Soumission forcée (épisode 8)

Récit érotique écrit par Adam35 le 24-03-2025
Récit érotique lu 89 fois
Catégorie Gay

Après ce voyage organisé initialement pour mon enterrement de vie de garçon avec mes 9 collègues et amis de boulot nous reprîmes tous l’avion pour revenir en France.


Sur le vol du retour Steeve repassait en boucle les vidéos de moi en train de me faire sauter par toute l’équipe y compris le chien. Au passage de l’hôtesse de l’air il n’avait même pas la décence d’arrêter son portable. J’étais rouge de honte.


Pour le retour je n’avais pas eu le droit de reprendre mes affaires. Ils m’avaient obligé de porter un petit short d’enfant avec le visage de Mickey devant et sans sous vêtement bien sûr. Et pout le haut je portais un bustier rose beaucoup trop petit pour moi.


Pendant tout le vol Steeve m’obligeais à boire de grande quantité d’eau pour que je me lève afin d’aller pisser et ainsi m’exposer à la vue et aux rires de tous. Mais le pire était sans doute à venir car Steeve m’expliquait en détail ma nouvelle vie qui m’attendait.


Non seulement j’allais être humilié quotidiennement au boulot par mes collègues, mais Steeve ne voulait pas se contenter de me piquer également ma fiancée. Ce salaud avait entrepris de vivre sous mon toit avec elle et avec moi. Il m’expliquait qu’elle serait ma nouvelle place et mes nouvelles missions notamment le soir, la nuit et le week-end. En l’écoutant j’étais complètement détruit et humilié et pourtant malgré la situation j’étais excité. 


En arrivant chez moi, ma fiancée se jetais littéralement dans les bras de son nouvel amant. Je tenais encore les valises de mon maître Steeve accoutré de mon petit short et de mon maillot rose. En me voyant Lisa se mit à rire et chuchota quelque chose dans l’oreille de Steeve qui se mit à rire.


Steeve : petite pervers….. 


Puis en me regardant 


Steeve : aller fout toi à poil esclave 


Je me déshabillais en essayant de cacher mon zizi microscopique caché dans la toute petite boule qui me servait de cage de chasteté.

Lisa s’approcha de moi et me caressa le corp pour saisir d’une main ferme mes couilles.


Moi : aille putain arrête …tu me fais mal Lisa.


Lisa : alors écoute bien petite taffiole, à partir de maintenant c’est maîtresse. Dans la maison tu seras toujours à poil. C’est compris ?


Elle sera encore plus fort 


Moi : oui maîtresse


Lisa : la nuit tu dormiras dans le bas de notre lit comme une chienne que tu es devenue et le jour tu feras la cuisine et le ménage.


Moi : bien maitresse


Lisa : c’est bien cette petite cage même si je la trouve encore trop grande à moins que ce ne soit ses boules qui fassent cet effet ?


Steeve : c’est l’une des plus petites cages que j’ai trouvé ma chérie mais tu as raison il faudrait peut-être le castrer ?


Moi : non pas ça je vous en supplie je serais obéissant et je ferais tout ce que vous voudrez.


Steeve : Ok pour l’instant mais ces boules sont vraiment disgracieuses pour une femelle c’est un problème.


J’étais tétanisé et j’imaginais le pire !

Le soir arrivant les deux amants se dirigèrent vers ma chambre.


Lisa : bon tu attends quoi Simone, tu viens te coucher avec nous.


En rentrant dans la chambre je découvris Steeve déjà nu sur le lit et Lisa qui se déshabillait pour le rejoindre. J’étais paniqué et très gêné par la scène.


Steeve : tu attends quoi salope pour venir me sucer un peu.


Je baissais la tête et m’approchais de sa queue pour la prendre en bouche. Après plusieurs vas et viens son mandrin prit du volume et me prenait toute la place dans ma bouche.


Steeve : aller mouille bien ma queue pour qu’elle glisse bien dans la chatte de ta maitresse. Maintenant c’est toi qui va la guider dans son petit trou mais avant lèche lui la chatte également 


Lisa était à genou sur le bord du lit en attendant ma langue. A chaque passage de ma langue elle poussait un petit soupir de plaisir. Le pire c’est que je ne pouvais même pas bander malgré la scène torride. 


Steeve : c’est bon maintenant aller guide ma queue dans sa petite chatte.


J’allais moi-même guider la bite de l’amant de ma fiancée dans son intimité. J’étais devenu une merde, un soumis qui n’avais même plus de couilles au sens figuré bien sûr !


Je pris, en tremblant, la tige bien raide de Steeve pour la guider dans la chatte de Lisa qui poussa un léger cri lors de la pénétration.


Steeve : putain… ça c’est trop bon….et dire que tu ne peux plus gouter à ce plaisir ma pauvre Simone. Cela ne t’embête pas au moins que je saute ta fiancée ?


Moi : non Maître


Steeve : Ah je préfère car cela m’aurait vraiment dérangé. Qu’est-ce que tu en penses Simone de cette situation ? Car je ne veux pas qu’il y ait de mal entendu entre nous. J’ai dit à Lisa que c’est toi qui a souhaité tout ça mais je préfère que tu lui dises toi-même. Alors on t’écoute. Tu peux parler pendant que je suis en action cela ne me dérange pas.


J’étais à genoux prêt du lit en train de les regarder s’accoupler. Des larmes coulaient sur mes joues, je baissais la tête et observais ma cage qui me faisait horriblement mal tant la pression de ma bite à l’intérieur était forte. 


Moi : je…je ne te mérite pas Lisa. Il te faut un vrai mâle pas une pute gay comme moi.


Steeve : pute gay…pute gay pas que ça Simone ???


Moi : je suis tellement pervers que j’aime me faire sauter par toutes les bites des hommes comme des chiens car je suis une vraie chienne en chaleur qui aime offrir son cul.


Lisa : alors ça je n’en reviens pas ! j’adorerais voir ça mon amour ?


Steeve : t’inquiète tu le verras. Mais pourquoi tu as une cage Simone ?


Moi : parce que ma bite ne doit plus me servir je n’en ai plus besoin, elle vous appartient maitre.


Steeve : c’est quand même peu con de ne plus avoir de bite et de continuer d’avoir des couilles tu ne trouves pas Simone ?


Moi (en larmes) : oui maître


Steeve : As ton avis qu’est ce qui serait le mieux pour toi Simone ? et pour tout le monde d’ailleurs ?


Je baissais la tête en pleurant comme un enfant. Je reniflais en sanglotant sans pouvoir sortir un mot. Pendant ce temps j’entendais les coups de butoir de Steeve dans la chatte de Lisa.


Steeve : regarde-moi ça Lisa notre Simone pleure comme un bébé.


Lisa : oh oui c’est trop mignon…. aller mon amour saute moi ….. oui mon cœur. 


Steeve : bon Simone regarde-moi dans les yeux quand je te parle. Qu’est-ce que je dois faire de ton reste de virilité ?


Je relevais la tête pour admirer ce mâle en pleine action transpirant de sueur. J’étais devenu une lope, un objet sexuel, un sous homme, une grosse merde.


Moi( en pleurant et à demi-mot) : en finir une fois pour toute….


Steeve : j’entends pas clairement ce que tu dis avec les cris de ta maîtresse.


Moi : en finir une fois pour toute…


Steeve : désolé je ne comprends pas ce que cela signifie, sois plus claire


 (blanc)


Steeve : c’est dingue ça d’avoir du mal à dire des évidences ! Ecoute je vais te laisser un peu de temps pour réfléchir. Mais la décision viendra de toi seul et tu verras c’est toi qui me supplieras pour te débarrasser de ces deux boules qui ne te servent plus. Bon en attendant regarde comment je fais l’amour à ta fiancée.


Lisa : oh oui chéri !


J’étais encore en vacances pendant une semaine avant de reprendre le boulot. Je passais mon temps à poil en train de faire les tâches ménagères. Régulièrement Steeve me caressait les fesses et le corps en passant près de moi. Il m’embrassait dans le coup en me disant des choses obscènes qui m’existaient. Le soir dans le canapé il aimait que je me mette à plat ventre sur ses genoux pour m’infliger des fessées et jouer avec mon trou. Toute la journée et tous les soirs je devais les regarder faire l’amour. La nuit je n’arrivais plus à trouver le sommeil ma bite allait exploser tellement la pression était forte dans la cage de chasteté miniature. J’étais complètement perdu car toutes les nuits je faisais des rêves érotiques mais dans mes rêves ils n’y avaient plus de femmes mais que des hommes et que des bites sur lesquelles je m’empalais.


Au matin des deux premières nuits dans la chambre de mes maitres, Je me réveillais en sueur, avec une violente douleur dans le bas ventre et le cul suintant et dilaté. J’étais en manque de sexe depuis bientôt 2 semaines sans pouvoir bander. Depuis notre retour Steeve passait son temps à m’exciter et me chauffer toute la journée sans jamais passer à l’acte. J’étais dans un état second avec une envie de sexe incontrôlable. Je me surpris dans la nuit en train de me doigter afin de calmer mes ardeurs. Le soir du 3ème jour Steeve voulu faire ma douche soit disant pour bien me laver. C’était horrible ! tout son corps me frôlait. Ses mains parcouraient mon corps et mes parties les plus intimes provocant des décharges électriques.


Moi : arrêtez maître je vous en supplie prenez moi, j’ai trop envie de votre bite


Steeve : Voyons Simon tu es encore un homme et tu sais bien ce que l’on a dit à ce sujet. Moi je ne baise que les femelles.


Sur ces mots Steeve sortit de la douche me laissant seul, le corps encore tout savonneux et le cul bien dilaté et suintant.


Moi : putain maître baisez moi ! S’il vous plait ! 


Steeve : Désolé tes boules sont trop grosses et m’empêchent de faire du bon travail !


Moi : Mais merde ! vous voulez quoi de plus ? je suis déjà entièrement à vous, je ne peux plus bander, je ne pense plus aux femmes et je fais tout ce que vous voulez. Cela ne vous suffit pas ?


J’étais à genoux dans la salle de bain en pleur


Steeve : Si je t’enlève ta cage es-tu certain que tes pulsions de mâle dominant ne vont pas revenir ? Que tu ne vas pas vouloir de nouveau tout diriger et baiser toute les femmes qui passent ? Que tu ne vas pas encore nous exposer tes exploits sexuels et ta virilité tous les jours au bureau ? Regarde-moi dans les yeux Simon et jure-moi le !


Je relevais la tête pour admirer ce bel athlète, le sillon de ses muscles, ses grosses bourses velux sur lesquelles pendaient une queue en demi-molle d’une belle grandeur. J’étais incapable de prononcer un mot.


Steeve : C’est justement parce que tu es un dangereux prédateur sexuel incontrôlable pour les femmes que l’on t’a mis cette cage. 


Moi : je n’en peux plus Steeve, je vais devenir fou, par pitié libère moi ou baise moi mais ne me laisse pas dans cet état !


Steeve : mon pauvre Simon, je pense que tu es complètement pommé ! tu ne sais même plus si tu préfères jouir du cul ou avec ta queue ? N’est-ce pas ? Répond moi franchement en toute honnêteté, maintenant que tu as gouté aux joie de te faire baisé comme une pute qu’est-ce que tu préfères ?


J’étais en effet pris d’un doute et incapable de répondre. Il y a encore deux semaines de cela je n’avais aucun doute j’étais un hétéro, macho homophobe brandissant sa queue de 20 cm en érection mais depuis cette expérience de bizutage j’avais perdu toutes mes certitudes et ma virilité.


Steeve : Alors ??? j’attends ?


Je marmonnais quelques mots inaudibles en baissant la tête


Steeve : mais putain Simon ce n’est pas si compliqué à dire ! maintenant que tu as essayé, sans réfléchir, tu préfères t’amuser avec une chatte ou une bite ?


Sans réfléchir et sans hésiter et malgré moi je répondis


Moi : une bite….mais…


Steeve : eh bien voilà ce n’était pas si compliqué, on est donc bien d’accord il faut laisser exprimer ta vraie personnalité et te faire plaisir en offrant ton beau petit cul.

Sur ses mots Steeve s’approchât de moi me releva comme une poupée de chiffon, me retourna et m’enfonça sa bite dans le cul.


Moi : oh ouiiiiii…. que c’est bon…


Steeve : Tu aimes ça la bite ma salope ?


Moi : oh oui maître !


Steeve pris mes boules entre ses mains viriles et les serras


Steeve : Et qu’est-ce que l’on fait de ça alors ?


Moi : aille aille ….non….non…


Steeve : ok comme tu veux !


Steeve se retira et s’essuya le corps avec une serviette comme si de rien n’était me laissant là comme indifférent. Mon cul restait ouvert criant famine. J’étais comme un drogué en manque de sexe


Moi : c’est d’accord Maitre, j’accepte mais baisez moi 


Steeve : Ok, mais d’abord tu vas me signer un document pour bien vérifier ton consentement.

Il sortit de la pièce et revint avec un papier sur lequel je renonçais à toute virilité et acceptais la castration de mon plein grés. Dans l’excitation et l’euphorie je signais sans trop réfléchir cet arrêt de mort de mes couilles.


Après cette signature Steeve me baisa pendant plus d’heure non stop.


J’étais usé et le cul plein encore sous l’effet de l’excitation mais très vite je pris conscience de mes actes et des conséquences. Je n’avais plus le choix.


Dès 5h du matin Steeve arriva se leva et m’emmena avec lui direction une clinique privée où il avait déjà pris rendez-vous.


Steeve : t’inquiète pas ma petite Simone, c’est complètement indolore. Juste une petite piqure locale et hop le tour est joué. Bien sûr on est d’accord, tu es toujours ok et tu ne pleures pas devant le médecin.


Je ne pouvais plus reculer malgré la peur qui me tétanisait


Moi : oui Maitre.


En effet, je tremblais comme une feuille. Le médecin me fit me mettre nu et à genoux sur la table et s’installa derrière moi avec Steeve qui me commentait toute la scène.


Médecin : bon le document de consentement est bien signé et vous êtes certain monsieur, de vouloir être castré physiquement car c’est définitif et il existe aussi la castration chimique réversible si vous le souhaitez ?


Je ne savais pas quoi répondre même si son idée était plus intéressante.


Moi : c’est …


Steeve : non…. Malheureusement nous en avons déjà beaucoup discuté et il ne supporte plus de voir ses deux boules pendouiller entre ses jambes. N’est-ce pas Simon ?


Moi : oui c’est vrai


Médecin : il a vraiment des boules énormes c’est un peu con de ne pas les utiliser surtout que sa bite doit être proportionnelle. D’ailleurs je ne comprends même pas comment sa bite est rentrée dans cette petite cage que je dois enlever pour l’intervention. Après l’intervention ce système de cage de chasteté ne tiendra plus sans testicule. En même temps il bandera un peu moins et sa bite va diminuer en taille.


Steeve : mais c’est parfait tout ça !


Médecin : Et si vous voulez je vous montrerais d’autres systèmes de cage juste tenue par une petite ceinture si vous voulez vraiment emprisonner sa bite.


Steeve : tu entends ça Simon, n’est-ce pas génial ?


Moi : oui maître


Médecin : alors c’est parti je fais une petite piqûre dans les bourses. 


Avec l’anesthésie je ne sentais en effet absolument rien même pas ma bite qui était pourtant libérée de sa cage et que je voyais pendouiller.


Steeve (qui filmait la scène) : how putain…. La grosseur des roubignoles que tu avais. Tu vas être beaucoup plus léger après ça.


Quelques larmes coulaient sur ma joue que je m’empressais d’essuyer.


Médecin : Elles sont vraiment pleines, elles n’ont pas dû beaucoup servir ces derniers temps ? J’en ai rarement vu des aussi grosses, et voilà c’est terminé. J’ai bien retendu la peau en même temps comme ça c’est bien lisse. Il faut laisser le pansement quelques jours mais cela cicatrise très rapidement.


Steeve : merci beaucoup docteur. Est-ce que l’on peut récupérer ses testicules dans un bocal s’il vous plait.


Médecin : Quelle drôle d’idée mais après tout ce sont ses bijoux de famille.


Steeve était en admiration devant mes deux grosses boules qui flottaient dans de l’eau stérile. Il n’arrêtait pas de me les mettre sous les yeux pour bien marquer la fin de ma vie d’homme.


Steeve : je n’en reviens toujours pas ! Et la taille de son sexe reste un gros problème pour lui, est-ce qu’il est possible de faire quelque chose docteur ?


Médecin : Sans ses testicules logiquement la taille de son sexe diminuera progressivement pour atteindre celui d’un enfant mais je peux faire des injections mensuelles pour faire diminuer la taille encore plus vite.


Steeve : Oh oui faites donc. On pourra espérer une taille de combien de centimètre à terme ?


Le médecin prépara une injection qu’il me fit directement à la base du pénis


Médecin : Il avait un très très gros pénis et j’ai dû doubler les doses si vous voulez vraiment qu’il devient petit. Avec ce traitement l’effet se voit rapidement en quelques jours et on obtient un micro pénis d’environ 3 centimètres. 


Steeve : au repos ?


Médecin : non en érection et dans 6 mois plus besoins de revenir faire d’injection la taille de son sexe sera définitif mais je suis assez optimiste


Steeve : oh la vache ! Non ce n’est pas ce que je voulais dire, c’est tout à fait ce que l’on souhaite n’est-ce pas Simon ?


J’étais toujours nu à 4 pattes sur la table d’occultation dans un état de sidération et tétanisé de peur et d’horreur à l’idée de me retrouver complètement castré.


Moi : oui Monsieur


Médecin :  et en attendant voici un dispositif pour le camoufler discrètement.


C’était une cage métallique en forme de boule maintenue par une ceinture très fine passant autour de la taille et entre les jambes sellées par un cadenas à l’arrière. Steeve s’empressa de me le positionner avant que l’effet de l’anesthésie ne s’estompe et que ma bite reprenne du volume.


Steeve : Oh moins là c’est quand même plus esthétique vous ne trouvez pas docteur ?


Médecin : c’est du bon travail en effet. Par contre le dispositif tombera tout seul lorsque son sexe deviendra trop petit pour le maintenir en place.


Steeve : vivement cela sera encore mieux.


De retour à la maison je récupérais la sensation de mon bas ventre et de mon entre jambe qui me piquait un peu malgré les antalgiques. Mon passé d’homme était maintenant terminé et avant de passer à table mon maître me proposa d’aller me reposer. Ce que je fis bien volontiers


A moment du diner je descendis et découvris que le repas était déjà près.


Steeve et Lisa m’attendaient pour passer à table ce qui n’était pas leur habitude.


Lisa : bonjour Simone. C’est donc officiel maintenant on peut t’appeler ainsi ?


Moi : oui maîtresse.


Lisa : tu n’as pas trop mal j’espère ?


Moi : non maîtresse


Lisa : tu dois te sentir plus léger de quelques grammes ?


Moi : oui Maîtresse


Lisa : j’ai hâte de voir ça quand tu n’auras plus de pansement


Steeve : j’ai une petite surprise pour toi. Aller assis et toi. Voici ton repas.


J’étais blême….. dans mon assiette se trouvait une de mes testicules cuisinée avec du beurre d’escargot et une grosse pomme de terre et une énorme carotte, le tout bien disposé pour former l’image de mon sexe. Je m’effondrais en larmes.


Steeve : cela ne te fais pas plaisir ? C’est moi qui l’ai personnellement préparé. Aller tu dois tout manger pour bien finaliser le deuil de ta virilité passée.


Je coupais un morceau de mon testicule gorgé de sperme pour le mettre à ma bouche. Je ne sais pas si le plus écœurant était le gout ou cette humiliation ultime. Je pleurais à chaudes larmes tout en finissant mon assiette.


Steeve : et bien alors ma petite couille on a des tristesses. Regarde j’ai un autre cadeau pour toi pour ne pas oublier ce jour mémorable.


Steeve sortie d’une boite un collier de cuir noir à clous avec une petite chaine qui pendouillait et à son extrémité une capsule hermétique en forme de grosse goutte réalisée en résine transparente dans laquelle se trouvait immortalisée mon autre testicule plongé dans du formol.


Steeve : tu vas être magnifique avec ça et c’est très original en plus.


Moi : non je ne peux pas me promener avec ça autour du cou, c’est trop humiliant par pitié.


Steeve : ce n’était pas une proposition Simone juste une information. Aller viens par-là que je t’installe ton nouveau bijou. 


Le reste de la semaine Steeve et Lisa prenaient bien soin de moi. 3 jours après l’intervention mon pansement fut enlevé après ma douche. Dans le miroir je découvrais avec effrois mon nouveau corps. Sans couilles, sans poil, sans barbe je ressemblais plus à un adolescent qu’à un homme et l’absence de pénis caché dans sa petite cage en forme de boule m’enlevait toute ressemblance à un homme.


En rentrant dans la salle de bain sans prévenir Lisa et Steeve découvrirent mon nouveau corps avec satisfaction.


Lisa : c’est magnifique comme ça. Tu vois Steeve je t’avais bien dit que ces deux grosses boules étaient gênantes et disgracieuses.


Steeve : tu es vraiment toi maintenant Simone. Putain tu me donne la trique, regarde….


En effet Steeve avait une magnifique érection qui déformait son survêtement. J’ai trop envie de l’inaugurer. Puis-je avoir l’honneur de te pénétrer Simone.


Moi : oui maître cela serait un plaisir de vous accueillir dans mon entre sans mes boules pour vous gêner dans la saillie.


Steeve me fit l’amour toute l’après-midi comme une bête pendant que Lisa était sortie faire les boutiques. Le lendemain je devais retourner au bureau avec toute une nouvelle organisation qui m’attendait. Steeve était excité à l’idée de présenter à ses collègues avec mes nouvelles transformations.


D’ailleurs en me levant ce matin-là je n’avais pas remarqué que mon dispositif de cage de chasteté était complètement défait. En arrivant nu dans la cuisine mon Maître s’en aperçu immédiatement et exprima un cri de surprise en me voyant.


Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait jusqu’à ce que je baisse la tête pour apercevoir l’horreur de la situation. Ma bite avait quasiment disparue. Pris de panique je la cherchais partout sous la cage et sous les sangles. Steeve pris sa clé pour ôter le tout afin d’observer l’état de la chose.


Steeve : oh putain !


Moi : mais qu’est-ce qui s’est passé ? Elle est où ? Vite appelle le médecin !


Steeve passa la mais sur mon pubis sans rien trouver juste un tout petit bouton qui me fit tressaillir à chacun de ses passages de main.


Steeve : c’est incroyable ta bite à complètement disparue !


Steeve pris son téléphone pour appeler le médecin et lui expliquer la scène. Nous passâmes en urgence chez le médecin. J’étais paniqué et en larmes.


Médecin : déshabillez-vous jeune homme que je regarde ça.


Steeve : vous allez voire Docteur c’est quand même spectaculaire en 4 jours passer de 20 cm en érection à 0,5 cm ? Je croyais que cela devait être progressif et surtout pas autant ?


Médecin : Ah oui quand même ! Je n’ai jamais vu ça ! Je crois que l’on va arrêter les injections en espérant que cela se rétablisse un peu.


Moi : Mais qu’est-ce qui s’est passé docteur ? Elle est partie où ?


Médecin : Vous avez fais une réaction au produit et vu la dose je crains malheureusement que cela ne soit …..


Moi : quoi ???


Médecin : on peut peut-être espérer 1 centimètre ou 2 en plus mais comme vous n’avez plus de testicules vous ne produisez plus d’hormones mâle. La solution éventuelle serait de vous refaire une injection de testostérone.


Steeve : non Docteur c’est très bien comme ça on était juste inquiet de la rapidité du résultat qui est au-delà de nos espérances n’est-ce pas Simon ?


Moi (timidement) : Bien sûr


Médecin : ah je préfère ça car j’avoue que je n’y croyais pas du tout. Il reste juste ce petit bouton qui doit être un reliquat de son gland très sensible je pense quand on passe dessus.


Le médecin passa et repassa ses doigts sur mon petit bouton me provocant des décharges dans tout le corps et des petits cris de jouissance


Médecin : Oh moins ça marche toujours !


Nous repartîmes en allant directement au bureau. Steeve encore plus excité que jamais et moi apeuré par ce qui m’attendait !





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24-03-2025 2 89

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