Je suis entraîneur sportif, j’ai 54 ans, plutôt bel homme, célibataire. Je travaille dans une salle de gym, et je suis aussi occasionnellement coach. Dans mon métier, les rencontres sont fréquentes, et si on ne veut pas se laisser bouffer, il faut savoir placer des limites. Evidemment, je suis régulièrement en contact avec des femmes qui veulent s’entretenir, de tous âges, et comme leur corps est l’objet de mes attentions, ça peut vite dériver. Voici quelques-unes des aventures qui me sont arrivées.
Quand j’ai commencé dans ce métier, j’avais 22 ans, et peu d’expérience au plan sexuel. Peu, c’est faux : j’étais puceau, et ma seule expérience était solitaire devant des photos sur papier glacé. C’est une cliente, qui avait l’âge de ma mère et était d’ailleurs une de ses amies, qui m’a tout appris. Yolande était venue dans la salle de sport où je travaillais sur une recommandation de ma mère. Elle avait 50 ans, trois enfants et un mari, sortait peu sinon pour aller voir quelques amies dont ma mère, et je la connaissais depuis gamin. Elle avait l’impression de ne plus s’occuper d’elle, de se laisser aller, et ma mère lui avait conseillé de venir me voir pour que je la guide dans ses exercices. C’était une belle femme : cheveux mi-longs blonds – je l’avais toujours connue blonde et j’allais découvrir qu’elle ne l’était pas du tout – jolis yeux noisette, de taille moyenne et qui commençait légèrement à s’empâter, mais de la prestance, de la classe. Elle arriva dans la salle sans avoir la moindre idée de ce qu’il fallait faire, et sans même avoir le moindre vêtement approprié. Elle était habillée comme pour le boulot – elle travaillait dans une agence de voyages – et n’avait pas pensé que faire du sport nécessitait à la fois confort, souplesse, et vêtements adaptés à l’effort. Je demandais donc à une de mes collègues si elle avait des vêtements de rechange qu’elle pouvait me prêter, et revint vers Yolande avec un pantalon de jogging, un débardeur et un bandeau pour sa poitrine. Le pantalon était un peu serré – il moulait ses formes à ravir, mais il faudrait penser à en acheter un plus large – le débardeur allait bien, en revanche, le bandeau était vraiment trop petit. Yolande décida de ne rien mettre sous le débardeur pour cette première séance, de sorte que je passais presque une heure avec ses seins, ses seins lourds et opulents, pratiquement sous le nez… qui se balançaient au rythme de ses mouvements. Elle avait la forme : je la fis courir, je lui fis faire plusieurs exercices variés pour voir avec elle ce qui était le plus adapté, et nous convînmes d’un agenda de travail. Elle me parlait comme à son fils, et me regardait souvent d’un air amusé que je ne comprenais pas… Elle me demanda, à la fin de cette première heure, si je pouvais venir l’aider à choisir les vêtements dont elle aurait besoin. Le samedi, nous allâmes ensemble dans un magasin de sport : elle fit de larges emplettes, et insista pour que je vienne avec elle au rayon des sous-vêtements, parce qu’elle ne savait pas ce qui était pratique. Elle essaya plusieurs sous-vêtements, et voulut à chaque fois que je lui donne mon avis : ça soutient assez, tu crois, je ne me rends pas compte ? Comme je bafouillais de plus en plus, et que j’étais rouge cramoisi, elle finit par me demander de venir tenir ses seins par-dessous, pour que je voie si ça allait ou pas. Je crois que j’en aurais giclé dans mon slip ! En sortant, elle me demanda si j’avais une copine : elle connaissait bien sûr la réponse…
Chaque semaine, je l’entraînais pendant deux heures, et chaque semaine, après la séance à laquelle elle était très assidue, me demandant en permanence conseils, évaluations, etc., et très active – elle en sortait trempée, haletante –, elle voulait que nous allions débriefer chez elle, où me servait thé et petits gâteaux. J’étais très niais, et ne comprenait rien à ce jeu. Dès que nous arrivions chez elle, elle mettait l’eau à chauffer pour le thé, me demander de préparer les gâteaux pendant qu’elle se douchait. Puis elle revenait vêtue d’un magnifique peignoir de soie, de superbes mules à frous-frous aux pieds, et s’étendait à moitié sur le sofa en face de moi. Je la regardais avidemment, espérant que le peignoir s’entrebaîllerait, me laissant deviner ou le galbe d’un sein ou le dessin d’une cuisse. Et chaque fois, ce moment arrivait, que j’attribuais à un hasard que je chérissais, ne me doutant pas que le hasard n’avait rien à faire là . Un jour, cela faisait quelques mois que ce manège durait et elle n’avait en réalité plus guère besoin de moi tant elle avait déjà atteint ses objectifs – je parle des objectifs avoués qu’elle m’avait énoncés – elle m’appela depuis sa salle de bains en prétextant qu’elle avait oublié de prendre une serviette propre. Elle m’indiqua où en trouver, puis me cria que la porte était ouverte, et que je n’avais qu’à entrer… je pensais qu’elle serait derrière le rideau de douche, et j’entrai donc en m’annonçant mais sans soupçonner quoi que ce soit. Evidemment, elle était sortie de la douche, et m’attendait nue, ruisselante, souriante, obsédante, fascinante… je sortis précipitamment en m’excusant mais elle me rappela, me prit par la main en me traitant de crétin, et me fourra la tête entre ses seins. J’étais à la fois tétanisé et infiniment excité, je ne savais pas ce qu’il fallait faire, je sentais sa peau contre mes joues, je n’osais lécher ces globes charnus, je n’osais bouger… Elle m’écarta d’elle, et je vis dans ses yeux de la colère. Elle me cria dessus, me traitant de tous les noms, manifestement énervée, puis éclata de rire : je n’y comprenais rien, j’étais là tout penaud. Alors, doucement, elle me déshabilla, m’embrassant dans le cou, puis sur le torse, le ventre, et quand elle dégagea mon sexe douloureux et tendu de mon slip, le prit dans sa main et le caressa, à genoux devant moi, puis le lécha, je gémis de plaisir et de surprise. Pour la première fois, ce n’était pas ma main qui serrait mon sexe, mais la main d’une femme, les lèvres d’une femme, la langue d’une femme. Et l’émotion qui m’envahissait était telle qu’elle comprit rapidement qu’il valait mieux contrôler mon plaisir, sauf à vouloir que je gicle immédiatement toute ma semence retenue sur son visage. Elle me mena vers sa chambre, s’étendit sur le lit, les jambes ouvertes, et me guida ; elle m’apprit sa vulve, ses lèvres et son clitoris ; elle m’apprit la pointe de ses seins et l’intérieur de ses cuisses ; elle m’apprit ses cheveux et ses lèvres, sa bouche, sa langue, ses oreilles et son nez ; elle m’apprit son ventre, son dos ; ses pieds, ses mains. Elle me montra comment et où la lécher, elle me montra comment la tenir, comment la prendre. Elle m’apprit à me retenir, à faire durer le plaisir. Et un beau jour, elle me quitta, je n’ai jamais su pourquoi, mais comme elle savait ma naïveté et que je croyais que j’étais amoureux, elle s’assura auparavant que j’aurai une autre amante. Et avant même qu’elle ne m’annonce notre séparation, elle avait jeté dans mes bras une de ses cousines, plus jeune, très libérée, ce qui fit que quand elle me quitta, je me sentais tellement coupable et en même temps tellement soulagé que tout se passa merveilleusement.
La cousine, petite quarantaine, ultra sportive, aimait le sexe en groupe. Elle me traîna dans des boîtes échangistes, se fit prendre par devant et par derrière – ça, Yolande ne me l’avait pas appris – et adorait quand je la culbutais chez elle, alors que son mari pouvait s’en rendre compte à tout instant. Je m’en lassai vite, elle était fatigante. Mais je sus par elle combien j’attirai les femmes, et quel étrange pouvoir émanait de mon corps. Je sus aussi que le sexe et les sentiments pouvaient être deux choses absolument séparées. C’est à partir de là que je devins réellement un serial-baiseur.
J’avais remarqué parmi les femmes qui venaient à la salle une femme d’une quarantaine d’années, plutôt réservée, très belle, mais qui ne se mêlait pas aux autres. Je la connaissais par ailleurs, c’était l’épouse d’un entrepreneur local. Elle tenait à garder sa silhouette de jeune femme, et elle y parvenait plutôt bien. De taille moyenne, avec de très beaux seins, pour ce que je pouvais en juger, elle avait de longs cheveux noirs qui encadraient un visage d’un ovale parfait. Ses yeux bleus en amande complétaient ce visage angélique. Le plus souvent peu maquillée, toujours l’air un peu triste d’une femme dont personne ne sait s’occuper, et qui a depuis trop longtemps renoncé à elle-même. Je lui donnais souvent quelques conseils sur les exercices qu’elle pouvait faire, sans jamais insister ; elle n’y tenait pas, et ne faisait pas non plus partie des petites excitées qui me tournaient autour. Un jour, tandis qu’elle travaillait à des élongations, elle fit un mauvais geste et cria de douleur. Je me précipitai pour l’aider à s’allonger. Elle s’était vraiment fait mal, je l’accompagnai au vestiaire et lui proposai de masser la cuisse et la fesse – là où elle s’était fait mal – pour la soulager, et lui permettre au moins de rentrer tranquillement chez elle, avant d’aller voir un kiné. Elle hésita, allait refuser… mais avait vraiment mal et finit par céder. Je la massai de façon très professionnelle, et il n’y avait rien d’ambigu dans mes gestes, même si j’en profitai pour la mater tranquillement. Je débloquai peu à peu le nerf sciatique, passant de la cuisse au milieu de la fesse et au bas du dos. Elle portait un short et un haut moulant, qui découvrait son nombril et le bas du dos. Elle s’était vraiment fait mal à la cuisse, et j’insistai là , à la fois dans un massage en longueur, depuis l’arrière du genou jusqu’à la fesse, et sur l’arrière comme à l’intérieur de la cuisse. A chaque fois que ma main remontait le long de sa cuisse, à l’intérieur, je sentais une crispation, dont je ne savais pas si elle était due à la douleur ou à la pudeur ; je lui demandais de se détendre, de me laisser faire. Elle acquiesça, murmura je ne sais quoi, mais je compris que ce n’était pas la douleur qui la crispait là mais bien une sorte de gêne. Elle me remercia et partit assez vite en boitant. Comme elle ne revenait pas, je téléphonai chez elle au bout de quelques semaines ; elle fut assez surprise de mon coup de fil, me répondit qu’elle allait chez le kiné, que ça allait mieux, et qu’elle se demandait pourquoi j’appelai. Toujours pro, je lui répondis qu’il était normal de s’enquérir de sa santé, que c’était mon métier, et que j’étais heureux de savoir qu’il n’y avait rien de grave. Elle avait l’air un peu troublée, je l’entendais dans sa voix. J’insistai un peu, en lui demandant quand elle pensait revenir, et dans la mesure où son absence était due à un accident survenu dans la salle, je lui proposai de prolonger son abonnement de la durée de son absence. Elle me remercia, et rassurée sans doute par le caractère en apparence professionnel de ma proposition, m’indiqua qu’elle pensait revenir bientôt. Je ne tardai pas à la revoir, et lui proposai, en accord avec ce qu’elle me dit du travail effectué avec sa kiné, des exercices spécifiques. Nous commençâmes donc par des exercices d’assouplissement qui supposaient que je tire sur sa jambe pendant qu’elle était allongée. Mais afin de ne pas lui faire mal, je lui montrai d’abord des mouvements d’échauffement, en m’allongeant à ses côtés pour lui expliquer la démarche à suivre. Comme elle ne faisait pas comme indiqué, je lui bloquai une jambe en lui montrant comment faire avec l’autre, en guidant sa jambe, repliée, que je tenais au niveau de la cuisse. Elle était toute à l’exercice, sans se rendre compte que le plaisir que je prenais à la toucher n’était pas innocent, ni que mes mains auraient aussi bien pu la guider en étant positionnées plus près du genou, et non aussi haut sur la cuisse… Une fois la phase d’échauffement terminée, nous passâmes aux assouplissements : il s’agissait soit de tirer sur sa jambe, alors qu’elle était allongée ; soit, inversement, de faire remonter sa jambe pliée vers son torse. Je l’aidais dans ces différents mouvements, le second m’amenant à peser sur sa cuisse et à parfaitement distinguer à travers le tissu tendu qu’elle n’avait rien mis sous ce short de fitness collant. Elle me plaisait de plus en plus, et la connaissance que j’avais de son corps, me mettait en appétit. Dans l’effort, elle avait la particularité, outre de suer comme tout le monde, ce qui rendait ses vêtements parfaitement collants voire parfois transparents, d’avoir les pointes des seins qui se dressaient. Ces séances durèrent quelques semaines, avant qu’elle ne reprenne un entraînement plus classique ; mais une sorte, sinon d’intimité, du moins de familiarité, s’était établie entre nous, et elle n’hésitait ni à me demander conseil, ni à me solliciter même si elle n’en avait pas vraiment besoin. Plusieurs fois, je lui avais dit, à elle comme d’ailleurs à d’autres clients de la salle, que si les efforts musculaires étaient intenses, il convenait, après ces efforts, de détendre les muscles, soit au moyen de massages adaptés, soit par une séance de sauna. Mais pas de sauna dans notre salle, à mon grand regret, à cette époque. Aussi n’hésita-t-elle pas, un soir qu’elle avait un peu forcé, à me demander si je voulais bien la masser, d’autant qu’elle savait, me dit-elle en riant, que j’avais en la matière une certaine expertise la concernant… Comme il y avait encore beaucoup de monde, je lui demandais d’attendre un peu, que je puisse me consacrer à elle. C’est ce qu’elle fit, et je lui indiquai une salle à l’écart, dans laquelle il y avait un banc de massage. Je la rejoignis sans trop tarder : elle s’était étendue sur la banc, et comme je le lui avais demandé, elle avait retiré ses vêtements de sport trempés de sueur et s’était séchée avec une serviette, qu’elle avait placée sur elle. Je la trouvais donc allongée sur le ventre, une serviette la couvrant du haut des cuisses jusqu’aux aisselles ; je repliais cette serviette, ne laissant que ses fesses couvertes, et je lui massai longuement le dos, depuis les épaules jusqu’aux reins. Elle avait attaché ses cheveux pour qu’ils ne me gênent pas, et prenait manifestement plaisir à mes gestes. Je descendis ensuite vers ses jambes, et commençait par les pieds, les chevilles. Pour masser ses mollets, je lui fis plier une jambe, de sorte que sans y prendre garde, elle l’écarta de l’autre jambe ; comme la serviette arrivait au bas de ses fesses, je devinais sa fente sur laquelle perlait une goutte d’humidité : sueur, cyprine, comment savoir ? Même mouvement avec l’autre jambe, même effet de léger écartement. Je lui fis remettre la jambe à plat, sans la ramener vers l’autre jambe puisque j’allais masser la cuisse. J’entamais alors un profond massage des cuisses, les pouces vers l’intérieur, dans un ample mouvement qui allait de l’arrière du genou au bas des fesses. Je lui fis remarquer qu’elle était encore tendue et que si elle voulait que mon massage soit efficace, il fallait que je retire la serviette pour masser en profondeur le milieu de chaque fesse, là où passe le nerf sciatique. Elle retira donc la serviette, me dévoilant ses deux admirables boules. Je repris mon massage avec le plus grand sérieux : quand mes mains arrivaient en haut des cuisses, les pouces vers l’intérieur, j’effleurai à chaque passage les lèvres de son sexe avant que les pouces ne tournent pour venir masser le milieu de la fesse ; je répétai ce mouvement à plusieurs reprises, en appuyant avec force sur les muscles fessiers, que je sentais se détendre peu à peu. Et plus ils se détendaient, plus, inconsciemment, elle ouvrait très légèrement les jambes, de sorte que je voyais maintenant nettement sa fente humide, et à chaque passage, sa rosette plissée, rose et sans doute inviolée. Après un dernier passage, dans lequel mes pouces glissèrent sur ses lèvres en les écartant presque, je lui demandai de se retourner. Elle hésita : devait-elle remettre la serviette, se couvrir le sexe, la poitrine, ou me laisser libre accès – et libre vue – à ses muscles et à son corps ? Puis elle se retourna, nue, évita mon regard, mit presque instinctivement les mains sur ses seins avant de les enlever et de les placer le long de son corps. Personne ne va entrer ? me dit-elle. Je la rassurai. Je la voyais ainsi pour la première fois, nue de face, étendue tranquillement, ses beaux seins lourds aux pointes érigées, son sexe à la touffe soigneusement taillée, les lèvres déjà un peu gonflées, humides. Vous êtes très belle, lui dis-je. Elle rougit violemment. Je ne crois pas que vous deviez me dire cela, répondit-elle, mais sans bouger pour autant. Je repris donc mon massage sans rien ajouter, commençant de nouveau par les épaules, puis les seins, que je faisais rouler entre mes mains, et dont les pointes totalement dressées indiquaient assez l’excitation. Elle gardait les yeux fermés mais avait légèrement ouvert la bouche, afin de faciliter sa respiration devenue plus rapide. Je glissais des seins au ventre, puis à l’attache des cuisses, avant de me déplacer pour reprendre les pieds. Mouvements identiques sur les chevilles, puis les mollets, en relevant les jambes, dégageant alors totalement sa fente maintenant trempée. Elle le savait, elle ne pouvait pas ne pas le savoir, et sa respiration trahissait cette conscience qu’elle avait de son état. Puis de nouveau les cuisses, pouces vers l’intérieur, et chaque passage sur le haut des cuisses venait se terminer dans un frôlement de son clitoris encore sous son capuchon. Son corps réclamait mes caresses, elle était tout désir, mais elle résistait encore et maintenait ses cuisses plus serrées qu’elles ne l’avaient été auparavant. Il fallait maintenant ou qu’elle m’arrête ou qu’elle cède : je repris le même mouvement des cuisses vers les ventre, mais mes pouces vinrent plus franchement caresser ses lèvres humides, et je m’arrêtai sur le clitoris, que je vins prendre entre les deux pouces, le faisant ainsi doucement rouler. Elle laissa échapper un gémissement d’émoi et de surprise, ouvrit les yeux et me regarda mais, tandis que je continuai à faire rouler son clitoris entre mes pouces, elle ouvrit légèrement les cuisses, en signe d’acquiescement. Je repris alors ma caresse, faisant remonter mes mains de l’intérieur des cuisses vers sa vulve offerte, et je m’en emparai, la pénétrant des deux pouces, tandis qu’elle avait remonté ses mains sur sa poitrine et se pétrissait les seins. J’écartai alors franchement ses jambes, et vint la prendre avec ma langue. Elle murmura de nouveau : c’est sûr, personne… mais elle ne finit pas sa phrase, j’avais lapé son clitoris et elle partit dans un premier orgasme inattendu, preuve du si long désir qui l’animait, et preuve aussi que son appétit sexuel ne devait pas être régulièrement comblé. Je la laissai doucement redescendre et me déshabillai à mon tour, lui laissant découvrir mon corps athlétique, et mon sexe tendu. Elle le regarda avec effroi et gourmandise, et me demanda en approchant sa bouche si elle pouvait. Bien sûr qu’elle pouvait, plutôt deux fois qu’une ! Je défis l’attache de ses cheveux, laissant sa longue chevelure noire s’épancher sur ses épaules et ses seins. Elle me mangeait le sexe, elle m’avalait, léchant mes bourses et remontant ensuite le long de ma hampe ; elle y prenait un plaisir manifeste, et chaque tressautement de mon sexe provoquait dans ses yeux un reflet de satisfaction. Je la laissai faire en contemplant son corps, puis je la fis s’accouder sur le banc, et la pénétrai en levrette. Mon sexe glissa entre ses fesses et entra dans sa vulve sans difficulté, tant elle était excitée. Elle se redressa à moitié en tournant la tête pour que nos lèvres se joignent. Je lui massai les seins en labourant son sexe, et je sentais combien elle prenait plaisir à nos ébats. Elle gémissait si fort que je craignis un instant que nous soyons découverts ; mais la salle était maintenant vide, il ne restait plus que nous. Je pris ses cheveux, maintenant sa tête en arrière, et me laissai aller à des assauts fougueux : littéralement, je la chevauchai, je la montai, et c’est ainsi qu’elle atteignit un second orgasme ravageur, qui la fit se contracter si fort sur mon sexe que j’en eus presque mal. Mais quand ce spasme se relâcha, il provoqua à son tour mon plaisir, et j’inondai son ventre de nombreuses giclées de mon foutre chaud. Je la pris ensuite tendrement dans mes bras, craignant qu’elle ne se sente coupable de l’adultère qu’elle venait de commettre. Mais il n’en fut rien ; elle me remercia de l’avoir ainsi faite jouir, me disant qu’elle en rêvait depuis longtemps, et me promit de recommencer très vite.
Je devins son amant attitré ; elle découvrait qu’elle aimait le sexe, et sans se leurrer sur les sentiments que j’avais pour elle, ou elle pour moi, nous nous retrouvions dès que nous pouvions. Elle voulait tout essayer, tout éprouver. Sous la douche, dans la voiture, dans le vestiaire de la salle en risquant d’être surpris, dans une cave… Elle voulut que je jouisse dans sa bouche, elle voulut que je lui déflore l’anus. Cette journée fut spéciale : la salle de sport proposait une activité en extérieur, une sorte de cross, et qu’elle s’y était inscrite. Au bout de plusieurs kilomètres de parcours, il était prévu que je la rejoigne. Je la trouvai à l’endroit indiqué, mais elle n’était pas seule ; elle était seins nus, son top roulé sur son ventre, à genoux, et suçait la très belle bite d’un homme que je ne connaissais pas. Alternativement, elle le prenait dans sa bouche ou entre ses seins. Comme je ne m’attendais pas à la trouver ainsi, mon arrivée n’avait pas été discrète : mais curieusement, ma présence ne semblait ni la gêner, ni gêner l’homme auquel elle donnait du plaisir. Elle me fit signe de m’approcher. Relâchant le gros sexe qu’elle avait en bouche, elle me présenta… son mari ! Et celui-ci n’avait pas l’air surpris que sa femme à moitié nue me parle ainsi… Elle se releva, ôta le peu de vêtements qu’elle portait, puis me dit qu’elle voulait que je la déflore, là , devant son mari, pendant qu’elle le sucerait. J’étais assez surpris, mais je trouvai la situation excitante. C’est ainsi que, très doucement, après l’avoir longuement lubrifié avec ma salive mêlée à sa mouille abondante, et tandis qu’elle avalait goulûment le sexe de son mari qui semblait comblé, je le pénétrai progressivement, écartant ses chairs, pénétrant son cul délicieux et serré. Elle avait laissé ses cheveux détachés, placés d’un côté de sa tête, et tandis que son mari, au bord de l’orgasme, maintenait fermement sa tête, au point qu’elle respirait difficilement, je la pilonnai de plus en plus fort, de plus en plus loin, sentant se dilater son conduit anal. Je commençai à la connaître, et les signes avant-coureurs de ses orgasmes m’étaient maintenant familiers : le tremblement progressif des jambes, puis une crispation de plus en plus violente de tous ses muscles. Quand l’orgasme monta, elle faillit tomber tant il était violent. Je la maintins fermement, et tandis que son mari, qui avait retiré son sexe de sa bouche, arrosait copieusement son visage de sa semence, elle laissa échapper un long feulement en s’agrippant à lui pour ne pas défaillir. Je continuais mes assauts jusqu’à jouir à mon tour en elle, plus fort sans doute que jamais. Son mari et elle me remercièrent, mais je ne la vis plus de ce jour.
Ma réputation avait grandi dans la salle. Alors que je la fréquentai encore, je m’étais tapé deux sœurs un peu folles, qui avaient mon âge, l’une après l’autre, l’une avec l’autre, et j’adorais quand elles venaient prendre mon sexe dans leurs deux bouches scellées comme pour un baiser. J’avais aussi défloré une jeunette, blonde gracile mais indocile, qui voulait à toute force être enceinte pour emmerder ses parents… mais pas de sexe sans latex avec une illuminée de cette sorte.
Quand de nouvelles clientes s’inscrivaient à la salle, certaines, que je n’avais jamais vues, me demandaient d’emblée : le bouche à oreilles avait fonctionné, et mon sport, si je puis dire, était d’accélérer le moment de la conclusion. Mais j’atteignis vite un record dont je savais qu’il me serait difficile de le dépasser. Une femme vint un jour s’inscrire, en demandant que je sois son coach. C’était une rousse incendiaire, cheveux bouclés mi-longs, yeux verts en amande, peau tachée de rousseur, avec ce qu’il fallait de formes : Sarah. Quand j’allais la voir pour discuter avec elle du programme sportif, elle m’indiqua qu’elle souhaitait perdre du poids, qu’elle avait quelques rondeurs qu’elle trouvait excessives. A son regard, je ne m’y trompai pas : je lui demandai de me montrer, mais comme il y avait du monde, je l’emmenai dans une salle de repos et je fermai la porte. Quand je me retournai, elle était déjà nue. Une splendeur, une invitation à l’amour, un corps fait pour le sexe. Je la baisai sur le champ, debout, sans préliminaire aucun, et ses gémissements indiscrets, sa furie et sa fougue, me séduisirent intensément. A peine l’avais-je mené à la jouissance et m’étais-je épanché en elle qu’elle se retournait et me donnait son cul. Elle m’épuisa littéralement. Elle revint dès le lendemain, me demandant si je donnais des heures supplémentaires : là , elle n’avait pas le temps, mais il fallait que je vienne chez elle le soir. Je me pliai à son désir, tant elle avait éveillé en moi une soif que je ne connaissais pas. Je commençai à avoir pas mal d’expérience, j’avais connu des femmes de toutes sortes, mais il y avait en elle quelque chose d’inattendu, qui me rappelait sans doute Yolande, en beaucoup plus jeune, plus fou, plus brûlant. Elle me reçut vêtue d’un magnifique déshabillé, qu’elle ôta dès que nous entrâmes dans une pièce assez sombre, seulement éclairée du feu d’une grande cheminée. Elle m’y fit jouir entre ses seins, longuement, sans me laisser la toucher, comme si elle vérifiait son pouvoir sur moi. Puis elle alla chercher de quoi boire et manger, s’allongea près du feu avec un verre de champagne, en répandant sur elle fraises et champagne pour qu’à mon tour je vienne la déguster. Nous passâmes la nuit à nous dévorer, à explorer le corps de l’autre ; je sus combien son clitoris était sensible, combien elle aimait le branler fougueusement en me chevauchant ; je sus qu’elle jouissait en anglais ; je sus qu’elle brûlait davantage que le feu de la cheminée, davantage que les tisons ardents qui nous éclairaient dans une lumière vacillante. Je sus aussi que son appétit était tel que je parvenais à peine à la satisfaire ; à peine avions-nous fini qu’elle recommençait, laissant mon sexe pendouiller de plus en plus flasque… Au bout d’un mois, je sus qu’il lui fallait ustensiles et godemichets, sans quoi j’y laisserais ma santé ; je sus aussi que je ne lui suffirais pas, et qu’elle était femme non seulement à avoir de multiples amants, mais surtout à en avoir plusieurs en même temps. Je la vis hurler sa jouissance en nous griffant, prise par les deux trous par un homme qu’elle connaissait et moi. Je savais qu’elle se lasserait vite, qu’elle avait besoin de changement, de folie ; je profitais autant que je pus de son corps, avant qu’elle ne disparaisse, sans au revoir ni un mot, comme je m’y attendais. J’en souffris, je m’étais attaché à elle.
Plus récemment, l’âge venant et avec la maturité, moins de fougue et de furie, mais plus de tendresse aussi, je fus l’amant simultané de deux amies, qui ignoraient l’une comme l’autre qu’elles me partageaient, jusqu’au jour où l’une, Cécile, la plus jeune, absolument mariée et mère de deux enfants, me confia qu’elle s’éclatait tellement avec moi au lit qu’elle voulait… m’offrir à l’une de ses amies. Je ne les savais pas non plus amies. Je trouvai sa proposition amusante, et lui demandai quelques précisions. Nous convînmes de nous retrouver dans un hôtel où je l’avais emmenée. Quand j’entrai dans la chambre, elles étaient toutes deux vêtues de sous-vêtements très suggestifs, et s’embrassaient. Mais la surprise fut évidemment totale, pour Cécile comme pour son amie Olivia et pour moi, quand nous comprîmes la situation. Ce fut un délicieux week-end, durant lequel nous nous fîmes tous jouir à tour de rôle, l’une et l’autre, l’une et moi, l’autre et moi, et bien sûr ensemble. Le sommet de la surprise fut atteint quand Olivia, qui avait sensiblement mon âge, nous parla de sa mère. Durant le dîner, alors que nous nous racontions des moments intimes, notre jeunesse, notre découverte du sexe, Olivia nous expliqua qu’elle avait connu une grande déception amoureuse vers la trentaine, et qu’alors qu’elle se morfondait dans sa tristesse et son malheur, sa mère l’avait sortie de là en l’invitant à profiter des hommes, à ne pas trop s’y attacher, et à prendre son plaisir là où il se trouvait. Olivia avait été extrêmement surprise, d’autant que sa mère et son père semblaient vivre le parfait amour, et qu’elle avait toujours vu en elle la femme parfaite. Sa mère lui avait alors raconté qu’à la cinquantaine – l’âge que j’avais maintenant atteint, ainsi qu’Olivia – elle avait eu l’impression de ne plus exister, et qu’elle s’était reprise en dépucelant un jeune homme adorable et naïf… Olivia avait découvert alors une face ignorée de sa mère, et avait suivi ses conseils avec profit. Je tremblais durant son récit : tout concordait, l’âge, les circonstances, les détails du récit… Olivia était la fille de Yolande. Je lui demandai le prénom de sa mère – ni Cécile ni Olivia n’avaient vu mon trouble. Elle me répondit que sa mère s’appelait Murielle – ouf… je reprenais vie – mais qu’elle s’était toujours faite appeler Yolande. Je faillis tomber. Je bafouillais, je devais être rouge, ou pâle, je ne sais pas, mais à l’évidence je ne me sentais pas bien. J’avouais donc à Cécile et Olivia que le jeune homme, c’était moi, que Yolande, donc, avait été ma première, et que d’une certaine façon, jamais je ne l’avais oubliée. Olivia, à son tour troublée, me dit que sa mère était décédée depuis peu, mais qu’elle savait combien cette aventure – qui n’avait pas été la seule – avait probablement été la plus importante pour sa mère. La boucle était bouclée, en quelque sorte. Mais si me partager avec Cécile avait été une joie, me partager avec sa mère défunte n’était possible ni pour elle ni pour moi. Je les laissai dans les bras l’une de l’autre et m’éclipsai.
Ces temps-ci, je m’occupe activement d’un groupe d’amies autour de la quarantaine. Elles sont gourmandes mais manquent un peu de fantaisie. Je regrette la folie de Sarah, même si je sais qu’elle aurait fini par me tuer sous elle ; et je me demande s’il ne faudrait pas que je me range… mais comment faire, quand j’écris ces lignes avec le sexe sucé par une nouvelle cliente charmante, petite trentaine, qui veut absolument que je lui apprenne tout ce que son mari ne sait pas faire ?
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