Soumission forcée (épisode 7)

Je sortis de la cette chambre honteux et humilié de m’être fait sauté par ce con de chien. J’étais nu plein de sperme canin essayant de cacher ma cage avec mes mains et en courant afin de rejoindre l’ultime et dernière chambre, celle de l’initiateur de ce jeu, Steeve.

Je frappais avec insistance pour rentrer rapidement. Steeve m’ouvrit la porte en rigolant de me voir dans cet état.

Steeve : entre donc Simone, cela ne te dérange pas si je t’appelle ainsi ?

Moi : tu me donnes la clé maintenant ! C’est bon là on a assez joué !

Steeve : assis toi donc un peu Simone. Alors comment te sens tu et qu’est-ce que tu as pensé de mon petit jeu ?

Moi : tu es allé trop loin Steeve dans ton délire.

Steeve : Ecoute, après tout ce que j’ai vu et entendu et surtout enregistré c’est un peu fort ! Dis-moi franchement dans les yeux est-ce que tu n’as pas pris ton pied ?

Je ne voulais pas l’avouer mais il avait pourtant raison.

Moi : j’étais juste dans un jeu et je n’avais pas trop le choix en plus !

Steeve : on a toujours le choix Simone

Moi : et arrête de m’appeler Simone je suis un mec…

Steeve : pardon ? tu es quoi ??? Un mec ? parce que tu crois qu’un vrai mec ça se fait prendre à tour de rôle, suce des couilles, des bites et se fait prendre par un chien ?

Je baissais la tête, honteux comme un gosse qui a fait une grosse bêtise.

Moi (en pleurant) : je ne voulais pas….

Steeve : je ne sais plus quoi penser de toi. Regarde-toi ? Le macho, virile que tu étais es devenu une pute gay voire une chienne en chaleur. Je crois que tu n’es plus en mesure de décider donc je vais le faire à ta place. J’ai déjà prévenu Lisa que le mariage était annulé et tu ne m’en voudras pas si je baise avec elle maintenant vu que tu me l’avais piqué.

J’étais effondré ! Ce mec avait tout prévu et m’avait manipulé depuis le début pour me piquer ma femme et m’humilier.

Steeve : autre chose c’est bien moi qui ai ta clé mais je pense que tu n’as plus besoin de ta bite maintenant ?

Moi : non pas ça, s’il te plait pas ça….

Steeve : en effet pas ça tu as raison

Je me relève pour observer Steeve qui tient dans la même un autre dispositif de chasteté miniature. Une petite boule avec un anneau à sa base pour encercler les couilles. 

Moi : tu veux rire Steeve ? hors de question en plus ma bite ne rentrera jamais dans ton truc.

Steeve : ok comme tu veux. J’ai récupéré ton adresse mail, tous tes contacts. Je vais commencer par envoyer la vidéo où tu te fais sauter par le chien à tes parents ils vont être très surpris.

Moi : putain Steeve fais pas ça, tu es mon pote.

J’essayais de le prendre par les sentiments mais rien n’y faisait.

Steeve : mon ami c’était Simon pas Simone. Aller viens que je t’enlève ta cage. Voici des glaçons pour réduire ton zizi à son maximum. C’est sûr qu’il va falloir bourrer. Toi qui était tellement fier de ta bite de 20 cm. Quel dommage… enfin bref tu vas profiter de ton cul maintenant. Une nouvelle vie quoi !

Je saisis le dispositif et les glaçons. Je tremblais comme une feuille essayant devant Steeve de bourrer ma queue dans le toute petite boule en acier. 

Moi : tu vois bien que je n’y arrive pas Steeve !

Steeve pris les glaçons et m’empoigna la bite avec, m’arrachant un cri de douleur.

Moi : arrête par pitié… je ne vais plus pouvoir bander, je t’en supplie….

Steeve : tu vas voir si elle ne va pas disparaitre cette queue que je ne peux plus voir ! Et bien voilà regarde ça !

Je pleurais comme un enfant à qui on aurait pris son jouet. Ma bite était grosse comme une knackie et bleue par le froid. Je l’enfermais rapidement dans la cage minuscule qui se referma définitivement à l’aide d’un petit cadenas. Mon sexe avait complètement disparu. J’étais sans aucun poil et sans bite. Je n’avais plus rien de masculin.

Steeve : tu es enfin dans ton élément et tu ne vas plus nous faire chier avec tes histoires de cul et d’exploits sexuels au boulot !

Moi : si tu me prends ma femme tu n’as plus besoin de moi. 

Steeve : mais tu veux rire ! les 10 mecs de la boite vont pouvoir se taper notre Directeur tous les jours. Et à partir de maintenant tu nous appelleras tous maître pour bien te souvenir que tu es notre esclave.

Dans ma tête j’étais anéantis et malgré ma stupeur je recomptais mais il n’y avait que 9 mecs dans la boite plus moi.

Moi : tu ne peux pas faire ça Steeve pas les 9 mecs de la boite, c’est dégradant et humiliant. Je n’aurais plus aucune légitimité et autorité.

Steeve : t’inquiète les 10 tournerons à tour de rôle j’ai déjà tout organisé. 1 le matin, 1 le midi et 1 le soir du lundi au jeudi. On a déjà tout prévu et le vendredi on te laissera toute la journée avec le dixième qui a beaucoup plus de besoin que nous.

Je ne comprenais toujours pas de qui il s’agissait.

Moi : mais de qui tu parles Steeve ?

Steeve : mais enfin Simone…. Tu ne voudrais surtout pas oublier ton nouvel ami ?

Mon cœur ne fit qu’un tour !

Moi (en larmes) : non pas ça c’est dégueulasse !

Steeve : ne me dit surtout pas que tu n’as pas aimé ! Rex t’adore et a besoin d’une femelle, donc c’est ok. On a déjà commandé un pilori électrique réglable en hauteur pour toi afin que tu ne vois jamais qui te saute des fois que l’on aura des invités surprises. En plus du point de vue ergonomique c'est plus agréable pour tout le monde y compris pour Rex. Je suis sûr que tu es aussi excité que nous. Alors pour conclure tout ça tu vas signer ici ton contrat de soumission et tu vas dire à la caméra devant toi ce que tu es, ce que tu aimes et comment tu veux que l’on te traite à la boite.

Je n’étais plus moi-même et je n’arrivais plus à prononcer un mot

Steeve : attend je vais t’aider un peu.

Soudain Steeve passa derrière moi, déboutonna sa braguette et m’enfila d’un coup sec.

Moi : AAAAAA…. Putain que c’est bon !

Steeve : voilà je te retrouve, alors parle à la caméra.

Steeve commença des mouvements de bassin lent mais bien profond. Je sentais ses couilles me frapper les fesses. J’étais complètement hypnotisé et sous son emprise.

Moi : je m’appelle dorénavant Simone, j’aime la bite et les couilles. Je suis devenus une belle salope. J’obéis à mes maîtres du boulot pour assouvir leurs moindres désirs même les plus pervers. Je suis une pute à disposition qui aime se faire engrosser par tous les bouts.

Je n’ai pas de limite et mon cul peut tout recevoir y compris la bite d’un chien car je suis une chienne en chaleur qui aime se faire saillir. Ma grosse bite ne doit plus jamais me servir et doit rester encager afin que je ne me concentre plus que sur mon cul. Je suis soumis à mes maitres à jamais.

Steeve : Eh bien voilà !