Les 3 inconnus 1

Récit érotique écrit le 05-09-2024
Récit érotique lu 114 fois
Catégorie Couple

Les 3 seniors inconnus – De nouvelles expériences. Récits vécus.                                                                

 Présentation

Nadia, ancien professeur de mathématiques en lycée, 73 ans ; et moi, Julien C., 71 ans, ingénieur, ancien cadre supérieur dans l’industrie électrique, habitons une coquette maison, avenue de Condé, à la proche périphérie de Chantilly.                                                                    

Après avoir fait des rencontres temporaires avec des couples, nous avions eu, pendant 15 ans, des relations érotiques suivies avec un couple marié de notre âge, à l’époque la fin de la cinquantaine -Anne et Claude M.- infirmière et ingénieur ; demeurant à Lamorlaye.

L’harmonie socio- culturelle aidant - niveau moyenne bourgeoisie -, une profonde amitié se créa, marquée par de nombreuses soirées « coquines » et plusieurs voyages, en France et à l’étranger. Nos relations « intimes » se résumaient à des échanges croisés, sans tiers ; accompagnés de mises en scènes de plus en plus imaginatives, dûment photographiées.

Les épouses étaient très participatives et y trouvaient beaucoup de plaisir. De l’échangisme bcbg !

Nos relations se sont distendues après qu’ils se sont éloignés de la région parisienne pour se rapprocher de leurs enfants.

La sexualité des seniors

Notre âge entraine une érosion de nos capacités sexuelles, physiquement et psychologiquement.

La femme mûre accepte mal le vieillissement qui affecte son apparence.

Elle éprouve le sentiment, souvent infondé, de moins plaire.

De plus, la femme ménopausée est sujette à de la sécheresse vaginale, assez désagréable. Il existe des traitements appropriés.

Par ailleurs, les gynécologues conseillent d’allonger les préliminaires lors des rapports sexuels.

Ils favorisent la lubrification naturelle. Le compagnon peut facilement en contrôler l’efficacité

à domicile. J’y fais très attention dans mes scenarios.

Son compagnon peut l’aider à résister à cette préoccupation en portant une grande attention

à son apparence physique, à sa tenue, dessus et dessous, et en l’assistant dans leur maintien.

Par contre, libérée de ses obligations familiales et professionnelles, elle a plus confiance en elle-même car elle connait mieux son corps et ses besoins ; et les acceptent volontiers.

Elle a appris à bien connaître les hommes ; leurs besoins exprimés et leurs désirs secrets.

La réussite d’expériences vécues, même modestes, peut la rassurer jusqu’à ce qu’elle les accepte.

D’abord plus résignée que réservée, puis plus consentante que tolérante, enfin plus obéissante que soumise, les expériences réussies la convainquent définitivement.

Le rôle du partenaire est là aussi déterminant.

La femme devient moins vaginale mais reste clitoridienne, organe qui connait rarement les défaillances. C’est, à la fois, son point fort et son point faible !

Elle est donc sereine et parvient plus facilement à l’orgasme, dont la composante psychologique

est indéniable. Toutefois, pendant l’acte, l’arrivée à l’état d’excitation, visible à la dilatation de la vulve et à l’érection du clitoris, est moins spectaculaire et plus longue, de l’ordre d’une demi- heure, ou plus.

La progression du plaisir chez la femme mûre se fait en deux phases.

Durant la première, elle évolue de l’appréhension, puis de la passivité vers le plaisir tiède.

Alors arrive la « bascule » qui la conduit, dans la seconde phase, à l’abandon, libéré..ou délibéré,

à la jouissance, qui, si le partenaire est habile, s’intensifie rapidement pour la conduire à l’orgasme.

Arrivée là, elle ne se contrôle plus du tout, s’ouvre et s’offre complétement.

Le savoir-faire du partenaire joue un rôle plus important. Il est déterminant.

L’érection de son partenaire d’occasion est fortement stimulante. C’est le signe manifeste de son attrait sexuel et ce n’est pas rien. Souvent la fellation spontanée en est le remerciement.

Chez l’homme, le désir faiblit et les défaillances sont plus fréquentes.

Il y fait face en devenant plus imaginatif, plus voyeur et a plus souvent recours au cunnilingus,

à la position tête-bêche, l’indétrônable 69, ou à une contribution instrumentale.

Après tout, le seul organe sans problème est le clitoris ! Outre son efficacité, évidente, il constitue une solution de secours.

C’est ainsi que je peux offrir à Nadia deux orgasmes successifs :

le premier clitoridien avec ma langue, instrument idéal, et le suivant vaginal ou/et clitoridien,

avec un vibrateur. D’emblée réticence, elle s’y est habituée, et en profite de plus en plus.

Cette analyse personnelle du comportement des seniors n’est pas le seul fruit de mes supputations elle résulte de mes lectures, de mes conversations, et surtout, de mes expériences avec Nadia

et nos amies.

Les devises à l’intention des seniors :

-         Le clitoris est le grand gagnant ; champion de la jouissance et jamais en panne.

-         Il faut prendre son temps, pour les préambules, puis la montée au plaisir.

-         La mise en scène est très importante.

En quête de nouvelles expériences

Le besoin de trouver des solutions de remplacement se fit de plus en plus pressante pour moi.     Mon imagination reprenait son vagabondage érotique. Elle recherchait de nouvelles voies, peu explorées jusqu’alors. Nadia, sans vraiment l’encourager, ne s’y opposa pas.

Je me mis activement en recherche et lui proposait, pour changer de registre et pour commencer des contacts avec des hommes seuls «inconnus ». Inconnus seulement d’elle car je devrai les avoir sélectionnés préalablement. De prime abord, elle se montra réticente, puis y consentit « pour me faire plaisir », excellent argument pour cacher ses désirs inconscients. La réticence féminine affichée est érotisante.

Les premiers contacts

Après avoir fait discrètement connaissance avec plusieurs hommes en tête à tête pour m’assurer

de leur profil socio- culturel, de leur sérieux, de leur imagination et de leur détermination, j’en vins

à les sélectionner, puis à leur proposer un scenario précis qu’ils corrigeaient, complétaient et approuvaient.

L’exercice semblaient leur convenir et, même, leur plaire.

J’étais le plus imaginatif.  

Il fallait qu’une forte complicité s’établisse entre nous.    

Arrivés là, je leur montrais des photos de Nadia, y compris érotiques, présentais sa personnalité, et racontais nos expériences.

Le thème central était de la leur offrir ; en restant toutefois dans les limites convenues excluant la vulgarité. Par sécurité et pour ne pas la contraindre, je m’imposais de faire connaissance avec les acteurs de nos rencontres. Aucun anonymat ! Nadia n’était pas au courant des scenarios ; sauf de la tenue prescrite, des exigences de soumission à l’inconnu, mais aussi d’absence totale de vulgarité et de comportement pornographique. Les deux premiers prévoyaient de l’offrir les yeux bandés.                                                   Dans le premier, en forêt, le partenaire choisi, Bernard, demeurait anonyme et muet.                                      Dans le deuxième, à la maison, Pierre, anonyme mais pas muet.                                                                       

Dans le troisième, Jacques, au restaurant, ces contraintes étaient abolies, par la suite.

Le sérieux de l’organisation apaisa les dernières réserves de Nadia.

Les rencontres décrites ont eu lieu au deuxième semestre 2022.


Le premier inconnu : quelque part en forêt à la fin de l’été

Le scenario convenu :  Rendez- vous avec l’homme choisi sur un discret parking de la foret de Chantilly, près des étangs de Commelles, route forestière des Tombes, vers 21.30 h.

Il s’appelle Bernard, 60 ans, de taille moyenne et assez mince. Il habite Lamorlaye, rue Louis Barthou. De profession, avocat, en retraite mais encore actif. Veuf depuis peu de temps.

Comme convenu, Nadia est élégante et aguichante avec son corsage noir semi- transparent décolleté, sans soutien-gorge, ses bas et son porte- jarretelles noirs, sa culotte blanche pour faire contraste et quelques bijoux. Déjà en condition, elle s’est soigneusement maquillée. Je lui bande les yeux juste avant notre départ.                                                   

« Je crois que tu vas lui plaire, surtout si tu es très obéissante. Rassure-toi, je lui ai interdit toute vulgarité ou hardiesse exagérée. Si ce n’est pas le cas, tu me le dis. »

Ce n’est pas un « dogging », rencontre semi- publique de voyeurs et d’exhibitionnistes qui, en général, ne se connaissent pas. C’est trop vulgaire et trop risqué. »

« Le lieu choisi doit être très tranquille ; sinon, nous partirons. Je crois que le seul risque, très peu probable, est le passage d’une patrouille de police.

Pour prévenir ce cas, garde ta minijupe pour pouvoir l’abaisser rapidement. »

Arrivés au lieu- dit, Bernard est déjà arrivé comme l’indique une limousine noire Toyota tous feux éteints. Sa plaque d’immatriculation confirme que c’est lui. Je m’approche,

me gare à sa gauche et allume l’éclairage interne. Il sort de la sienne et vient nous saluer d’un signe, sans un mot. Son regard fixe Nadia.

Nous entamons alors notre conversation par signes. « Notre homme est là, debout, légèrement penché devant ta vitre. Il te fixe avec insistance.Il voudrait que tu ouvres un peu plus ton corsage pour bien voir tes seins. Vas-y ma chérie. Offre-toi.»                                                                       

Nadia s’exécute sans broncher.

 « Il veut que tu baisses ta vitre, inclines ton dossier, remontes ta jupe et écartes les cuisses. »                     Elle s’exécute sans broncher. Comme elle est assez musclée et assez mince, il n’est pas utile qu’elle écarte beaucoup les cuisses pour qu’on voit bien le fond de sa culotte, ou carrément sa vulve quand elle l’ôte. Il en profite avec une attention révélatrice.

 Sur mon signal, il ouvre sa portière toute grande pour libérer complétement son accès à elle.     

Elle le salue d’un « bonsoir Bernard ! ». Il ne répond pas. Il se penche pour l’embrasser puis pour accéder à son téton gauche, le plus sensible.

Après un léger frémissement, elle se laisse faire. Lui tenant le cou de sa main gauche, il laisse aller doucement sa main droite sur son ventre qu’il caresse, puis l’introduit à l’intérieur de sa culotte en descendant vers l’intérieur des cuisses qu’elle ouvre inconsciemment. En remontant, sa main atteint le fond de la culotte qu’il caresse doucement puis masse de plus en plus vigoureusement. Il me fait signe de lui demander de baisser sa culotte.

« Chérie, il veut maintenant caresser ta vulve. Nous en avons parlé ensemble et il suivra mes recommandations. Baisse ta culotte et laisse-toi faire. Es-tu déjà humide ?

Si tu n’en es pas sûr, ou ne veut pas me répondre, il me le fera comprendre, tu ne pourras pas me le cacher.»


La progression du plaisir chez la femme mûre se fait en deux phases.

Durant la première, elle évolue de l’appréhension, puis de la passivité vers le plaisir tiède.

Alors arrive la « bascule » qui la conduit, dans la seconde phase, à l’abandon, libéré..ou délibéré, à la jouissance, qui, si le partenaire est habile,

s’intensifie rapidement pour la conduire à l’orgasme.

Arrivée là, elle ne se contrôle plus du tout, s’ouvre et s’offre complétement.

« Phase 2 » est notre code intime pour définir l’état où elle se trouve.

Dans notre situation, je lui demandais :

« Déjà en phase 2, ma chérie ? Tu commences à mouiller ?»

« Oui, ça y est, mon chéri, C’est bon ! ».

Sa chatte était bien fournie. Comme moi, Bernard la préférait ainsi pour qu’elle encadre mieux le vestibule, tel un marécage au sein de la forêt vierge.                             Elle obéit sans attendre, avec son assistance, en portant une main sur le haut de son pantalon pour ouvrir sa braguette. Il conclut l’opération en libérant sa verge déjà bien raide et en l’aidant à la saisir d’une main. Elle la masturba doucement puis lui demanda de la mettre dans sa bouche : « Bernard, puis-je me permettre de vous sucer ? »  Apparemment interloqué par cette politesse hors des circonstances, il s’exécuta sans hésitation.Désormais, il se concentre sur sa partie la plus sensible, mais aussi la plus vulnérable, selon mes conseils : l’ouverture de la vulve, plus profond l’hypothétique point G, le bas du vestibule en haut de l’anus et, bien sûr le clitoris. D’un signe appuyé répété, il me fit comprendre qu'elle était déjà bien mouillée. Il accéléra son massage jusqu’à ce quelle gémisse, et de plus en plus fort. Alors, il s’arrêta, s’accroupit et pencha sa tête entre tes cuisse pour lécher sa vulve béante, de bas en haut, et ensuite, le clitoris avec ardeur. « Arrêtez Bernard, je vais exploser. » Imperturbable, il continua jusqu’à ce que Nadia se libère dans un orgasme impétueux. Il saisit alors son pénis en érection et se masturba jusqu’à éjaculer sur son ventre en poussant des petits cris de jouissance. Elle se servit de sa culotte pour l’éponger. Il s’en empara pour conserver le souvenir de son odeur intime, et ne pas l’oublier.

Comme il devait rester muet, nous nous quittâmes rapidement.

Alors, j’enlaçais Nadia amoureusement pour la remercier, et aussi parce qu’après l’orgasme,

pour retrouver sa sérénité et savourer son plaisir, la femme a besoin d’une douces de caresses

pour accompagner sa détente.                                                                                                        

« Tu te rends compte de ce que tu me fais faire à mon âge, et moi qui n’ose pas résister. »                                               « Et ce n’est pas fini, ma chérie. Tu alimentes mes phantasmes le plus fous.…. »

« Et toi, Julien, ça t’a plu de me voir livrée à un inconnu ? » 

« Tu as bien participé. Tu étais sublime. Dans ce lieu sauvage, et dans cette position inconfortable, tu es parvenue à l’orgasme plus facilement que je pensais.

J’en ai éjaculé dans mon slip. Qu’as-tu pensé de ton partenaire ?»

« Assez doué. Paradoxalement, je crois que le contexte original et incertain, m’y a aidé.

Et puis, comment critiquer un homme qui m’a fait jouir sans brutalité ?

C’est mon point faible… et je ne suis pas la seule ! «

« Je vais faire en sorte que tu le restes. Sais-tu que ce soir nous avons réalisé une performance. » « Laquelle ? » « Demander à un avocat de rester muet et constater qu’il a été obéissant ! »


Rentrés à la maison, nous nous préparâmes pour la nuit.

Nadia oublia de remettre une culotte.

« Merci pour cette folle soirée, mon chéri. Je suis ta femelle et t’adore. »

« Mais tu es encore toute trempée, petite cochonne ! «

« C’est toi qui l’as voulu. »

Le deuxième inconnu : à la maison au début de l’automne

 

Dans ce deuxième scenario, nous recevons un homme à la maison pour s’occuper de Nadia et parfaire sa nouvelle éducation. Cette fois-ci encore, elle aura un bandeau sur les yeux, et sera donc aveugle.

Moins original, ce cadre sera plus confortable que le précédent et plus « pédagogique ».

Il nous apportera plus de liberté dans notre comportement et dans nos gestes.


Il s’appelle Pierre, professeur de lycée, 59 ans, lui aussi veuf. De taille moyenne et assez mince.

Il habite un appartement à L’Isle- Adam, avenue de Paris.

Par contre, notre visiteur peut parler : à Nadia pour la complimenter, lui exprimer ses souhaits, l’interroger sur les siens, sur ses expériences….

A moi pour que nous échangions librement sur nos expériences, sur elle et sur ce qu’elle doit faire, en la laissant nous écouter jusqu’aux propos le plus osés.

Comme avec le précédent, Nadia peut s’exprimer quand elle le souhaite.

Il m’a laissé le choix de la tenue, élégante bien sûr, y compris de la chatte velue.

« S’il te plait Julien, qu’elle ne se parfume pas. Je préfère l’odeur naturelle. 

Je souhaite ardemment, avec ton aide, que Nadia jouisse deux fois. Ce sera notre objectif.

Elle doit être animale pour faire contraste avec sa tenue. Nous aussi. » 


Il est vendredi soir.

Plus qu’à Chantilly, elle porte une tenue de soirée, ou plutôt de petite soirée, avec des bijoux :

une robe semi- transparente sur ses dessous. Toujours pas de soutien-gorge.

La petite poitrine de Nadia le rend inutile. Ses seins sont très sensibles, surtout le téton gauche.

Pierre est prévenu.

La culotte est rouge, telle le centre d’une cible clairement désignée.

Le pendentif d’un collier dont la chaîne ceint la taille descend jusqu’au bas du ventre.

Elle restera en place après qu’on est enlevée sa culotte. Un collier de perles ras-du-cou.

Même dans un contexte plus sérieux, l’élégance est érotique car elle semble montrer

qu’ainsi elle souhaite attirer les regards et être désirée par certains d’entre eux.                                                                        

« Plus tranquille ici, chez nous, chez toi, tu vas pouvoir te libérer. Essaye de nous exciter,

par tes propos et tes initiatives. Naturellement, Pierre, lui-aussi, aura toute liberté,

en deçà des lignes rouges convenues. »

Je lui pose son bandeau.


Il est 21 h, on sonne à la porte, je vais l’ouvrir ; c’est lui. Politesses d’usage.

« Bonsoir Nadia. Bonsoir Julien. » « Bonsoir Pierre. »

Il s’approche de Nadia, l’enlace, lui caresse le dos en descendant jusqu’aux fesses tout en l’embrassant goulûment. Etonnée, comme moi, par sa hardiesse, puis l’acceptant volontiers,

elle se laisse faire. Timidité, convenance ou début de soumission ?

Il continue sur le ventre et l’entrecuisses, puis se tourne vers moi.

Pierre : « Nadia, tu es ravissante et aguichante. Si c’est le cadeau que m’offre Julien,

je crois que je vais être gâté ! »

Julien : « Commençons par faire mieux connaissance devant une coupe de Champagne.

Asseyez-vous tous les deux. »

Nous nous présentâmes longuement puis en arrivèrent à nos expériences sexuelles,

et à nos phantasmes. Nadia prit peu la parole, mais semblait très intéressée.

« Nadia, Julien t’a-t-il offert à deux hommes ? A deux femmes ? A un noir très bien membré ? »

« Non. Bernard ne me l’a jamais proposé, et je crois que je l’aurais refusé. »

« Et maintenant ? »

« Peut-être, avec l’accord de Bernard et à condition que ce soit dans une ambiance amicale,

  et dans un grand respect réciproque. »

« Parmi les exemples que je t’ai cités, lequel accepterais tu en premier ? »

« Me livrer à deux femmes car ce serait nouveau pour moi et ça plairait beaucoup à Julien. »

« T’offrir entièrement à elle ou être aussi active ? »

« Je ne sais pas encore, mais je compte sur Julien pour m’y préparer et me guider. »

En dégustant les amuse-gueules accompagnant le champagne, elle avait, inconsciemment ou pas,

écarté les cuisses, laissant entrevoir la cible rouge qu’elles avaient cachée.

Je me rapprochai d’elle pour les ouvrir plus largement.

« Tu vois Pierre, l’écran qui cache son intimité. Il va falloir lui enlever. N’est-ce pas ? »

exhiber ta toison et la fente qu’il enferme.

« Regarde- la bien, Pierre. Elle te plait ? « «Tout à fait. C’est mon apéritif préféré.»

« Avec nos amis d’autrefois, il m’est arrivé de la raser ; surtout pour laisser sa toison en souvenir. Moi-même, j‘ai un souvenir d’Anne, que je pourrai te montrer. 

Malheureusement, elle a perdu son parfum.»

Pierre s’agenouilla devant elle pour mieux observer son entre- cuisses, puis le masser à travers le tissus. Elle frémit légèrement. Il fit glisser la culotte jusqu’aux genoux. Maintenant largement dégagée : « Superbe ! A regarder, à lécher, à enfiler. Nadia, peux-tu me servir mon apéritif ? »

« Si tu insistes, Pierre. Donc, à ta santé. Mais par petites gorgées.»

« Nadia. Avance-toi un peu, ouvre bien les cuisses et laisse-moi te déguster. »

« Quel apéritif. Une liqueur épaisse alliant douceur et acidité. Je continue.»

En vibrant de plus en plus rapidement, le bout de sa langue de Pierre s’attarda sur le bas du vagin puis sur le clitoris, en parfait synchronisme avec les frémissements de Nadia.

Il descendit jusqu’à l’anus puis s’arrêta souhaitant remettre à plus tard son premier orgasme jusqu’à souhaiter qu’elle le réclame.

« Nadia. Puis-je goûter ton apéritif habituel qui semble tant plaire à Pierre ? Je le connais bien mais ne m’en lasse pas. Peut-être que préparé par Pierre, il aura un goût différent. »

« C’est presque vrai. »

« Venez. Il reste du champagne et la soirée n’est guère avancée. »

Nadia prit place entre nous deux sur le canapé. Après une gorgée de champagne,

nous nous partageâmes les baisers et caresses : bouche, tétons, ventre, cuisses, vulve.

 

Célébration de la vulve

La vulve est le temple du plaisir abritant le sanctuaire de la jouissance.

Au sein de ce sanctuaire, la jouissance a plusieurs sources : le vagin et, sur sa face antérieure, l’anecdotique Point G ; l’intervalle entre le vagin et le périnée, assez méconnu, et, bien entendu le clitoris.

Les premiers sont accessibles par le toucher manuel ou la pénétration, physique ou instrumentale.

Les autres par la langue ou par un instrument.

Les vibrateurs ne doivent être utilisés qu’en cas de nécessité : panne du partenaire, sécheresse vaginale ou recherche d’un second orgasme.

Le partenaire doit faire en sorte que la progression vers la jouissance soit lente, en allant du moins sensible, le vagin, au plus réactif, le clitoris. Un orgasme trop rapide est frustrant.

Le meilleur instrument est la langue, surtout chez la femme mûre. Outre son efficacité, elle permet au partenaire de sentir en direct les frémissements puis les convulsions de la femme.

Ce sanctuaire doit être protégé, entretenu, et bien préparé avant l’acte.

Elle doit y penser souvent pour savourer en pensée le plaisir qu’il lui donne.

« Nadia a reçu depuis longtemps l’éducation. En est-il de même pour son partenaire ? »

« Je compte sur vous. »

Vous savez sans doute déjà que le gland du clitoris grossit, mais ce n’est pas le seul changement. Lorsque l’excitation monte, la vulve toute entière gonfle, se colore, se couvre de lubrification et puis s’ouvre, découvrant son vestibule, la zone située entre les lèvres internes et autour de l’ouverture vaginale. Un beau spectacle !


Après la théorie, les travaux pratiques

Lorsque Nadia recommença à frémir, nous enlevèrent nos pantalons et dégagèrent nos verges.

Elle en prit une dans chaque main : Pierre à droite et moi à gauche.

« Visiblement, vous êtes en forme les mecs. Est-ce à cause de moi ? »

« Devine. Tu as l’air de nous attendre. Nous rêvons à la suite ! Qu’en penses-tu ?»

« Peut-être ! »

« Que veux-tu maintenant ? »

« Que Pierre, en instructeur compétent termine son travail ! »

« Venez dans la chambre, vous y serez mieux. »

Nous nous levâmes tous les trois. Elle était déjà éclairée.

« Nadia, fais bien attention à garder ton bandeau. »

Nadia et Pierre se déshabillèrent puis s’approchèrent du lit.

 « Nadia. Dessus ou dessous ? » « Dessous ! ». Elle s’allongea sur le lit.

Pierre la rejoignit en s’allongeant tête-bêche au-dessus d’elle, en lui ouvrant largement les cuisses.

Nadia cala bien sa tête pour engloutir sa verge bien érigée.

Le travail commencé se poursuivit ardemment. Les gémissements de Nadia s’intensifièrent.

Au bout de quelques minutes, Pierre se leva et se retourna pour pénétrer Nadia.

« Maintenant, tu vas me dire comment tu veux jouir. Par ton vagin ou par ton bouton ? »

« Commence par pénétrer mon vagin, jusqu’à ce que tu éjacules. Si je n’ai pas joui, tu continueras avec ta langue. Je suis ta femelle. »

La seconde hypothèse fût la bonne :

« Maintenant tu peux goûter ta liqueur sur ma verge. Elle est encore épaisse et chaude. »

Pierre introduisit plusieurs doigts dans son vagin inondé et frotta son bouton à coups de langue de plus en plus rapides. L’orgasme ne se fit guère attendre. Il fût explosif de contractions et de cris.

Ils s’allongèrent côte à côte pour s’apaiser et savourer leur détente, tout en se prodiguant de caresses devenues très douces.

Je les laissai se détendre avant le second épisode que j’allai préparer.

C’était celui du deuxième orgasme de Nadia. L’objectif de la soirée.

J’allai prendre les vibrateurs et les lubrifiais. Un petit pour l’anus, un spécial pour le clitoris et un gros pour le vagin. Tous les trois télécommandés.

Julien :« Venez prendre une dernière goutte de champagne pour achever votre détente. »

Pierre : « Nadia, pour ton âge, c’est une véritable performance ! »

« Quelle mention lui donnes- tu ? » « Les félicitations du jury. »

Nus tous les deux, Nadia lui fit visiter la maison. Je ne sais pas trop comment ils occupèrent cet intermède. A leur retour, je leur pose la question.

« Je n’avais pas terminé mon apéritif. Il fallait conclure. Il avait un goût plus corsé. »

« Etes- vous sûr qu’il est vraiment terminé ? Pour le confirmer revenez dans la chambre. »

Même position tête-bêche qu’auparavant.

Je donne à Nadia le petit vibrateur anal et à Pierre le vibrateur pour le clitoris et le gode pour le vagin. Ils ne font pas appel à mon aide.

Tandis que Pierre commence à se masturber par soubresauts dans la bouche de Nadia,

celle-ci joue avec celui du clitoris, en soulevant son dos à répétition comme prélude à l’orgasme.

Ce fût plus long que pour le précédent mais le résultat fût, lui aussi plus long mais encore plus violent.

Nadia en parût épuisée mais heureuse. Elle m’embrassa chaleureusement.

« Merci de t’occuper si bien de moi. J’avais très rarement joui aussi fort.

  En fait, c’est toi qui m’as fait jouir car tu me possèdes complètement. »

 Pierre « Nadia, essuie-toi bien avec ta culotte et donnes-là moi. 

              J’espère pouvoir en faire une collection. Puis-je la montrer à l’une de mes amies.

              Une ancienne maîtresse ?»

« Pourquoi pas, à condition de nous rapporter ses observations. »

Pierre à Julien, discrètement : « Objectif atteint ! Mon éducation progresse. »

Effusions de départ en se promettant de nous revoir.

« On aura du mal à faire mieux. N’est-ce pas Nadia ? » « Je te fais confiance , mon mec ! »

« Puis-je emporter ton tee-shirt pour retrouver ton odeur corporelle qui ne m’a pas laissée indifférente ! »

« En échange de ta culotte, bien sûr ; pour la même raison mais pas pour la même partie ! »




 

A suivre pour la rencontre suivante.


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