Lorsque son fils eut dix huit ans, Laure a décidé que ce serait le moment pour célébrer son passage à l’âge adulte. Nicolas avait toujours été un garçon calme, poli, et bien qu’il soit très proche d’elle, elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’il grandissait, qu’il avait besoin de découvrir le monde par lui même. Elle n’était pas toujours très à l’aise avec cette idée, mais savais que cela faisait partie de sa croissance.
A l’approche de son anniversaire, Laure contacta ses copains et copines, pour lui faire la surprise. Pendant que Nicolas était à l’université, Rachid, son meilleur pote, se proposait à aider Laure pour emménager le garage. Rachid, jeune maghrébin de dix sept ans, était d’une beauté à couper le souffle. Laure, la quarantaine à peine, était encore très désirable.
Au fur et à mesure que les préparatifs avançaient, Rachid et Laure se rapprochèrent.
D’abord amicalement, puis plus intime. Rachid n’hésitait pas à prendre Laure par la taille, quand Laure était sur l’escabeau, de caresser ses jambes, montant parfois haut sur se cuisse. Chatouilleuse, elle riait. C’est lors d’une mauvaise descente de l’escabeau, que Rachid la reçu dans ses bras. Leurs regard se figèrent un instant, le souffle court. Il l’attira à lui, et leurs lèvres se rencontrèrent. Le baiser, doux au début, devint sulfureux.
Laure oublia son mari, absent quelques jours pour raison professionnelles, et pris une décision qui allait changer sa vie. Elle prit Rachid par la main, et l’entraîna vers la chambre conjugale, la chambre d’amis étant remplie de cadeaux. Là , elle allait initier le jeune maghrébin, mais aussi découvrir d’autres facettes de l’amour.
Les fellations étaient douces, la queue du jeune homme se déployait dans la bouche de Laure, vibrait, se vidait de sa substance. C’était une première pour lui. Laure se positionna à quatre pattes, la tête dans l’oreiller, la croupe offert. Rachid approcha son imposante bite à l’entrée de la chatte de Laure, et la pénétra.
- Oh...oui...putain, comme c’est bon, gémissait-elle.
Agrippé à ses hanches, Rachid entama de lent va et vient, arrachant de longs soupirs à la mère de son meilleur pote. Celle-ci atteignit un puissant orgasme qui traversa la chambre. Rachid se retira lentement, le gland souillé du plaisir de Laure. Il taquina le petit trou, le mouilla abondamment. Quand l’œillet commença à s’ouvrir, il marqua un temps d’arrêt, attendant sa réaction.
- Vas-y, souffla-t-elle…
Rachid la sodomisa lentement, obtenant un long gémissement de la part de Laure, qui l’encouragea à poursuivre. Laure hurlait de plaisir, se faisant saillir comme jamais son mari ne l’avait fait. Sans retenue, le jeune maghrébin la remplissait, et elle acceptait. Épuises, il s’étalèrent sur le lit conjugal. Le baiser fut torride.
- Ouah...comme tu m’as baisée...putain...quel amant, je suis surprise.
Après une douche coquine ou Laure a tailler une pipe à Rachid, il était temps de reprendre la déco du garage. L’anniversaire était pour ce soir.
Nicolas ne savait pas que cette soirée lui était réservée. La surprise fut totale. Ses potes, ses copines, Rachid bien sûr, ils étaient tous là .
Laure s’activait en cuisine, petits fours, toast, rien n’était laissé au hasard, peu d’alcool, quelques bières et du champagne. Le chaîne CD diffuser les derniers tubes, détendant l’atmosphère. L’ambiance allait crescendo. Laure apporta les premiers plats et les premiers plateaux. A l’unanimité, les jeunes lui demandèrent de participer. Laure éviter le regard de Rachid, ne voulant éveiller aucun soupçon sur ce qui c’était passé cet après-midi.
Elle hésita un instant, avant que Rachid ne la rejoigne à la cuisine. Il s’approcha, la prit par la taille, écarta ses cheveux et l’embrassa tendrement dans le cou. Laure sentit un frisson parcourir son corps, murmura.
- Arrêtes Rachid, on pourrait nous surprendre.
- Mais j’ai envie de toi, souffla-t-il à son oreille
- Moi aussi, avoua-t-elle, mais soyons prudent.
Après insistance, Laure rejoint le groupe dans le garage. Elle se mit à danser, se déhancher au rythme de la musique, son sublime corps se découpait sous les lumières tamisées. Les potes de Nicolas vantaient la beauté exceptionnelle de sa mère. Il l’invitèrent chacun leur tour à danser, Nicolas surtout, à l’honneur ce soir.
Le dernier slow avant la remise des cadeaux fut pour Rachid. Il la tenait par les hanches, elle les bras passés autour de son cou. Il lui murmurait de mots doux à l’oreille, des mots qui la faisait vaciller. Elle lui demandait de se taire, mais ces mots s’encraient au plus profond d’elle même.
- Je veux passer la nuit avec toi, dit-il dans un souffle chaud à son oreille.
- Quoi ? Tu es fou Rachid...t’imagines, si Nicolas nous surprend.
- Quand il sera à moitié ivre, il ne se rendra compte de rien.
La discussion fut interrompue par la distribution des cadeaux. Et Nicolas fut énormément gâté. Laure avait précisé à ses copains ses préférences. Seul Rachid n’offrit rien.
- Et toi Rachid, dit Laure, tu ne lui a rien offert.
- Après, dit-il, j’ai prévu un cadeau...il va être inoubliable.
Laure ne posa d’autres question, et se dirigea vers la cuisine, renouvelant les plats et les boissons. Laure s’intégra de plus en plus à la fête, à l’alcool aussi. Elle se laissait entraîner dans des danses de plus en plus intenses, encouragée en cela par le groupe, son fils y compris. Puis elle attrapa le bras de Rachid, l’attira sur la piste improvisée.
- C’est d’accord pour cette nuit mon chéri, dit-elle avec des mots inaudibles.
- Tu es sûre, demanda-t-il.
- Certaine...dans la chambre d’amis...elle est débarrassée des cadeaux maintenant.
Rachid profite de l’ambiance de la fête, pour préparer sa nuit. Il constate que beaucoup d’invités son sérieusement éméchés, Nicolas y compris. Il le prend à l’écart.
- J’ai levé une fille ce soir, une vrai salope...puis-je emprunter la chambre d’amis ?
- Salaud, répond Nicolas...elle est chaude ?
- Très chaude, prends ma place si tu veux, ce sera mon cadeau d’anniversaire.
- C’est vrai, tu ferais ça ?
La fête se poursuivit encore un instant, avant que les invités, enchantés de leur soirée, ne se retire. Pendant que Rachid et Nicolas rangeaient la remise, Laure se dirigeait vers la salle de bains. Dans les remous de la baignoire à bulles, elle se remémorait la soirée. Elle sortit, s’enveloppa dans une serviette. Elle s’admirait devant le miroir, ses mains parcourant son superbe corps, s’imaginant que ce sont celles de Rachid qui la caressent. Comme promis, elle s’épila la chatte, et mis une nuisette transparente.
Lentement, elle se dirigea vers la chambre d’amis, s’allongea sur le lit. Seule la lueur de la lune éclairait l’espace. Soudain, elle entendit la porte grincer, une ombre furtive pénétrant la chambre. Elle avait hâte de sentir les mains de Rachid explorer son corps, sa queue la pénétrer. L’ombre s’approcha sans bruit, s’allongea près d’elle. Cette nuit là fut torride.
Laure ne compta pas le nombre d’orgasmes qu’elle a eu cette nuit là , ils furent nombreux. Elle gisait écartelée sur le lit, complètement épuisée. Le lendemain, au petit déjeuner, Nicolas trouva Laure sur la terrasse. Il déposa un tendre baiser sur le front.
- Alors mon fils, bien dormi ?
- Si tu savais, maman, répondit-il. Rachid m’a offert un super cadeau.
- A bon, à ce point, pourtant je n’ai pas remarquais qu’il t’offrait quelque chose.
- En fait, il a branché une fille hier soir, il m’a dit que c’était pour moi, qu’il avait préparée pour moi, que c’était mon cadeau d’anniversaire.
Le sang de Laure se glaça. « Non, Rachid n’avait pas fait ça ? En plus, l’alcool aidant, elle ne s’est pas aperçu du changement. Pourtant, Rachid était mieux monté que Nicolas.
- Putain, poursuit Nicolas, qu’elle bombe, pas farouche pour un sou. Elle m’a laissé faire ce que je voulais. Je l’ai baisée, sodomisée, elle m’a taillé des pipes, tout avalé. Comme elle a joui, au moins cinq fois. J’avais peur que tu l’entendes crier. Comme j’étais fier de moi maman.
Laure pris son visage dans se mains, se mit à pleurer. Sans le savoir, elle s’était faites baiser, sodomisée, avait sucé la queue de son fils, avait avalé son sperme. Le pire de tout, c’est qu’elle avait pris énormément de plaisir dans cette relation.
- A...il faut que j’envoie un message à Rachid pour le remercier encore. Le cadeau qui m’a offert était fabuleux. Je veux aussi qu’il me donne les coordonnées de cette salope...mais, qui a-t-il maman ?
- Rien mon chéri, je suis fatiguée, je monte dans ma chambre.
Nicolas ignorait que cette nuit, il avait baisé sa mère.
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