Ma tante Mathilde quel cochonne !!

Récit érotique écrit par admin le 11-01-2010
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Catégorie Inceste

Je connais Mathilde depuis toujours, la meilleure amie de ma mère (que je traitais de tante parce qu’elle se faisait appeler comme ça) l’avait adoptée quand elle était une fillette. Après je ne l’ai jamais plus revue, puisque nous habitions dans le Nord, à Lille. De temps en temps, on s’écrivait, en nous traitant de cousins, et voilà, je l’ai retrouvée il y a deux mois, au mariage de mon frère Hugo. J’ai eu du mal à reconnaître la petite fille d’autrefois dans la peau de cette formidable femme de 24 ans, qui est accourue vite m’embrasser, dans une étreinte forte et chaleureuse. Mes bras autour de sa petite taille, je l’ai serrée contre moi, dans un geste involontaire mélange d’attraction physique et d’amour familial. Je n’en crus pas mes yeux, en sentant sa poitrine contre la mienne, puisque ses gros nichons (visiblement retouchés) me faisaient languir. Ses yeux bleus éblouissants, ne cessaient de me mater, un peu partout, comme si elle voulait m’explorer jusque dans les moindres détails. Et puis, quand la fête commença, elle n’hésita pas une seconde à venir danser avec moi, avec des mouvements très sexy. On dirait qu’elle était comme excitée et que nos retrouvailles avaient éveillée en elle pas mal d’idées coquines. À un moment donné, je l’ai poussée par accident, et elle faillit tomber. Excuse-moi cousine, lui dis-je tout en la tenant par la taille. En écoutant ces mots, elle s’est approchée de moi et, d’une voix très sensuelle, me chuchota à l’oreille : je ne suis pas une vraie cousine, on va dire qu’on est amis… Après, elle sourit en voyant dans quel état sa petite déclaration m’avait mis. J’avais tout compris et cette révélation venait de changer complètement les règles de la situation. J’étais comme pris d’une folle envie de sexe, avec elle. Je voulais à tout prix l’emmener dans un coin plus calme, peut-être dans ma voiture ou bien aux toilettes, afin de continuer à explorer avec les mains ce corps merveilleux que mes yeux m’avaient fait découvrir. Je l’ai invitée à sortir de la salle et on est parvenus à se faufiler au milieu des gens qui dansaient sur la piste. Elle me prenait par la main et ses doigts étaient trempés de sueur, tellement on avait dansé et bougé. Je l’ai conduite sous un escalier où personne ne pouvait nous voir. Mathilde souriait et ses lèvres charnues me suggéraient toutes sortes de cochonneries. Rien qu’à sentir la chaleur de son corps contre le mien, je bandais comme un fou et cela semblait beaucoup l’amuser. Je ne pouvais plus attendre, et malgré le fait que toute la famille était dans la salle d’à côté, j’ai glissé ma main sous sa jupe, et je l’ai retirée tout de suite en constatant, étonné, qu’elle ne portait pas de culotte. C’était le signal que j’attendais pour agir, mais Mathilde, préféra s’en occuper elle-même et, sortant mon sexe par la fermeture de mon pantalon, elle le fit glisser dans sa foufoune chaude et humide. Je la pénétrais avec des mouvements très doux et elle faisait de son mieux pour taire ses cris, qui, de temps en temps, s’échappaient à voix très basse. La tension sexuelle entre nous était si forte que je devais m’arrêter souvent, pour ne pas jouir. Elle était debout, les jambes un brin écartées, et moi, je la soulevais légèrement pour que ça rentrât à fond, dans son vagin. Je me disais tout le temps, que, malgré sa simplicité, c’était la plus belle femme que j’avais réussi à aborder et, pendant que mes va et vient se faisaient de plus en plus rapides, je tripotais ses seins avec ma langue. Je sentais les muscles de sa chatte serrer puissamment mon pénis et cela augmentait mon ardeur, au point d’y aller avec une force sauvage, qui semblait lui plaire. Elle me chuchotait à l’oreille des mots incompréhensibles puisque j’étais étourdi, sous le double effet de mon excitation et de l’alcool. Juste avant de jouir, la cousine Mathilde fit sortir mon pénis et, en s’agenouillant, elle me pria de lui balancer mon sperme dans sa petite bouche vicieuse, qui me rendait fou. Je n’ai pas eu le temps de trop réfléchir là-dessus puisque l’orgasme me prit d’assaut au milieu de secousses violentes mais très jouissives. Après avoir joui, une idée m’est venue à l’esprit et je ne pus m’empêcher de lui dire : -Tu ne vas pas jouir ? Tu me prends pour un de tes… clients ?!- Au lieu de me gifler la gueule, Mathilde sourit tout de suite, en me disant : -Comment t’as su ?- ce à quoi je répondis : Je ne sais pas, mais je l’ai su rien qu’en te voyant agir- et, la prenant par la main, je l’ai reconduite dans la salle où nos deux familles continuaient à danser.

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11-01-2010 4 22113

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