L'échafaudage

Récit érotique écrit par Adam35 le 13-02-2025
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Catégorie Zoophilie

Bonjour je me présente de m’appelle Adam au moment de cet événement j’avais environ 35 ans. Je mesure 1,83 pour 73 kg. Plutôt bien foutu, cheveux châtain clair, yeux verts. A l’époque j’étais en plein divorce avec ma femme et je me posais des questions sur mon orientation sexuelle sans avoir expérimenté autre chose.


C’était l’été il faisait horriblement chaud. La maison de famille était en grand travaux. Pour le week-end j’avais invité 5 amis pour profiter de la piscine. Dans mes potes il y a avait notamment Marc un beau célibataire de 33 ans avec qui je faisais du badminton. Marc était venu avec, Athos son jeune chien, un Beauceron.


 Après une nuit bien agitée nous nous levâmes pour aller prendre le petit-déjeuner en terrasse. Marc et Jule étaient déjà très en forme et arrivaient à table volontairement avec une trique qui déformait leur peignoir. Nous étions entre mecs cela nous fit beaucoup rire. Juste après les deux hommes se jetèrent nus dans la piscine laissant apparaitre leur magnifique corps. 


Marc : aller vous venez les gars ?


Malgré la tentation j’étais gêné et refusa la proposition prétextant de devoir aller prendre ma douche avant de préparer le repas.


Afin de laisser la salle de bain à mes invités je choisis d’utiliser l’autre salle d’eau qui était certes en travaux mais quand même utilisable. Il y avait en effet des sacs de plâtre un peu partout, des outils et surtout un échafaudage partiellement monté. 


A cette époque je cherchais du travail et j’attendais une réponse d’un employeur d’un jour à l’autre. J’étais donc toujours proche de mon téléphone.


En entrant dans la salle de bain qui n’avais plus de porte je slalomais entre les sacs de plâtre pour atteindre la douche italienne qui se trouvait en face l’échafaudage qui je dois bien le dire semblait peu stable. Je mis de la musique comme à mon habitude, me déshabilla et posa mon téléphone sur un petit tabouret à la sortie de la douche au cas où…

Avec la chaleur pesante j’étais pressé d’aller sous ma douche pour calmer mes ardeurs qu’avaient éveillé en moi la vue des corps dénudés de mes deux camarades.


Après 5 minutes sous l’eau je coupais les robinets afin de m’enduire le corps de gel douche que j’aime bien faire mousser sur l’ensemble de mon corps. J’en profite alors pour m’attarder sur ma bite déjà bien raide. Je ferme les yeux en profitant de ce moment quand soudain je fus sorti de ma rêverie par la sonnerie de mon téléphone.


C’est à ce moment précis que les choses se sont précipitées et m’ont échappé.


Je sautais littéralement en dehors de la douche alors que j’étais couvert de mousse. Je voulus récupérer mon téléphone sur le tabouret mais maladroitement mon pied heurta le tabouret et mon téléphone fut projeter sous l’échafaudage. Sans même réfléchir je me mis à 4 pattes pour atteindre ce putain de téléphone.


J’avais de la mousse dans les yeux et mes gestes étaient imprécis. Je passais le haut de mon corps par-dessus la première barre de l’échafaudage. Mon bassin m’empêchait d’avancer plus. Je tentais d’allonger au maximum mes bras et mon corps derrière la deuxième rangée de barres de l’échafaudage.


Alors que j’étais sur le point d’atteindre ce téléphone je sentis une barre de l’échafaudage glisser progressivement sur moi. Devant le risque d’éboulement de la structure j’essayais rapidement de faire marche arrière mais la barre tomba définitivement sur mon cou et mes bras que je tendais devant moi bien droits afin de récupérer mon téléphone. 


J’avais la tête coincée dans entre deux barres comme un pilori.  Cette position aurait pu être risible en d’autre moment mais là je ne pouvais plus du tout bouger au risque de faire tout effondrer et de me blesser. Le pire c’est que dans cette position je ne pouvais même pas répondre au téléphone. 


J’étais plein de mousse, la tête coincée et le cul à la vue et disposition de tout le monde. C’était magnifique ! malgré la situation je n’avais pas le choix que d’appeler à l’aide. Ce que je fis mais mes cris étaient en partis convers par la musique que j’avais eu l’idée de mettre bien fort.


Soudain j’entendis du bruit derrière moi. Sans pouvoir trop tourner la tête je découvris rapidement qu’il s’agissait de Athos le chien de Marc. 


Moi : vas chercher ton maître…. Aller


Ce chien était fou et complètement excité par la situation. Dans un premier temps il essaya de venir me rejoindre sous l’échafaudage puis il se ravisa me tourna autour encore et encore pour finir par me lécher le cul.


Même si je ne trouvais pas ça si désagréable je trouvais la situation très embarrassante. Je continuais d’appeler au secours. Le chien s’excitait tout seul, sautait dans tous les sens et me léchait me cul jusqu’aux couilles. 


Un instant il s’arrêta enfin mais le pire arrivait. Dans un élan il me grimpa dessus pour essayer de me prendre comme une vulgaire chienne. Je remuais désespérément mon cul pour le faire redescendre ce qu’il fit mais pour mieux remonter.


Je remuais le derrière dans tous les sens mais je sentais sa bite donner des petits coups sur mes fesses. Je priais pour que personne n’arrive à ce moment-là.


Moi : dégage sale chien…. Aller pars…

Rien n’y faisait il était bien décidé à me prendre. 


Moi : non…non….non putain ça fait mal !


Le salaud était rentré dans mon fondement. Il m’agrippait solidement avec ses pattes au niveaux de mes hanches pour mieux me pénétrer.


J’étais en train de me faire dépucelé du cul par un chien ! Sur le coup j’en aurais pleuré mais très vite je sentis son sexe grossir en moi et m’apporter un certain plaisir que mes petits cris ne pouvaient dissimuler. Je sentais son sexe prendre de plus en plus de volume et me remplir le cul. Il s’était enfoncé en moi à son maximum et me serrait très fort avec ses pattes avant au niveau de mes hanches afin de ne pas me lâcher. Je sentais ses poils contre mes fesses et ses couilles cogner sur les miennes.


Soudain je sentis une masse appuyer sur mon trou déjà occupé par la bite du chien. Dans un premier temps je pensais aux couilles du chien mais cette masse commençait à vouloir entrer en moi et avançait inexorablement. Malgré l’excitation j’étais pris de panique et remuait le derrière dans tous les sens en appelant au secours. Mon trou encore vierge il y a 5 minutes était en train de devenir un garage à bite. La présence du savon de la douche facilitait la pénétration bien malgré moi et cette boule énorme me pénétra d’un coup sec m’arrachant un cri de douleur monumental. Ce con de chien m’avait littéralement déchiré le cul.


Cette boule passée je repris mes esprits et pris conscience qu’il ne s’agissait pas des couilles du chien mais d’un procédé qui permet de lier le chien à la chienne pendant l’accouplement. J’étais devenu sa chienne. J’étais lié de force à lui et il allait maintenant déverser toute sa semence dans mon antre pour bien me saillir. Je sentais un liquide chaud se déverser en moi et me remplir. Une sensation unique qui me déclencha un orgasme indépendant de ma volonté. Je baissai la tête et découvrit mon propre sperme sur le sol.


A ce moment-là, un sentiment de honte m’envahit. Le chien était resté immobile pendant toute cette phase jusqu’au moment où il opéra une manœuvre très habile pour se retrouver cul à cul avec moi comme le font les chiens et les chiennes lors d l’accouplement. 10 bonnes minutes se passèrent dans cette position avant que le chien se dégage dans un gros bruit de sussions laissant mon cul avec un trou béant dégoulinant de son sperme le long de mes cuisses. Après s’être bien soulagé, Athos me laissa dans cette position inconfortable.


Je désespérais de sortir de là quand enfin j’entendis des pas humain entrer dans la salle de bain. Je crus reconnaître les pieds de Marc.


Moi : c’est toi Marc ?


Marc : Mais qu’est-ce que tu fous ? On te cherche partout ! Et tu fais quoi dans cette position très tendancieuse et à poil en plus. Tu sais que c’est dangereux ?


Moi : arrête tes conneries tu vois bien que je suis coincé andouille. Aide-moi à me dégager de là.


Marc sortait lui aussi de sa douche et n’avait qu’une petite serviette de bain autour de la taille.


Marc : je vais essayer mais c’est chaud ! L’échafaudage risque de te briser la nuque. Tu me permets je passe derrière toi pour regarder tout ça.


Soudain je sentis tout le corps nu de Marc frotter mon dos. Sa maigre serviette cachait très difficilement son érection.


Marc : putain t’es mal barré.


Marc essayait de soulever la barre qui coinçait ma tête mais la structure de l’échafaudage commençait à bouger au risque de s’ébouler sur nous. Pendant que Marc s’évertuais à me libérer je sentais sa serviette glisser et sa bite complétement libérée frotter sur mes fesses. Il faisait des légers mouvements de vas et vient.


Au début je pensais qu’il s’agissait juste d’une mauvaise interprétation de ma part mais soudain sans m’avertir sa bite bien raide s’enfonça dans mon trou béant et encore tout gluant.


Moi : Marc qu’est-ce que tu fous ? Dégage, c’est dégueulasse de profiter de la situation.


Marc : oh désolé c’est rentré tout seul ! En même temps vu la grosseur du trou c’est pas étonnant !


J’étais comme tétanisé et humilié par la situation.


Moi : Je t’en prie Marc arrête ça !


Marc : tu n’as pas dit ça quand tu t’es fait sauté par mon chien.


Moi : Tu es un fumier Marc, tu étais là et tu n’as rien fait !


Marc : j’avoue qu’au début j’étais pour intervenir mais quand j’ai vu que tu prenais ton pied j’ai pas osé et j’avoue que tu m’as bien excité. J’ai gardé la vidéo en souvenir. 


Moi : non mais tu n’as pas filmé ? 


Marc : calme-toi cela restera notre petit secret. On regardera ça ensemble les prochaines fois que je te baiserai. Alors maintenant que le chemin est fait tu ne m’en voudras pas d’en profiter un peu.


Sur ces mots Marc commença à me pilonner le cul.


Moi : oh la vache, que c’est bon !


J’avais le cul comme un choux fleur mais il me procura un plaisir intense et se vida en moi comme son chien avant lui. D’ailleurs entre temps son chien, Athos était revenu encore plus excité qu’avant en voyant la scène de son maître en train de me baiser.


Marc (à son chien) : alors mon chien tu l’as bien baisé ta petite femelle ? Et bien regarde-moi aussi mais rassures toi tu pourras bientôt recommencer n’est-ce pas Adam ?


Moi (encore sous l’effet de l’excitation) : oh oui tout ce que tu veux….


Marc se retira et se releva. Il remit sa serviette et se dirigea vers la porte.


Marc : bon je vais chercher les potes pour te sortir de ce mauvais pas car tout seul je ne vais pas y arriver. Tu ne bouges pas d’ici…. A flûte tu ne peux pas bouger… je rigole. Je te laisse avec Athos, il va bien s’occuper de toi !


Moi : non… non reprend ton cabot ! Putain Marc ne déconne pas !


Il était déjà reparti et le chien me reniflait de partout, léchait le sperme de son maître qui dégoulinait à la sortie de ma rondelle.


Ce chien était dans la fleur de l’âge et excité comme un ado en manque de sexe. Et arriva ce qui devait arriver, le chien me sauta de nouveau sur le dos pour me prendre une seconde fois.



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13-02-2025 2 353

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