Je m'appelle Clara j'ai quarante deux ans, et ce que je vais partager ici pourrait sembler à un enchevêtrement confus et déconcertant. Cependant la vie n'est pas un livre de règles bien organisé, c'est une mosaïque chaotique d'émotion de choix et de regret .
Tout à commencé de manière anodine, presque banale, comme tant d'histoires qui finissent par prendre
des tournures inattendues. J'étais en paix avec ma routine tranquille, jusqu'à ce que quelque chose, ou plutôt quelqu'un commence à bouleverser ma vie. Lucas, mon fils de dix neuf ans, a toujours été ma plus
grande source de fierté et de joie. Avec son énergie débordante, et sa soif de découvrir le monde, il était ce genre de jeune homme qui illuminait n'importe quel endroit .
Notre relation a toujours été chaleureuse, légère comme une brise de printemps. Je n'aurais jamais imaginé que cette harmonie puisse être brisée, encore moins transformée en quelque chose d'aussi troublant. Nous vivions dans une maison simple, entourée par la verdure des arbres et le silence. A ceux
qui regardaient de l' extérieur, nous étions l'image d'une famille ordinaire mais heureuse. Cependant, à l'intérieur des murs de cette maison, une histoire a commencer à se dérouler, semblable à un œ que personne ne savait défaire .
Un matin, alors que j’étais à l’évier de la cuisine, simplement vêtue d’un court peignoir, Lucas est rentré d’une fête universitaire. J’ai pu constater à sa démarche, qu’il était un peu éméché. A peine ai-je le temps de lui dire bonjour, que je sens es bras me prendre par la taille, m’embrasse chaudement dans le cou.
Je suis surprise quand, calmement, il dénoua la ceinture de mon peignoir, et en ouvrit les pans. J’étais entièrement nue dessous.
- Mais...Lucas, mon chéri, que fais-tu ?
Coincée conte le plan de travail, je ne pouvais me dégager. Je ne pus rien faire quand ses mains ont commencé à parcourir mon corps. Étant divorcé depuis deux, je n’ai eu aucune relation depuis. Aussi, je me laissais aller aux divines caresses de mon fils, même si je savais que c’était mal. Sans un mot, il ôta mon peignoir, ma laissant totalement nue contre le plan de travail. Ce coquin, malgré son âge, savait donner du plaisir au femme, et j’enviais se petites copines du lycée.
Une main remonta sur mes seins encore ferme, faisant rouler les bouts, tandis que l’autre main s’insinuait plus bas entre mes cuisses. Ce matin là, j’avais épilée ma chatte, ce qui avait l’air de le surprendre. Mais ce qui me surpris moi, c’est cette façon de donner du plaisir. Ses doigts lissaient ma fente, pénétraient ma chatte bien humide maintenant, tandis qu’un autre doigt excité mon clitoris, légèrement sorti de son fourreau protecteur. Je me mis à gémir faiblement, mais compris que j’appréciais cet instant.
- Tu aimes maman ?
- Tu dois le savoir si tu fais ça aux filles.
Soudain je lance un bras en arrière, saisissant sa nuque, criais un orgasme que je connaissais plus. Il retira ses doigts, mais continua à caresser ma chatte, comme s’il voulais l’apaiser. Sans un mot, il ramassa le peignoir, et le mit sur mes épaules. Il me donna un baiser dans le cou, et disparu dans sa chambre. Je mis du temps à me remettre de ce surprenant moment de plaisir. Je me dis que s’il avait insisté, je serai certainement allé plus loin. Sous la douche, je réalisais ce que j’avais fait, était-ce bien, étais-ce mal ? J’analysais quand même que c’était mon fils, et que j’avais joui sur ses doigts.
Pendant le repas de midi, Lucas semblait éviter mon regard. Je me demandais s’il réalisait ce qui s’était passé. Il se leva, ses rendit à la salle de bain, se prépara, et sortit rejoindre ses copains.
- Tu penses rentrer tard mon chéri, dis-je pour briser le silence.
- Je sais pas, man ; c’est selon l’ambiance.
Ce soir là, vers vingt trois heures, après avoir regardé un film à la télé, je montais me couchais.
Vers une heure du matin, j’entendis une voiture se garer dans l’allée de gravier. Lucas en sortit accompagné d’une jeune et jolie fille. Il s’appuyèrent conte la portière, et se donnèrent un sulfureux baiser. Je sentis une pointe de jalousie m’envahir. Je me couchais, prenant soin d’ôter la culotte, restant entièrement nue sous ma nuisette transparente. Je fis mine de dormir, quand la porte s’ouvrit.
- Man, il n’y a pas de chauffage dans ma chambre.
- A bon, comment ça, pourtant le chauffagiste à vérifier toute l’installation.
- Comment on fait, dit-il, je peux coucher avec toi.
Je sursautais, mais en même temps, c’est ce que j’espérais. Je fis semblant d’hésiter, de jouer la maman modèle.
- Heu...si tu veux Lucas, dis-je en ouvrant le lit.
C’est en se faufilant sous la couverture, que je m’aperçus que mon fils était totalement nu, et en effleurant involontairement son sexe, je m’aperçus aussi qu’il avait les atouts pour rendre un femme heureuse. Je me cantonais au bord du lit, mais quand il se tourna vers moi, je sentis sa queue tendue frôler mes fesses. Sans hésiter, je me retournais, lui fis face pour le réprimander, mais mon corps réagissait autrement, me disait de me laisser aller aux plaisir. On se rapprocha dans un douce étreinte, qui peu à peu, devint plus intense. Nos langues se nouèrent dans un sulfureux baiser, nos mains exploraient nos corps. Le sien était encore jeune, plein d’énergie.
Cette nuit là ressembla à une initiation. Je fis découvrir à mon fils ce qu’une femme désire de son partenaire, et ce qu’elle peut apporter de part son expérience. Je lui fis bénéficier cette nuit là, de faveurs que ses copines faisaient maladroitement. Il me pris dans différente position, celle que je lui imposais. Il me prit en levrette, une position que j’adore, et qui permet de facilement de passer d’un orifice à l’autre facilement. Après ma chatte, mon petit œillet, je termine sur une fellation dans laquelle je m’investis totalement, à la grande surprise de mon fils. Lucas est encore plus surpris quand j’avale toute sa sperme, et enroule ma langue autour de son gland pour le nettoyer.
On finit par s’endormir dans les bras l’un de l’autre. Quand je me réveillais, je remarquais l’érection matinale de Lucas, et n’hésita pas une seconde pour la prendre en bouche. Puis je sentis une main caresser mes cheveux.Trois minutes plus tard, je pris un succulent petit déjeuner gourmand fait du jus épais de mon fils. Après une douche coquine, Lucas quitta la maison, et rejoint l’université.
- Sois prudent mon fils, lui dis-je en lui prenant les lèvres. Reviens quand tu veux.
- Je sais pas, man, on doit partir une semaine avec ma copine, mais on est pas trop fortuné.
La demeure était assez grande. Je lui proposais de passer la semaine ici, si sa copine était d’accord. Il y a la piscine, on peut faire des randonnées. Je le mis à l’aise, lui disant qu’il serait ici comme chez eux.
- C’est sympa, man, j’en parle à Corine, et je te tiens au courant. Bisous, man, je t’aime.
Moi aussi je t’aime mon fils, pensais-je en lui faisant un signe d’au revoir. J’aurai pu lui donner de l’argent pour sa semaine de vacance, mais après ce qu’il s’est passé, je préférais le sentir près de moi.
Puis, la fameuse semaine arriva. J’accueillis Corine comme si c’était ma fille. Corine était d’une beauté à couper le souffle. Je dois reconnaître que Lucas a du goût. Mais elle aussi, car mon fils est non seulement très beau, mais en plus, il a de quoi satisfaire une femme.
Le premier jour se passa à faire connaissance, faire visite la maison et le domaine, situer la piscine. Le lendemain était la Saint-Valentin. Connaissant leur budget serré, je décidais d’aller en ville avec Corine. Après avoir trouvé une magnifique montre pour Lucas, j’emmenais Corine dans les boutiques huppés de la ville. Elle choisit de vêtements simples. correspondant à son âge. Puis elle dit avoir besoin d’un maillot. Elle en essaya mas mal, puis flasha sur un.
- Quand pensez-vous, dit-elle en ouvrant le rideau.
Je restais scotchée devant ce que je voyais. Un ensemble deux pièces qui mettaient ses superbes courbes en valeur. Elle avait de longues jambes, des hanches faites au tour, et des seins orgueilleux bien fermes au bout dressés. Je lui dis qu’elle était magnifique. Elle se pendit à mon cou, m’embrassa pour me remercier.
Les soir, je préparais un succulent repas, avec du bon vin. Je fus surprise de voir Corine participer à la mise en place de la table, et à la débarrasser pour le dessert, pas comme certaine qui mettent les pieds sous la table et vous laisse tout faire. A table, mon regard allait de Lucas à Corine, les trouvais très beau. J’étais un peu jalouse de savoir qu’ils allaient passer la nuit ensemble.
Le vin faisant son effet je m’excusais et regagné ma chambre. Il était dix heures. Peu de temps après, j’entendis la porte de la chambre d’amis se fermer. J’entendis Corine vanter ma beauté auprès de Lucas, lui disant qu’il avait une mère très séduisante, très accueillante. Puis le silence laissa la place à des gémissements, des cris de plaisir. Tout ceci m’excitait. J’ôtais ma nuisette, et commençais à me caresser. Au bout d’une heure et demi, les bruits ont cessés. Seul le bruit de la douche résonnait dans la maison.
Alors que je commençais à m’assoupir, je sentis des mains parcourir mon corps, explorant mon intimité. Je sentis des doigts ouvrir mes lèvres intime, remontait sur mon clitoris. Non seulement je repoussais ces caresse, mais les acceptais. Puis les doigts me pénétrèrent, faisant de lents va et vient dans ma chatte.
- C’est bon dit Corine d’une voix calme...vous me dites si je dois arrêter.
- Non, s’il te plaît...continue...branles moi...oh mon Dieu.
Corine insista, savait que j’allais me soumettre à son bon vouloir. Je n’en finissais pas de jouir, tandis qu’elle poursuivait ses odieuses caresses. Je voulais lui rendre le plaisir qu’elle me donnait, mais j’étais novice dans ce domaine, et me sentais maladroite. Soudain, un poids s’abattit sue le lit. C’était Lucas qui se jetait entre nous. Le lit devint un terrain de jeux ou j’étais le jouet principal. Lucas et Corine jouaient avec, utilisaient touts les partis de mon corps. Je me tordais comme un ver sur les draps, gémissant à tout rompre. Je hurlais soudain un terrible orgasme, le premier d’une longue série.
La nuit fut torride. Lucas m’a baisée, sodomisée, le l’ai sucé, avalé ; Corine m’a bouffée la chatte, le lui est rendu, parvenant à la faire jouir.
Nous nous sommes finalement endormis, nos corps enchevêtrés l’un dans l’autre, rêvant déjà au quatre jours de vacances à venir.
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