La réaction de mr Barbey ne se fait pas attendre.
-Mr Barbey: "Vous avez quel age? 4 ans?, Grégoire, Maxime, Hugo vos carnets sur mon bureau tout de suite."
-Grégoire ( à voix basse, regardant Virginie): "Salope!"
-Mr Barbey: "Comment?, je crois que j'ai mal entendu là, alors de l'observation, nous passons directement à l'avertissement pour injure envers ses camarades pour monsieur Grégoire".
Et ben, oui, mon cher Grégoire, mr Barbey n'est pas trés jeune, mais il n'est pas encore sourd.
Aprés ça, mr Barbey, puisque je suis son correspondant, me demande de conduire Aaron à l'infirmerie.
Je passe le bras d'Aaron autour de mon cou pour qu'il puisse s'appuyer sur moi pour marcher et nous quittons la salle.
Aprés quelques pas, le couloir est désert, la porte du bureau du surveillant général est fermée, personne en vue, alors avec délicatesse je prend mon Aaron dans les bras afin de le porter jusqu'a l'infirmerie.
Il me semble si leger que je le porterais comme ça jusqu'au bout du monde.
Son visage s'illumine alors et les larmes laissent place au rire.
-Aaron: "Tu etre fou."
-Moi (tout en riant aussi): "oh oui, je suis fou, complètement fou.....de toi".
Un doux baiser vient alors se poser sur mes lèvres.
-Aaron: " Et moi etre absolutly crazy of you."
Nous échangeons un autre petit baiser, mais nous voici arrivés.
Je repose alors Aaron à terre et repasse son bras derrière mon cou afin de l'aider à passer la première porte vitrée.
Je toque à la deuxième porte,..... personne ne répond.
Passe alors Anne-Sophie, elle nous voit à travers la porte vitrée et se dirige vers nous.
-Anne-Sophie: "Que se pase t'il Chris?"
-Moi: "Mr Barbey m'a demandé d'emmenner mon correspondant à l'infirmerie".
Je lui montre l'écorchure d'Aaron.
-Anne-Sophie: "Le problème c'est que l'infirmière est en réunion avec la principale adjointe et qu'elle en a au moins pour une heure."
-Moi: "Aie, on fait comment alors?"
-Anne-Sophie: "Montre moi ça (elle regarde la blessure d'Aaron), je pense qu'un peu d'alcool, du mercurochrome et un pansement devraient suffire, mais là, j'ai vraiment pas le temps il faut que je retourne m'occuper de la perm."
-Moi: "On fait comment alors?, il ne peut pas rester comme ça".
A notre grande surprise, elle me demande si je peux m'en occuper.
-Anne-Sophie: "Je compte sur toi Chris, je te fais confiance, aprés tu ranges tout et vous refermez bien la porte."
-Moi: "Aucun problème, c'est promis."
Ce qu'elle est sympa cette Anne-Sophie, mais d'un autre coté elle ne passe pas son temps en compagnie de Laurent pour rien.
Une fois Anne-Sophie partie, nous entrons dans l'infirmerie et je fais asseoir Aaron sur le lit.
Je récuppère dans l'armoire tout ce qu'il me faut pour lui soigner son bobo.
Afin de lui soigner au mieux son écorchure, il serait préférable qui retire son pantalon.
Je le lui dis et Aaron s'execute avec plaisir.
Je soigne sa plaie en faisant bien attention de ne pas lui faire mal.
Il me regarde tout sourire les yeux brillants.
Et voila un joli petit pensement pour le plus adorable des garçons.
Soudain.....
Soudain, le regard d'Aaron, le fait qu'il soit là à demi-nu devant moi et le fait d'etre seul dans cette pièce avec lui me donne une idée.
Une idée exitante, mais qui me fais peur aussi au cas ou l'infirmière ou Anne-Sophie ne revienne, mais tant pis, l'occasion est trop bonne.
-Moi: Tu as envie qu’on aille un peu plus loin?
-Aaron (avec un lèger soupir de plaisir): "Oh, oui, je ne oser le demander à toi."
Quel délicieux petit coquin!
Il enleve alors son pull, puis son tee-shirt.
Je me met à genoux devant lui et lui retire ses chaussures.
Puis je l'allonge doucement sur le lit.
Je constate que déjà son boxer laisse entrevoir une magnifique érection ce qui a le don de me faire des frissons dans tout le corps.
Avec délicatesse je lui retire le dernier rempart m'empéchant de retrouver son joli sexe brulant.
-Aaron (soupirant): "Ooooooh my looooooove."
Sur ces mots, nous échangeons un long baiser langoureux.
Puis je descend au niveau de son sexe recouvrant son torse et son ventre de 1000 baisers plus humides les uns que les autres.
Je l'étend bien sur le dos pour prendre sa merveille en bouche et commencer à le sucer.
Aaton se tortille de plaisir tout en faisant de lents mouvements avec son bassin.
Il gémit tendrement.
-Aaron: "Oh ce que ce être bon".
Je sort un instant sa friandise de ma bouche pour lui lècher alors ses belles couilles.
Ses gémissement laisse place à de petits cris de jouissance.
Je reprend son sexe qui n'a pas débandé d'un poil.
Au bout de seulement quelques va et vient il explose dans ma bouche.
De sentir le liquide chaud de mon amour sur ma langue me rend fou.
J'avale son jus sucré.
Je le fais se retourner et passe ma langue de sa nuque jusqu'a son dos, puis je descend jusqu'a son beau petit cul imberbe.
Il se tortille sur le lit, encore plus quand je pousse doucement ma langue à l'intérieur de son beau cul tout rose.
Je ne veux pas non plus aller trop vite alors je me relève et commence à me déshabiller.
Aaron, un sourire merveilleux sur les lèvres ne me quitte pas du regard.
Mes vetements rejoingnent les siens sur le fauteuil face à nous.
Lorsque je retire mon pantalon, il ne perd rien de l'érection encore caché par mon boxer.
Il se redresse et commence un petit jeu érotique qui me fait bander encore plus.
Au lieu de me retirer directement mon boxer il passe sa main à l'intérieur et la fait petit à petit glisser vers mes douces petites fesses.
Un de ses doigts vient titiller mon anus, puis sa main prodigue de tendres carresses sur mon cul.
Son autre main vient s'introduire à l'avant du boxer attrapant directement mon sexe qui est pret à lui gicler dans la main tant l'exitation est grande.
Aprés quelques instants de plaisir grace à ce petit jeu, Aaron me retire enfin mon boxer et me voila autant nu que lui ne l'est.
Il me fais allonger à mon tour sur le lit et prend mon sexe bandé en bouche.
Que c'est bon de sentir cette douce chaleur sur ma bite.
Son index vient se poser sur mon petit trou du cul.
Je ne peux alors retenir ma jouissance plus longtemps.
Tout en gémissant je lui remplit la bouche de plusieurs jets de sperme chauds, qu'il avale aussitot.
Il a à ce moment là les yeux rempli d'une certaine émotion.
Bien entendus, nous aimerions aller encore plus loin tant nous sommes bien, mais la peur est quand même là.
L'infirmière ou même Anne-Sophie pourrait arriver à n'importe quel moment.
Ce serait vraiment trop risqué de nous faire surprendre ici dans notre nudité la plus totale.
C'est pourquoi aprés nous être nettoyés, avec beaucoup de frustration, nous nous rhabillons.
J'aide mon petit amour à remettre son pantalon pour que le tissus ne frotte pas trop sur sa plaie qui lui fait encore un petit peu mal.
Soudain, merde, le cours de maths, qu'allons nous raconter à mr Barbey ?
La voix de la sagesse parle encore:
-Aaron: "Nous avons qu'à dire nous le vérité".
-Moi (en riant): "Tu veux lui raconter comment je t'ai soigné, déshabillé et comment nous avons fait l'amour ?"
-Aaron (riant lui aussi): "No, je croire que nous contenter de raconter le réunion de infirmière."
-Moi (toujours hilare): "Oh zut, j'étais bien parti pour lui raconter tout en détails."
Et c'est sur ce fou rire que nous regagnons la salle.
Lorsque nous entrons dans la salle la reflexion arrive aussitot.
-Mr Barbey: "Vous en avez bien mis du temps."
Je me retiens de rire en repensant au fou rire que nous venons d'avoir avec Aaron.
J'explique alors la réunion de l'infirmière et le passage d'Anne-Sophie.
Je mens un peu en disant que c'est elle qui a soigné mon cher Aaron.
Mr Barbey gobe cette explication bidon et nous demande de vite nous asseoir.
Je remarque alors que tout le monde a changé de place, et que élèves et correspondants sont réunis.
Chic, mon amour sera assis tout prés de moi.
Chic, chic Grégoire a dégagé au fond de la salle.
Chic, chic, chic, Charlie et David sont juste derrière nous.
Quand nous prenons place, ils nous adressent un clin d'oeil. Mr Barbey retourne vers le tableau reprenant ses explications.
Le temps passe et moi qui suit d'habitude assez attentivement les cours de maths, je commence à m'ennuyer.
L'effet Aaron y est trés certainement pour quelque chose.
My love doit lui aussi trouver le temps long puisqu'il me regarde de temps à autre en soupirant légèrement.
Tenter quelque chose en plein cours serait vraiment trop risqué, c'est pourquoi nous nous contentons de quelques effleurement de nos mains au moment de tourner les pages du livre d'exercices.
Même nos pieds ne peuvent pas s'entrelacer, notre bureau étant trop prés de celui de mr Barbey.
Ouf, regardant ma montre je m'aperçois que l'heure de la récré est toute proche.
Plus que cinq petites minutes de cours.
Et voila, la sonnerie retentie, mais quelle douce mélodie à mes oreilles car elle signifie que nous allons pouvoir nous retrouver un peu tranquille avec Aaron, Charlie et David.
Nous sortons de la salle et nous dirigeons vers nos casiers pour ranger nos affaires de maths.
Au même moment Virginie de son casier nous fait signe de la rejoindre.
Nous nous approchons en nous demandent ce qu'elle peut bien vouloir.
Peut etre parler de ce qui s'est passé en première heure de maths ?
Oh la la, je crois que notre petite discution va trés bientot avoir lieu.
Je suis super nerveux ne sachant encore trop quoi lui dire.
En plus, bizarre, mais elle est seule à coté de son casier, pas de copines, ni de correspondants dans les parages.
Je suis encore plus nerveux.
Ma nervosité doit se lire dans mes yeux puisque Charlie me dit en riant:
-Charlie: "Hé ! du calme, elle va pas te bouffer".
-Moi (sans rire): "J'en suis pas aussi sur que toi."
Nous voici à coté de Virginie, elle nous regarde, regarde autour d'elle et nous dit:
-Virginie: "Maintenant on va bien rire".
Je vois alors sur son visage un regard que je ne lui connait pas, comme quelque chose de sadique.
Tout comme elle l'a fait avec nous, la voici qui fait signe à Grégoire de venir.
-Moi (sur un ton sec): "Ah, non, ce connard nous a assez fait chier en maths, je voudrais passer une récré tranquille. Vaut mieux pas qu'il vienne car je crois que je pourrais me servir de lui comme d'un punching-ball."
Virginie ne répond que par un clin d'oeil et par un "t'inquiète".
Lorsque Grégoire (et "ses petits toutous" ) arrive, il branche aussitot Virginie.
-Grégoire: "qu'est-ce que tu me veux ?, ça t'a pas suffit que je me prenne un avertoche en classe par ta faute ?"
Putain, il est sacrément gonflé le salaud.
De la faute de Virginie et puis quoi encore, son avertissement il se l'est bien cherché en la traitant de "salope".
Virginie enchaine aussitot.
-Virginie: "Ecoute Grégoire, je pourrais etre super rancuniaire et te décalquer la tete (Grégoire esquisse un rire) pour ce que tu m'as dis tout à l'heure. Mais je préfère plutot qu'on fasse la paix tout les deux."
Merde, elle va quand même pas pactiser avec cet enfoiré et sous mes yeux en plus.
-Virginie: "Tiens pour te montrer que je ne t'en veux pas, je te donne ça."
Elle tend à Grégoire une espèce de petit bonbon qui ressemble à une pastille au miel.
-Moi: "Venez, les gars on se tire, j'en ai assez vu comme ça."
Mais Virginie me retiens.
-Grégoire: "Tu veux que j'en fasse quoi de ton stupide bonbon ? Tu crois m'acheter avec ça ?"
-Virginie: "Prend le, pour moi c'est signe qu'on oublie tout."
Grégoire prend le bonbon, l'avale et sans demander son reste se dirige vers la cour, toujours ses toutous aux fesses.
-Virginie: "Maintenant on va bien rire."
La voila à nouveau avec ses yeux de sadique.
-Virginie: "Je vous conseille de jeter un oeil sur lui de temps en temps, ça risque d'etre marrant. A tout à l'heure."
Elle ferme son casier et rejoins la cour.
Aaron, Charlie, David et moi, nous regardons interloqués.
Pour quelle raison devrions nous surveiller Grégoire et qu'est-ce qui risque d'etre marrant ?"
C'est super bizarre.
Nous décidons de nous placer sur les premières marches de l'escalier qui se trouve juste à coté des casiers.
De cette façon, par la porte vitrée nous avons une vue d'ensemble sur une partie de la cour et sur la bande des cons en folie.
Notre discutions vient immanquablement sur la petite pause calin à l'infirmerie.
-Charlie (en riant): "Dis donc, c'est moi ou ils ont déménagé l'infirmerie pendant la nuit ?"
-Moi (riant aussi): "mais non, t'as rien compris, l'infirmière était en réunion et j'ai carrément du emmenner Aaron chez le medecin traitant au centre ville, voila pourquoi on a été si long."
Et là David sort un truc qui nous fait hurler de rire.
-David: "Ouais et le marmotte mettre chocolat dans le papier de alu."
Aprés avoir calmé notre fou rire, nous racontons comment Anne-sophie nous a laissé seuls à l'infirmerie, puis notre petit calin.
David tout en nous écoutant a encore son regard brillant, rêveur, le même qu'il avait ce midi à la cantine.
Je me demande si de la gay attitude ne sommeillerait pas en lui...
Mais je ne peux lui poser la question, il serait sans doute beaucoup trop géné.
Ola, autant la deuxième heure du cours de maths est passée super lentement, autant la récré passe super vite.
Plus que quelques minutes.
Nous sortons du batiment et nous dirigeons vers les lavabos des toillettes pour boire.
Je me dis en même temps que Virginie nous à bien pris pour des cons avec son "Maintenant on va bien rire".
Grégoire tchache toujours prés des tables de ping-pong, mais rien ne se passe.
Quoi que.....
Soudain....
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