Cécile, jolie blonde de trente huit ans, fait, comme tout les dimanches,
son footing dans une forêt proche de chez elle.
Elle est accompagnée de sa fille Elsa, très belle blonde de dix huit ans.
Elles sont vêtues d'un short flottant, et d'un petit haut qui leur couvre les seins.
Le circuit fait un kilomètre, qu'elles parcourent cinq fois.
Cécile attache sa queue de cheval, et les voilà parties.
Le parcours se déroule sans encombre, quand soudain, dans une courbe, un chien traverse le chemin.
Deux blacks, promenant au bord du sentier, appellent l'animal.
-Alors le chien, il n'a pas de laisse, rouspète Cécile, c'est pas vrai, quelle éducation.
Les deux femmes continuent leur course, légèrement en colère.
Au deuxième passage, ce sont les deux blacks qui se trouvent au milieu du chemin.
-Encore, hurle Cécile, vous pouvez pas promener ailleurs, connasses.
Gladys, quarante ans, pas mal foutue, regarde sa fille Cassie, dix neuf ans, très jolie aussi.
-Mais, on se fait insulter, fait remarqué Gladys, elles se prennent pour qui.
-Tu veux qu'on leur disent d'être plus polies, demande Cassie.
-Non, on va les calmer, poursuit Gladys
Le troisième passage est fatal. Dans la même courbe, Cécile
et Elsa, sont littéralement happées, et projetées dans le sous bois. Les quatre femmes roulent sur l'herbe.
Gladys saisit Cécile par la taille, et la bloque au sol, ventre et visage contre terre.
Les deux autres filles se sont relevées, et Cassie, placée derrière Elsa, la maintien d'un bras passé autour du cou, et l'autre passé autour de la taille.
Gladys à arraché le bustier de Cécile.
-Mais, lâchez moi, dit Cécile, qu'est-ce-que vous faites.
Vous allez voir, çà va pas se passer comme çà. Arrêtez.
-La connasse va te mettre un raclée, tu vas t'en rappeler longtemps, répond Gladys.
Les deux bras de Cécile sont coincés dans son dos par le poids de Gladys. En un tour de main, elle baisse le short de Cécile, laissant apparaître une belle paire de fesses toutes toutes blanches. Elle commence à la fesser.
-Aie..aie, se plaint Cécile, çà fait mal.
Elsa, stupéfaite et toujours maintenue par Cassie, assiste , impuissante à la scène. Et elle n'est pas au bout de ses surprises.
-Chut, chut, répond calmement Gladys. On va jouer un peu toute les deux.
Gladys est une force de la nature. Une force herculéenne.
Elle se tourne sur le dos, entraînant Cécile avec elle. Elle glisse ses jambes entre celles de Cécile, et les écarte , écartant de ce fait, celles de son adversaire.
Et Gladys a une main de libre.
Doucement, elle caresse le ventre de Cécile, puis descend vers son entre cuisse. Elle écarte le short par l'entre jambe, et fait courir un doigt sur les lèvres de Cécile.
-Non, mais c'est quoi çà, se débat Cécile, enlevez vôtre doigt de là, de suite ou je crie.
-Mais crie, mon trésor, ironise Gladys. Personne t'entendra.
Même quand tu vas crier de plaisir.
Cécile essaie de libérer ses jambes, mais Gladys est trop forte. Peu à peu, ses forces l'abandonnent. Elle commence à se soumettre. Elle sent même une agréable chaleur au creux de son ventre. Gladys quitte le short. la main de Gladys part à l'assaut du sexe de Cécile, la fouillant avec deux doigts, excitant le clitoris avec son pouce.
Cécile se dresse sur ses pieds, cambrant son corps pour mieux recevoir les caresses. Sa respiration s'accélère, elle râle de plaisir. Elle est toute mouillée.
-Oh ma chéri, gémit Cécile, regarde la dame ce qu'elle fait à la chatte de ta maman. Regarde comme elle a décalotté mon clitoris. Ha, que c'est bon, maman va jouir devant toi.
-Tu te régales salope, dit Gladys. Tu te fais doigter par une Black, hein? Vas-y, bouge ton cul.
-Ha..ha..ha, oui, je jouis, n'vous arrêtez pas, oui, oui. Elsa, fais-toi caresser, toi aussi, prend du plaisir.
-Maman, ma petite chatte est toute mouillée. Et mes seins, regarde comme elle fait rouler les bouts entre ses doigts, dit Elsa.
-Ma chérie, moi c'est mon petit bouton qu'elle fait rouler.
Cassie a pris possession du corps d'Elsa, toujours debout, jambes écartées, entièrement nue.
-Tu sens comme je te chatte, sourit Cassie. Ton petit aime, et ton petit bouton, comme il est dur ce vilain.
-Hou..hou, gémit Elsa, çà y est je jouis, ma chatte coule, oui, oui, vas-y, gratte, ha..ha..ouiii.
Gladys joue toujours avec le corps ce Cécile. Deux doigts branlent violemment la chatte, tandis que le pouce gratte le petit trou.
-C'est pas vrai, soupire Cécile. Ou avez-vous appris à vous servir d'une femme comme çà. Oh putain, que c'est bon.
-Je suis en train de te maquer, hein? Petite pute.
Gladys, sentant que Cécile aller venir, la bascule sur le dos, et demande à Elsa de s'approcher.
-Regarde ta maman, dit Gladys, elle a encore envie tu sais, tu veux la caresser.
-Mais, madame, j'oserai jamais, c'est ma mère.
-Vas-y ma chérie, supplie Cécile, fais du bien à ta maman.
Vois comme mon bouton est sorti, grattes-le , s'il te plaît.
Chattes…. ta maman.
Elsa ferme les yeux, s'accroupit, avance une main entre les cuisses de sa mère, et pince le clitoris avec deux doigts.
-Oui, ma chérie, comme çà, gémit Cécile, rentre bien tes doigts maintenant, bien profond, voilà, vas-y. Tu me fais jouir, que tu es bonne ma fille.
Cécile profite de la position de sa fille, pour glisser son majeur entre ses lèvres humides.
-Oh, fait Cécile, mais ta petite mounette est pleine de mouille toi aussi, et ton petit bouton est tout décalotté.
-Maman, tu me fais cracher, putain, que c'est bon d'avoir une petite chatte. Hou..hou..ouiiiiii,je jouiiis.
D'un coup, un hurlement traverse la clairière. Elsa et Cécile se retournent. Gladys est toute nue, cuisses entièrement ouvertes. Sont corps est pris de soubresauts, ses jambes s'agitent, glissent sur l'herbe.
Cassie, sa propre fille est en train de la doigter. Elle a un orgasme terrible, des jets de jouissances giclent de sa chatte. Cassie tire sur le clitoris énorme de sa mère.
-Je t'ai matée, sourit Cassie, tu sens ta fille comme elle te gouine, sale pute. On va bien s'amuser toute les deux.
Tu en veux encore?
-Oh oui, s'il te plaît, soupire Gladys, fais moi mal.
De voir comment Cassie domine sa mère, Elsa saisit Cécile par sa queue de cheval, et l'oblige à s'allonger.
La tête de Cécile se trouve contre celle de Gladys.
Elsa, copiant Cassie, enfonce deux , puis trois doigts dans la chatte de sa mère.
-Chérie, hurle Gladys, tu vas encore me faire jouir. Vas-y mon amour, branle bien ta maman.
-Sale pute, gronde Cassie, à partir de maintenant, quand on sera seule à la maison, mini jupe, et rien dessous, c'est compris?
Elsa se penche sur sa mère.
-Tu as entendu, reprend-elle, pareil pour toi, ok?
Cécile et Gladys se trouvent leur bouche une contre l'autre.
-Que c'est bon, soupire Gladys, que ma fille me fait du bien je vais encore jouir.
-Moi aussi, gémit Cécile, je mouille comme une pute. On va jouir ensemble.
-Ce serai bien, poursuit Gladys.
-Ha..ha, crie Cécile, embrasse-moi sale black.
Le cri est unanime, les deux femmes jouissent ensemble, leur langue emmêlées dans un baiser torride. Elles sont épuisées.
Elsa et Cassie, fière de leur domination, s'allongent une contre l'autre, et commence à se caresser.
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