Ma belle Mère

Récit érotique écrit par admin le 28-12-2009
Récit érotique lu 35622 fois
Catégorie Inceste

Salut je mappelles Georges, et je vais vous raconter lhistoire quil mest arrivé entre moi mon meilleur ami et notre belle-mère. Je dis notre belle mère car mon pote Francis et moi sommes en couple depuis environ 4 ans avec des surs charnelles dont je ne dévoilerai pas les noms. Toutes deux sont jeunes et ravissantes, mais ont néanmoins un petit défaut : elles ne sont pas fabuleuses au lit et nos deux couples sont depuis quelques temps tombés dans une sexualité plutôt monotone et une lassitude à en mourir. Depuis que nous avions rencontré la mère de nos épouses, Sylvianne, nous étions tombés dun commun accord que cette femme dâge mûre atteignant bientôt la cinquantaine était en quelque sorte lobjet de nos fantasmes et de nos conversations la plupart du temps où Francis et moi étions ensemble. Et il y a de quoi, Sylvianne et une femme charmante, blonde aux yeux marrons, denvirons 1m70 60 kg, ayant des caractéristiques féminines qui ne laissent pas un jeune homme indifférent, en dautres termes une assez grosse poitrine et de belle fesses bien rondelettes. Outre ses qualités physiques Sylvianne est une femme assez conviviale, affichant un large sourire à chaque instant quil fasse beau ou mauvais. Cela faisait maintenant 7 ans quelle avait divorcé de son mari, et quaucun homme nétait intervenu dans sa vie. A chaque fois que nos épouses devaient rendre une petite visite à leur mère nous nous faisions un plaisir de les accompagner, ne serait ce que pour apercevoir la femme de nos convoitises qui éveillait en nous des pulsions sexuelles que peut être la plupart dentre vous qualifieront dimmorales. Immoral ou pas Francis et moi avions convenu que nous devions tenter le coup car le désir devenait trop intense, nous étions décidés de passer à lattaque, mais nous attendions le moment opportun. Un jour la femme de Francis avait gagné un voyage à deux pour les Canaries grâce à un jeu radiophonique, et au lieu dy amener son homme elle décida de partir pendant une semaine en vacances accompagnée de sa sur, ce qui nous laissait loccasion de mener à bien notre plan. Samedi soir alors que nos épouse étaient probablement en train de siroter un cocktail au bord de la plage, Francis et moi étions en train de nous rendre en direction de la résidence de Sylvianne, accompagné de 3 douzaines dhuitres fraiches, de plats préparés et de 3 bouteilles de vins des plus prestigieux et de champagne. Nous ne lavions pas du tout prévenue de notre passage. Lorsquelle vint ouvrir la porte elle fut toute étonnée de nous voir. Bonsoir Sylvianne ! On vient vous faire une petite surprise et vous tenir compagnie pour que vous vous sentiez moins seule ce soir . Elle était visiblement ravi de nous voir et nous fit rentrer sans aucune hésitation, elle nétait vêtue que dune nuisette blanche et alla a son placard recouvrir une robe de chambre pour notre plus grande déception. Nous discutions de ci et de ça pendant toute la durée du repas lui servant le plus souvent possible des verres de vins pour la rendre plus gaie, ce qui visiblement marchait, et dès que son regard allait en direction de son assiette nos yeux plongeaient profondément dans son large décolleté qui laissait entrevoir ses deux belle mamelles. A la fin du repas alors que nous avions bien bu et manger nous nous assîmes chacun dans un fauteuil et Sylvianne sassit dans le canapé, nous abordions alors différents sujets, elle essayait de parler les relations que nous avions chacun avec ses filles, mais nous essayions de changer la conversation sur dautre choses, jusqu'à ce nous abordions le sujet de son divorce. Nous lui demandions si depuis elle avaient eu dautres hommes en vue, etc elle nous répondit par la négative, nous prîmes alors un air désolé pour sa situation de femme seule et essayions daller un peu plus profondément dans le vif du sujet. Je pris alors mon verre le posa sur la table basse, et vint masseoir dans le canapé sur la droite de ma belle-mère, enlaça mon bras autour de ses épaules et lui dis du ton admiratif : Vous êtes vraiment courageuse Sylvianne, jai énormément de respect pour vous elle tourna timidement la tête dans ma direction et me répondit par un sourire. Puis Francis vint à son tour sasseoir à sa gauche et mit sa main sur son autre épaule, puis lui demanda : Mais ça vous manques pas de ne pas avoir un homme . Embarrassée elle répondit Oui bien sur !!! Donc si jen crois ce que vous dites ça doit faire bientôt plus de sept ans que vous navez pas fait lamour A peu prêt ; A ce moment ma main droite alla se poser sur la cuisse dénudé de Sylvianne la parcourant dune longue caresse sur sa peau satinée, tandis que Francis léchait le coup de la femme qui nous faisait tant bander. Arrêtez ! quest ce que vous faites !!! Nous vous voulons du bien, cest tout ma main remonta sa cuisse poussant au passage le bas de sa nuisette et essayant de se faufiler un passage jusqu'à son sexe, mais sa main bloqua mon poignet Stop, je vous rappelles que vous vivez avec mes filles tout de même !!! Mais vos filles ont besoin de leur mère, et leur mère elle a certains besoins, et nous, nous sommes là pour les combler, laissez vous faire, il nest pas bon de retenir ses pulsions physiques elle lâcha alors ma main qui vint frotter directement sa toison pubienne, tandis que mes doigts se promenaient sur les lèvres enflées de son vagin. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, Francis continuait à lécher le coup de Sylvianne alors que ma langue elle glissait le long de son épaule droite, elle paraissait à la fois remplit dextase et de remords Oh mon Dieu, mais quest ce que je fais sécriait elle. Nayez aucun soucis, vos filles ne sauront jamais rien de ceci, nous voulons juste prendre soin de vos besoins sexuels, et vous pourrez toujours compter sur vos beau-fils pour cela , Francis prit alors des deux cotés la nuisette et la retira laissant à notre admiration ses deux gros seins devant nos yeux. Je caressais sa chatte et son sein droit en même temps dune manière presque religieuse la complimentant de Vous êtes si belle Sylvianne, je ne comprends pas comment une beauté comme vous peut elle se passer sept ans de sexe ? . Sylvianne était maintenant assise complètement nue entre ses deux beaux fils dont chacune des mains pétrissaient avec passion et avidité le corps charnel de la mère de nos femmes. Nos bouches étaient en train de téter passionnément sa grosse poitrine qui était petit à petit empreinte de notre salive, tandis que nos mains pétrissaient, caressaient, et chatouillaient cette vulve qui commençait à reluire tant ses sécrétions étaient abondantes. Elle sabandonnait peu à peu dans une pose des plus obscènes, écartant pour faciliter notre masturbation ses cuisses, et poussant de doux râlements : Oh, cest vraiment mal ce que nous faisons, oh oh oh mais cest si bon !!! au bout de cinq minutes nous la fîmes se lever debout et lui demandions de bien vouloir reposer sur un pied, tandis que lautre reposerait sur le canapé, ce quelle fit, puis Francis et moi nous abaissâmes, moi devant et lui derrière afin de lui lécher la chatte à deux. Francis lui fourrait son visage dans son cul afin que sa langue puisse atteindre la fente que nous vénérions, tandis que moi javais le nez qui frottait dans ses poils, et que ma langue titillait le haut de ses lèvres vaginales et son clitoris. Je crois que cétait la première fois que Sylvianne se retrouvait dans une telle position entre deux hommes qui soccupent aussi bien de son gros minou, elle semblait dans un état second, dans une condition de nirvana. Chacune de ses mains était placée sur nos têtes, glissant ses doigts entre nos cheveux, comme pour caresser un bon toutou suite à une bonne action. Oh mon dieu !!! cest divin disait elle en haletant. Au bout de quelques instant cette situation tout à fait malsaine nous avait excité au plus haut point, nous nous relevâmes enlevant nos vêtements jusqu'à être complètement nus, nos deux verges gonflées au maximum en sa direction. Regardez ! Deux bonnes queues rien que pour vous lui dit Francis avec un regard pervert. Face à nos deux ... en rut, Sylvianne commença à paniquer, et à devenir plus lucide quil y a deux minute : Attendez, nous devrions réfléchir avant de faire une chose pareille Non ! répondis je Il est désormais impossible de faire marche arrière, nous sommes désormais vos deux amants, et nous le resterons pour longtemps, à moins que vous ne vouliez que vos filles ne soient mises au courant . elle baissa la tête Non surtout pas !!! Alors laissez nous nous occuper de vous, vous verrez, tout va très bien se passer . Francis lagrippa par les hanches Cambrez vous sur le coin du fauteuil que je vous prennes en levrette, voilà comme ça, relevez bien le cul pour que je puisse avoir plus de facilité à la rentrer. Voilà, super !!! Sylvianne reposait sur ses deux genoux sur laccoudoir du fauteuil, tandis que Francis pris sa verge dans sa mains la dirigeant à lintérieur du con de sa belle mère. Oh ... Georges, si tu savais comme cest bon à lintérieur, cest tout chaud et humecté de sa mouille, ça glisse aussi bien quun surf sur une vague !!! , visiblement mon pote était en train de prendre son pied total en limant par des vas et viens la fente par laquelle était venu au monde sa propre femme, alors que Sylvianne recommençait à prendre goût à nos jeux malsains. Je pris alors mon phallus et lapprocha du visage de ma belle-mère, mais elle nouvrait pas la bouche, jentrepris donc de caresser sa face avec mon gland, le laissant glisser sur ses lèvres, sur son menton, sur ses joues, et même sur son nez, ses deux bras étant occupés à tenir lavant de son corps en équilibre elle navait pas la possibilité dempoigner ma ... je lui demandais de bien vouloir déposer sur mon gland de sa salive, ce quelle fit. Je recommençais à caresser mon gland sur son visage, laissant une trainée de sa propre salive sur sa peaux. Vas y Francis, baise la plus vite !!! Francis redoubla alors dénergie et Sylvianne se mis alors à crier : OOOHHHhhh Je saisis alors lopportunité que sa bouche soit grande ouverte pour y engouffrer ma ... à lintérieur, tenant sa tête entre mes deux mains, puis je fis coulisser par des aller-retours ma verge entre ses lèvres bucales, jétais au summum, la meilleure sensation que jai pu vivre de toute mon existence, moi Georges jétais en train de pénétrer de mon sexe la bouche de ma belle mère qui avait presque deux fois mon âge, tandis que mon meilleur ami était en train de la culbuter par derrière, cétait la chose la plus perverse, la plus vicieuse que je faisais dans ma vie, mais aussi de loin la plus excitante et la plus exquise que mon corps et mon esprit ressentaient. Cette vision de ma belle mère dont le corps, les fesses, et les seins ondulaient par la force de nos coups de reins me donnaient bientôt lenvie de jouir, mais je désirais garder ce moment pour plus tard. Je sortis donc mon membre enflé et raide de sa bouche, un fil de salive reliant le bout de mon gland de ses lèvres se fendit et vint se coller à son menton quelle essuya en passant la langue. Jattendais 2 min. pour que mon pieux perde de sa vigueur et observais pendant se temps Francis faisant de rapides va et viens dans la moule de Sylvianne, créant un bruit régulier de clapets comme deux mains qui applaudissent, alors que ma belle mère, elle, était à son comble et fermait les yeux comme pour se concentrer sur son plaisir charnel. Après un certain moment dattente je décidais dy retourner Francis ! Laisses moi venir à ta place, Sylvianne sil vous plait, venez plutôt vous étendre sur la moquette en se retirant je vis du sperme il me semble recouvrant la queue de Francis, et quelques gouttelettes ruisselaient autour de la magnifique chatte de Sylvianne, mon pote avait apparemment éjaculé dans les entrailles de sa belle mère, mais son pénis était toujours de rigueur (mon pote est un dur à satisfaire). Sylvianne sallongea donc sur le dos, les cuisses écartées comme pour me souhaiter la bienvenue dans son sanctuaire humidifié par de la sève blanche masculine mélangée à ses sécrétions féminines. Francis avait raison, ce sexe était dune chaleur accueillante exceptionnelle Oh Sylvianne, si vous saviez ! ça fait tellement longtemps que jattends ce moment, vous êtes tellement bandante et bonne ! me regardant droit dans les yeux elle me répondit : Promettez moi que jamais personne ne sera au courant de cela continuant mes étreintes entre ses cuisses suaves je répondis : Nous vous le jurons, nous voulons votre bonheur, et bien évidemment celui de vos filles . Mais vous devez nous promettre quelque chose en retour dit Francis. Quoi ?!? . Eh bien que nous resterons vos fidèles amants jusquà ce que vous vous remettiez avec un autre homme . Dans ces conditions jacceptes dit elle. Je continuais a ramoner de ma ... sa pépette avec une régularité qui naurait rien eu à envier à un puit à pétrole, tandis que Francis siroter un verre de champagne nous matant la queue en lair. Sylvianne était en sueur totale, déjà quil sagissait dune chaude nuit dété, nos corps actifs créaient dans la pièce une chaleur supplémentaire. Je nétais pas loin de lexplosion Oh Sylvianne ! je suis à deux doigts de jouir Dans ce cas faites le à lextérieur . Je retirais dun coup sec mon manche de ce trou que javais travaillé durant une dizaine de minutes et branlais ma ... au dessus de sa chatte. Un cri de jouissance menvahie et il sorti de mon urète une grande quantité de sperme chaud et gluant qui vint se coller dans sa toison pubienne, cétait sans aucun doute la meilleure baise de ma vie. Je me re-saisis et alla vers la table me servir une coupe de champagne, tandis que Sylvianne restait allongée, et étalait de sa main droite le sperme entremélé dans ses poils pubiens. Ah ! cétait vraiment bon disait-elle. Parce que vous croyez que cest déjà fini ?!? rétorqua Francis. Il alla se coucher sur le dos sur le canapé Allez venez me chevaucher belle-maman ! . Encore !!! dit elle. Eh bien il faut bien rattraper ces sept ans dabstinence Elle bue un verre de champagne et se positionna au dessus de la verge de Francis et sempala dun coup sec jusqu'à ses testicules, la machine sexuelle sétait remise en marche. Regardant le spectacle torride qui soffrait à mes yeux une idée me vint. Je sorti du living room pour aller dans la salle de bain chercher un produit qui soit assez lubrifiant, javais dabord trouvé de la crème, puis de lhuile pour peau de bébé. Je pris donc le flacon et retourna dans le salon où les deux amants continuaient à copuler dune façon presque bestiale. Jenduits ma belle queue dhuile et demanda a Francis de bien vouloir positionner ses fesses sur laccoudoir du canapé, il la souleva pour rester à lintérieur delle, et fit comme je lui avais demandé. Je vint alors derrière cette chère Sylvianne et lui écarta les fesses pour apercevoir sa petite rondelle qui apparement navais jamais été travaillé. Que faites vous Georges ?!? Non ! je naimes pas cela ! je persistais mais elle continuait Jai déjà essayé et ça ne ma pas plus, arrêtez !!! Si vous navez pas aimé cest que la personne avec qui vous lavez fait ne sy connaissait pas, laissez moi faire, vous aurez dautres sensations au fur et à mesure que mon phallus senfonçait dans son anus elle poussait des Oh mon dieu ! oh mon dieu ! oh mon dieu !!! . Ca y est, malgré son rectum étroit javais poussé ma ... au plus profond de son cul et jenclenchais mon mécanisme. Dun coté ma queue retrait dans son trou de balle et de lautre celle de Francis soccupait de son vagin. Elle était prise en sandwich entre deux jeunes hommes. Bien quelle semblait ne pas apprécier au début, elle se lâcha telle une chienne en chaleur au bout de quelque minutes : Oh oh oh je ne savais pas que de telles choses puissent être aussi bonnes, ah ah ahhh je pourrais rester là à me faire prendre pour léternité tellement cest bon !!! Ensuite nous fîmes tous les trois lamour pendant toute la nuit, je pourrais vous raconter nos petits jeux pervers comme masturber sa chatte avec le goulot de la bouteille de champagne, etcmais cela risquerait dêtre trop long. Elle nous avoua le lendemain matin quelle avait dû avoir une bonne vingtaine dorgasme durant la nuit, et que coucher avec deux beaux jeunes hommes lavait rendu plus heureuse quelle ne létait même si nous sommes ses beau-fils. Cela fait maintenant presque un an que cela a commencé, et nous continuons toujours à faire lamour à notre belle-mère même si nos femmes ne le savent pas, il y a des jours ou nous le faisons à deux, et quand nos épouses sont absentes on se retrouve chez elle pour des parties à trois, il est vrai que cette aventure est peut être malsaine, mais notre plaisir sexuel est chaque fois au sumum! Qu'en pensez vous?

J'aime 32
28-12-2009 1 35622

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par admin

Settings