J’étais encore étudiant à la fac à Rabat (Maroc) et je partageais la chambre avec un gars un peu plus âgé que moi et nous faisions, par le plus pur des hasards les mêmes études, c’était pratique on pouvait travailler le soir ensemble sur les matières de la journée et on se complétait quand on n’avait pas compris un cours.
Deux fois par semaine, il s’en allait en fin d’après midi besogner, moi je n’avais pas ce problème puisque mes parents m’envoyaient de l’argent, en plus de la bourse universitaire.
Le sachant parti pour un bon moment, je préparais mes vêtements pour passer un bon après-midi : bas noir, robe en vinyle, string, soutient gorge et porte jarretelle, perruque, maquillage sont sur mon lit et n’attendent plus que moi.
Apres une bonne douche parfumée, un bon rasage, me voila en train de passer mes bas, porte jarretelle, le string et le soutien gorge, la robe et le corset en vinyle, me sachant seul je ne me presse pas pour me transformer en Laila
Une fois habillée, je passe dans la salle de bain ou je me maquille rapidement, je n’aime pas trop ce moment, j’ai encore du mal à tout mettre bien en place, ma main tremble encore d’excitation, dû au reflet renvoyé par le miroir, mon clito sort de son écrin de dentelle, je n’arrive plus à le ranger à sa place, il faut que je me calme.
Je suis seule maintenant dans l’appart vide mon colocataire est parti travailler ; j’ai bien plus de 3 heures devant moi, je passe devant la glace, je me regarde, j’ajuste la robe, le corset, les bas, ça m’excite.
Je m’installe devant la télé pour regarder une série, quand j’entends la clé dans la porte, je suis terrorisé, je ne peux pas m’enfuir et me cacher, c’est sur cette fois il va me voir habillé en fille.
Moi qui ne m’habille en fille que pour le plaisirs d’être quelqu’un d’autre et passer un bon moment, qu’est ce qu’il va penser de moi ?
Il rentre, pose ses clefs, lève les yeux et me voit dans cette tenue plutôt féminine, il reste figé et me dit « bonsoir mademoiselle » après un instant, il réalise que c’est moi devant lui et me demande si je vais bien, je lui réponds que oui, il me dit qu’il n’est pas vraiment étonné de me trouver dans cette tenue car j’ai, d’après lui, des attitudes féminine, et me dit qu’il aurai aimé avoir une petite sœur comme moi.
Je suis devant lui comme ça, je me sens prise au piège un peu comme quand on se fait attraper lorsqu’on fait une bêtise quand on est enfant, ou quand on se retrouve en guêpière au milieu d’une place ou tout le monde te regarde.
Il me prend dans ses bras et me dit que cela sera notre petit secret, que maintenant je ne serais plus obligé d’attendre qu’il soit parti pour me transformer en Laila.
Il n’en parlera a personne, c’est déjà ça, j’ai pas envie que tout le monde se foute de ma gueule a la fac.
Depuis ce jour, je rentrais avant lui, je trouvais un petit mot sur la table, des instructions sur les vêtements qu’il aimerait que je porte, ou alors sur le lit délicatement posée ma tenue pour son retour.
De temps en temps un petit cadeau, une robe de soubrette en vinyle que je porte pour faire le ménage.
Je suis sa petite femme, il continue à m’offrir des dentelles de toutes sortes que je porte sous mes jeans et chemises pour aller suivre les cours à la fac, je sais que ça l’excite.
On a passé 2 ans comme ça, à être mari et femme, on s’est revu et puis l’on s’est éloigné et perdu de vue, la vie nous a séparés.
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