine, pour la famille c’est gratuit… Ah si, j’insiste. Ecoute, elle te l’a peut-être pas dit, mais ta cousine, elle fantasme sur toi depuis des années, alors, ce que je te propose, ce sera une sorte de paiement, et pour elle une sorte de cadeau – parce que c’est notre anniversaire de mariage – tu pourrais la baiser. Euh, tu voudrais que je baise ta femme ? Oui, tu sais, elle oserait jamais te le demander, elle est plutôt prude, mais je pense qu’on peut arranger ça. On va voir la « prude »… Elle rougit, on croirait une jeune première innocente, fait semblant de résister un peu, puis finit par céder mais en disant à son mari : ok, mais je ne veux que tu sois là , sinon, j’aurais l’impression de te tromper… Et donc, en plein milieu du salon, elle se fout à poil, se cramponne au canapé et me dit, je t’en prie, prends-moi par derrière, lui il ne le fait jamais. Et le cocu de regarder, satisfait de voir sa femme se faire mettre, satisfait que je la fasse couiner devant lui, satisfait d’avoir un évier qui marche… Et elle qui se lâche, qui bouge du cul pour mieux me sentir en elle, qui crie des obscénités, oh oui, putain qu’elle est grosse, vas-y, défonce-moi, putain, je veux la sentir, oui, vas-y encore, et moi qui la ramone, plutôt amusé du truc, plutôt satisfait de ses fesses rebondies, et j’y vais franco, pas de tendresse, du cul, du vrai cul, je savais qu’elle était salope, mais à ce point-là , j’imaginais pas, et vas-y que je l’embroche, que mes couilles viennent battre contre son cul, avec un bruit de claquement à chaque fois, que j’accompagne aussi d’une vraie claque sur les fesses, et elle crie, et lui qui regarde, il ne bande même pas, il est content. Et quand je lâche ma purée et qu’elle jouit en même temps, elle finit par lui dire : putain, j’ai jamais joui comme ça, tu sais, ce qui serait bien, c’est qu’il vienne me sauter au moins une fois par semaine, qu’est-ce que t’en dis ? Et lui qui a l’air content, qui acquiesce, tout ce que tu veux, ma chérie… Cousin, qu’est-ce que tu en dis ? Je dis pourquoi pas, cousine, mais tu sais, mon copain Rachid, ça fait longtemps qu’il a pas eu de femme, alors… Si ça peut te rendre service, cousin, pas de problème, viens avec Rachid.
Et donc aujourd’hui, Rachid et moi, on est passé vérifier si ma réparation tenait. On a inspecté tous les tuyaux, plusieurs fois, on a tout lubrifié, on a fait des essais, lui devant et moi derrière, lui dessous et moi dessus, elle avec la bouche, avec le sexe, avec le cul, avec les seins, avec les mains, avec les pieds, et quand son mari est rentré à midi, elle était couverte de foutre. Et Rachid lui a glissé : il paraît que t’as une sœur ?
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