J’ai 32 ans. Je viens de passer le réveillon du nouvel an en famille, chez mes beaux-parents. Quelques précisions : Alice, ma compagne, a 24 ans ; elle est adorable, très jolie, assez menue, mais question sexe, ce n’est pas la folie ; un petit missionnaire le week-end lui convient tout à fait, et quant à l’idée de lécher ou d’être léchée, beurk, pas question, et une autre position, oui, si tu veux, mais pourquoi, on est très bien comme ça… Son père, Francis, a une grosse cinquantaine et vient d’épouser sa troisième femme – qui n’est donc pas la mère d’Alice –, Alexandra, qui a 34 ans : adorable, très jolie aussi, mais menue ne lui convient pas du tout ; elle a des obus impressionnants, sans doute un peu gonflés, mais qui donnent l’impression qu’on poserait sa serviette à sécher là , elle ne tomberait pas. Autant Alice est blonde et claire, autant Alexandra est brune et bronzée.
Ce matin du 1er janvier, quand je suis descendu à la cuisine assez tôt – c’est-à -dire vers 10 heures du mat, mais on s’était couché un peu tard – pour boire un verre d’eau, j’ai trouvé Alexandra en peignoir, qui préparait du café. Elle m’en a offert un en me demandant d’un air mutin comment s’était passée la nuit. J’avais bien essayé de baiser avec Alice vers 8 heures, mais ça s’était lamentablement terminé par un missionnaire chiant, quasi religieux, et hop, trois minutes et dodo… Je ne savais pas si c’est à ça que faisait allusion Alex, et je n’ai pas vraiment répondu. Comme je restais silencieux, elle a insisté en s’excusant : « tu comprends, comme votre porte était ouverte, quand je suis allée aux toilettes, je n’ai pas pu ne pas voir… et franchement, ça n’avait pas l’air… comment dire… enfin, moi, en tant que voyeuse, si je puis dire, je n’ai pas trouvé ça folichon… alors toi, en tant qu’acteur, qu’est-ce que tu as dû te faire chier ! » J’en suis resté baba : elle aborde la question comme ça, tranquille, comme si c’était un sujet de conversation normal, au petit déj : « alors, la baise, c’était bien ? » Elle a bien vu à ma tête que j’étais un peu choqué de sa liberté. « Si tu ne veux pas qu’on en parle, aucun souci, mais alors la prochaine fois, fermez votre porte ! Et si tu veux avoir une idée de ce que ça peut être, Francis et moi, on ferme rarement la porte… » et là -dessus, elle a pris un plateau, posé les tasses de café et du pain et est partie rejoindre son mari. Je suis resté comme un con, avec mon café qui refroidissait et mon esprit qui vagabondait. En remontant, comme Alice dormait profondément, je me suis approché de la chambre des beaux-parents, dont la porte n’était effectivement pas fermée. Francis était adossé à la tête de lit, et buvait son café, tandis qu’Alex, nue, débarrassée de son peignoir, et que je voyais de dos, était en train de lui administrer une pipe magistrale. Je voyais les jambes d’Alex, légèrement écartées, son sexe lisse et manifestement humide, son dos, et sa tête qui montait et descendait dans des bruits de succion. J’en eus évidemment une trique immédiate. Je reculai, ne voulant pas me faire prendre, mais me disant aussi qu’Alex l’avait fait exprès, qu’elle avait envie que je voie… Je glissai de nouveau un œil : Alex avait pris la tasse de café de Francis pour la poser sur le plateau, et s’était approchée pour venir chevaucher son mari. Mais au moment de le faire, elle s’est retournée pour lui présenter son dos, s’est empalée sur lui en se redressant, prenant à pleines mains sa magnifique poitrine, et m’a regardé droit dans les yeux, en souriant, et en commençant à se dandiner sur le sexe épais de Francis, que je voyais sortir et entrer en elle. J’étais comme hypnotisé par ce gros sexe qui la pénétrait, par ses seins qu’elle me présentait comme pour que je vienne les lécher, les gober, par son regard sur moi, si provoquant, si lascif. Elle me fit un petit signe de la tête comme pour m’indiquer qu’elle aurait bien voulu que je me branle là , devant elle, comme pour m’indiquer son désir de voir l’état de mon sexe. Et je ne résistai pas : je dégageai mon sexe tendu, au gland violacé, moins épais que celui de Francis mais plus long je crois, et je fis monter et descendre ma main le long de ma hampe, sous ses yeux, sous les yeux de ma belle-mère en train de se faire sauter par son mari, en train de se donner entièrement, de jouir là . Puis je reculai tout de même, de crainte d’être découvert par Francis, et je retournai dans ma chambre, contre une Alice ronflante… Je pris rapidement une douche pour me calmer un peu, m’habillai et descendis de nouveau à la cuisine. Au bout d’une bonne heure, j’entendis Alex et Francis descendre, tandis qu’Alice dormait encore. Echanges de circonstances avec Francis, banalités sur le temps qu’il fait, etc. et clin d’œil appuyé d’Alex, qui avait revêtu par-dessus un jean ultra-skin un pull en mohair ajusté, sous lequel sa poitrine avait l’air encore plus explosive que d’habitude. J’évitais son regard.
Il était prévu que nous rejoignent pour le déjeuner Alain, le frère d’Alice, sa femme Luce et leurs deux enfants. Avec Alex, nous nous mîmes donc aux préparatifs : dans cette famille, le cuisinier, c’est moi, et donc impossible de m’échapper et d’échapper en particulier à Alex. Francis est parti acheter du pain, et on a entendu Alice partir sous la douche. « Alors, ça t’a plu ? » m’a immédiatement demandé Alex en s’approchant de moi… Elle savait très bien si ça m’avait plu… « et… tu t’es fini sous la douche, ou pas ? » a-t-elle ajouté en venant palper mon sexe sous mon pantalon. Vu la bosse qui y était présente, elle a eu sa réponse. J’étais à la fois très gêné, et très excité, et quand elle s’est agenouillée devant moi en défaisant les boutons de mon jean pour dégager ma bite, je n’ai pas eu le courage de reculer : j’en avais trop envie, depuis trop longtemps, et ce n’était certainement pas Alice qui allait me faire une pipe… Alors je l’ai laissée faire, remontant son pull qu’elle m’a aidé à ôter, et sous lequel elle ne portait évidemment rien, sinon ses seins dressés, pointés vers moi, globes fermes et généreux dont elle savait jouer. Elle me coinça la bite entre ses seins, et à chaque fois que mon gland émergeait, elle venait le prendre avec ses lèvres, de la façon la plus obscène qui soit, la plus excitante, la plus sensuelle. « Francis ne va tarder, je fais ça vite, mais on aura sûrement le temps d’approfondir la question » me dit-elle en me gobant entièrement, massant mes couilles pleines avec une science que je ne soupçonnais pas. C’est sûr, ce n’était pas Alice. Putain, elle allait me faire gicler, là , dans sa bouche, sur ses seins, je ne savais pas, mais c’était absolument sublime, incroyablement fort et chaud. Et son regard sur moi, ses yeux si verts, sa langue entortillée sur ma bite, une sorte de serpent voluptueux et brûlant… quand elle m’a massé le scrotum, je n’ai pas résisté, j’ai giclé puissamment tout mon foutre dans sa bouche, et elle l’a avalé avec un air de satisfaction et de plaisir qui a prolongé encore ma jouissance. Elle s’est relevée après m’avoir soigneusement léché la bite, a remis son pull comme si de rien n’était et m’a dit qu’elle montait voir ce qu’Alice voulait, qui venait d’appeler de l’étage… Quelques minutes plus tard, tout le monde était là . Francis était rentré au moment où les autres arrivaient, et Alice et Alex sont redescendues complices et joyeuses. Sans doute étais-je le seul à ne pas être à l’aise.
Comme toujours avec ce genre de repas, ça a duré longtemps. Vers 17 heures, Francis est parti faire une petite sieste, tandis qu’Alain et Luce s’occupaient des enfants – ou faisaient autre chose... Alex a demandé à Alice, qui est en kiné, si elle voulait bien la masser : elles sont donc parties dans notre chambre, pendant que je débarrassais et rangeais. Quand je suis remonté, la porte était fermée ; j’ai frappé puis je suis entré. Mais ce n’étais pas Alice qui massait Alex. Alice était étendue sur le dos, nue, et Alex était entre ses jambes, comme je l’avais vue plus tôt entre celles de Francis. Alice avait les yeux fermés, je ne sais pas si elle m’avait entendu frapper. Alex, en revanche, me fit signe de m’approcher, m’invitant à la remplacer sur le sexe ouvert et suintant d’Alice. Je ne me fis pas prier, goûtant pour la première fois – si, la première fois, je sais, c’est dingue – la mouille d’Alice, qui avait un goût inattendu, à la fois iodé léger. Alice rouvrit les yeux quand elle sentit ses seins mordillés par une autre bouche, alors même que je léchais son clitoris avec application et une certaine réussite, à en juger par ses gémissements. Elle paniqua un instant, ne sachant comment m’expliquer la situation, mais Alexandra la calma vite en lui prenant la bouche, en l’embrassant avec volupté, tandis que je continuai à prendre son clito. Puis Alex la libéra, et elle vint me déshabiller sans rien demander. Je me retrouvai nu, le sexe incroyablement tendu, douloureux tant la situation m’excitait, entre Alice et Alex, nues toutes deux et offertes, Alice comme pour la première fois libérée, et guidée par une Alexandra manifestement experte et amusée de la situation. Alexandra invita Alice à venir me goûter, à partager mon sexe entre leurs bouches, puis quand elle jugea mon membre assez dur, elle s’allongea, demandant à Alice de venir la lécher et de m’offrir ainsi sa vulve en levrette. Alice obtempérait avec une facilité incroyable, comme découvrant un monde dont elle ignorait tout sous la direction d’une initiatrice bienveillante et délicate. Curieusement, c’est Alex qui vint en premier sous la langue d’Alice, puis elle se glissa sous Alice pour venir lécher son clitoris et mon sexe qui entrait et sortait, tandis que je prenais Alice avec une fougue inconnue et débridée. Alex glissa un peu plus loin encore, continuant à doigter le clito d’Alice, et quand elle vient me lécher l’anus, j’éjaculai sans retenue dans la chatte trempée d’Alice, qui s’écroula à son tour de jouissance.
Alex s’éclipsa rapidement, prétextant qu’elle devait rejoindre Francis, et nous laissant seuls. Alice était épuisée, jamais sans doute elle n’avait joui ainsi, et gênée aussi. Mais je la pris dans mes bras amoureusement, ne lui laissant guère de doute sur le fait que non seulement je considérai n’avoir rien à lui reprocher, mais bien au contraire. Elle me demanda si j’avais aimé et si je voulais aussi prendre Alexandra, où nous en étions, elle ne savait pas. Je la calmai, l’embrassai et la caressai doucement. Je la sentais se détendre sous mes mains, et quand je calai mon sexe de nouveau durci entre ses fesses et que je pris un de ses petits seins et son clitoris pour les froisser entre mes doigts, je la sentis réagir comme jamais elle ne l’avait fait, tendant sa croupe contre moi pour accentuer la caresse, et gémissant comme une chatte affolée. Je glissai mon sexe en elle sans difficulté, et elle me demanda si je voulais dans cette position – moi derrière elle, allongés l’un contre l’autre – ou autrement. Je lui demandai de venir sur moi, je voulais voir son visage dans l’orgasme. Elle obtempéra amoureusement, vint caler sa chatte dégoulinante – jamais je ne l’avais vue ainsi – sur le haut de mon gland, et s’enfonça doucement, mais résolument, jusqu’à ce que mes couilles viennent buter contre elle. Je me relevai à moitié, la pris dans mes bras et la pilonnai avec force, en la tenant serrée contre moi. Sa mouille me coulait sur les cuisses, ses seins érigés frottaient contre mon torse, elle me mordait le cou tant elle jouissait, et elle partit violemment en arrière, le visage soudain détendu, comme apaisé, le visage d’un ange, tandis que ses cuisses tremblaient sur moi dans une jouissance qui me trempait littéralement. Puis, au bout d’un moment, alors que je n’avais pas joui, elle vint me prendre dans sa bouche, comme elle avait vu Alexandra le faire, pour me faire jouir. Je ne voulais pas lui imposer cela, et je me vidai finalement sur son ventre et ses seins.
Nous entendîmes alors toquer à la porte. Alexandra glissa sa tête amusée et murmura : « les amoureux, tout le monde vous attend en bas, ça commence à jaser… mais vous êtes beaux, comme ça, je suis un peu jalouse », et elle nous envoya un baiser avec la main, avant de descendre. Nous nous lavâmes rapidement avant de descendre. Alice avait les yeux ravagés et une toute petite forme. Tout le monde fit mine de ne pas le remarquer. Pendant la soirée, Alain me fit une ou deux remarques un peu graveleuses mais gentillettes. Luce et Alice partirent papoter en cuisine, tandis qu’Alain et son père, tous les deux chasseurs, se lancèrent dans une discussion dont ils raffolaient sur les mérites respectifs de leurs armes… Je me retrouvai en tête-à -tête avec Alexandra. « Elle apprend vite, elle est douée », me dit Alex. « Elle a une excellente initiatrice », lui répondis-je. « Merci, oui, c’est vrai, et encore, tu n’as rien vu… - Pitié, Alex, pas ce soir, je n’ai pas de telles capacités ! – N’aie pas peur, j’ai aussi un mari et il est très gourmand… » Notre discussion cessa avec le retour des autres, Luce s’asseyant sur les genoux d’Alain en quête de ce qu’elle était peut-être la seule à ne pas avoir eu, et Francis proposant une dégustation d’Armagnac, à laquelle je fus le seul à ne pas me dérober. Tout le monde s’éclipsa pour dormir au fur et à mesure, Francis me gardant encore un moment. Quand je montai, Alice s’était endormie ; en revanche, manifestement, ce n’était pas le cas d’Alexandra, mais Francis avait fermé la porte… Je dormis mal : tous ces changements, l’état d’esprit d’Alice, le corps d’Alexandra… Je me levai plusieurs fois durant la nuit, et vers cinq heures je décidai de me lever vraiment. Je descendis silencieusement, pour ne réveiller personne de toute la maisonnée endormie. Je fis couler du café et m’assis dans l’obscurité : j’aime être ainsi dans la nuit, attentif à tous les bruits, comme aux aguets. Du rez-de-chaussée, je pouvais entendre les ronflements de Francis, Alain qui se retournait dans son lit ; un bruit indistinct d’abord, mais c’était Luce levée pour aller aux toilettes ; beaucoup de silence surtout, de paix, de calme. J’avais besoin de ce repos, de cette distance avec les choses. C’est Francis qui se leva le plus tôt ce matin, surpris de me trouver là , seul dans le noir. Nous n’avions pas grand-chose à nous dire, nous n’avions jamais eu grand-chose à nous dire. Je crois qu’il m’appréciait, mais nous n’avions aucun centre d’intérêt commun : lui la chasse, les voitures ; moi la cuisine, la musique… Mais il savait comme moi rester silencieux et profiter des choses que la vie lui offrait. La journée s’annonçait belle, le ciel encore nocturne était dégagé, il faisait froid mais sec. « Une belle journée de chasse », commenta Francis, annonçant en même temps son projet, dans lequel il savait qu’il traînerait Alain, mais certainement pas moi. L’organisation fut rapide : ils partirent avant même que le ciel rosisse, et je fus chargé d’annoncer à Luce et Alex qu’elles avaient été lâchement abandonnées… Quand Alexandra l’apprit, je crus déceler dans son regard une lueur pleine de promesses. Luce eut l’air plus déçue, dépitée. Ais-je parlé de Luce ? Grande fille presque maigre, mais pas menue comme Alice : constitution plus forte, plus large, plus femme. Visage assez fin, cheveux coupés en carré, châtains. Elle avait prévu une sortie avec les enfants, elle s’y tint, les prépara sans tarder et disparut avec eux en milieu de matinée. Nous nous retrouvions tous les trois, seuls jusqu’au soir, sans doute assez tard. Alors Alexandra prit les choses en main comme elle savait si bien le faire. Elle m’entraîna dans la chambre pour réveiller Alice, qui traînait encore, se jeta sur elle comme une affamée, lui dévorant successivement bouche, nuque, cou, épaules, seins, ventre, la prenant avec ses doigts quand sa bouche aspirait son téton ou son nombril, et je crois qu’elle l’aurait faite jouir assez vite si elle l’avait voulu. Je les regardais, debout dans l’entrée de la chambre, Alexandra encore vêtue de son peignoir à moitié dégrafé, Alice offerte nue, haletante, quêtant mon regard et mon approbation, et quand j’ôtai mon boxer pour venir derrière Alexandra et écarter ce qui restait de son peignoir, je vis dans le regard d’Alice un sourire de contentement et de joie qui me surprit, comme si mon désir pour Alexandra me rendait complice de son désir à elle, et nous innocentait tous. Alexandra ronronna presque quand je posais mes mains sur ses fesses rebondies qu’elle releva aussitôt, m’offrant ouverts tous ses orifices désirants. Je plaçai mon gland à l’orée de sa chatte, et c’est Alice qui me demanda d’y entrer : « Vas-y, prends-là , je t’en prie, je veux sentir ton sexe en elle, et chacun de tes mouvements dans sa langue en moi ». Je m’apprêtai à la pénétrer quand Alexandra se déroba : « non, pas par là , l’autre trou s’il te plaît, je ne voudrais pas te faire un petit frère… » Alice me regarda avec un grand sourire, et j’enculai donc Alexandra très doucement, très lentement, tandis qu’elle dévorait le clitoris d’Alice qui hurla bientôt sa jouissance. Le cul d’Alex était divinement serré, mais manifestement pas vierge : elle savait faire jouer ses muscles pour me laisser entrer, et que je fus enfin calé au fond, ma tige entièrement en elle, elle demanda à Alice revenue de ses émois de venir lui lécher la chatte. Prise ainsi entre mon sexe et sa langue, elle s’abandonna à nous entière, belle dans son plaisir comme je l’avais vue sur Francis auparavant, libre, pleine, épanouie, guidant nos gestes et nous pressant de ses mains contre elle, curieux couple uni dans le plaisir qu’il donnait à une troisième personne, et je jouissais autant de prendre Alex ainsi que de la voir fléchir sous la langue d’Alice, et de voir dans les yeux d’Alice le désir enfin libéré, la sexualité enfin assumée. Nous baisâmes longuement, dans des positions variées et inconnues, toujours en quête du plaisir de l’autre. Plusieurs fois Alice pleura dans mes bras ou ceux d’Alex, plusieurs fois mon sexe se vida sur ces peaux si douces et chaudes, plusieurs fois Alexandra nous mordit dans son extase. C’est vers six heures je crois que nous nous rendîmes compte que nous avions faim et soif.
Nous prîmes un repas léger et joyeux, et Alexandra nous confia combien elle était contente, combien depuis longtemps elle avait envie de nous, de nous deux, et combien elle était heureuse de la façon dont les choses s’étaient passées. Elle nous dit combien elle était jalouse des petits seins d’Alice, de sa fragilité, combien elle avait fantasmé sur mon sexe, aperçu depuis bien longtemps – je ne le savais pas – combien elle avait adoré le goût d’Alice… Rien que d’en parler, elle excitait Alice et ses yeux devenaient de nouveau avides. Je me levais, glissais derrière la chaise haute sur laquelle Alice était assise : je déposai un baiser long dans son cou gracile, en caressant ses seins à travers le léger tissu qu’elle avait revêtu. Elle sa laissa faire, ferma les yeux, écarta sans même en être tout à fait consciente les jambes, et Alexandra continua le récit de son désir dont elle voyait bien combien sa voix maintenant plus basse faisait monter l’excitation d’Alice. Quand je glissai une main entre ses jambes, écartant le fin tissu qui ne la couvrait presque plus, et que mes doigts atteignirent sa fente, Alice se cambra en gémissant, consciente de s’offrir autant à moi qu’au regard d’Alexandra devant elle, autant à mes mains qu’à sa voix, consciente que son corps vibrant nous émouvait autant l’un que l’autre, et que ce cadeau qu’elle recevait était aussi un cadeau qu’elle nous faisait. D’une main, je caressais maintenant son clitoris durci, tandis que de l’autre je fouillais sa fente ouverte et gluante, ma bouche dans sa nuque, et ses gémissements de plus en plus forts, haletants, violents, laissaient s’insinuer le récit du désir d’Alexandra, le récit qu’elle faisait de ce corps d’Alice devant elle, du corps qu’elle avait eu comme du corps offert et ouvert maintenant, et Alexandra avait jeté à terre le peignoir qu’elle avait revêtu, se branlant vigoureusement devant moi, haletante elle aussi, ses yeux comme figés sur le sexe dégoulinant d’Alice, sur sa fente rose et rougie, gonflée par l’afflux de sang et de désir. Je sentais monter la jouissance d’Alice, je la sentais de plus en plus cambrée, tendue, ses cuisses se fermant presque sur mes mains, ses bras tordus, et cette montée de l’orgasme était comme conjointe avec celle d’Alexandra, le corps refermé sur sa main en elle, son récit devenu impossible tant la respiration lui manquait, et quand Alice rouvrit les yeux pour jouir, elle découvrit face à elle ce corps de femme en extase qui la regardait, et c’est l’échange de ces regards, de ces yeux de l’une sur l’autre, qui les fit exploser au même moment, dans un râle indistinct et si tendre. Elles revinrent rapidement à elles, souriantes, heureuses l’une de l’autre, et la main d’Alice s’égara dans son dos pour trouver mon membre tendu et brûlant. « Alexandra, je n’ai pas encore offert mon anus à quiconque. Veux-tu m’aider et nous préparer ? – Volontiers », dit-elle en s’agenouillant d’abord pour recueillir la mouille qui coulait encore sur les cuisses d’Alice, puis pour prendre mon sexe presque douloureux de les avoir vues ainsi jouir dans sa bouche. Mais un bruit de voiture nous interrompit : quelqu’un rentrait ! Nous nous rhabillâmes rapidement, filant dans nos chambres respectives, puis nous redescendîmes décents. C’était Luce, de retour avec les enfants épuisés. Elle allait leur faire rapidement à manger et les coucher, tant ils étaient rincés par leur journée. Nous l’aidâmes aux tâches de cuisine, joyeux et complices. Luce nous regardait tous les trois d’un air étonné, ne comprenant pas bien ce qui se passait, ne se doutant probablement de rien, tout en constatant que quelque chose d’indéfinissable pour elle était toutefois différent. Tout le monde mangea de bon appétit, un sms des chasseurs nous annonçant qu’ils ne rentreraient pas, qu’ils dormiraient dans un relais. Luce manifesta sa mauvaise humeur, mais notre chahut joyeux lui fit oublier son mari indélicat et absent. Les enfants couchés, nous revînmes tous au salon. Alice, nous regardant d’un air complice, proposa à Luce de la masser parce qu’elle la trouvait tendue. Luce s’installa donc sur le canapé, couchée sur le ventre ; Alice lui demanda de ne garder que son caraco et son slip, afin de mieux la masser. Luce eut l’air gênée, mais après tout, on était en famille, on s’était déjà vus en maillot de bain, alors pourquoi pas. Alice entreprit de lui masser longuement les épaules, et je m’occupais – un peu surprise, Luce se laissa faire – de ses pieds. Alexandra allumait un feu dans la cheminée. Alice glissa des épaules sur le dos, et Luce ronronnait de plaisir entre la chaleur soudaine du feu et ce moment de détente. J’étais passé des pieds aux chevilles puis aux mollets. Luce, alanguie, se laissait complètement faire tandis qu’Alexandra était partie cherche une bouteille de vin. Elle revint triomphante, avec « une merveille, vous allez voir ! » et quatre verres. Alice demanda à Luce de se retourner sur le dos ; là encore, Luce hésita mais finit par se laisser faire. Alice reprit les épaules, le cou, les clavicules, et ses mains descendaient parfois autour des seins de Luce, mais sans jamais insister. J’avais quant à moi repris les mollets et je massais maintenant les cuisses de Luce. La lumière dansante des flammes colorait son corps de reflets rouges, et Alexandra nous tendit à tous des verres généreusement remplis. Luce se redressa, rajustant à peine son caraco sur sa poitrine, et nous trinquâmes tous. Puis Alice d’un geste fit se rallonger Luce, sur le ventre de nouveau, et elle vint masser le bas de son dos et ses fesses. Luce se laissait faire, elle avait abandonné toute résistance et profitait au contraire de la chaleur qui montait, les flammes, le vin, les mains d’Alice. Et les mains d’Alice sur ses fesses, sur ses cuisses, entre ses cuisses, de nouveau sur son dos, ne restaient pas inactives. Les yeux fermés, Luce nous avait comme oubliés, et quand Alice lui caressa plus franchement l’entrejambe, elle se laissa faire, cambrant légèrement son postérieur comme pour rendre plus facile la caresse ou le massage. De nouveau, devenue savante, Alice lui demanda de se retourner. Elle prit alors les seins de Luce à pleines mains, à travers le tissu du caraco, et tandis qu’elle les massait, elle me fit signe de reprendre le massage des cuisses. Luce se raidit insensiblement, consciente de ce que nous faisions, mais ne se déroba pas, et quand à mon tour je glissai mes mains entre ses cuisses pour les faire remonter vers son ventre, frôlant à chaque passage les lèvres gonflées de son sexe, quand Luce releva le caraco pour découvrir les pointes érigées des seins de Luce, et quand enfin Luce sentit son cou caressé à son tour par le souffle d’Alexandra, venue derrière elle, elle rouvrit les yeux en souriant et murmura « je savais qu’il s’était passé quelque chose entre vous, mais je n’imaginai pas ça… », et elle ouvrit plus franchement les cuisses. Je n’hésitai pas à faire glisser son slip pour pouvoir la caresser à loisir. Luce se retrouva ainsi nue entre nous, caressée par six mains et bientôt trois bouches, offerte et abandonnée, se laissant aller à ce plaisir inattendu et impromptu, sans retenue. Elle se releva juste un instant, murmurant « mais Alain ? », à quoi Alexandra répondit en plaisantant « qui va à la chasse perd sa place ! », puis Luce ajouta : « oui, mais je ne veux pas de sexe en moi, s’il vous plaît » et elle s’abandonna entièrement. C’est Alexandra qui la première la mena à l’orgasme en lui dévorant l’entrejambe mieux que je n’avais su faire. Puis Luce se reprit, nous demanda de tous nous dévêtir, et une fois tous nus devant le feu brûlant, ce fut un concert ininterrompu de gémissements et de plaisirs. Alice m’offrit, comme elle en avait émis le souhait, son cul préparé par Alexandra, Luce dévora voracement les seins offerts d’Alexandra… Plus d’une fois, Alexandra ou Alice gémirent sur mon sexe ; je vis bien que Luce aussi en avait envie, mais elle se l’était interdit. Plusieurs fois, elle me toucha, me caressa, se frotta à moi, mais jamais je ne la pénétrai. Rassasiés, au milieu de la nuit, nous allâmes tous nous coucher dans nos chambres respectives. Alice s’endormit blottie dans mes bras, dans une forme incroyable d’innocence et de satisfaction. A l’aube, je fus réveillé par une sensation curieuse : ouvrant les yeux, je vis mon sexe englouti par la bouche gloutonne d’Alexandra, tandis qu’Alice, éveillée, la regardait en souriant et en se caressant. Luce ne nous rejoignit qu’au petit déjeuner, un peu gênée mais rapidement mise à l’aise par le baiser sans détour d’Alexandra. Nous convînmes qu’il était inutile de mettre Alain ou Francis au courant, et quand ils rentrèrent, fiers de leurs trophées de chasse, nous nous regardâmes en souriant.
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