L’histoire se passe lors du fête de famille. Entre oncles, frères, sœurs et autres, une vingtaine de personne ont investi le salon. A cette occasion, un buffet et un mini bar ont été mis en place. Jordan, dix huit ans, pas du tout attiré par les danses de salon, sirote son verre de coca. C’est alors que son regard s’arrête sur sa mère Sylvie, âgé de quarante deux ans. Il s’aperçoit soudain de son insolente beauté, et se dit que son père a beaucoup de chance. Il la regarde se déhancher au rythme de la musique. Il remarque aussi qu’elle pousse un peu trop sur l’alcool.
Le fête se termine vers deux heures du matin. Son père s’installe au volant, sa grand-mère occupant la siège passager. Lui et sa mère s’installe sur la banquette arrière. Sylvie, légèrement ivre, s’allonge, sa tête reposant sur les jambes de son fils. Celui-ci sent sa queue durcir sans son jean’, sa bouche de sa mère est tourné vers elle. La tentation est trop forte.
Il sort sa bite désormais en érection, la fait courir sur les lèvres de Sylvie. Instinctivement, cette dernière ouvre la bouche, et l’engloutit. Il commence à faire des va et vient, tandis qu’un glisse sous la courte jupe de Sylvie. Cette dernière, à moitié assoupie, écarte légèrement les jambes. Les doigts écarte le string, court sur la fente humide. Son majeur s’attarde alors sur le clitoris, le décalotte. Il arrête les va et vient dans le bouche de Sylvie, prenant elle même le relais.
Il prend un réel plaisir à cette fellation, qu’il guide, la paume de sa main posé sur sa tête tandis que ses doigts pénètrent la chatte de sa mère. Soudain, il sent le plaisir monter en lui. Il essais de se retirer, en vain. Il entend sa mère déglutir, avalant son abondante semence. C’est à ce moment que le corps de Sylvie se cambre, poussant un long soupir, atteignant l’orgasme.
Pendant le trajet, Jordan à pris soin de tout filmer à l’aide de l’éclairage de son portable, sans que son père et sa grand-mère ne s’aperçoivent de rien. Arrivé à la maison, Jordan aida son père à monter Sylvie dans sa chambre.
Le lendemain matin, assis sur le canapé, il visionner la scène. Sylvie arriva alors, vêtue d’un court peignoir, sa gueule de bois de la veille s’étant estompée.
- Que regardes-tu de beau mon chéri, demanda-t-elle..
- Ce qui s’est passé pendant le trajet en voiture, répondit-il.
- C’est à dire...je peux voir ?
Sylvie resta scotchée en voyant les images d’elle, taillant une pipe à son fils.
- Mon Dieu s’exclama-t-elle, qu’as-tu fait, efface ça s’il de plaît, ça ne doit pas tomber entre les mains de ton père.
- Cela dépend de toi maman. Tu peux ouvrir ton peignoir s’il te plaît.
Sylvie fit un pas en arrière, regardant son fils. En croisant son regard, elle vit qu’il était sérieux. Les mains tremblantes, elle dénoua la ceinture, écarta les pans du vêtement.
- Tu es magnifique maman, dit-il. La prochaine fois que papa est en déplacement, j’aimerais que tu me rejoigne dans mon lit.
- Quoi, s’écria Sylvie...tu es fou, c’est hors de question.
A ce moment là, son père sortit de la salle de bains. Jordan se leva, le téléphone à la main, et se dirigea vers lui.
- Attends, souffla Sylvie.
Leur regard se croisèrent, un large sourire éclairant le visage de Jordan. En regagnant les toilettes, il murmura à sa mère. « On va bien s’amuser tous les deux. »
Sylvie ferma les yeux, de fines larmes coulant sur son visage.
Le lundi matin, Marc, le père part pour un déplacement d’une semaine. Il ne reste que Sylvie est en congé et Jordan en vacances. Ils se retrouvent tous les deux dans la maison. Sylvie essaie de résonner son fils, de lui dire que ce qu’ils ont fait c’est mal. Mais Jordan est décidé à poursuivre son idée. Il va même jusqu’à imposer sa mère ses tenues pour rester à la maison quand ils sont que tous les deux. Court peignoir ou nuisette transparente sans rien dessous, et chatte parfaitement épilée.
Sylvie le supplie d’effacer ce film. Il dit qu’il l’a fait, et qu’il l’a mis sur une clé USB soigneusement cachée. Il demande à sa mère de lui obéir et d’aller se changer. Elle revient dix minutes plus tard, vêtue d’un court peignoir blanc. Elle s’approche de Jordan pour qu’il vérifie que sa chatte est bien épilée. Il lui ordonne d’ouvrir son peignoir, et de s’allonger sur la table du salon, ses jambes pendant de chaque côté. Elle est magnifique exposée ainsi.
Jordan s’avance, se penche sur sa mère, dont les yeux sont remplis de larmes. Il commence à la caresser. D’abord sa superbe poitrine, son ventre, sa chatte qu’il caresse superficiellement. Petit à petit, les larmes disparaissent, laissant la place à de petit gémissement. Le corps de Sylvie réagit aux caresses de son fils. Les seins durcissent, les bouts deviennent plus gros, roulant entre les doigts de Jordan, et la chatte commence à mouiller quand il l’a pénètre. Sylvie gémit plus fort, se tord sur la table basse, puis ne peut retenir un violent orgasme. Jordan, habitué au fille de son âge, est fier de lui. Il vient de faire jouir une femme, une vrai, même si c’est sa mère. Après lui avoir déclenché un deuxième orgasme, il se penche sur elle, lui donne un tendre baiser qu’elle ne fuit pas.
- C’était bien maman ?
Sylvie acquiesce de la tête. C’est vrai qu’elle a pris du plaisir, son corps ne peux le nier.
- On se voit ce soir, man, dit-il, tandis que Sylvie se dirige vers la salle de bains.
La journée ses passe plutôt bien, Sylvie ôtant pour une courte nuisette transparente, sans rie dessous. Elle ne dit rien quand Jordan l’arrête pour la caresser. Le soir, à table, ils se regardent. Aucun sourire n’apparaît sur le visage de Sylvie, pensant à ce qu’elle doit faire, et qu’elle juge mal et contre nature. Jordan lui, reste impassible.
Après le film du soir, Sylvie va à la salle de bains, tandis que Jordan rejoint sa chambre. Il ôte ses vêtements, et se glisse entièrement nu sous les draps. Puis, on toqua à la porte. Sylvie apparut dans la faible lumière de la lampe de chevet, superbe dans son affolant nuisette. Elle ôta, offrant à son fils son incroyable nudité. Soumise, elle fit passer le léger vêtement par dessus sa tête, et se glissa sous les draps. Elle senti immédiatement l’érection de son fils, et sa dit que, ma fois ; il n’avais rien à envier à son père, ce serai même le contraire.
Jordan commença à embrasser sa mère, à la caresser. Sylvie se raidit, restant dans la retenue. Petit à petit, le corps réagit, Sylvie se libère, s’enroule autour de son fils, lui saisit la queue qu’elle branle doucement. Jordan caresse les seins de sa mère, la chatte, excite l clitoris. Sylvie est surprise de vois son fils connaître à ce point le corps d’une femme. Après de long préliminaire, Sylvie enfourche son fils, et s’empale sur sa bite en érection en poussant un cri de plaisir. Jordan tend les mains, caresses le sublimes seins de sa mère, joue à en faire tourner les bouts entre ses doigts. Il sent la respiration de Sylvie s’accélérer, gémir davantage.
- Oh mon Dieu chéri...je jouis, oui...je jouis...me regarde pas….
Puis Sylvie s’écroule sur son fils, lui prend avidement les lèvres. C’est maintenant au tour de Jordan, de jouir dans sa mère. Ils s’écroule chacun sur un côté, marquant une pause. Puis les doigts, d’une incroyable douceur, parcourent le corps de Sylvie, lui arrachant de petits gémissement. Sylvie se penche sur son fils, prend sa bite en bouche, celle qui lei avait craché dedans lors du trajet de retour. Elle était lucide maintenant, et l’appréciait davantage. Elle jouait avec les couilles de son fils, enroulait sa langue autour de son gland, arrachant de profond soupir à Jordan. Hé oui, l’expérience était là.
Puis Sylvie se positionna pour ses faire prendre en levrette, sa position préféré, permettant de glisser sa main sous elle et attraper les couilles du mâle qui la dominé. Les ce soir là, le mâle était performant. Il l’a baisa toute la nuit, dans toute les positions, offrant se qu’elle avait toujours refusé à son mari, comme la sodomie par exemple. Maintenant, Sylvie acceptait tout, c’est elle même qui guidait la queue de Jordan vers ses lèvres intimes Délicatement, Jordan avançait lentement dans la chatte, et s’y installait. Les étreints, retenus jusqu’à maintenant, devinrent plus intense. Les seins dressés s’agite sous les coups de queues incessant de Jordan, les assauts sont plus torride, arrachent des cris de plaisir à Sylvie qui n’en finit pas de jouir. Elle sent la fierté de son fils à chaque orgasme, annonciateur de beaucoup d’autres. Jordan s’avère être un amant exceptionnel. Après une douce sodomie, il change de position, place sa bite au bord des lèvres de Sylvie. Elle a compris le message ; elle ouvre la bouche et engloutit l’objet de tous ses désirs.Elle le garde en bouche, voudrait que cette éjaculation ne s’arrête jamais, qu’elle en boive tout le contenu, jusqu’à ce que ses couilles soient vides. Elle avale tout, à s’en étouffer, puis tout avec douceur, elle enroule sa langue autour du gland et le nettoie.
Ils roulent sur le lit, enlacés, lèvres soudées dans un sulfureux baiser.
Épuise, il se dirige vers la salle de bains, ou là encore, la douche sera coquine, Sylvie nettoyant la queue de son fils avec sa bouche, la faisant coulisser entre ses lèvres. Jordan ne peux résistait et tapisse de sperme la gorge de sa mère. Après la douche, la vrai celle là, ils s’habillent et décident d’aller prendre un verre en ville, au bar des copains de Jordan. La musique joue fort, et Sylvie commence à se trémousser sur un semblant de piste de danse. Elle vite rejointe par des potes à Jordan, qui n’hésitent pas à la prendre par les hanches, laissant leurs mains atteindre des parties plus intimes. Sentant le danger, Sylvie rejoint son fils.
- C’est agréable de se sentir désirée, n’est-ce pas maman. T’as pas assez vécu avec papa.
Après cette nuit passé avec son fils, elle redonnait qu’effectivement, son mari ne lui jamais apporté autant d’attention, qu’elle était parfois invisible à ces yeux. Elle fixa les yeux de Jordan. Jordan tiens à ce que sa mère profite de la vie, aussi il ne dit rien quand il la vit boire plus que nécessaire. Elle se pencha sur son fils, lui murmura à l’oreille.
.- Fais moi vivre lui souffla-t-elle, je veux m’amuser, séduire encore, s’il te plaît, aide-moi.
Tout sourire, Jordan va au bar, murmure à l’oreille de deux potes, Lucas et Rachid. Tous les deux hoche la tâte, puis Jordan proposa à sa mère de rentrer. Il était vingt trois heures.
A peine arrivé à la maison, qu’on sonne à la porte. Là, sous le porche, se tiennent Lucas et Rachid. Jordan les fit entrer.
- Maman, on a de la visite.
Sans se douter, Sylvie apparut vêtue d’une courte nuisette, comme son fils l’avait exigé.
- Quitte ça maman, montre leur que tu es belle.
Sylvie hésite, puis se dit que de toute façon, c’est comme ça que cela va se terminer.
- Elle est pas belle ma mère, sourit Jordan, avancez-vous, vous pouvez la caresser, allez.
Oh, ils osent pas, tu devrais les aider maman.
Sylvie regarde son fils, sent le piège se refermer. Elle saisit leur mains, et les guide elle même sur son corps ? Une sur ses seins, l’autre sur sa chatte. Personne n’ose bouger, lorsque les doigts de Rachid s’agitent sur la chatte de Sylvie, excitent le clitoris.la caresse est douce.
Malgré elle, Sylvie se cambre sur les doigts qui la fouillent, sa respiration devient saccadée.
- Oh non, souffla-t-elle, il va pas me faire jouir comme ça...oh oui...je jouis...Jordan, je jouis…
Rachid Saisit Sylvie par la taille, et l’entraîne à la chambre. Tandis que Lucas et Jordan jouent à la console au salon, ils entendent les cris de plaisirs de Sylvie.
- Oh oui...vas-y...comme tu m’encules putain...ma bouche, crache dans ma bouche. Jordan, Lucas, venez me baiser, j’ai envie de sentir des grosses queue partout en moi. Ma chatte, mon petit trou, ma bouche. Je veux être prise toute la nuit.
C’est finalement Rachid qu’elle choisit pour assouvir ses désirs. Quant à Lucas et Jordan, ils se contentent d’entendre Sylvie crier de plaisir, tout en jouant à la console dans le salon.
Au petit matin, les trois potes proposent un accord, que, bien évidemment, Sylvie accepte.
Le lundi matin, Jordan et Lucas regagne le camps, les vacances sont finis. Sylvie se retrouve seule. Et vola que la météo s’en mêle. Les orages menacent, et Sylvie a une peur bleue des éclairs et de foudre. Elle s’enroule dans les couvertures, mais la peur persiste. C’est à ce moment qui lui vient l’idée d’appeler Rachid. Celui-ci, disponible accepte d’aller la voir. Mais il n’arrive pas seul. Il a emmené sa sœurs Leila avec lui. Sylvie est un peu surprise.
Au bout de la première nuit, tandis que Rachid joue à la console, il entend Sylvie supplier Leila de s’amuser avec elle, de la faire jouir, tandis que celle-ci prend plaisir à faire rouler le clitoris de Sylvie entre ses doigts. Elle rit quand cette dernière atteint l’orgasme..
La météo reste capricieuse pendant la semaine. Autant de nuits ou Sylvie va se soumettre aux caprices de Rachid, mais surtout de Leila.
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