Soumission forcée (partie 4)

J’avais déjà fait 3 tentatives sur les 9 possibilités pour obtenir la clé de ma cage de chasteté. La prochaine chambre était celle de Joachim. Un grand black avec qui je faisais souvent du sport. Il avait un corps de dieu grec et une bite impressionnante au repos. D’ailleurs sous les douches je le charriais souvent. Joachim était quelqu’un de loyal et très à l’écoute des autres. En arrivant devant sa chambre j’étais comme rassuré. 

Quand la porte s’ouvrit, Joachim sortait de sa douche et avait sa serviette autour de sa taille laissant apparaitre son corps humide. J’étais pitoyable dans ma tenue de prostitué, sentant le sperme et le maquillage défait.

Joachim : bonjour ma belle. Entre donc reste pas dehors dans cette tenue tu vas attraper froid.

Le fait de rentrer était déjà rassurant.

Moi : merci Joachim. Ce jeu a assez duré tu ne troues pas ? Tu as la clé vers toi qu’on en finisse.

Soudain je sentis comme un malaise dans le ton de la voix de Joachim.

Joachim : assis toi un peu on va discuter.

Joachim se dirigea vers le mini bar pour apporter 2 verres et vain s’assoir sur le bord du lit avec moi

Moi : je n’ai pas trop soif, je veux juste retrouver mes fringues et ma dignité.

Joachim me tendit le verre que je bus tout en parlant. Mais très vite je sentis quelques étourdissements. Je me réveillais quelques minutes plus tard allongé sur le ventre sur le lit de Joachim les mains et les pieds attachées aux barreaux du lit.  Dans cette position je n’y voyais pas grand-chose et je cherchais désespérément Joachim

Moi : Joachim…. Joachim tu fout quoi bordel ? détache-moi immédiatement !

Soudain je sentis un poids arriver sur mes fesses. Je tournais la tête et découvrit un grand miroir sur le mur. Je découvris Joachim entièrement nu, une énorme bite en érection avec quelques jouets sexuels prêt de lui. Un trépied avec une caméra était en train de filmer toute la scène.

Joachim : Bon écoute poupée j’ai pour mission de te faire aimer la bite. Et comme tu ne le sais peut-être pas je suis un fan de bite et je vais te faire kiffer la teube tu vas voir.

Moi : non…non…. Non pas ça ! je ne suis pas gay et je….

Ma phrase à peine terminée Joachim descendait la bouche devant ma rondelle pour y fourrer sa langue. 

Moi : Oh la vache ! oh…oh…

Je découvrais pour la première fois de ma vie le plaisir anal et Joachim était un expert. Sa langue m’hypnotisait et me faisait perdre tout contrôle. 

Moi : non Joachim tu n’as pas le droit de faire ça…. C’est pas cool…

Plus sa langue entrait en moi plus mon anus se dilatait. Soudain il s’arrêta afin d’enduire ma rondelle d’un lubrifiant chauffant et aphrodisiaque. Il commence alors à tourner doucement avec son doigt pour faire pénétrer le gel autour de ma rondelle puis légèrement à l’intérieur.

Joachim : j’adore ton cul. Je vais bien en prendre soin t’inquiète. Détend toi.

Moi : putain, Joachim arrête ça….je..je..

J’ignorais si c’était l’effet du gel ou le doigt de Joachim mais un frisson me parcourait le corps. Soudain Joachim enfonça un doigt qu’il faisait bouger dans mon entre.

Joachim : alors ?....tu aimes j’en suis sûr ?

Je n’arrivais même pas à répondre tellement la jouissance était trop intense

Joachim poursuivit avec des vas et viens de plus en plus vite. Instinctivement mon cul se levait afin de faciliter le passage d’un 2ème doigt.

Joachim : mais c’est qu’elle est gourmande notre petite princesse. Attends j’ai un peu mieux pour toi.

Dans le miroir je vis Joachim préparer un gode électrique assez fin.

Joachim : allez tu es prête poupée je vais d’initier à la première bite artificielle avant la naturelle. ET c’est parti …

Il enfonça tout doucement le gode dans mon cul bien dilaté. Les impulsions électriques me firent littéralement sursauter en m’arrachant des petits cris aigus de plaisir.

Joachim : alors tu aimes ?

Moi : oH oui c’est trop bon putain que c’est bon !

Joachim : qu’est-ce que je fais j’arrête là ou tu m’autorises à continuer mais je ne pourrais plus m’arrêter si tu dis oui maintenant.

J’ignore ce qui m’a pris à ce moment-là mais j’étais possédé et je m’entendis répondre

Moi : encore Joachim, s’il te plait encore

Joachim : Ok bébé je vais donc prendre ton cul vierge comme ça je vais bien t’ensemencer et tu seras à moi.

Moi : oui oui vas y Joachim… prends moi.

A ce moment-là je découvris dans le miroir la grosseur de sa bite et j’étais pris da panique lorsqu’il enleva le gode pour se positionner à l’entrée de mon orifice.

Moi : attend Joachim c’est pas…. Non non arrête ça fait mal….oh putain ….

Il s’enfonçait lentement mais surement en moi jusqu’à son pubis. Je sentais tout le poids de son corps chaud sur mon dos. Sa tête était dans mon coup et il me murmurait dans l’oreille.

Joachim : tu vois cela n’était pas si horrible que ça. Merci pour ce moment Simon. Je suis désolé que cela arrive de cette façon mais j’avais envie de toi depuis des années. Je vais bien profiter de ce moment car cela sera peut-être le seul mais promis-je ne vais pas te faire mal.

Malgré la situation ces paroles me rassuraient et je trouvais même la situation très sensuelle voire érotique. Joachim était bien plus grand et imposant que moi et dans ses bras je ressemblais à une poupée de chiffon. Cette situation de domination était nouvelle pour moi mais je me sentais comme apaisé et totalement abandonné à cet homme.

Joachim commença très lentement des mouvements du bassin. Chaque pénétration me déclenchait un orgasme et un cri aigu que je ne pouvais contenir. J’essayais de lever le bassin et de suivre ses mouvements. Voyant ma très forte collaboration il me demanda.

Joachim : tu veux que je te détache trésor ?

Moi : oui ça sera plus agréable.

J’aurais pu fuir à ce moment mais je décidais de profiter du moment présent et de m’offrir entièrement à cet homme. Il me prit dans toutes les positions et nos ébats durèrent 3 ou 4 heures avec plusieurs éjaculations qui m’ont bien rempli le cul. Au point qu’en j’en aurais presque oublié de demander la clé de ma cage qu’il n’avait malheureusement pas.



Je me rhabillais sans un mot en regardant mon amant resté dans le lit à me contempler. Je repartis avec un large sourire en lui disant simplement merci.