Ma femme et les couvreurs

Il y a une fuite dans la toiture. J’ai donc appelé un couvreur, qui m’a promis de venir aussi vite que possible : il appellerait dès qu’il aurait un moment. Je lui ai dit que je pouvais ne pas être là, mais que ma femme – qui ne travaille pas – serait toujours là. C’était donc convenu ainsi. Et j’ai bien sûr prévenu Caroline, ma femme, qu’un couvreur pouvait venir n’importe quand.

Un matin, peu après mon départ pour le boulot, le couvreur a appelé. Caro lui a dit qu’elle était là, et qu’il pouvait donc venir. Elle lui a montré à quel endroit il y avait sans doute une fuite. Notre maison a deux toits : le toit principal, qui n’a pas de problème, et le second toit, d’un agrandissement de la maison, qui s’appuie sur un mur sur lequel donne la salle de bains. C’est là qu’il y a une fuite, avec le salon en dessous… Donc le couvreur est monté et a commencé à bosser. Pendant ce temps, Caro est allé prendre une douche. Comme d’habitude, pour qu’il n’y ait pas trop de buée, elle a ouvert la fenêtre, oubliant qu’elle donnait directement sur le toit en question. Et elle s’est déshabillée, et a commencé à se doucher. Il faut préciser que Caro, c’est une très jolie femme : elle a 26 ans, mesure 1m74, elle a des cheveux très longs, blonds naturels, des seins en poire admirables, avec de larges aréoles roses. Elle est totalement épilée. Le couvreur, sur le toit, n’en a pas cru ses yeux : il s’est tout à coup retrouvé avec Caro totalement nue, qui se savonnait en lui tournant le dos. Il s’est approché doucement, se massant la bite à travers son gros pantalon de chantier. Et Caro qui, pleine de savon, les yeux fermés pour que ça ne pique pas, s’était retournée, et se savonnait la chatte sans se rendre compte qu’elle faisait ça avec un mec à deux mètres d’elle. Il a enjambé la fenêtre sans faire de bruit, a sorti sa bite, tendue, un peu courbe, de sa braguette, et a continué à s’astiquer, en hésitant à en faire davantage. Quand Caro a ouvert les yeux, elle a été tellement surprise qu’elle a crié, a reculé, et a glissé dans la douche. Le mec s’est précipité pour l’aider à se relever. Il était penché vers elle, la bite à l’air, épaisse, déjà légèrement suintante, et elle, à poil, trempée et couverte encore de savon, la bouche à hauteur de l’engin. Caro, c’est aussi une gourmande : elle n’a pas résisté, elle a embouché l’engin sans façon, comme ça, en restant à terre, pendant que le mec, assez surpris, s’est d’abord laissé faire puis a retiré son futal. Alors elle s’est mieux installée, lui a palpé les couilles en gobant sa bite, et quand elle a jugé que ça suffisait, elle s’est relevée, s’est retournée en écartant ses fesses – elle a des fesses rondes et blanches, un délice pour les yeux, un délice pour les mains tant la peau est douce, et un délice pour la bite tant elle sait les serrer sur l’engin qui la pénètre – et a invité le couvreur a la lui mettre, bien au fond, là où ça la fait couiner. Le mec s’est pas fait prier : ni une ni deux, et la Caro était embrochée, et avec son piston, il a bien vérifié partout s’il y avait des fuites, il est allé à droite, à gauche, au fond, il a vérifié toutes les jointures, et il a fini par cracher sa glu, pendant que ma Caro miaulait tout ce qu’elle pouvait. Ensuite, elle s’est essuyée, lui est reparti sur le toit, elle a fermé la fenêtre.

Le soir, elle m’a expliqué qu’il avait changé des tuiles, mais qu’il devait revenir pour réparer un bout du faitage. Je n’y ai pas vu malice. Quand ils sont revenus à deux, Caro a décidé de prendre un bain. Un vrai bain de foutre : elle s’est fait prendre par les deux mecs, l’un derrière et l’autre dans la bouche, l’un dans la salle de bains et l’autre encore sur le toit, l’un dans sa fente et l’autre dans son petit trou. Le second, c’était un black avec un long sexe luisant : sur la peau blanche de Caro, ça devait être magnifique, le contraste de sa bite noire et de son cul blanc et rose. Mais elle n’en avait pas assez : alors elle m’a appelé, m’expliquant qu’il y avait un problème, et qu’il fallait que je revienne du boulot. Quand je suis arrivé, elle m’a appelé de la salle de bains, me demandant de monter. Elle était empalée sur le black, son petit trou bien ouvert sur cette tige d’ébène. Derrière elle, il y avait le nÅ“ud courbé du premier couvreur, couvert de sa salive, et qu’elle s’apprêtait à reprendre en bouche : « chéri, je veux ta bite dans ma chatte, je veux sentir deux bites me ramoner en même temps, et que tu sentes l’incroyable sensation de la tige d’Ali, ce magnifique Sénégalais Â». J’étais un peu scotché : je connais Caro, je sais qu’elle aime ça, et je n’ai jamais cru qu’elle me serait fidèle. Mais me demander comme ça d’être présent, et de participer ! En même temps, qu’elle était belle, ma Caro. Et ça se voyait dans les yeux des deux mecs : ils étaient à ses pieds, elle faisait d’eux ce qu’elle voulait. D’autant plus qu’ils faisaient d’elle ce qu’ils voulaient ! Bon, j’ai pas non plus hésité trop longtemps : j’ai sorti mon engin, je me suis branlé un peu pour être à la hauteur, et je vous prie de le croire, je n’ai pas eu besoin de lubrifiant pour l’enfiler, ma Caro. Je l’avais déjà entendue jouir, plus d’une fois, mais là, c’était à la fois les grandes eaux, les chÅ“urs de l’Armée rouge, et l’Alléluia de Haendel ! Elle a giclé partout tellement elle jouissait, et entre le foutre et sa mouille, on a presque dû refaire la salle de bains ! Quant aux voisins, comme la fenêtre était ouverte, ils n’en ont pas raté une miette. Bon, en même temps, le voisin, c’est pas comme s’il ne la connaissait pas, ma femme ; mais la sienne, quand je l’ai croisée le lendemain, elle m’a regardé d’un drôle d’air – oh non, pas un air réprobateur, genre sainte nitouche coincée, non, plutôt genre dis-donc, si vous savez comment faire jouir une femme comme ça, il faudrait peut-être passer me faire une visite… Faut que j’en parle à Caro, ça l’intéressera peut-être.