Il est quinze heures quand Marlène sort de la salle de bain, simplement vêtue d’un peignoir. A peine arrivée à sa chambre pour récupérer ses vêtements, qu’on sonne à la porte. « Tiens, se dit-elle, mon fils qui a dû oublier des affaires ».
En effet, son fils Kevin doit passer le week-end chez ses grands-parents.
Elle ouvre et se troue nez à nez avec Rachid, le meilleur pote de son fils, âgé de dix sept ans.
- Tiens...Rachid, mais rentre, je t’en prie.
- Merci madame, Kevin est là ?
- Je t’en prie, appelle moi Marlène. Non, il est parti pour le week-end, et mon mari est absent pour quinze jours. Je te sers un jus d’orange...un coca ?
- Un coca, ma...heu...Marlène.
- Allez, va t’asseoir, je t’emmène ça. Au fait, Kevin fête ses dix huit ans samedi, j’espère que tu sera là. Je vais emménager le garage, le décorer, ça va être top.
- Bien sûr Marlène, j’y serais.
Marlène reviens de la cuisine, dépose le plateau de boissons sur la table basse. Elle ne s’aperçoit pas que son peignoir s’est légèrement ouvert, dévoilant son entre cuisse. Elle ne porte pas de culotte.
- Dis moi, Rachid, est-ce que mon fils a une petite amie ?
- Je ne sais pas, en tout cas il ne m’a rien dit.
- Et toi ?
- Non..
- Pourtant, c’est vôtre âge.
Marlène remarque que Rachid lorgne du côté de son entre jambes. C’est à ce moment qu’elle se rend compte que son peignoir est ouvert. Impudique, elle le laisse tel quel, pour voir si ça produit de l’effet chez le jeune garçon. Elle lui parle du lycée, des vacances, des filles, mais les yeux de Rachid reste figés sur l’intimité de la maman de son pote.
- Que t’arrive-t-il, Rachid, je te sens ailleurs...qu’est-ce que tu regardes ?
- Heu...rien ma...Marlène.
- Oh, désolé, c’est ma fente qui t’intrigue ? Je suppose que vous avez déjà vu
une chatte, avec Kevin, certainement plus jeune que la mienne.
- Oui...mais en photos, ou en vidéo.
- A parce que vous regardez du pornos ? Et ils font quoi les hommes aux petites chattes des femmes ?
- Ils les caressent, leur mettent un doigt, les lèche...ils les font jouir…
- A bon, et tu peux me montrer ?
- Mais Marlène...vous êtes la maman de mon meilleur copain.
- Il n’en saura rien…
Marlène se met debout pose un pied sur la table basse. Pour mettre Rachid à l’aise, elle ôte son peignoir, se retrouve entièrement nue devant le jeune ado. Rachid n’a pas les yeux assez grands pour admirer le sublime corps de la maman de son pote.
Maladroitement, il tente une main entre les cuisses légèrement écartées. Un doigt lisse la fente de haut en bas, ouvre les lèvres intimes, les pénètre. Le pouce s’occupe du clitoris, qu’il extrait de sa capuche protectrice.
Marlène sent le désir monter en elle, et ne s’en cache pas. Le jeune maghrébin a bien retenu la leçon, il est sûr de lui. En voyant Marlène onduler des hanches, et l’entendre gémir, il sait qu’elle apprécie la caresse.
- Qu’est-ce qu’il vous arrive, madame...Marlène, vous avez l’air d’aimer ça.
- Tu le vois que j’aime ça, coquin, toutes les femmes aiment ça...t’arrêtes pas.
Rachid est surpris quand Marlène atteint l’orgasme. Ce n’est plus du porno, c’est du réel. C’est la première fois qu’il voit jouir une femme, en vrai, et c’est lui qu’il la fait. Quelque part, il est fier.
Surprise et honteuse, Marlène s’affale sur le canapé, jambes ouvertes, son intimité offerts aux yeux, et aux mains du jeune gamin. Elle ne cherche pas à le cacher.
- Que leurs font-ils encore, souffle-t-elle.
- Il leur arrive de leur manger la chatte, dit Rachid.
- A oui...et tu peux me montrer.
Rachid plonge sa tête entre les jambes de la jolie maman, et entreprend de lui bouffer la chatte. Sa langue ouvre la fente, ses lèvres aspirent le petit bouton. Marlène est surprise par tant de savoir. Il commence à lui dire des mots crus, passe au tutoiement.
- T’aimes ça salope, hein que t’aimes ça…
- Oh oui...c’est tellement bon...vas-y mon chéri...oh mon dieu…
Rachid sait qu’elle lui appartient. D ce qu’il a retenu des films pornos, il sait qu’elle va se soumettre à tous ses caprices. Marlène se cambre pour aller à l’encontre de cette bouche qui lui bouffe la chatte.
- Tu le bouges ton cul...ça va être quoi quand je vais te mettre un coup de bite. Vas-y, branles toi…
Prise dans la tourmente du plaisir, Marlène obéit. Elle obéit aussi quand le jeune beur sort sa queue, et lui demande de le sucer. Sa queue développe des mensurations intéressantes pour satisfaire une femme.
- Ouah...quelle pipe, dit-il...tu sais quoi, dans les films pornos, les femmes avalent le sperme des mecs quand ils jouissent. Tu vas le faire toi.
D’un hochement de tête, Marlène fait un signe affirmatif, quand soudain, un tsunami se sperme envahit sa bouche.
Au bout de quelques secondes, Rachid se retire. Au passage, il tait un halte, le temps que Marlène lui nettoie la queue avec sa langue.
Maintenant, le jeune beur se conduit en mâle dominant. Il caresse les seins, la chatte, oblige Marlène à se mettre à genoux sur le canapé, les mains en appuie sur le dossier. Il s’avance derrière elle. Elle sent sa queue contre sa chatte, prête à recevoir l’offrande. Ue simple poussé, et la voila en train de se faire prendre en levrette.
Il est impossible qu’il est appris tout ça en regardant du porno. C’est une bête à baiser. Il connaît tout. Sans avertir, il change subitement de trou. Marlène ne peut retenir un cri de douleur, quand la queue ouvre le petit orifice.
- T’as un joli petit cul tu sais...tu sens comme je t’encule...tu te régales là…
- Oh oui...c’est bon...vas-y...nique la maman de ton pote...je suis bonne hein ?
- Et comment que tu es bonne, putain...c’est bon de baiser une maman, ça a plus ‘expérience...elles crient beaucoup plus fort quand elles jouissent...toi, tu es une vrais chienne…
- Non, s’il te plaît, ne me traite pas de chienne...c’est pas joli ça…
- Tu ne veux tout de même pas que je te traite de sainte...te faire baiser par un beur de dix sept ans. Tu sais quoi, un jour je te baiserais devant ton fils, pour lui montrer que sa maman est une salope, et comment son pote s’amuse avec elle, comme il la fait jouir.
- Non Rachid, pas ça. Je ferais ce que tu voudras, mais ne m’obliges pas à faire ça. Ne lui dis rien, s’il te plaît.
- Mais bien sûr que je ne lui dirais rien. Je ne risque pas de me vanter d’avoir baisé une vieille.
- Quoi...une ville, j’ai pas encore quarante ans, et tu me traites de vieille ? Tu ne me trouvais as vieille quand tu me sodomisais salaud...fou le camp petit con.
Tous les jours, Marlène essaie de joindre Rachid pour s’excuser. Elle a réussi à ses coordonnées en fouillant dans le portable de son fils. Mes ses appels restent vain.
Arrive la fameuse soirée anniversaire de Kevin. Ce dernier a invité quelques copains et copines, dont Rachid, son meilleur pote. Marlène les accueille.
- Bonsoir madame, disent en cœur les convives.
- Bonsoir les enfants, répond-elle.
Marlène se sent rougir quand elle croise le regard coquin de Rachid. Elle préfère regagner sa cuisine. A peine arrivé, qu’elle sent des mains la prendre par la taille.
- Alors, toujours fâchée, demande le jeune beur.
- Laisse moi s’il te plaît, on peut nous surprendre...restons-en là tous les deux.
Rachid, surpris, n’insiste pas, et rejoint les autres.
Au bout d’un quart d’heure, Marlène retourne au garage, pour alimenter la table en boissons. Elle marque un temps d’arrêt en voyant une jeune fille, de type maghrébin, pendue au coup de Rachid. Serait-elle jalouse ?
- Madame, fait Rachid en levant son verre, vous trinquez avec nous ?
- Allez man...c’est mon anniversaire, poursuit Kevin.
- D’accord...bon anniversaire mon chéri.
En voyant la tournure que prend la soiré, Marlène préfère se retirer. Elle ne supporte pas de voir ce jeune garçon, danser avec cette fille.
Au fur et à mesure, elle débarrasse la table, quand Rachid laisse tomber sa cavalière, et s’approche d’elle.
- Madame, m’accorderez vous cette danse, l’invite-t-il.
Prise de court, et aidée par le regard de son fils, elle accepte. Rachid se colle contre elle, elle sent sa queue contre son ventre, certainement émoustillé par la jeune fille. Il enfouit sa tête au creux de son cou, lui murmure à l’oreille.
- Je ne t’ai pas tout dit, je te trouve ravissante...je te baiserais bien…
- Oui, c’est ça, dit-elle...t’as ta copine pour ça.
- Arrêtes, dit Rachid, c’est toi que je veux. Tu sais ce qu’on va faire ?
- Non...mais tu vas me le dire.
- Tu vas aller à la cuisine et quitter ta culotte. Je te rejoins dans cinq minutes.
- C’est hors de question, répond-elle vivement.
- Tu veux que je balance ce qu’on a fait la semaine dernière ? Cinq minutes.
Sur ces mots, ils se séparent. Marlène réfléchit à la proposition de Rachid, d’autant que de voir ces jeunes s’échauffer en dansant, l’excite au plus haut point. C’est même elle qui maintenant espère qu Rachid vienne la rejoindre.
Elle pousse un long soupir quand la porte s’ouvre. C’est bien lui. Il ferme à clé.
Marlène et appuyée au plan de travail, Rachid se colle à elle et l’embrasse. Elle répond au baiser en passant ses bras autour de son cou.
Les mains de Rachid descendent sur les cuisses, remontent la jupe jusqu’à la taille. Elle avait obéit, elle ne portait pas de culotte. Il la prend par les hanches, et l’assied sur le plan de travail. Marlène se retrouve les jambes en l’air, écartées à quatre vingt dix degrés. Rachid s’accroupit, écarte la fente, lèche la chatte. Marlène a un sursaut, quand il lui aspire le clitoris avec ses lèvres.
- Salaud, gémit-elle...comme tu bouffes ma chatte...tu savais que j’allais céder, je veux ta queue maintenant, je t’en prie...baise moi.
- Déjà, parvient à dire Rachid, tu as tant envie que ça…
Rachid se relève, baisse son pantalon. La bite en érection pénètre la chatte humide de la maman des on pote. Elle se pend littéralement au cou du jeune beur.
Son calibre fait des va et vient incessant dans sa chatte en feu. Elle ne peut retenir des gémissements de plaisir quand elle jouit.
Puis c’est au tour de Rachid de vider ses couilles dans la chatte de Marlène. Mais elle env eut encore.
- Tu es gourmande ce soir. Monte une jambe sur le plan de travail, je vais te prendre au petit trou.
- Prends celui que tu veux, souffle-t-elle, ils t’appartiennent tous les deux.
Marlène offre son intimité sans vergogne. La chatte épilée et le petit orifice ne font qu’un. Rachid ne résiste pas à l’appel, et prend ma maman au petit.
- Oh putain...qu’elle est bonne ta queue..savoir mon fils si elle est aussi grosse.
- Pourquoi, si c’était le cas, tu voudrais l’essayer ?
- Quoi...me faire baiser par mon fils...ça va pas. Même pas en rêve.
- Oui, parce que si c’était le cas, on pourrait arranger ça.
- Tais toi..c’est toi que je veux...vas-y, donnes moi encore.
Rachid refuse, ne voulant mettre le doute parmi les invités. Suite à sa longue absence, Marlène fait une proposition au jeune garçon.
- Rejoins mou au salon quand les copain de mon fils seront partis.
- Hum...petit vicieuse, tu veux quoi ? Que je m’amuse avec ta petite chatte ?
- Me fait pas râler, répond-elle, tu sais ce que je veux...que tu me niques…
- OK, à une condition. Je veux que tu m’attendes toute nue, allongée sur la table, jambes bien écartées...avec juste une petite lumière.
- Quel vicieux tu es...si c’est ce que tu veux d’accord, j’accepte...embrasse moi.
Rachid regagne le garage, juste au moment ou Kevin souffle ses bougies, et les copains lui offrent les cadeaux. C’est à ce moment que Rachid s’aperçoit qu’il na rien offert à son meilleur pote. Comment rattraper le coup. Il lui vient alors une idée. Il prend Kevin par l’épaule, et le tire à l’écart.
- Mon pote, c’est à moi maintenant de te faire un super cadeau. Voilà, mais il faut que ça reste entre nous, OK ? Je suis sur un super coup, j’ai levé une meuf pendant la soirée. Je lui est demandé de me rejoindre au salon quand tout le monde sera parti. Bien sur, je lui est dit que les lumières seraient éteintes, pour la rassurer. Si tu veux te faire tailler une pipe pendant que je la baise, tu peux, après, on tourne.
- Bien sûr, jubile Kevin, c(est un cadeau génial.
Vers deux heures du matin, les deux potes poussent la porte du salon. Il es simplement éclairé par une lampe qui dégage une faible lueur. Rachid devine les courbes du superbe corps de Marlène tout près d’eux. Guidé par son pote, Kevin sort sa queue, et à tâtons, la dirige vers la bouche de sa maman. Celle-ci l’engloutit jusqu’aux couilles, et entame une douce fellation, ignorant qu’elle suce son fils. Pendant ce temps, Rachid s’est agenouillé entre les cuisses de Marlène, bouffe la chatte, suce le clito. Prise par le désir, elle ne s’aperçoit de rien, même quad Rachid la pénètre de son énorme queue.
Marlène atteint son premier orgasme, juste quand Kevin éjacule dans sa bouche. C’est maintenant à Kevin de glisser sa bite dans la chatte de sa mère, tandis que Rachid investit sa bouche. Kevin va directement au petit trou.
Marlène sent qu’un truc ne va pas, mais prise dans la tourmente du plaisir, elle ne sait quoi. Pourtant, ce sont deux queue qui la pénètre, qu’elle suce.
Rachid s’absente un moment, laissant Kevin seul, poursuivre la partie.
Il revient dix minutes plus tard, accompagné de Leila, sa copine maghrébine, celle qui la levée dans la soirée. Malgré la faible lueur, elle parvient à distinguer le superbe corps de Marlène. Elle glisse une main entre les jambes largement écartées, caresse la chatte, fait rouler le clitoris entièrement décalotté entre ses doigts. Marlène se tord comme un serpent sur la table du salon, exprime son plaisir dans de violent coup de reins. La jeune fille prend un réel plaisir à voir vibrer le corps de la maman de Kevin entre ses doigts. Marlène n’en fini pas de jouir, les orgasmes défilent à une cadence infernale.
Les pipes aussi, une pour Rachid, une pour Kevin. Marlène fait le plein de sperme. Vers quatre heures du matin, les deux potes se retirent, laissant Leila avec Marlène. Ils l’entendent hurler de plaisir quand la jeune maghrébine lui branle la chatte, ou lui doigte le clitoris.
Puis Rachid sonne la fin du jeu. Il quitte la villa accompagné de Leila.
Le lendemain mati, Marlène et Kevin prennent le petit déjeuner sur la terrasse. Kevin remarque les cernes sous les yeux de sa maman chérie.
- Ça va pas man...tu as l’air fatiguée…
- Un peu...et toi mon fils, ton anniversaire s’est bien passé. Tu as dû t’amuser avec toutes ses filles. T’as dû avoir plein de cadeau aussi.
- Oh maman...si tu savais celui que Rachid m’a offert...un truc de fou.
- Tant que ça, vas-y, dis moi...tu as l’air encore tout excité…
- Ce vicieux, il avait branché une meuf dans la soirée...une vraie salope. Il lui a donné rendez-vous au salon, et m’a proposé d’aller avec lui...oh putain, qu’elle était bonne. On la prise par tout les trous, on s’est fait tailler des pipes, la totale. Ce qui m’étonne, c’est que tu ne l’es pas entendu hurler quand elle jouissait. Tu devais sacrément être fatiguée pour dormir comme ça.
Marlène reste figée, se prend le visage dans les mains.
« Oh mon dieu, ce n’est pas vrai, on ne m’a pas fait ça. Je ne me suis pas faite baiser et sodomiser par mon fils...je ne l’ai pas sucé et avalé son sperme. Mai comment je ne me suis pas aperçu que pendant que je tailler une pipe à un, je me faisais par l’autre. Dites moi que c’est un cauchemar ».
Kevin décèle des larmes sur les joues de sa maman.
- Ça ne va pas maman, que t’arrive-t-il, j’ai dit quelque chose de mal ?
- Non mon chéri, ça va aller, je vais monter me coucher...tu viens avec moi ?...
Je me connecte ou je m'inscris