Peut-être était-ce la découverte d'une bouteille de vodka dans la table de chevet, ou peut-être était-ce le fait que Guy, mon amant était si excité cette nuit-là. Quoi qu'il en soit, les étoiles étaient alignées pour qu’une action passionnée est lieux entre lui et Michel, mon mari, malgré la farouche opposition de celui-ci.
Cela ne me semble presque plus crédible maintenant, même pour moi qui fouille dans mon esprit pour en tirer un autre souvenir chaud à partager. Après mûre réflexion, et par amour pour moi, mon mari finit par accepter, sans savoir que c’était l’homme qu’il détestait le plus au monde, qui allait être au commande.
Mais ce n'était pas un rêve. J'ai vraiment regardé mon amant baiser mon mari. Et j'ai vraiment aimé sa façon de se soumettre.
Je n'aurais pas dû être surprise de l'escalade de leur rivalité, après tout. Après une soirée arrosée, Guy avait déjà forcé mon mari à sucé lui tailler une pipe, et avait tout avaler, bien que Michel ne soit pas du genre à se soumettre.
Avec le consentement et les bonnes circonstances, nous pouvons nous retrouver dans des situations très intéressantes.
Tout ce qu'il faut savoir, c’est qu mon mari déteste Guy. Il sait que c'est un sale connard qui ne pense qu'à baiser sa femme. Arrogant, dans tous les sens du terme.
Il est toujours difficile de savoir exactement comment ces choses commencent. Mon souvenir saute d'une soirée glaciale entre amant et mari, qui gémit en extase alors que la bite de Guy lui laboure le petit trou profondément. Je dis extase, il y avait plus qu'un soupçon de douleur là-dedans, comme c'est souvent le cas avec le sexe anal. Pas assez pour arrêter complètement l'action, juste assez pour lui rappeler qu'il est complètement violé de la manière la plus odieuse qui soit.
Toute une série de scènes, de sentiments, d'expressions faciales et de bruits me traversent l'esprit lorsque je me rappelle cette nuit-là. La nuit où j'ai regardé mon amant sodomiser mon mari.
Il lui a dit sans équivoque de se mettre à quatre pattes. Les doigts ont lubrifié l'entrée de son œillet, et moi, fascinée, j'ai regardé ces doigts se glissaient dans son intimité et en sortaient, et cette baise de doigts qui entrait et sortait de manière sexuelle donnait naissance aux premiers gémissements de plaisir de Michel.
Le voir se détendre physiquement dans l'instant, les sentiments, et cambrer son corps pour que l’homme qu’il déteste le plus, puisse le sodomiser. Le visage déjà crispé, les yeux fermés, Dieu sait ce qui lui passe par la tête, à part qu’il va se faire baiser maintenant.
Guy a décidé que mon mari était assez prêt. Je l'ai regardé, envoûté, en retenant mon souffle, alors qu'il raidissait sa bite d'une main de maître. Son autre main, la main lubrifiée, reposait sur la fesse de Michel. Je le tenais, prêt à monter. Comme un manchon de branlette, il était sur le point d'éjaculer dans son besoin refoulé.
Le bout de sa grosse bite, d'une dureté impressionnante, était maintenant exposé, le prépuce retiré de la tête brillante après sa rapide traction préparatoire. Les deux mains se tenaient maintenant sur les hanches de mon mari, car il restait en position à quatre pattes, se préparant sans aucun doute à la prise de son intimité.
Les mains de mon amant écartaient légèrement les fesses, lui permettant de positionner le bout de sa bite sur cette entrée plissée et lubrifiée. Guy a poussé.
Pas un forage rapide, profond et soudain, juste un petit coup de pouce pour faire entrer le bout de sa bite dans mon mari. C'est alors que je l'ai entendu crier pour la première, mais certainement pas la dernière fois cette nuit-là. Un cri étouffé, contradictoire, combinant toute la douleur, l'horreur et l'angoisse, avec tout le doux plaisir, la satisfaction et l’envie que ça ne s'arrête pas.
Guy sourit. Le sourire méchant et malfaisant d'un homme qui sait qu'il a sa proie juste là où il veut, qu'il va l’enculer et profiter de chaque once de plaisir pervers.
Il en a poussé d'autres. J'ai vu les mains de mon mari, alors. L'éclair de peau quand ses ongles s'agrippaient à l'oreiller, qu'il a également utilisé pour étouffer son deuxième cri. Mais son corps l'a trahi. Des gémissements s'échappèrent de ses lèvres, plus fort alors, car il ne put s'empêcher de jeter sa tête en arrière alors que la lente baise de son petit orifice continuait. Ses doigts étaient toujours enroulés autour de l'oreiller, mais son dos était courbé. Des respirations rauques et audibles s'intercalaient entre les gémissements et il repoussait sa croupe sur cette bite envahissante.
Finalement, la sodomie est devenue plus douce. Moins de mouvements douloureux et plus de fluidité dans le sexe. La prise sur l'oreiller s'est relâchée et les yeux de mon mari se sont ouverts par moments, pour se refermer sur moi dans une course de plus en plus profonde.
Je pouvais presque voir, à travers les corps en action, la bite incroyablement raide de Michel, rebondir sous lui. Le bout sensible de sa queue frottait contre la couette, tandis que son œillet était de plus en plus défoncé, ce qui ne faisait que renforcer son besoin croissant. Incapable de résister davantage, une de ses mains se déplaça vers le bas. Il avait manifestement l'intention de se branler pendant qu'il profitait de l’énorme queue de son rival qui le défonçait.
Mon amant n'avait rien de tout cela. Il s'est penché plus près, faisant en sorte que sa bite envahisse le petit orifice de mon mari au plus profond, tout en se retournant pour lui donner une bonne gifle. Au lieu de cela, il s'est emparé de la bite de Michel, jusque-là négligée, et a commencé à le branler. Ses doigts glissent de haut en bas de cette tige pré-lubrifiée au même rythme que sa bite à lui le pénètre.
Tout cela semblait prendre à la fois de délicieux moments. Je me souviens de leurs visages, déformés par le plaisir et l'exhibitionnisme et la pure satisfaction de tout cela. Je me souviens de la chaleur qui se dégageait d'eux deux, et de ma joie de voir de vrais mecs ensemble, dont l’un, dominateur, enculait l’autre.
Ma chatte, qui avait envie d’être touchée, se mit à mouiller abondamment, juste au moment où je regardais mon mari être utilisé et baisé. Mon clitoris et mes tétons qui me crient dessus pour attirer l'attention aussi. La gorge prise dans l'excitation d'être présent, de regarder, de partager.
Puis l'apogée. Mon amant ne peut plus se passer de son envie. Il a alors grogné, en se retournant et en se fermant les yeux, et il a lancé sa charge dans le ventre de mon mari. Sa main a lâchée la bite de Michel. En se retirant, il saisit les couilles de mon mari, la fierté de l’homme, les fait rouler entre ses doigts, pour l’humilier et lui montrer sa suprématie. A ce moment, les deux mains serrent la taille de mon mari pour se stabiliser alors qu'il s'avançait vers l'orgasme.
La pièce est restée silencieuse, à l'exception de nos respirations à tous les trois. Avec le temps, ils ont tous les deux retrouvé un certain calme, Guy étant toujours dans sa position de point culminant même si sa bite était sans doute en train de flétrir après l'orgasme et de sortir de sa position. Il s'est approché de mon époux, il lui donne une petite fessée, et le jette hors du lit, pour que je prenne sa place.
Tout penaud, Michel s’allonge au pied du lit en chien de fusil, et me regarde tailler une pipe à Guy, l’homme qu’il déteste le plus.
Je me connecte ou je m'inscris