Claire a eu une aventure avec propriétaire de la fête lors de la nuit de la Saint Sylvestre.

Clair, une femme de vingt huit ans, sur le point de se marier avec l'homme de ses rêves, décide de profiter d'une dernière nuit de liberté avec ses amies lors de fête de Nouvel An. Ce qui commence comme une célébration innocente se transforme rapidement en une nuit d'excès et de comportements débridés, la conduisant à s'impliquer avec le propriétaire de la fête, un jeune homme riche et très séduisant. Le matin suivant, après une gueule de bois immense et une chambre en désordre, elle découvre que sa vie a pris un tournant irréversible.

Claire a toujours eu une vie simple. Elle a grandi dans la banlieue de Paris, habituée à travailler, dur comme femme de ménage. Lorsqu'elle a rencontrer Hugo, il

semblait que la chance lui souriait enfin. Il était tout ce qu'elle avait toujours voulu, un homme dévoué, travailleur et avec ses propres rêves.

Hugo était propriétaire d'un petit magasin d'antiquité au cœur de Paris, connu pour son accueil chaleureux et le goût raffiné de son propriétaire. C'était le genre d'homme qui tenait à montrer qu'il l'aimait, en prenant soin de chaque détail, des petits cadeaux inattendus, aux soirées planifié avec soin.

Ils étaient ensemble depuis trois ans, et le mariage semblait être le prochain pas naturel .Claire a vingt huit ans, rayonnait des robes, des fleurs, et de la musique. Tout était aligné pour le grand jour qui allait arriver dans quelques semaines. Elle s'imaginait déjà marchant vers l'hôtel, les yeux fixés sur Hugo, tandis qu'il sourirait comme toujours avec ce éclat dans les yeux qui la faisait se sentir la femme la plus spéciale du monde.

Mais comme cela arrive souvent dans les grands moments, les doutes et les nerfs commencèrent à surgir. Ce n'était pas à propos de Hugo ou du mariage lui-même, mais d'une inquiétude qu'elle avait du mal à expliquer. Ses amis remarquant cela,

insister pour qu'elle prenne une soirée pour elle avant le grand jour.

- C'est ta dernière chance de liberté avant d'être une femme mariée plaisanta un amie, riant et planifiant déjà une sortie pour la fête de la Saint Sylvestre.

Claire hésita. Elle n'avait jamais été du genre à se laisser emporter, elle aimait la stabilité, la routine. Mais quelque chose dans la manière dont ses amies en parlaient, leur rire contagieux, la promesse d'une soirée légère, sans souci, parvint à la convaincre.

« Juste une nuit pensa-t-elle, un adieu symbolique à sa vie d'avant une chance de se détendre avant de plonger dans cette nouvelle aventure. » L'invitation arriva sous forme d'euphorie collective. une soirée chic au cœur de Paris, dans un manoir luxueux qui semblait tout droit sorti d'un rêve.

Claire ne le savait pas encore, mais cette décision apparemment innocente de rejoindre ses amis ce soir-là, serait le premier pas vers le plus grand retournement de sa vie. La nuit de la Saint Sylvestre avait une énergie unique à Paris. Les rues étaient illuminées par des milliers de, le son des pas pressés résonnait sur les trottoirs, et l'air froid était coupé par des rires et des conversations animées.

Claire, au milieu de ce décor vibrant, était emporté par l'excitation de ses amies. Elles parlaient sans arrêt de la fête, de Julien, un jeune héritier connu pour ses célébrations extravagantes dans une villa à la périphérie de la ville.

Alors qu'elles décrivaient l'événement comme l'endroit où il fallait être, Claire hésitait. Elle n'avait jamais été fan des foules ou des fêtes luxueuses. Son monde était plus simple, plus terre à terre, et elle s'était toujours sentie hors de sa place dans des environnement sophistiqué. Mais ce soir-là, quelque chose semblait différent. Ses amis insistaient, riant et lui tenant la main comme si elle savait que c'était le coup de pouce dont elle avait besoin pour se déconnecter, ne serait-ce que pour quelques heures.

Lorsque elles arrivèrent à la Villa, Claire resta bouche bée. C'était un véritable palais moderne, avec d'immenses fenêtres en verre qui offraient une décoration

époustouflante. Des lumières dorées clignotaient au rythme de la musique forte qui s'échappait de l'intérieur. Le jardin était rempli d'invités élégants, tenant des coupes de champagne et discutant en petit groupe. Un mélange de parfums cher flottait dans l'air et on avait l'impression que tout le monde était là pour oublier les soucis du monde pendant une nuit.

Julien ne tarda pas à apparaître. Il était jeune, charmant, avec une confiance naturelle qui captivait tous ceux qui se trouvaient autour de lui. Ses yeux semblait capter chaque détail, et lorsqu'il s'approcha de Claire pour la saluer, il y avait quelque chose dans son sourire qui la déstabilisa.

- J'espère que vous profiterez de la soirée ici, le seul engagement est de s'amuser, dit-il en lui tendant une flûte de champagne.

La musique monta en intensité et Claire fut entraînée par ses amies au centre de la salle. Elle hésita, mais le rythme contagieux la prit rapidement. Elle se laissa aller à danser, rire, oublier, tandis que Julien l'observait de loin. Un regard qu'elle

fit semblant de ne pas remarquer. Pendant des heures la maison semblait être un

univers parallèle, où les problèmes et les responsabilités n'existaient plus.

Claire ressentait quelque chose de nouveau battre en elle, c'était comme si cette nuit, le monde avait cessé d'être aussi prévisible.

Le soleil entrait par les interstices des lourds rideaux de la chambre inconnue, éclairant le visage de Claire. La chaleur de la lumière faisait battre sa tête encore plus fort. Elle ouvrit lentement les yeux.

Elle ressentait le goût amer de la gueule de bois, et une confusion accablante dans son esprit. Où était-elle ? La chambre était immense, avec des meubles luxueux. Le souvenir de la veille venait par bribes, déconnectés des rires, de la musique, le visage de Julien près du sien, mais il n’était pas seul.

Claire se leva avec difficulté, essayant de trouver quelque chose de familier, mais la chambre semblait un labyrinthe d'opulence qui la faisait se sentir encore plus perdue. Son téléphone était hors batterie, et sa tête pesait comme une pierre. Alors qu'elle tentait de se remettre, un malaise commença à grandir dans sa poitrine, quelque chose qui n'allait pas.

Julien la tira par la main, la forçant à s-allonger entre eux.

- Regarde lui dit-il.

Il lança la vidéo de la soirée. On y voyait Claire danser, boire et rire, mais aussi se laissait aller à des plaisir qu’elle ne s’imaginait pas. Comme faire des fellations entre deux portes, se faire prendre droite contre mur. Ses yeux ne pouvaient se détacher de l’écran. « Ce n’est pas moi » se disait-elle. Les images qui suivirent étaient accablantes. On voyait Claire se faire prendre en double, tout en taillant une pipe à un troisième larron.

Claire voulait partir, quittait cette chambre, ne plus voir ces images. Mais Julien l’arrêta, et elle se fit prendre encore une fois par les deux hommes. Le pire, c’est qu’elle y prenait du plaisir, se soumettait aux caprices de ses partenaires.

Enfin libérée, elle se dirigea vers la salle de bains. Après une douche libératrice qui lui rendu sa lucidité, Claire revint dans la chambre, ou Julien et son pote commençaient à s’assoupir.

- Julien, s’il te plaît, donnes-moi cette vidéo...je t’en supplie.

Les deux hommes ses découvrirent, arborant leur magnifique queues en érection.

- Tu prends pas un petit déjeuner avant de partir, ricana Julien.

Si elle voulait récupérer la clé USB. Claire n’avez pas le choix. Elle se pencha sur le lit, prit les deux bite en bouche, entama une rapide fellation sur chacune d’elles, qui ne tardait pas à porter ses fruits.

- Elle a tout avalé, sourit Julien, tu vois que tu avais une petit faim.

- La clé, dit-elle, donne là loi.

- Je la garde, Mais t’inquiète, ton copain n’en saura jamais rien.

De retour chez elle, quelques heures plus tard, la sensation de culpabilité traversa son esprit. En ouvrant la porte, elle trouve Hugo assit sur la canapé, le regard fixé sur la télévision. Lorsqu’il la confronte avec la vidéo compromettante, Claire s’effondre, en larmes. Les images qui défilaient ne souffraient d’aucune ambiguïté.

Hugo se leva, et sans un mot, quitta l’appartement.

Claire s'assit sur le canapé, tenant sa tête entre ses mains. Que se passait-il ? Qui lui avait envoyé cette vidéo. Quelqu'un lui en voulait-il ? Alors qu'elle tentait d'organiser ses pensées, son téléphone vibra.

Lorsque le message arriva, ce fut comme un coup inattendu, c'était Hugo. Claire

n'en crut presque pas ses yeux lorsqu'elle vit son nom sur l'écran du téléphone. Elle hésita longuement avant d'ouvrir le message. il était bref sans, détour.

« Claire, il faut que je te parle. »

C'était le genre de message qui transformait toutes ses peurs en espoir. Peu être y avait-il une chance de rédemption, de réconciliation. Elle répondit rapidement, acceptant de le rencontrer. Le lieu choisi fut un café tranquille loin de l'agitation. Claire arriva en avance, le cœur battant fort, l'esprit rempli de questions sur ce que Hugo pourrait lui dire. Chaque pas vers le lieu semblait l'emmener plus profondément dans l'abîme de l’attente.

Quand elle le vit debout près de la fenêtre, son regard était différent, il n'y avait plus cette lueur d'amour qu'elle cherchait tant dans ses yeux. Hugo la regarda un instant et sans sourire lui demanda de s'asseoir. Le silence entre eux était lourd, mais il commença alors à parler d'une manière calme, presque douloureuse.

- Je sais ce que tu attends Claire, tu penses que tu vas réussir à me convaincre, que tu es désolé, que tout ça n’était qu’une erreur. J'ai aussi fait des erreurs, c’est pourquoi j’ai décidé de nous laisser une seconde chance, si tu y tiens toujours.

Pour toutes réponse, Claire se leva et se jeta dans ses bras.

Et petit à petit, ils reconstruisirent leur vie avec pardon et honnêteté.