J’ai seize ans et j’entre en terminale. Comme je suis nul en langue, mes parents ont décidé de m’envoyer en Angleterre pendant une semaine durant les vacances scolaires. J’avais prévu cette semaine avec des potes, dont des filles, et vlan, la tuile… Le plan cours le matin – comme si des cours pendant les vacances, c’était normal – et sortie l’après-midi. Voilà donc le petit frenchie qui débarque, super content. Je ne suis pas seul dans cette galère. D’autres frenchies venus d’un peu partout, garçons ou filles. Mais le règlement, et ça n’a pas l’air de rigoler, c’est qu’on ne parle pas français. Le soir, on dort dans des familles qui ne parlent volontairement qu’anglais.
Ma famille : un père rouquin qui boit des litres de bière, une caricature d’Anglais… sa femme, plutôt jolie, la quarantaine, sympa sinon que je ne comprends pas un mot de ce qu’elle raconte – elle est Galloise et a un accent totalement pourri – et deux enfants, une fille de vingt-deux ans, plutôt punk, qui ne me calcule pas du tout, et un mec de treize, boutonneux et timide… Je passe la première soirée à essayer de comprendre ce qu’on me dit, et je bafouille vaguement quelques phrases truffées de fautes, ou de mots en français. Le repas est assez dégueulasse, mais enfin, c’est des Anglais, et la bouffe… Heureusement, je m’enfile quelques bières sans que ça les gêne – mes parents auraient fait tout un drame. Et dodo.
Premier matin, premiers cours. C’est super strict, pas du tout comme en France. La prof d’anglais a l’air d’un caporal en jupe écossaise – sans les poils, quand même – et quand un mec balance une vanne, il se prend direct un coup de badine. Tout le monde est scotché… Elle parle vite, et je ne comprends pas grand-chose. Ma voisine, Française donc, comprend mieux que moi mais se fait engueuler quand elle essaie de me traduire… Je la remercie quand même, d’autant que c’est une petite blonde assez craquante. A la pause, je m’approche pour avancer mes pions, mais la prof rappelle que quiconque parle en français sera puni : on ne sait pas trop ce que ça veut dire, mais vu les règles ici, on n’a pas envie de tenter tout de suite. Quant à draguer en anglais, faut pas déconner, impossible. Midi cantine anglaise : no comment (ah, on dirait que je fais déjà des progrès…). Après-midi sortie : qu’est-ce qu’ils vont nous concocter ? On a le choix entre activités sportives – ça veut dire rugby, avec des colosses aux gueules défoncées, très peu pour moi et mon physique d’athlète – et activités culturelles – ça veut dire musées et compagnie. Je me dis que ce sera peut-être l’occasion de draguer quand même. Donc musées… avec la caporale comme guide. Ils auraient pu préciser, j’aurais pris rugby…
Deuxième soir. Le repas est toujours aussi dégueu, la bière toujours aussi sympa. Le morveux n’est pas là , ni sa sœur. Le père est à moitié bourré, et de toute façon, il va partir au pub rejoindre ses potes : je reste avec madame et son accent. Comme j’ai mal au dos, elle me propose de me masser : pourquoi pas ? Et là , ça va vite : elle commence par les épaules, à travers le t-shirt, puis elle me le retire sans que j’aie rien à dire, se met à me masser les pectoraux – enfin, ce que j’en ai – puis à me sucer les mamelons et à s’attaquer à mon froc. Faut dire qu’assez vite, elle a repéré là une bosse, une sorte de tension, et qu’elle se fait fort de me soulager de toutes mes tensions. C’est curieux comme je comprends bien la langue qu’elle parle, soudain, surtout quand sa langue est enroulée sur ma bite. Elle a l’air pressée – je ne sais pas qui rentrera quand, mais elle, elle est au courant – et ne tarde pas à virer son slip, à relever sa jupe et à me présenter son cul tout blanc. Je n’ai qu’à l’enfiler, comme ça, d’un coup, et sa moule n’a besoin d’aucun préparatif pour m’accueillir. Elle gueule en gallois – ça ne peut pas être de l’anglais, ce truc qu’elle dit – pendant que je la ramone, et me fait signe de rapidement venir. Je jute assez vite, j’aurais préféré plus long, mais bon… On a à peine le temps de se rhabiller que sa fille rentre. Mauvais poil, mauvais plan – elle, quand elle parle, je comprends mieux – et elle va dans sa chambre en nous regardant à peine. Je monte aussi dans ma chambre, le mari va pas tarder ou le fiston, je ne sais pas. Au bout d’une heure, on toque à ma porte. C’est la fille, qui porte un t-shirt ultra long qui lui sert de chemise de nuit, et qui veut savoir quelle musique j’écoute. Je lui file mes écouteurs branchés sur mon téléphone ; elle s’assoit sur le lit en croisant les jambes, de sorte que je ne peux pas ignorer, le t-shirt étant à moitié remonté sur ses cuisses, qu’elle ne porte rien en dessous. Je dirais même plus, d’où je suis, j’ai une vue plongeante sur sa chatte entièrement épilée, avec un petit anneau sur les lèvres su clito. Elle écoute la musique, concentrée ; elle a l’air d’apprécier. Moi aussi. Je mate tranquille, et mon entrejambe se réveille carrément. Soudain, elle se penche pour me filer un écouteur, c’est un morceau qu’elle adore ; et comme le t-shirt est coincé sous elle, elle bouge pour le relever. Là , elle est carrément cul nu sur mon pieu. Je prends l’écouteur, mais je suis surtout intéressé par sa chatte. Je fais quand même semblant de m’intéresser, et je bas le rythme en tapant avec ma main sur sa cuisse. Elle me laisse faire, elle est dans son trip. Le morceau fini, elle me demande si j’ai d’autres trucs. Je cherche dans mon téléphone, je lui fais écouter d’autres morceaux. Comme je m’allonge sur le lit, elle s’allonge à côté de moi sur le ventre, sans remettre son t-shirt. Cette fois-ci, vue imprenable que ses fesses et ses cuisses. Je vais prendre un truc dans ma valise – mon casque audio – mais c’est surtout pour la mater. Elle a relevé les jambes, qui ne sont pas serrées, et j’ai donc une vue d’enfer sur sa fente. Je m’allonge de nouveau à côté d’elle, sur le dos. Avec le jogging que je porte, il suffit qu’elle se retourne et elle verra mon érection. On écoute de la musique pendant encore une demie heure. Quand enfin elle se retourne, rajustant vaguement son t-shirt, elle tombe en effet nez à nez avec mon missile prêt au décollage. Elle s’arrête, me sourit, passe sa main sur ma bite à travers le tissu, doucement, et me susurre dans un français délicieux un bonne nuit malicieux… Putain, elle va pas me laisser comme ça ? Si, elle retourne dans sa chambre… J’attends un peu, mais elle ne revient pas. Je m’en fous, j’y vais. Je frappe doucement, la porte est ouverte. Elle a laissé un peu de lumière, pas grand-chose, mais elle est à poil sur son lit, elle a enlevé le t-shirt, et elle se caresse tranquillement. I was waiting for you, frenchie… Elle aurait pu prévenir. Elle a des piercings sur les tétons, un au nombril, et celui du clito que j’avais déjà vu. Et elle sait ce qu’elle veut, elle est comme sa mère, sinon qu’on a plus de temps… Plus difficile à faire jouir aussi, une vraie clitoridienne, mais alors quand elle a décidé de s’occuper d’une queue, une vraie chienne. Nuit d’enfer, nuit d’Angleterre…
Deuxième matin. Je suis un peu fatigué, mais personne ne le remarque. En cours, la capo continue de nous assommer et de jouer de la badine… Ma voisine est toujours aussi craquante : elle a mis une jupe écossaise, pour faire couleur locale, et elle me montre vite fait qu’elle n’a rien mis dessous – elle aussi, elle a l’air badine… Je me branle donc à côté d’elle, en sortant ma bite discrètement, et notre jeu consiste à se branler mutuellement sans se faire prendre. Mais impossible d’aller très loin, et sauf à risquer la punition – on ne sait toujours pas laquelle – il faut battre en retraite. Sauf que je suis maladroit, et que je fais gauler au moment même où je range ma gaule… La capo, elle en croit pas ses yeux : elle gueule tout ce qu’elle peut, les autres se marrent plutôt, et ma blonde est écarlate. Je suis donc puni : pas de sortie – ouf ! – et je devrai rester en cours avec la capo – merde…
L’après-midi s’annonce donc joyeux. Ma blonde me fait un signe lointain – et d’autres se réjouissent déjà de me voir hors-jeu – et je vais à mon calvaire, courageusement. La capo m’accueille encore plus sèchement que d’habitude. Elle me fait retirer mon pantalon pour que je reçoive des coups de badine : sérieux ? oui, très sérieux. Et assez douloureux aussi. Une fois le châtiment dispensé, et mon cul brûlant et rougi, elle m’enlève mon boxer avant même que j’aie eu le temps de rien comprendre, me passe de la pommade cicatrisante sur les fesses, et en profite en réalité pour me passer la main entre les fesses, et me masser le trou du cul et les couilles. J’en reviens pas, mais je bande très vite, et à la vue de l’engin qu’elle convoitait, elle s’en saisit rapidement et commence aussi à le masser en faisant semblant d’être en colère et de me gronder. Puis elle s’assoit sur son bureau, relève sa jupe et me fourre la tête entre ses cuisses. Putain, elle mouille abondamment, la salope, elle a adoré me frapper. J’écarte son slip et commence à la lécher, et une fois qu’elle est bien abandonnée, toute à son plaisir, je lui mords le clito. Je pensais lui faire mal, la surprendre, c’est moi qui suis surpris. Elle me pousse la tête encore plus fort contre elle, jouissant dans la douleur. Alors je me relève, je prends à mon tour la badine, je la retourne et je lui lacère le cul à plusieurs reprises, avant de l’enculer à sec. Putain, ça c’est bon, un cul serré comme ça et une chienne de salope qui gueule, j’adore. Finalement, je préfère cet après-midi à celui d’hier !
Troisième soirée. Monsieur reste à la maison, je ne me ferai pas madame. On dirait plutôt que c’est son tour, parce que le lit bouge bruyamment, et les exclamations de monsieur ne sont pas discrètes. Et mademoiselle est sortie en boîte, elle ne rentrera qu’au petit matin. En même temps, un peu de repos ne nuit pas. Je pionce très vite.
Troisième matin. La capo a changé de ton avec moi, tout le monde l’a remarqué, et ma blonde essaie de comprendre. Je lui dis que je lui expliquerai : pendant la pause, nous parvenons un petit moment à rester à l’écart. Mais elle n’est pas très intéressée parce que je pourrais lui raconter, elle a d’autres projets. Elle me saute dessus en me donnant rendez-vous dans les chiottes des filles. Je m’y glisse discrètement, la rejoins et nous fermons la porte. Là , elle baisse directement mon froc, me fait asseoir et vient s’empaler sur moi. Elle est comme la braise. Comme elle sait qu’elle n’a pas beaucoup de temps, elle se démène comme une furie pour trouver son plaisir. Et quand je lui doigte le cul en la soulevant, elle vient sur moi dans un gémissement étouffé, en me mordant l’épaule. Moi, je n’ai pas joui, pas eu le temps, mais elle se barre à toute vitesse, me laissant avec mon mât érigé. Je ne sais pas trop quoi faire, d’autant qu’il y a du bruit, je ne peux pas sortir des chiottes des filles comme ça. La porte s’ouvre, je crois qu’elle est revenue, mais ce n’est pas elle, c’est une brune filiforme, qui me fait chut en entrant, n’est pas du tout étonnée de me trouver là avec un sexe tendu, et me demande si elle peut avant de venir à son tour s’asseoir sur moi. Mais ce n’est pas le même format : son sexe est beaucoup plus serré, et passer ainsi d’une chatte juteuse et ouverte à une chatte fermée à peine mouillée, c’est à la fois curieux et assez jouissif. Et elle, elle prend son temps. Du coup, c’est moi qui viens en premier, l’inondant de mon foutre. Je la caresse très fort sur le clito pour la faire venir aussi, là encore dans un gémissement étouffé. Mais on a tellement traîné qu’on est vraiment en retard. Donc punition, me dit la capo avec un sourire vicieux, pour nous deux.
L’après-midi, la capo et moi attachons la jolie brune, avant de la déshabiller complètement pour une séance assez longue. La capo n’ose pas la frapper – elle a peur des parents, tout de même – mais moi je la fais jouir ainsi, attachée, sous les yeux de la capo qui s’est enfoncé la badine dans la chatte et se branle furieusement. Puis elle viennent ensemble me sucer la bite, et je leur gicle sur le visage. Je crois que les activités culturelles vont céder la place aux jeux de langue anglaise…
Quatrième soir, la semaine file. Monsieur a invité des voisins pour un match de rugby à la télé. Donc madame sort avec des voisines… C’est gai. Le morveux bosse dans sa chambre, mais mademoiselle a l’air disponible. C’est ce que je crois d’abord, mais je m’aperçois bien vite qu’un des voisins se fait pomper dans sa chambre. J’avoue que je n’ai pas trop envie de passer après ce gros baveux. Je me renseigne donc pour savoir où vont ces dames et les rejoindre : elles sont au pub, et quand j’entre pour les chercher, elles ont l’air ravie de me voir, comme si… comme si elles avaient parlé de moi ? Exactement. Je ne comprends pas tout, mais c’est joyeux. L’une d’entre elles a l’air de vouloir que je la rejoigne dans les toilettes. Non, les toilettes, aujourd’hui, j’ai donné. Je fais mine de ne pas comprendre, d’autant que ce n’est pas la plus bandante du lot, de loin. En revanche, il y en a une, plutôt dans la trentaine, sportive, qui m’a l’air d’avoir un corps sublime : des seins comme des obus, des jambes toniques, une bouche pulpeuse, j’allais dire juteuse… Celle-là , je me la ferais bien, mais je ne sais pas trop comment, et je n’ai plus beaucoup de temps… On finit pas rentrer sans que j’aie trouvé moyen d’aller plus loin, mais alors qu’on approche de la maison et que plusieurs nous ont quitté, ma jolie voisine nous dit que le match n’est pas terminé, que les gars sont encore à gueuler devant la télé, et qu’on ferait bien d’aller chez elle. On s’y retrouve donc à trois, la voisine en question, ma mère de famille et moi. On va chercher dans la cuisine de quoi picorer, et on s’installe dans un jardin charmant, à l’abri de la rue. Pour une fois, l’anglais qu’elle parle m’est presque clair, tandis que ma Galloise continue à baragouiner je ne sais quoi… Mais ma Galloise, sa langue, je la comprends autrement. Et ce qui me surprend, c’est que dans ce domaine, elles ont des points communs inattendus. A peine assises sur le banc du jardin que leurs langues, elles les mélangent voluptueusement, comme si je n’étais pas là . Je ne sais pas si c’est du french ou de l’english kiss, mais c’est du kiss, baveux, mouillé, tout chaud. Je les regarde un instant, puis je passe derrière le banc et je commence à leur caresser les seins, d’abord par-dessus leurs vêtements, et très vite, avec leur aide coopérative, sans vêtement. Il ne faut pas beaucoup de temps pour qu’on soit tous les trois à poil. Madame est allongée sur le banc, cuisses ouvertes ; la jolie voisine a plongé dans ces cuisses et elle s’en régale, autant qu’elle semble régaler madame ; et moi j’enfile la voisine, tranquillement, sans difficulté tant elle mouille déjà . J’avais deviné un corps sublime, je ne me suis pas trompé. Des jambes longues et musclées, les fesses qu’elle sait serrer sur moi, une peau de pêche, bronzée, et ses seins que je prends par en dessous, des poires pleines et fermes, et je ramone, je ramone. Puis madame se relève et viens me pomper le dard, pendant que je me délecte des seins en poire, que je suce et mordille, et que je doigte l’anus parfaitement musclé de ma sportive. On essaie une troisième position ? Oui, le match n’est pas fini, on a le temps… Je suis allongé sur le banc, madame est venue poser son cul sur ma bite, et ma sportive sa chatte sur ma langue : pour être mouillée, elle est mouillée, elle est même juteuse, dégoulinante, je prends une vraie douche mais j’adore. Elle a un goût de fruit confit, je la bouffe avec une joie sauvage, tant et si bien que c’est sa mouille qui finit par me faire jouir dans le cul de madame…
On rentre tard, ça boit encore, ça baise un peu en haut – je n’ai pas bien compris qui, un instant, j’ai cru que c’était monsieur avec sa fille, peut-être ?
Quatrième matin. La capo n’est pas là . Evaluation, QCM et épreuves orales… La pause est beaucoup plus longue. Ma brune de la veille me fait la gueule – il semble qu’elle n’ait pas apprécié notre séance de l’après-midi, et qu’elle en ait parlé, parce que plusieurs filles m’évitent. Mais pas ma blonde, au contraire semble-t-il… Mais elle est entourée d’une cour de tourtereaux, dont elle ne cherche pas à se débarrasser…
Après-midi culturel, puisque je n’ai pas réussi à être puni. Je sais tout de la peinture anglaise du XVIIIe siècle dans le Devonshire…
Soirée télé, papa maman qui papotent avec leur fiston… Mademoiselle m’attend pour sortir. Je ne sais pas si j’ai envie de sortir : pour faire quoi ? On va boire des bières chez une voisine, me dit-elle en me faisant un clin d’œil. Si c’est ce que je crois, alors oui. Bingo. C’est la même voisine, mais pas de bière. La variante, plutôt fun, c’est la fille plutôt que la mère. Et la fille, elle a de la ressource : elle a amené avec elle ses gadgets, et ces dames s’enfilent avec des vibros, dans la chatte, dans le cul, pendant que je bouche les derniers trous… Gwen, la voisine, adore la sodomie, et je la comble. Et mon sexe dans son cul, avec un vibro à fond dans la chatte, pendant que Barbara – mademoiselle – lui bouffe le clito, ça la fait méchamment jouir. Leurs deux bouches sur mon sexe, c’est bien aussi, j’en redemande.
Cinquième matin, cinquième journée de cours ; les groupes ont changé, suite aux évaluations. Je ne suis plus avec ma blonde, et je le regrette bien… Je la retrouve à la pause, mais je crois qu’elle s’est mise avec un mec. Tant pis. L’après-midi est encore plus chiante que la veille. Je m’éclipse du groupe et je sors en douce du musée : je vais traîner en ville. Mais avec mon niveau d’anglais, c’est pas très pratique. Je rejoins donc le groupe quand ils sortent, ni vu ni connu…
Sixième et dernier soir. Madame a préparé un repas spécial pour mon départ : je crains que ce ne soit encore plus dégueulasse que d’habitude. Non, elle est allée chercher des burgers dans une chaîne locale, ça va. On baffre. Barbara n’est pas là , et monsieur semble vouloir entreprendre madame… Tant pis. Journée blanche…
Septième matin, c’est le départ. Gwen est passée en vitesse me faire un kiss, et m’a laissé son numéro. Le bus. Chouette, j’y retrouve ma blonde. On s’installe à l’arrière, et on étale des couvertures comme si on avait l’intention de dormir. Tu parles… je lui doigte la chatte à la faire crier, et j’ai même ouvert son chemiser et dégagé ses seins – qu’elle a fort opulents, tout à fait propices à me branler la bite – que je malaxe. Et cette fois, elle a aussi sorti ma bite, et elle la branle avec science et conscience. Quand je sens que je vais venir, je le lui dis, et elle plonge sous la couverture pour m’avaler tout entier. Elle me mord presque mais c’est joyeusement que je crache ma semence dans sa bouche. Elle avale tout soigneusement, se nettoie comme si elle avait pris un verre de lait, puis se tourne comme pour dormir, en me présentant son cul. Il ne me faut pas longtemps pour bander à nouveau, et en attendant, je lui doigte l’anus avec sa mouille. Une fois prêt, je présente mon gland devant sa rosette, et elle pousse lentement, jusqu’à me sentir bien fiché en elle. Le mec dont je pensais qu’elle s’était mise avec n’est pas loin. Il sait très bien ce qu’on fait, et il s’est rapproché en changeant de siège. Elle lui fait signe de s’approcher, et pendant que je l’encule, elle lui sort la bite et entame une fellation. Je savais qu’elle avait du potentiel, mais elle m’étonne : elle est vraiment très salope, j’adore. Je jute une deuxième fois dans son cul, la faisant tressaillir sur la bite de l’autre.
Ensuite, c’est le ferry, et la mer est agitée. Moi, ça ne me réussit pas : je passe la traversée à dégueuler… et du coup, dans le bus à partir de Calais, je suis un peu pestiféré : je sens le vomi, je crois. En rentrant le soir, ma mère est contente de retrouver son petit chéri, malade… Elle me demande si j’ai bien travaillé, si je me suis amusé quand même. C’est sûr, j’ai fait des progrès en langue. Ma sœur me regarde bizarrement, et dans la voiture, elle m’indique à voix basse que j’ai une tache de sperme sur le pantalon… Le soir, je ne raconte pas grand-chose, je suis crevé. Et dans la nuit, ma frangine – elle a deux ans de plus que moi – vient se glisser dans mon lit et me demande de raconter. Comme je parle des cours, elle m’interrompt et me dit « non, pas ça… tu sais très bien » et pendant qu’elle parle, elle a glissé une main sous les draps pour attraper ma bite. Putain, ma sœur qui m’a toujours pris pour un petit garçon et m’a toujours tenu éloigné de sa chambre… « Alors, tu me racontes ou je crie en disant que tu m’as forcée à venir dans ton pieu ? » Je lui raconte, tout, avec les détails, et au fur et à mesure de mon récit, elle enlève son caraco, plonge sous les draps en me disant de continuer, me pompe de façon super jouissive, puis dégage les draps, et vient se mettre sur moi à califourchon. Elle jouit une première fois quand j’en suis à ma deuxième séance avec la capo, et la brune. Puis une deuxième fois au récit de la première soirée avec Gwen. Elle me fait jouir ensuite pendant le récit de la deuxième soirée avec Gwen, et quand je lui dis qu’elle m’a laissé ses coordonnées, elle a l’air intéressée. Mais quand je veux changer de position, la prendre en levrette ou goûter son petit cul, elle me dit non frérot, ce sera pour plus tard…
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