Les mâles heures de Sophie 2

Récit érotique écrit par Odan le 21-12-2023
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Catégorie Infidélité

Bien qu’ils soient l’un à l’autre infidèle, Sophie et Clément ont décidé de rester ensemble. Sophie a couché avec le frère de Clément, Luc, ainsi qu’avec son père, André, mais elle s’est aussi tapé le patron d’un magasin de lingerie et elle n’a pas l’intention d’en rester là… Clément baise avec une de ses collègues, le Dr Arnault. Et Sophie s’est aussi tapé en même temps Clément et Luc…

Maintenant que les choses entre eux sont éclaircies, et qu’ils ont pris la décision qu’après tout, c’était très bien comme ça, ils sont tous les deux libérés d’un poids. Ce qui fait que ce matin, quand ils se sont levés, pour une fois en même temps, Sophie a considéré qu’un accord aussi intelligent méritait d’être scellé de façon inoubliable. Elle a donné son cul à Clément, sous la douche, pendant qu’elle se branlait vigoureusement la chatte et le clitoris. Bon, Clément n’a le sexe ni de son père ni de son frère, et Sophie ne désespère pas de se faire défoncer l’anus par ces membres disproportionnés, mais pour commencer la journée, c’est quand même super agréable. Quant à Clément, sa maîtresse, le Dr Arnault, ne lui a jamais donné son cul, alors il profite de celui de Sophie, bien agréable, bien rond, bien blanc, et il aime gicler en elle.

Sophie a des projets bien précis pour sa nouvelle vie. D’abord, elle va aller chez l’esthéticienne : si on veut une vie sexuelle débridée, il faut être impeccable. Elle débarque donc très tôt chez Aline, son esthéticienne : elle sait qu’elle n’a pas pris rendez-vous, mais en arrivant de si bonne heure, il restera bien une petite place… Aline est assez embêtée : elle a plein de rendez-vous, son employée est en retard, et elle a bien un nouveau, mais pour une épilation intégrale, elle est tout de même gênée. Sophie aussi… jusqu’à ce qu’elle aperçoive le nouveau : c’est un grand noir long, aux doigts d’une incroyable finesse, et qui a l’air tout doux. « Allez, je vais avec ton nouveau ! Â» Et elle file se déshabiller puis s’étendre pour l’épilation. Le nouveau, Samba, est tout de même embêté : il n’a jamais fait d’épilation du maillot, et quand il voit Sophie étendue, nue, avec sa jolie chatte rose, il a un peu peur et de lui faire mal, et d’être très maladroit. D’autant que, quand on est excité, on est moins concentré. Sophie voit bien l’effet qu’elle lui fait, d’autant que la bosse sous son pantalon n’a rien de discret : comme ça, à vue de nez, ça lui plaît plutôt. Et comme ça lui plaît, elle commence à mouiller, ce qu’il ne risque pas d’ignorer à son tour, puisqu’il a le nez sur la chatte de Sophie. Du coup, ni une ni deux, Sophie lui plaque la tête directement sur sa chatte, en lui disant qu’avant toute chose, elle a absolument besoin d’être détendue, et que s’il fait ça bien, elle se promet de le détendre – c’est le mot qu’elle emploie – après. Samba se régale : première cliente, première baise, et ça, c’est de la chatte juteuse. Il y va carrément, sa langue remonte toute la fente, boit ce jus abondant, attrape le clito tout gonflé, le titille, et comme ça plaît manifestement à Sophie, il insiste. Pendant ce temps, Sophie a défait sa ceinture, lui a baissé son pantalon, et a attrapé son mandrin : un beau sexe noir, très noir, très brillant, très lisse, et surtout très long. Il est moins gros que celui d’André, mais tellement plus long. Sophie ne peut absolument pas le prendre en bouche, mais en attendant de le mettre ailleurs, elle s’en délecte : il a une odeur forte, musquée, qui l’excite beaucoup. Elle suce le bout, sa langue tourne autour du gland, il suinte déjà, elle le caresse sur toute sa longueur, va jusqu’aux couilles, et elle sent son propre sexe fouillé par sa langue, fouillé par ses doigts si longs, si fins, en elle, qui la touchent, la massent de l’intérieur, la font fondre, la font devenir liquide, et en elle veut davantage, et elle gémit, elle se sent dégouliner, elle sent que son sexe en appelle un autre, elle sait son désir ; alors elle se relève, dénude entièrement Samba, le fait s’allonger, et c’est elle qui vient sur lui. Elle s’accroupit sur ce corps si sombre, elle sent son sexe entrer, à n’en pas finir, et il vient buter au fond de son vagin, si dur maintenant, des ondes la traversent, ses seins dans les mains de Samba, ses doigts longs et noirs sur sa peau blanche et rose, et elle aime ce contraste, elle aime la façon dont il la prend, dont il joue avec son corps, elle aime le plaisir qu’elle lui donne, cet homme si jeune avec elle, elle aime sentir son long sexe tressaillir en elle, et le sien se refermer, se contracter. Mais elle en veut encore plus, elle est insatiable, et il comprend son désir sans parole, il est en harmonie avec elle et ses doigts lâchent ses si beaux seins pour venir prendre son joli cul, un, puis deux, et ce sexe en elle, ces doigts dans son anus, si longs, qui tournent et elle a la tête qui tourne, elle sent le vertige la prendre avec l’orgasme qui monte, qui tourne en elle, qui lui fait perdre l’équilibre et la mesure, l’orgasme qui la fait trembler et la ravage quand elle sent la giclée de sperme au fond de son vagin, la giclée puissante, par saccades, de Samba qui rugit, en prenant son cul à pleine main, en la soulevant du sursaut de ses reins. Elle s’écroule enfin, apaisée, pleine de ce foutre chaud, s’effondre sur Samba qui la retient, qui coule encore en elle, toujours dur, toujours long, si jeune, si vigoureux… Elle se relève et constate avec surprise que malgré la jouissance, Samba n’a pas débandé : toujours cette barre noire, trempée de sa mouille et du foutre, toujours ce sexe si long qui la fascine. Et Samba reste là, allongé ; il a repris son sexe dans sa main, se caresse en la regardant, sa peau claire, ses très beaux seins, cette femme épanouie et heureuse, cette femme plus libérée qu’il n’imaginait, sa blondeur, ses magnifiques yeux gris qui le fixent, qui fixent son membre qu’il sait unique, vibrant, tendu, et à sa grande surprise, au lieu de se dégager, elle revient s’asseoir sur lui, mais en écartant les fesses pour empaler son anus sur sa tige, et il entre là sans peine, d’abord un tiers de son sexe, la moitié, les trois quarts. Où va-t-elle ainsi, peu de femmes peuvent accueillir en elles un membre si long, mais elle s’enfonce, il est dans ses entrailles chaudes, c’est délicieusement serré sur lui, c’est nouveau et les muscles de Sophie se contractent et se relâchent, l’aspirent, il est comme sucé par ce cul, avalé, happé. Et une nouvelle fois, il sent la montée du sperme dans sa verge, et une nouvelle fois il jouit en elle, longuement, avec délice. Et cette fois enfin, chaude de ce sperme dans tous ses trous, Sophie se sent pleine, se sent épanouie, se sent comblée. Elle reste ainsi longtemps, à sentir ce jeune membre se ramollir, cette semence couler sur ses cuisses, elle jouit de ce moment, de cet apaisement, de ce relâchement. Enfin, elle libère Samba et se lève pour aller se doucher. Tant pis pour l’épilation, ce sera une autre fois, elle n’a plus le temps…

Elle s’aperçoit en sortant qu’elle a reçu de nombreux messages : un message de Clément, qui voudrait qu’elle passe le voir à l’hôpital ; un autre d’André, son beau-père, qui a manifestement aimé baiser sa belle-fille, et qui voudrait le refaire vite (ah, le sexe courbé d’André en elle, elle en vibre seulement en y pensant !) ; et un message d’un expéditeur inconnu, assorti d’une photo. C’est elle avec le patron du magasin de lingerie, et la photo est très explicite. Sophie ne craint pas vraiment qu’on la fasse chanter : avec son mari ? ça ne marcherait pas. Mais elle est curieuse. Le message lui fixe un rendez-vous pour ce soir. Elle va y aller, elle veut savoir où cela peut mener. Elle rentre donc chez elle, se repose, passe la journée tranquille, avant de sortir pour son rendez-vous. Du coup, elle a oublié Clément et lui envoie un sms rapide, pour lui dire de ne pas l’attendre, quels que soient ses projets. Elle va dans le bar où le RV lui a été fixé, ne sait pas trop qui elle va trouver, qui elle doit attendre. Elle voit des gens passer, des gens entrer, sortir, mais personne ne vient à sa table. Et Sophie n’aime pas trop attendre : elle est venue par curiosité, et non par crainte, et s’apprête à partir avec agacement. Au moment où elle se lève, son bras est retenu par une femme qui était assise près d’elle : elle ne l’avait pas reconnue, c’est la vendeuse du magasin de lingerie. Elle se rassoit. « Excusez-moi, je ne voulais ni vous faire peur ni vous… - Vous ne m’avez pas fait peur, vous avez éveillé ma curiosité. – Voilà, je vous ai trouvée très belle, très érotique, et je voulais savoir si… Â» Elle hésite, elle ne sait pas comment dire ce qu’elle attend. « Si ? – Si… si vous accepteriez de poser, pour des photos, ou des vidéos même ? – Non. Â» Sophie n’a pas pris la peine de réfléchir, elle ne veut pas de ça : elle cherche des aventures, de la jouissance, de l’épanouissement, mais rien pour quoi elle serait payée, et encore moins quelque chose qui serait diffusé. « Et… - Et ? – Et pour participer à des soirées ? – Des soirées, c’est-à-dire ? – Des soirées libertines… - Vous voulez dire, avec des inconnus et des inconnues ? – Oui, c’est ça. – Avec de parfaits inconnus, non, mais si c’est pour rencontrer des gens, dans un temps et des lieux que je maîtrise, pourquoi pas ? – Donc, si par exemple vous étiez invitée avec votre mari, ou qui vous voudrez, vous pourriez dire oui ? – Je pourrais. – Et, pardon… c’est une question… enfin, les femmes ? – Quoi, les femmes ? – Est-ce que vous le feriez aussi avec des femmes ? – Franchement, non, j’aime trop les sexes d’hommes, et je pourrais partager un homme avec une femme, mais moi avec une femme, non. – Ah… tant pis, vous m’avez tellement excitée. – J’en suis très flattée, mais non. â€“ Alors, je peux vous appeler ? – Oui, vous pouvez. Â» Et son interlocutrice s’en va, un peu gênée, un peu gauche. Sophie est assez surprise, flattée et surprise. On verra, se dit-elle. Mais en fait, elle est un peu déçue aussi… elle espérait quelque chose de plus sensuel, elle ne savait pas trop où elle allait, mais si ça avait fini en moment sexuel, ça ne lui aurait pas déplu. Il est encore très tôt, et elle rentre chez elle. Mais sur le chemin, Sophie se ravise : cette petite vendeuse l’a excitée, et savoir qu’elle lui plaît ne lui déplaît pas… Elle prend son téléphone et l’appelle immédiatement. Mélissa, la vendeuse, n’en revient pas. Elle pensait avoir échoué, et même si Sophie rappelait, ce serait plus tard… mais non, là tout de suite, alors qu’elles se sont quittées il y a cinq minutes. Elle ne sait pas trop ce qu’elle va pouvoir lui dire, elle n’avait rien prévu d’immédiat : « Mais… enfin, je n’ai aucun plan pour une soirée ce soir… je ne sais pas… - Ne vous inquiétez pas, moi, je crois savoir quoi faire… Vous me rejoignez chez moi d’ici une demie heure, je vous donne l’adresse. Â» Melissa est très surprise, mais la voix de Sophie au téléphone, son assurance, tout cela l’a troublée. Elle file chez elle, se change, se glisse dans une petite robe sexy, sans rien dessous, se parfume, et va à son rendez-vous. Quant à Sophie, à peine rentrée à la maison, elle s’est dit qu’elle allait appeler ou Luc, ou André… mais inutile, Clément est là, tout penaud. Il vient de se faire jeter par sa maîtresse, parce qu’il a refusé de quitter Sophie. Qu’il est mignon ! Sophie lui promet donc un lot de consolation, un très joli petit lot. Elle l’envoie se doucher, se faire beau, prépare rapidement un apéro et se change à son tour. Elle enfile l’un des ensembles achetés dans la boutique, passe par-dessus une robe qui ne la découvre pas trop, se maquille très légèrement, mais ça sonne déjà… Elle court ouvrir : Mélissa est devant la porte, un peu émue. Sophie lui dépose un rapide baiser sur la joue, juste au bord des lèvres, pour l’exciter un peu sans rien lui promettre vraiment, et la fait entrer. Clément, évidemment, n’est pas encore prêt… Elle fait s’installer Mélissa, lui sert un verre de vin blanc glacé, la regarde ; elle est vraiment jolie, elle devrait plaire à Clément. Il arrive enfin. C’est vrai qu’il est beau, son mari. Il la déçoit à bien des égards mais comme ça, de l’extérieur, il a la classe : des traits fins, un beau sourire, une carrure athlétique, le vrai beau gosse. Et en plus il est intelligent et il gagne bien sa vie ! Que demande le peuple ? Mélissa a l’air impressionnée. Sophie fait les présentations, fait asseoir tout le monde et fait la conversation. Bon, il est beau mais il est quand même empoté, quand il veut… et Mélissa n’est pas très à l’aise non plus. Comme d’habitude, il va falloir que Sophie y mette du sien. Elle s’est assise à côté de Mélissa, en face de Clément, et comme ces deux godiches feraient geler un ours blanc tellement ils sont coincés, elle attaque. Elle vide son verre, le pose, se lève, et va vers Clément. « Comment trouves-tu mon mari, Mélissa ? Il est beau, non ? Â» et elle lui roule un langoureux baiser sur la bouche, faisant savamment rouler sa langue dans la bouche de Clément. Puis, le laissant là, un peu abasourdi, elle va vers Mélissa : « Et Mélissa, Clément, comment la trouves-tu ? Tu as vu ses jambes ? Â» et elle caresse les jambes bronzées de Mélissa, faisant remonter la robe… « Et cette coquine, je suis certaine qu’elle ne porte rien dessous, n’est-ce pas Mélissa ? Â» et tandis que sa main remonte encore sur la cuisse de Mélissa, elle l’embrasse à son tour. Mélissa ne s’y attendait pas, mais elle apprécie ce baiser de Sophie qui a réveillé son désir en un clin d’œil. Elle se laisse aller dans le canapé, la main de Sophie remontant toujours sa robe pour atteindre sa chatte déjà humide. Clément n’en perd pas une miette : Sophie est à quatre pattes au-dessus de Mélissa, à moitié pâmée et la robe presque sur le ventre ; Sophie doigte la chatte de Mélissa en lui roulant un patin d’anthologie, et Clément se lève alors, pour relever la robe de Sophie, et découvrir cet ensemble très suggestif qu’il ne connaît pas. Il ne savait pas que Sophie aimait les femmes, et il trouve cela très excitant ; il en a oublié sa déconvenue de la journée. Sophie s’est détachée des lèvres de Mélissa, et tandis qu’elle lui a presque arraché toute sa robe, et que Mélissa la retire et se découvre nue, si jolie, si bronzée, Sophie a plongé entre ses cuisses pour lécher son intimité. Se faisant, elle s’est reculée, et Clément en a profité pour relever davantage encore sa robe, et écarter son string. Il la doigte joyeusement, et sa mouille abondante lui indique assez clairement que Sophie en attend plus. Il retire donc son pantalon et son caleçon, et s’apprête à prendre sa femme quand… ça sonne… Tout le monde s’arrête. Sophie relève la tête ébouriffée de la touffe de Mélissa : Â« Clément, tu attendais quelqu’un ? – Non, pas du tout. – Avec toutes ces lumières, difficile de faire comme si on n’était pas là… Bon, rajustez-vous un peu, j’y vais… Â» Pour Clément, c’est facile de remettre son pantalon… Mais Mélissa a plus de mal, sa robe est à l’envers, elle passe le bras dans la mauvaise emmanchure, et quand Sophie revient, accompagnée, elle est encore à moitié nue… A la porte, Sophie a trouvé André, son beau-père. Il passe comme ça, dire bonjour, qu’il dit… Il a surtout les yeux gourmands d’un homme qui a envie d’une femme, et d’une femme précise, sa belle-fille Sophie. Quand tous deux entrent dans le salon, ils trouvent donc Clément à peu près présentable, mais très rouge et faisant comme écran de son corps, et derrière, blottie sur le canapé les seins nus et la robe mise à l’envers, Mélissa… André a les yeux qui sortent des orbites : il espérait un peu de sexe, mais ce qui s’annonce dépasse largement ses espérances. Sophie – reine de l’impro – explique à André qu’elle vient de rentrer et de trouver son mari avec sa nouvelle maîtresse. Qu’elle trouve cela charmant et entend également en profiter, mais puisqu’André est là, elle ne voit pas pourquoi il n’en profiterait pas également. Clément est au bord de l’apoplexie. Avec son frère, passe encore, mais son père ! Mélissa ne sait pas trop quoi dire. Ce qu’elle voulait surtout, c’était Sophie, et voilà qu’il y a maintenant deux hommes. Mais Sophie ne se laisse pas démonter : elle sert un verre de vin à André, explique à Clément qu’elle et André aimeraient bien assister au spectacle, et que puisque Mélissa est déjà presque nue, qu’ils ne se gênent pas, et qu’ils baisent tranquillement devant eux. Clément ne sait pas quoi faire, quand Sophie est comme ça, il est toujours démuni ; Mélissa se sent elle-même prise au piège, et elle sent bien que si elle veut Sophie, il faudra aussi qu’elle se donne. Mais quand Sophie retire sa robe pour s’installer près d’André, et que celui-ci sort son gros sexe courbe, épais, et le prend dans sa main en lui faisant un grand sourire, elle est effrayée. Des sexes, elle en a vus, mais un aussi épais, jamais. « Bon, Clément, tu attends quoi ? Â» lui dit Sophie. « Si tu continues, Mélissa va prendre froid… Â» Afin d’éviter d’avoir affaire à André, Mélissa se dit qu’elle doit entrer dans le jeu : elle défait donc le pantalon de Clément et dégage son sexe. Ouf, rien à voir avec celui de son père, tant mieux. Elle le prend dans sa bouche et le suce délicatement, pendant que Sophie, et c’est la deuxième fois de la soirée, lui retire sa robe en caressant chaque morceau de la peau qu’elle dénude. Mélissa ressent chaque caresse de la main de Sophie comme une décharge électrique, et cela l’encourage dans la pipe qu’elle donne à Clément. André est hilare – comme souvent : sa bru en sous-vêtements très sexy caresse une fille superbe, longue, bronzée, menue, qui suce son fils. Jamais il n’aurait pensé assister à une telle scène, et son sexe en est tout réjoui et durci. Clément se laisse faire, cette bouche sur lui n’a pas apaisé sa gêne, mais à coup sûr elle l’a excité sérieusement, et voir Sophie dénuder cette jolie jeune femme en la caressant, et en le regardant de ses sublimes yeux gris, il adore. Son père ne serait pas juste à côté avec ce membre tordu à se palucher, ce serait moins gênant, évidemment… Sophie a replongé entre les fesses de Mélissa, elle la lèche avec appétit, elle y prend goût, et Mélissa miaule de plaisir à cette caresse intime, à cette langue qui la fouille, à ces doigts qui l’écartent et la prennent. Tant et si bien qu’elle ne voit pas André se lever, retirer son pantalon et venir à son tour derrière elle. Sophie lui laisse la place, elle lèche sa bite en passant, pour la lubrifier un peu, puis s’écarte. Et quand ce membre gros comme un poing se positionne à l’entrée de la vulve si fraîche, si jolie, si trempée déjà, de Mélissa, celle-ci ne comprend pas ce qui se passe. Elle croit d’abord que Sophie veut la fister, et elle écarte ses fesses pour l’aider. Mais le contact n’est pas celui d’un poing, c’est plus chaud, c’est vibrant… et puis Sophie est là, elle la voit, elle déshabille Clément qui porte encore sa chemise… donc… elle ne comprend vraiment ce qui la pénètre que quand André pousse un coup fortement, et que sa vulve est comme déchirée par ce membre disproportionné. Mélissa lâche la bite de Clément et crie. C’est à la fois douleur et plaisir, à la fois brûlure et extase. Et quand André la soulève pour la pénétrer davantage encore, elle s’appuie sur Clément qui est devant elle, les yeux dans le vide, perdue, hébétée, comme absente. Et Clément la retient, Sophie derrière lui caressant ses fesses et son cul, ses couilles, et il regarde son père bourrer Mélissa sans retenue, ahanant et râlant, profitant de cette chatte qui lui est offerte, la remplissant de son braquemart courbé, coudé, et la fouillant de toute son épaisseur. Enfin, André se retire pour gicler son sperme épais sur le dos de Mélissa, à moitié évanouie, à moitié partie, dégoulinant de mouille tant cette sensation pour elle nouvelle l’a profondément émue et bouleversée. Clément est assez stupéfait, il sait qu’il est incapable de procurer ce plaisir à une femme, et quand la main de Sophie qui le branle le pousse dans le fauteuil, il se sent si petit et mince qu’il en a presque honte. Mais Sophie vient s’asseoir sur lui, elle empale son anus sur son sexe et fait signe à Mélissa, à peine remise, de venir lui lécher la chatte et le clitoris. D’André, on ne tirera plus grand-chose, à son âge, il lui faut du temps pour récupérer. Il s’est d’ailleurs assis, a repris un verre de blanc et admire la scène : Sophie, sa si belle belle-fille, en train de s’envoyer en l’air, vraiment, sans retenue, une femme entre les cuisses et le petit sexe de son aîné dans le cul. Sophie joyeuse, les yeux riants, Sophie aimante et désirante, Sophie libérée des contraintes que son milieu social lui promettait pourtant. Et quand Sophie sent que l’orgasme vient, elle plaque la tête de Mélissa entre ses cuisses plus vivement et monte et descend comme une furie sur le sexe comprimé de Clément qui lui tient les seins, les palpe, les malmène, et avant même l’acmé de l’orgasme de sa femme lui gicle dans le cul, longuement, ce qui provoque une sorte de fulgurance à travers tout le corps de Sophie, un puissant tremblement, que Mélissa accompagne en mordant presque le clitoris de Sophie. Et elle crie sa jouissance, elle crie son plaisir, elle crie la joie qui la submerge et la fait à son tour gicler abondamment sur le visage de Mélissa. André adorerait bander de nouveau et participer, mais ce n’est plus de son âge, il faut s’y résoudre. Alors il sert à Sophie et Mélissa un verre de vin, en attendant qu’elles se remettent de leurs émotions. Mélissa se relève, elle essuie son visage trempé de la mouille de Sophie et prend ce vin avec délice, pendant que Sophie se dégage du sexe de son mari. Elle est trempée de sueur et s’éclipse un instant, voulant se doucher avant de revenir. A son retour, elle ne trouve plus que Clément, André étant rentré chez lui en accompagnant Mélissa. Elle lui propose de manger quelque chose avant d’aller dormir.

Au petit matin, elle se lève et prépare le café. Elle aime boire son café tranquillement, et se promène nue dans la maison encore sombre, sa tasse de café à la main. Elle observe les lumières des maisons voisines d’allumer une à une, les ombres des voisins derrière les fenêtres, qui se lèvent, vont à la salle de bains… Elle a toujours été un peu voyeuse, sans en prendre conscience aussi nettement que ce matin. Son regard est attiré par la lumière d’une fenêtre d’ordinaire close. Ce matin, la fenêtre est grande ouverte, sans rideaux, et la lumière vient d’être allumée : c’est un dressing. Elle y voit furtivement passer quelqu’un, sans avoir le temps d’identifier un homme ou une femme : juste une forme aussitôt disparue. Puis la forme réapparaît : c’est une femme, qu’elle voit de dos, dévêtue. Elle a des cheveux coupés très courts, elle ne paraît pas très grande. Elle prend une chemise, la remet en place, une autre, elle semble hésiter. Elle se tourne, répond sans doute à quelqu’un, et Sophie peut voir un sein de profil, petit sein menu, à la pointe très en relief pourtant. Elle compare à son sein, rond et un peu lourd, si différent. Puis la femme disparaît, la lumière s’éteint… Sophie ne connaît pas cette voisine, elle croyait pourtant qu’habitait là un couple qu’elle connaît, des gens plus âgés. Elle continue d’observer en buvant son café. La lumière se rallume ! Non, c’est le monsieur qu’elle connaît, en robe de chambre, qui vient fermer la fenêtre. Donc il habite toujours là, mais qui est la jeune femme ? Elle ne l’imagine pas du tout avec une maîtresse, mais après tout, aurait-elle imaginé il y a quelques jours coucher avec son beau-père ? Elle se promène dans la maison, elle aime être nue comme cela. Elle imagine que si elle regarde par la fenêtre, d’autres aussi peuvent le faire. Alors elle allume quelques lumières, passe devant les fenêtres, éteint, joue avec son ombre et son corps, se fait un peu exhibitionniste… Elle a à un moment l’impression que, derrière la fenêtre maintenant fermée du dressing, elle a vu une ombre. Elle allume une lumière derrière elle, repasse devant la fenêtre en ouvrant les rideaux : elle sait que s’il y a quelqu’un, elle sera en ombre chinoise. Aucun doute maintenant, quelqu’un l’observe. Elle adore cette sensation. Mais il faut laisser à l’observateur le sentiment d’être invisible ; si elle traîne trop, elle ne sera pas naturelle. Elle ouvre la fenêtre mais ne reste pas devant, repart éteindre, comme si elle ne faisait qu’aérer la pièce. Il fait de toute façon moins sombre que tout à l’heure, le jour se lève. Elle passe un déshabillé, va ouvrir une autre fenêtre, sort sur la terrasse. Elle a vu l’ombre bouger, elle se demande si c’est le monsieur qu’elle connaît ou la jeune femme aux cheveux courts. Clément s’est levé : il la rejoint sur la terrasse, en caleçon. Elle se colle à lui, le câline un peu – elle joue à un jeu qu’il ne comprend pas, il préférerait rentrer, on pourrait les voir. Oui, on pourrait les voir, justement… Elle s’apprête à ouvrir son déshabillé pour se coller à lui, mais elle l’agace, il rentre. Décidément, elle n’en tirera pas grand-chose. Tant pis. Et puis elle ne voit plus d’ombre à la fenêtre obscure. Elle traîne encore, un voisin sort sa voiture, lui dit bonjour de loin. Les voilà qui partent au travail un à un, Clément s’en va aussi, tiens, le voisin de la maison, il sort avec sa femme, ils lui font un signe, elle répond – mais alors, qui était la jeune femme ? Et tout d’un coup elle se dit qu’elle est idiote, qu’ils ont une fille qui vit à l’étranger, ce doit être elle.

Sophie rentre dans la maison, retire son déshabillé, traîne encore un moment nue, ne sait pas ce qu’elle va faire de sa journée. Elle range un peu pour s’occuper, toujours nue. Tiens, si elle restait nue toute la journée ? L’idée l’amuse, elle passe une main entre ses cuisses, mais elle n’a pas envie de se masturber, elle a envie de choses plus substantielles. Elle jette encore un coup d’œil curieux à cette fenêtre qui a attiré son attention du matin. Elle est de nouveau grande ouverte. Elle reste là, attentive, curieuse, rêveuse, et elle s’aperçoit soudain que la jeune femme du matin la regarde, qu’elles sont toutes les deux nues à se regarder. La jeune femme lui fait un sourire, un signe de la main, un bonjour à distance, comme si le fait de se regarder comme cela était simplement naturel, elle reste encore un moment à la regarder, sans gêne aucune, puis retourne à ses occupations. Et Sophie se rend compte à quel point cela l’a troublée. Ce regard posé sur elle, si simplement, ce regard que la jeune femme n’a pas cherché à détourner, ni même à abréger. Et elle se savait nue, elle savait que Sophie la regardait, que sa poitrine était visible, peut-être davantage, mais cela non plus n’était pas un frein pour elle. Une sorte d’évidence, hors des a priori et des qu’en-dira-t-on. Sophie enfile rapidement une robe légère, elle se demande si elle va aller sonner, aller rencontrer cette femme qu’elle ne connaît pas mais avec laquelle, l’espace d’un instant, si court pourtant, quelque chose s’est passé. Elle n’est pas attirée par les femmes, même si elle a aimé la langue de Mélissa en elle, là c’est autre chose. Ce n’est pas le corps de la jeune femme qui l’attire, c’est sa simplicité, quelque chose d’avant le corps, quelque chose du rapport à la nature, du rapport à soi-même. Sophie se demande ce qui lui arrive, elle se rend compte qu’elle est trempée, que son sexe suinte de désir, que les pointes de ses seins, de ces seins sur lesquels étaient posés il y a quelques minutes encore le regard de cette jeune femme, sont dressées, excitées ; elle se rend compte que ce désir dont elle était elle-même inconsciente, cette jeune femme ne peut pas ne pas l’avoir remarqué. Elle est toute à son trouble quand la sonnerie de la porte retentit et la fait sursauter. Elle se demande quoi faire, pense qu’elle ne peut ouvrir dans cet état, s’aperçoit que pourtant elle n’est plus nue, qu’elle a revêtu cette robe légère alors qu’elle se sent si impudique, et se dirige donc vers la porte, s’attendant à trouver Clément – mais non, il a la clé – ou André. Non, c’est la jeune voisine, et en allant ouvrir, elle l’a secrètement espéré, ce qu’elle n’osait faire, cette jeune femme l’a fait. Elle porte une robe tunique boutonnée devant, qui lui arrive à mi-cuisses. Sophie rougit violemment en la voyant, bafouille en la faisant entrer. Elle s’appelle Elsa, ce n’est pas la fille des voisins, c’est leur nièce, et elle est en France pour quelques semaines. Elsa dit très simplement à Sophie combien elle l’a trouvée belle, et combien aussi elle a aimé que Sophie la regarde ; elle lui dit qu’elle n’aime pas particulièrement les femmes, mais qu’elle a aimé être vue, qu’elle a ressenti le regard de Sophie sur elle comme une caresse intime, et chaque mot qu’elle prononce résonne profondément en Sophie, chaque phrase qu’elle ajoute met des mots sur l’émotion qui a bouleversé Sophie. Elles se regardent, ne parlent plus, et Elsa défait les boutons de sa robe et la laisse glisser au sol : elle ne porte rien dessous, elle est maintenant devant Sophie, nue, et Sophie découvre son ventre, son sexe lisse, épilé, aux lèvres charnues et un peu foncées, et elle la regarde, ses yeux glissent sur ses jambes, remontent vers ses petits seins, sa bouche, ses yeux, qui la regardent en retour, et Sophie y voit une demande qu’elle n’a pas tout de suite comprise, et elle s’excuse en faisant glisser à son tour les bretelles de sa robe, un temps retenue par ses seins, puis qui forme à ses pieds comme une corolle évanouie. A son tour, elle s’est dénudée devant cette inconnue, elle lui donne à voir ses seins et leurs pointes érigées, son sexe humide, sa peau blanche et rose, elle s’offre à ce regard qui la parcourt et dont le seul mouvement des yeux sur elle la fait frissonner. « Je ne voudrais pas vous toucher, ni que vous me touchiez, mais… c’est difficile, on ne se connaît pas… je voudrais, si vous êtes d’accord, je voudrais vous regarder faire l’amour, et que vous me regardiez, avec le même homme ou pas, peu importe… Je crois que je pourrais jouir de votre seul regard… Â» lui demande Elsa, à la fois timidement mais avec une franchise si stupéfiante. « Pardon, je n’ai pas été claire… je voudrais… je crois que je suis surtout exhibitionniste et voyeuse, je voudrais qu’on se voie comme par mégarde, je voudrais vous regarder depuis ma fenêtre, ou que vous m’observiez sans que mon partenaire le sache… vraiment du voyeurisme… Â» L’idée enchante Sophie, mais elle est si excitée tout de suite qu’elle ne résiste pas à glisser, devant Elsa, une main entre ses cuisses et à se caresser. Elsa recule, étonnée, mais ne parvient pas à détacher son regard de la main de Sophie, du doigt qu’elle a déjà introduit dans sa fente gluante, des gouttes de son excitation qui perlent. Elle ne parvient à détacher son regard de Sophie qui se donne à elle, devant elle, de Sophie qui se donne à elle-même, qui a maintenant fermé les yeux mais tremble déjà de sa main sur son sexe, de ses doigts en elle, et Elsa est fascinée par les seins de Sophie si émus, ses seins aux pointes grenues, par les cuisses de Sophie, à peine ouvertes mais en fait surtout fermées sur sa main, par Sophie qui défaille presque là, dans l’entrée de sa maison, debout, devant elle, devant elle nue aussi, sa robe à ses pieds, sa fente lisse et sombre qu’elle sent de plus en plus moite, qu’elle n’ose pas toucher alors que toute sa chair frémit, et quand Sophie, si vite, de façon si soudaine, jouit en tombant à genoux, et rouvre ses yeux gris sur elle, étonnée, surprise d’avoir atteint si rapidement un orgasme solitaire, surprise d’Elsa devant elle, bouleversée du regard d’Elsa devant elle, d’Elsa sur elle, et qu’elle gémit sourdement de ce spasme qui l’a traversée, alors Elsa s’approche et se met à genoux devant Sophie, prend son visage entre ses mains et partage avec elle un baiser d’une incroyable sensualité, comme si elle cherchait à aspirer dans la bouche de Sophie sa jouissance, à partager par le biais de leurs langues l’orgasme qu’elle voudrait commun. Les deux femmes s’embrassent ainsi longuement, s’embrasent comme un bois sec dans la chaleur de l’été, elles sont agenouillées l’une en face de l’autre, nues dans l’entrée de la maison, et ce baiser qui les unit dure l’éternité d’une passion soudaine, d’un désir fulgurant, inattendu, violent, d’un appel des deux corps auquel ni l’une ni l’autre ne s’attendait, mais qui les emporte comme une vague les ferait rouler en les noyant, en les bousculant, en mêlant leurs jambes et leurs bras, leurs bouches et leurs sexes, leurs seins et leurs cuisses, et elles se retrouvent allongées à même le carrelage, leurs têtes enfouies dans l’intimité l’une de l’autre, à découvrir leur goût salé, à chercher le tremblement de l’autre, le gémissement de l’autre, s’oubliant dans le plaisir de l’autre, dans la douceur des peaux et des mains, dans leurs petits cris mêlés, indistincts. Et le plaisir qu’elles se donnent est comme inconnu, si nouveau, si différent, d’une absolue tendresse, d’une folle intimité. Elles en émergent heureuses, presque reposées et épanouies, étonnées aussi mais davantage encore d’elles-mêmes que de l’autre.

Sophie et Elsa se regardent, sans rien dire. Elles sont sur le sol de l’entrée, nues toutes deux, ruisselantes encore de sueur et de plaisir. Et sans rien dire encore, Sophie se relève, prend Elsa par la main et l’emmène vers la salle de bains. Elles se douchent longuement, laissant couler l’eau sur leurs corps apaisés, celui si fragile et ténu d’Elsa, si mince, presque maigre, et celui plus épanoui, plus ferme, plus charnu de Sophie ; celui plus sombre d’Elsa, et plus rose et blond de Sophie. C’est Elsa qui la première prend la parole : elle dit son émotion, son trouble, elle dit qu’elle n’a jamais aimé les femmes, qu’elle croit toujours préférer les hommes, qu’elle sait combien regarder la trouble, l’émeut, et combien toujours elle aimerait voir Sophie, voir Sophie jouir dans les bras d’un homme. Et soudain elle éclate en sanglots. Sophie la prend dans ses bras et la serre contre elle. Il n’y a rien de sexuel dans ce geste, plutôt quelque chose comme entre deux sÅ“urs, deux amies de toujours alors même qu’elles ne se connaissaient pas la veille, mais si le coup de foudre existe en amour, il existe entre elles en amitié, en intimité. Elles se sèchent, reprennent leurs robes restées sur le sol, se rhabillent, et Sophie propose à Elsa de combler son désir : elle va aller chercher un amant – lequel, peu importe au fond, celui qui sera disponible, ou un autre encore, un qu’elle ne connaît pas encore – et elle se donnera à lui devant Elsa. Elles fomentent leur plan. Comment faire pour qu’Elsa voie sans que son amant le sache, d’où observer, d’où voir sans être vue ? Elles inventent un jeu de miroirs, un jeu qui permettrait à Elsa, depuis chez elle, depuis le dressing, de voir Sophie, mais pas seulement le haut de son corps, mais l’ensemble de la pièce, et elles mettent les choses en place. Elsa court dans le dressing, elle fait des signes à Sophie pour modifier un angle, bouger un miroir, et quand tout est en place, elles sortent ensemble pour aller manger un morceau, heureuses de leur stratagème, heureuses à l’avance de ce qu’elles ont envisagé. Sophie est impressionnée par l’appétit d’Elsa : menue comme elle est, elle dévore comme quatre, alors que Sophie est à cet égard plus retenue. Et puis Sophie a aussi d’autres choses en tête : elle regarde autour d’elle, a envie d’autres hommes, d’autres aventures, et alors que pendant des années, elle n’a pas été attentive aux regards qu’on portait sur elle, elle est maintenant en éveil, comme le serait une lionne en chasse. Elle a bien vu les regards du petit serveur, mais ils ont Elsa pour objet, et puis il ne lui plaît pas particulièrement, trop jeune, trop sûr de lui aussi… Elle propose à Elsa, le repas terminé, d’aller se promener, peut-être faire quelques courses, elles verront bien. Ce sont comme deux sÅ“urs qui déambulent, rient souvent, attirent les regards tant elles sont complices et joyeuses. Mais tout cela n’est guère propice à la chasse de Sophie, un peu déçue d’avoir à se rabattre sur ses amants connus. C’est Elsa qui la sort d’embarras : « On n’est pas si pressées que ça, non ? On peut bien attendre de trouver le bon ? Et en attendant, ça te dit d’aller à la piscine ? Â» Elles rentrent joyeusement prendre des maillots, et direction la piscine. Elsa a un abonnement, c’est une habituée ; Sophie n’y va presque jamais, mais y aller à deux, c’est différent. Elle n’aime pas trop l’odeur de chlore, ni l’odeur de plastique mouillé. Mais quand elle est en maillot, un une-pièce noir, pas particulièrement sexy, très couvrant, et qu’elle retrouve Elsa, en mini bikini rouge, très sexy, elle est contente d’avoir cédé. Elles entrent doucement dans l’eau, c’est l’après-midi, il n’y a pas grand monde, l’eau est chaude et la sensation de nager délasse agréablement Sophie. Elle fait plusieurs longueurs, s’oublie presque dans l’eau. En sortant, elle retrouve Elsa qui discute avec un maître-nageur. Beau gabarit, à côté de la petite Elsa, il a l’air gigantesque. Ils se connaissent. Et quand il voit Sophie venir vers eux, cette femme plus mûre qu’Elsa, plus femme aussi, plus en forme, il la regarde et la détaille de façon presque gênante. Elsa voit ce regard et en sourit ; Sophie fait mine de n’avoir rien vu. Elle ne sait pas si elle a trouvé cela agréable ou pas : trop direct à son goût, mais assez franc aussi. Elsa fait les présentations, « Bruno, Sophie, Sophie, Bruno… Â» et jette à Sophie un clin d’œil amusé. Elles vont toutes deux s’étendre un peu plus loin, laissant Bruno à sa tâche de surveillance de la piscine. « Tu te l’es déjà fait ? Â» demande Sophie. « Non, je crois que je suis trop maigre pour lui, mais toi, en revanche, tu l’as sévèrement appâté… - Et en venant ici, tu savais qu’on le trouverait, tu l’as fait exprès… - Oui, un peu, mais il n’est pas toujours là, et l’autre maître-nageur, crois-moi, même en temps de disette, on n’en voudrait pas ! Â» Elles rient ensemble, complices, et savent bien que Bruno s’arrange pour les regarder régulièrement… Alors Elsa passe derrière Sophie, et en faisant mine de lui masser le cou et les épaules, elle fait tomber les bretelles de son maillot, le rendant d’un coup plus sexy. Telle qu’est assise Sophie, sa poitrine ressort davantage, et le tissu mouillé la met en valeur. Et le massage du cou et des épaules lui fait prendre des poses d’aise et de sensualité. Une fois Bruno bien accroché, Elsa propose à Sophie de partir, en lui laissant un mot peut-être, ou une invitation à boire quelque chose. Mais elles n’en ont pas le temps : Bruno est devant elles, et leur indique qu’il va partir, mais qu’il les attendrait bien… Elles se regardent, rient ensemble et acceptent. Il ne faut guère de temps à cette petite bande pour se retrouver dehors, et alors qu’on s’apprête à rejoindre un café quelconque, Elsa prétexte un sms et une urgence, laissant là Bruno et Sophie. Il est plutôt gêné, ne connaissant pas Sophie, ne sachant pas trop quoi faire, mais elle balaie vite ses hésitations en lui proposant de boire quelque chose chez elle, ce sera plus simple… A peine arrivés, Sophie vérifie d’abord qu’Elsa a bien eu le temps de rentrer, et que tout est en place. Puis elle invite Bruno à se mettre à l’aise, pendant qu’elle va se changer. Il s’apprête à s’asseoir quand Sophie l’appelle ; il suit donc la direction de la voix et trouve Sophie nue sous un déshabillé transparent qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Sans doute n’a-t-il pas l’habitude de femmes aussi directes, car il reculerait presque… Mais Sophie ne lui en laisse guère le temps, s’approchant de lui et venant coller sa bouche à la sienne. Et résister à la bouche de Sophie, résister à ce corps qui lui est offert, il en est d’autant moins capable qu’il l’a apprécié en maillot, et désiré. Aussi ne lui faut-il guère de temps pour être nu à son tour, et pour retirer à Sophie ce déshabillé si léger, si transparent… Et Sophie à son tour apprécie sa plastique, son corps de nageur, ses épaules larges, ses pectoraux puissants ; et elle les apprécie d’autant plus qu’elle sait Elsa présente, depuis sa fenêtre, qu’elle se sait regardée, et qu’elle imagine qu’Elsa se caresse en les regardant, sa façon à elle de profiter du moment. Aussi fait-elle durer chaque instant, chaque caresse, s’assurant toujours de l’angle sans que Bruno ne se doute de quoi que ce soit. Quand elle prend son sexe et le caresse longuement, quand elle vient le lécher ou le bloquer entre ses seins, elle jette un coup d’œil au miroir ; quand elle offre le triangle ouvert de ses cuisses, elle jette un coup d’œil au miroir ; quand sa vulve est pénétrée, d’un grand coup de sportif pas très délicat, elle jette un coup d’œil au miroir. Bruno n’est pas un amant exceptionnel : il a trop confiance en son corps d’athlète et ne prend pas la peine de se demander ce que Sophie ressent ; mais Sophie jouit d’une façon qu’il ne peut imaginer, elle jouit de se savoir guettée, elle jouit du plaisir qu’elle sait donner, non à Bruno dont elle se fiche éperdument, mais à Elsa derrière sa fenêtre. Et Elsa est bien là, dans le dressing, à regarder avidement son amie se donner, s’offrir, à la regarder la regarder aussi, car elle a bien compris ces jeux d’yeux de Sophie. Et les deux femmes font l’amour autant par les yeux qu’à travers le sexe interposé de Bruno, ce corps d’homme dont Elsa jouit aussi sans le toucher, sa musculature imposante, presque parfaite. Ne pas tout voir, imaginer autant qu’elle voit, ne pas entendre, tout cela participe curieusement de son plaisir. Contrairement à ce que Sophie a imaginé, Elsa n’est pas nue ; elle ne se touche même pas alors qu’elle est dans un rare état d’excitation. Sa vulve dégouline, des frémissements parcourent tout son corps comme si elle chaque mouvement des reins de Bruno, chaque gémissement imaginé de Sophie, chaque caresse de l’un ou de l’autre étaient des mouvements, des gémissements, des caresses, qui lui étaient adressés, comme si elle était présente entre ces deux corps dont elle observe l’accouplement. Et quand elle voit se raidir le corps de Sophie, elle vient en même temps qu’elle. Satisfait de ses exploits, Bruno sort sa bite trempée du sexe de Sophie et la présente à sa bouche, comme si la phase finale de tout acte sexuel était dans la bouche de la femme, comme s’il était acteur d’un quelconque porno, et Sophie le regarde un peu surprise, et lui fait comprendre que non, que les choses ne se passent pas ainsi. Il ne comprend pas, se met presque en colère, finit par se branler pour gicler sur les seins de Sophie, grogne avec une vulgarité à laquelle Sophie s’attendait un peu, mais qui la fait pourtant rire… C’est sûr, ce ne sera le mec que d’un coup : pas question de revoir cette brute. Et d’ailleurs elle ne lui demande pas de rester : il a tiré son coup, il se tire… A peine parti, le téléphone sonne : c’est Elsa, qui veut « débriefer Â»â€¦ Les deux femmes parlent longuement, tendrement.

Le lendemain, Sophie a une idée : elle retourne au sex-shop où elle s’était déjà rendue, avec Elsa cette fois-ci. Le vendeur est toujours aussi lourd, mais peu importe. Elle achète un plug anal et un jouet vaginal avec télécommande, et explique à Elsa : « Je vais mettre tout ça, tu auras la télécommande, et on ira faire du lèche-vitrine ensemble… Tu as la main, tu commandes, tu télécommandes… Â» Elsa est enchantée de l’idée. A ces achats, elle ajoute des boules de geisha, elle a toujours voulu savoir ce que ça faisait. Le vendeur voudrait se lancer dans des explications, en fait, il adorerait les sauter, mais il faudra qu’il se contente de fantasmer ! Elles rentrent rapidement chez Sophie, qui s’équipe, met par-dessus tout ça un jean et un t-shirt, prenant évidemment soin qu’il soit un peu serré, sans rien dessous… Et les voilà parties ! D’abord un petit café : Sophie n’est pas encore habituée au plug, et se tortille pour s’asseoir. Mais elle prend vite le pli, et adore sentir son cul rempli à chaque mouvement qu’elle fait. A voix basse, elle explique à Elsa ses sensations. Elsa vit plutôt par procuration : elle aime regarder, imaginer, entendre. Quand le garçon, charmant d’ailleurs, mignon à croquer, apporte les cafés, Elsa déclenche doucement la télécommande, au niveau faible, et Sophie en rougit immédiatement. Le garçon a l’air de croire que c’est à cause de lui, son Å“il brille sur le t-shirt très bombé de Sophie, et Elsa ne manque rien de la scène. Elle fait mine d’aller aux toilettes pour s’éloigner un peu, et règle la télécommande sur moyen. Sophie se trémousse, ses seins pointent… et le garçon revient, lorgnant sur ces pointes bien visibles à travers le t-shirt, demandant à Sophie si elle désire quelque chose. Si elle désire quelque chose ? Il est marrant, lui, elle commence à être très excitée, Sophie, et Elsa ne la lâche pas, elle bouge encore la télécommande, le ventre de Sophie est en feu : elle bafouille un gémissement vague, le garçon n’y comprend pas grand-chose mais cette femme si rouge, aux seins si éloquents, ça le fait sérieusement bander. Alors Sophie lui demande s’il peut la suivre dans les toilettes, comme ça, direct, très cash… et elle se lève, s’y dirige d’un pas chancelant. Elsa est là, porte fermée mais aux aguets, et elle entend Sophie se glisser dans la cabine d’à côté, d’abord seule. Sophie retire le jouet télécommandé, le donne à Elsa en le glissant sous la cloison, et rouvre la porte pour faire entrer le garçon : il la trouve jean aux genoux, se rend compte qu’elle porte un plug anal, n’en revient pas, et elle se jette sur son pantalon, l’abaisse sans ménagement pour dégager sa bite chaude et tendue. Il en grogne immédiatement, à la plus grande joie d’Elsa, juste à côté, qui se masturbe cette fois, deux doigts bien au fond dans sa chatte gluante. Sophie retire son t-shirt, libère ses seins et masse la bite entre ses deux globes. A chaque fois qu’elle surgit de ces seins compressés, elle y jette un coup de langue, en agace le bout ; à ce rythme, il ne va pas tenir longtemps, le gars, mais comme elle veut absolument qu’il la prenne, elle se lève, se retourne, et lui offre sa chatte dégoulinante et prête à exploser. Il ne se fait pas prier, une chaudasse comme ça, il n’avait jamais vu, putain, avec le plug en plus, il est aux anges, et il l’enfile d’un coup, sa bite – un peu décevante, pense Sophie, pas assez grosse – bien au fond, et il la ramone dans les règles. Elsa juste à côté entend tout, et elle se doigte avec frénésie, avec joie, tant et si bien qu’elle jouit brutalement, violemment, et laisse échapper un gémissement si explicite que nul ne peut l’ignorer, ni Sophie sur le point de jouir elle aussi, ni le garçon, qui ne comprend pas vraiment ce qui se passe mais ça le fait gicler d’un coup, et il emporte Sophie dans son éjaculation, il la fait décoller à son tour. Curieux trio dans lequel le mec ignore ce qui a fait jouir si fort ces deux femmes, curieux trio dans lequel Elsa jouit de ne pas être là, et Sophie de la jouissance d’Elsa autant que de celle de son partenaire.

Mais expérience réussie. Les deux femmes sortent du café épanouies et exténuées, les yeux cernés et joyeux, le sourire aux lèvres. Sophie a retiré son plug, elle ne porte plus rien sous son jean, et le tissu rugueux suffit bien à l’exciter encore. Elsa lui               avoue qu’elle, en revanche, s’est introduit le jouet, et elle lui confie malicieusement la télécommande, déjà réglée sur moyen, ce qui explique sans doute sa démarche parfois hésitante. « Tu veux acheter de la lingerie ? Â» lui propose Sophie avec une idée derrière la tête. Va pour la lingerie, mais évidemment Sophie choisit le magasin qu’elle connaît bien : Mélissa n’est pas là, c’est son jour de congé, mais le patron est bien présent, et Sophie lui présente Elsa avec un sourire qui en dit assez long. D’autant qu’en entrant dans la boutique, elle a réglé la télécommande au maximum. Elsa s’engouffre dans une cabine d’essayage en demandant à Sophie de lui choisir des ensembles, et elle essaie de retenir les gémissements de son plaisir qui monte. Sophie est retournée voir le patron, et elle minaude gentiment avec lui, prenant son temps. Elsa s’est agenouillée, elle a retiré ses vêtements et se branle frénétiquement le clitoris, au bord de l’orgasme, tandis que vibre en elle cet engin démoniaque, brûlant, dont Sophie ne diminue pas l’intensité. Puis Sophie mène le patron à la cabine, et comme il n’y a personne dans la boutique, elle ne se gêne pas pour ouvrir tranquillement le rideau, découvrant devant le patron Elsa à quatre pattes, le cul comme offert à qui passerait là. Elsa est d’abord très surprise, mais comme c’est Sophie qui vient lui caresser les fesses, qui lui doigte presque immédiatement l’anus, elle se laisse faire en lâchant un cri de jouissance inattendue, son second orgasme de la journée. Et quand Sophie prend la bite que lui a aimablement présenté le patron, déjà raide, et aide à son intromission anale, Elsa se laisse faire de nouveau, attentive aux vibrations puissantes qui la traversent, le jouet étant toujours réglé au plus fort… Le patron quant à lui ne comprend d’abord pas ce que sont ces vibrations qu’il ressent à travers la fine paroi ; il ne comprend pas, mais il adore, et comme Sophie, tandis qu’il vient buter dans le cul d’Elsa, lui lèche en même temps les couilles, il ne tarde pas à ressentir une jouissance extrême qu’il a bien du mal à retenir. C’est bien inutile d’ailleurs, car Elsa explose d’un troisième orgasme, dans des convulsions si puissantes qu’elle éjecte de son vagin le jouet vibrant, et qu’elle fait jouir à son tour dans son cul le patron du magasin. Sophie est allé précipitamment fermer la porte du magasin, une jeune femme regardant la vitrine et s’apprêtant à entrer… Quand elle revient, Elsa est encore allongée sur le sol, ruisselante de sueur, trempée de sa mouille et de sperme, et le patron et elle plaisantent sur les qualités de Sophie. Elsa est épuisée : jouir aussi intensément trois fois de suite ne lui est pas familier, et elle veut rentrer se reposer. Sophie, en revanche, a été bien chauffée par la scène à laquelle elle a assisté, et en voudrait bien davantage, mais le patron doit rouvrir sa boutique… tant pis, une autre fois ?

Elle raccompagne donc Elsa chez elle, croise ses voisins et les salue, et se dit que si c’est le jour de repos de Mélissa, c’est donc le jour où l’appeler. Mélissa ne s’attendait pas à cette belle surprise, et si elle n’a pas de soirée prévue, elle peut essayer d’en concocter une, comme elle l’avait proposé à Sophie. Elle la rappelle donc une bonne heure plus tard, en lui demandant si elle accepterait une soirée avec des inconnus, et avec des règles précises : il suffira à Sophie de dire stop pour que les choses, quelles qu’elles soient, s’arrêtent. De la sorte, elle sera toujours maîtresse du jeu. Cela convient à Sophie. Et Mélissa ajoute qu’elle passera la chercher et lui amènera ce qu’elle doit mettre, si Sophie l’accepte. Marché conclu. Sophie se faut donc couler un long bain chaud, prévient Clément qu’elle ne sera pas là ce soir, et se délasse tranquillement. A l’heure dite, Mélissa se présente, proposant à Sophie d’enfiler un body qui laisse ses seins découverts et dont le string est fendu. C’est une jolie dentelle, très suggestive, très excitante. Une robe noire par-dessus fera l’affaire. Mélissa quant à elle porte un collier serré sur le cou, et rien d’autre sous sa robe. Elles se préparent, se parfument. Mélissa prend le volant, menant Sophie dans une campagne discrète, une jolie maison bourgeoise à l’écart d’un village. Mélissa entre en guidant Sophie, il n’y a ni bruit ni lumière. Elles revêtent toutes deux des masques, et Mélissa mène Sophie devant un escalier ; les deux femmes descendent dans une cave tendue de velours sombre. Cinq hommes masqués sont là, discutent devant des coupes de champagne servies par une soubrette nue, dont le cul est investi d’un plug visible. L’arrivée de Sophie et Mélissa provoque un murmure de contentement. Mélissa explique à Sophie que tout le monde restera masqué, c’est la règle, et sans plus attendre, elle va rejoindre deux des hommes présents, se glissant langoureusement entre eux. Les autres, y compris Sophie, regardent. Mélissa ne tarde pas, le haut de sa robe déjà rabattu sur ses reins, ses seins découverts, à se mettre à genoux pour dégager les bites dressées des deux hommes et les lécher tour à tour. Un des hommes présents s’est glissé derrière Sophie, elle sent son souffle dans son cou, et sa main se hasarde sur sa fesse. Elle laisse faire, observant avec attention la soubrette venue aider Mélissa. Les langues des deux femmes agenouillées se sont mêlées, léchant alternativement à deux la bite de l’un ou l’autre des hommes. Un autre homme a dégagé son sexe de son pantalon, et il se branle doucement : vision connue de Sophie, ce gros sexe courbe, c’est André… Rien de surprenant à ce qu’il soit de ces parties fines ! Plus surprenant en revanche, c’est le dernier homme qui s’agenouille devant André pour avaler son sexe dans sa bouche. Celui derrière Sophie a commencé à défaire la fermeture de sa robe, et elle glisse bien vite à ses pieds, laissant Sophie dans son body si suggestif, qui attire immédiatement l’admiration de l’assemblée. Les deux hommes léchés et sucés par Mélissa et la soubrette regardent Sophie et manifestent leur admiration. André, quant à lui, a dégagé son sexe de la bouche de son voisin et s’est placé derrière la soubrette : sans égards particuliers, il remplace le plug qui lui ouvrait le cul par son sexe lubrifié de salive, et l’encule d’un coup, sans que celle-ci ne manifeste ni surprise ni douleur. L’homme qui le suçait l’a suivi, et dégageant son sexe de son pantalon, il se place derrière André : décidément, Sophie en apprend tous les jours… Et l’homme derrière Sophie, caressant les pointes de ses seins, a calé son sexe entre les fesses de Sophie : c’est un gros sexe comme Sophie les aime, elle vibre rien qu’à en sentir l’épaisseur et la taille, elle sait qu’elle va en être emplie. Mélissa, qui a laissé la soubrette venir lui manger la chatte, est maintenant allongée, avec deux bites dans la bouche ; la soubrette la mange et André lui laboure le cul ; André lui-même est pénétré de l’homme derrière lui, qui le ramone aussi virilement qu’André s’emploie dans la soubrette. Et Sophie s’approche de cet ensemble, tendant sa croupe à l’homme qui la suit. Elle le sent presser son dard contre sa vulve et elle adore cette sensation, être prise par un inconnu, sentir son sexe petit à petit empli d’un membre chaud, long, épais, vibrant, elle se cambre, il entre, elle se cambre, il n’y est pas encore, elle se cambre encore, sent enfin les boules venir taper contre ses fesses et le sexe de l’homme buter au fond de son vagin, si gros, si… si Luc se dit-elle, un sexe pareil, c’est Luc, et à l’idée que de nouveau c’est son beau-frère qui la pénètre, elle gémit, même si peut-être elle se trompe. André semble aux anges, c’est si curieux de le voir ainsi défoncé par derrière, sorte de bête à trois corps dont il serait le centre, et la soubrette a lâché la vulve de Mélissa car elle jouit de l’énormité dans son cul, mais l’un des hommes que suçait Mélissa s’est dégagé, s’est allongé, et il glisse son sexe dans la vulve de la soubrette, qui crie franchement sa jouissance maintenant, qui jouit bruyamment d’être ainsi prise entièrement, totalement. Mélissa s’est redressée et continue de sucer l’un des hommes, elle semble y prendre grand plaisir. Sophie s’est quant à elle accroupie afin d’être mieux prise, afin de mieux sentir sur toute sa longueur la bite de Luc, ou de qui que ce soit, peu importe, et l’homme que suçait Mélissa s’approche d’elle et lui tend son sucre d’orge, lubrifié de la salive de Mélissa. Sophie l’embouche et c’est vraiment un délice pense-t-elle, cette bite est très douce, la peau tendue, pas du tout nervurée comme est celle d’André par exemple, André qui gueule sa jouissance, mais jouit-il d’enculer la soubrette ou de l’être lui-même, c’est difficile à dire. Mélissa, esseulée, retire complètement sa robe et s’éloigne un instant. Elle revient harnachée d’un double gode, qui la pénètre d’un côté et lui permet de pénétrer de l’autre, et c’est au tour de l’enculeur d’André d’être pris, sans surprise visible. Et chaque mouvement de Mélissa les fait vibrer tous les deux en même temps, lui dans l’anus et elle dans le vagin. La soubrette s’est relevée, le cul ruisselant du foutre étalé d’André, qui laisse son compagnon finir de le besogner, son sexe à lui maintenant mou, pendant, gluant. Sophie vient de goûter à la semence du sexe lisse qu’elle suçait, et elle pousse de toutes ses forces sur le sexe derrière elle, sur ce sexe qu’elle imagine être celui de Luc, si gros, elle le comprime, le presse, le masse de tous ses muscles, et chaque paroi de son vagin est au contact de ce membre si dur, de ce délice en elle. Mélissa s’est faite jouir et l’homme qui enculait André a sorti sa bite pour éjaculer puissamment sur les fesses tendues devant lui. Il ne reste que Sophie et Luc – ou pas – à continuer la danse dans laquelle ils sont entrés, cette danse de sexe et de désir, de jouissance et de gémissements, cette danse odorante et sauvage, et Sophie impose une nouvelle figure : elle se retourne et lève haut la jambe droite, laissant son partenaire la pénétrer maintenant de face, et la soulever pour entrer pleinement en elle, s’agrippant à ses épaules, y enfonçant ses ongles tant le plaisir est intense. La soubrette s’est éclipsée un instant et revient avec une sorte de fouet souple. Elle caresse d’abord les fesses de Luc – ou pas, comment savoir si c’est vraiment lui – puis le fouette doucement, et chaque lacération provoque en lui une tension supplémentaire, un à-coup plus violent, dont Sophie profite à en crier. La scène est étrange : c’est lui qui est fouetté, de plus en plus fort maintenant, et c’est Sophie qui crie, et quand il la soulève complètement pour venir l’adosser à un homme derrière elle, et qu’elle sent le sexe de cet homme se positionner devant son petit trou, Sophie sait qu’elle ne va pas résister, elle sait qu’elle va jouir complètement de cette double pénétration, elle sait qu’elle va l’adorer. D’autant que la soubrette, après avoir ainsi chauffé les fesses de Luc, a laissé sa place à un autre homme, celui qui avait pris André, et qui vient maintenant écarter les fesses de Luc. Sophie est prise des deux côtés, et elle crie sans trop savoir ce qu’elle crie, elle crie de plaisir, alors même que son orgasme qui monte n’a pas atteint son apogée, elle le sait, elle sent que ce sera encore plus fort ; et l’homme qui la prend par devant, Luc ? est-lui-même pris par derrière, et Mélissa et la soubrette excitent cet ensemble par des coups de fouet qui parfois même atteignent Sophie, sur une cuisse, sur le flanc d’un sein, et cette brûlure inattendue la fait crier d’une jouissance supplémentaire inattendue, au rythme d’un sexe qui sort et d’un sexe qui entre, alternativement, d’un sexe devant et d’un sexe derrière, d’une brûlure sur le bras, d’une morsure dans le cou, d’un sexe qui glisse mais revient en elle, si gros, et elle ne distingue plus qui gémit ou qui râle, qui parle ou crie, qui la touche ou la tient, tant elle est maintenant emportée dans le tourbillon stupéfiant de ses sensations, sans plus savoir où elle est, avec qui. Le corps de Sophie n’est plus qu’une immense zone érogène, chaque toucher la fait jouir, dedans ou dehors, chaque souffle la fait frémir, elle ne se rend même pas compte que l’homme derrière elle a cédé sa place à un autre, et c’est seulement quand le sexe d’André est entièrement en elle qu’elle le comprend, et elle jouit si intensément, si totalement, de tous ses pores, de tous ses trous, de tous ses sens, par tous les moyens dont elle dispose pour exprimer sa jouissance, ses mains crispées sur les épaules qui la retiennent, elle jouit si violemment, qu’il faut bien les deux hommes en elle pour la maintenir, et la porter quasi évanouie, quasi inconsciente, sur une table à proximité. Les hommes ont joui sans qu’elle l’ait même perçu, la salle est emplie d’une forte odeur de sexe et de sueur, et plusieurs se désaltèrent. Elle reprend doucement conscience, et s’aperçoit qu’elle est nue, son body n’a pas résisté aux multiples assauts et lui a été enlevé, et sur la table où elle a été posée, elle est attachée. Elle se souvient qu’elle peut dire stop, qu’il lui suffit de le faire, mais elle n’en a pas pour l’instant envie. Mélissa s’approche d’elle, lui demande si elle veut continuer, lui rappelle la règle : « Oui, encore Â» lui murmure langoureusement Sophie. Alors la table, qui est articulée mais Sophie ne l’avait pas vue, est relevée, et la soubrette vient glisser dans la vulve béante et dégoulinante de Sophie une sorte de grosse tige en métal, à côté de laquelle le sexe de Luc fait pâle figure. C’est froid, c’est énorme, c’est déc


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21-12-2023 0 769

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