Je le fais coulisser dans un lent va et vient.
Aaron se laisse aller et donne de légers coups de bassin.
Là les carreaux de la fenetre me renvoient une vision de rêve.
Je me vois à genoux devant Aaron son sexe totalement dans ma bouche.
Lui quasiment nu, se tortillant de plaisir chaque fois que ma bouche coulisse sur son pénis.
Soudain il me prévient qu'il va bientot jouir.
J'ai tant envie de recevoir son jus d'amour dans la bouche, qu'il me remplisse de son sperme chaud.
Aaron se cabre et dans un ultime va et vient, il éjacule m'offrant son sirop dans une vague de sperme sucré.
Je le regarde droit dans les yeux.
Il se mord la lévre inférieure et gémit en fermant un peu les yeux.
Je garde quelques secondes sa précieuse semence dans ma bouche, puis l'avale doucement avec passion.
Je me redresse et vient déposer mes levres sur les siennes.
Nos langues se font un doux passage dans la bouche de l'autre et entament un doux ballet, la mienne ayant surement le gout de son sperme.
A mon tour, je m'asseois sur le bord du lit et Aaron me fait relever les jambes pour me dépouiller de mon boxer.
Nous voici maintenant à armes égales.
Aaron s'agenouille face à moi.
Mon sexe n'est qu'a quelques centimetres de sa bouche.
Il plonge alors sa tete entre mes cuisses écartées et c'est en me regardant dans les yeux qu'il prend mon pénis dans sa bouche.
Commence les va et vient sur mon sexe brulant.
Je penche un peu la tête vers la droite, lui souris et le regarde me sucer.
Ses lèvres si douces serrent mon sexe.
Aaron me suçe avec passion et fougue.
Sa main droite couvre mes testicules de caresses.
Mon amour accélère ses mouvements sur mon sexe et je sens qu'a mon tour je vais bientot jouir.
Je n'en peux plus tant le plaisir qu'il m'offre est intense et mon sperme vient gicler avec une force en quatre jets puissants au font de sa bouche.
Il avale mon sperme avec délectation en passant sa langue sur ses lèvres, puis se laisse tomber à mes cotés sur le lit sonné par le plaisir qu'il vient de m'offrir.
Il est là, son visage à quelques centimetres du mien, lui le garçon le plus extraordinaire que je connais, lui qui est incontestablement l'amour de ma vie.
Je lui murmure:
-Moi: "Aaron, mon Aaron, je t'aime, i love, i love you, i love you for ever."
Il approche sa bouche de mon oreille et me souffle les plus beaux mots d'amour qui soit:
-Aaron: "I love you to, for the life, for the eternity."
Et nos lèvres fusionnent à nouveau dans un baiser fougueux qui scèle ses mots.
Puis je me replace au dessus de lui.
Je pose mon pénis encore bandé sur son ventre et le fait glisser sur tout son corps.
Il se redresse et je sens ses levres venir déposer un baiser sur mon front.
Je me penche et attrape sur la table de nuit un flacon de lait pour le corps.
Aaron comprend tout de suite, me regarde avec envie et se mets à quatre pattes.
J'enduis mon pénis et son anus de lait et place mon gland entre ses jolies fesses qu'il me présente.
Je commence par caresser son petit anus du bout de mon gland ce qui le fait gigoter, puis il se cambre en me disant: -Aaron: "Vas-y my love, je tellement envie de toi en moi." Ces mots m'exitent d'avantage et je pose mes mains sur ses hanches tout en poussant doucement mon gland pour le faire pénétrer en lui avec douceur.
J'enfonçe de plus en plus mon sexe dans ses fesses et commence enfin le va et vient, ce qui arrache de petits gémissements à Aaron.
Heureusement que le salon se trouve assez éloigné de ma chambre, sinon j'ose même pas imaginer.
Le bruit attirant mes parents qui découvriraient leur fils nu dans les bras de son correspondant pendant une pause calin, aie, aie, aie.
Je crois que dans ce cas là, c'est fils et correspondant qui prennent leurs valises et ciao la compagnie.
Oh, oh, allo la lune, ici la terre, à quoi je pense là, alors que je suis en train de faire l'amour avec celui que j'aime comme un fou.
Mes va et vient continuent et m'arrachent autant de plaisir qu'Aaron n'en prend.
Il m'encourage en me disant:
- "Oh yes please, again my Chris".
Il donne de légers coups de bassin pour accentuer le plaisir. Bon sang que c'est délicieux...
De là où je me trouve, je vois ses fesses, son dos et ses si beaux cheveux blonds dans lesquels je passe ma main.
Pendant ce temps il se tient sur le lit d'une main et de l'autre il tient son pénis et se branle.
Je m'enfonçe encore une fois. Aaron cris presque, il enfonce sa tete dans un oreiller pour camoufler le bruit.
Nous sommes tout les deux pret à éjaculer et dans un accord parfait, mon pénis vient gicler dans son ventre en cinq jets puissants, tandis qu'il jouit dans sa main.
Nous sommes ivres de bonheur.
Nous sommes restés quelques instant comme ça emboités l'un dans l'autre.
Je me retire alors doucement et mon sperme coule de ses fesses jusque sur ses cuisses.
Je lui donne une serviette de toilette prise dans la commode pour qu'il puisse s'essuyer.
Soudain, toc, toc, toc.
Mince, on tape à la porte.
Même si celle-ci est fermée, Aaron et moi sommes un peu pris de panique.
Tellement absorbés par nos ébats que nous n'avons pas entendus de bruit dans le couloir.
Toc, toc, toc, on tape une nouvelle fois.
Nous remettons en quatrième vitesse nos boxers et nos tee-shirts, puis nous asseyons sur le bord du lit.
-Ma mère: "La lumière est allumée, vous n'etes pas encore couchés les garçons ?"
Et là, je sors la première connerie qui me vient.
-Moi: "On allait y aller, on revisait juste un truc de maths qu'Aaron n'avait pas bien compris."
Aaron se retient pour ne pas rire.
Nous attendons quelques instant, le temps que ma mère s'éloigne, puis nous éclatons de rire.
Doublement lorsque nous nous apercevons que dans le feu de l'action nous avons inversé nos tee-shirts.
Quand même, imaginez si j'avais oublié de fermer la porte à clef et que ma mère était rentrée...
Perso, je n'ose même pas y penser.
Je pose alors ma main sur la joue d'Aaron et l'embrasse pour le remercier de ce moment magique que nous venons de passer.
Le moment semble avoir été autant merveilleux pour lui que pour moi puisqu'il me rend mon baiser avec fougue.
Aprés avoir retiré à nouveau tee-shirts et boxers nous décidons qu'il est temps de dormir.
Serrés l'un contre l'autre dans mon lit, nous continuons de nous embrasser.
Nous échangeons nos salives, nos mains se rencontrent et se lient.
Et c'est ainssi que nous nous sommes endormis.
Enfin, lui d'abord car de mon coté je reste encore éveillé écoutant sa respiration douce et lente.
Et quelques secondes plus tard me voici à mon tour au pays des rêves.
Le lendemain matin lorsqu'a 6h30 le reveil sonne, j'ouvre doucement les yeux et pourtant j'ai l'impression de rever encore tant la vision est enchanteresque.
Mon amour dors tendrement.
Si tendrement que je n'ose le reveiller.
Et pourtant il le faut.
Il nous faut nous préparer pour affronter une nouvelle journée de lycée.
Et quelle journée, puisque nous n'allons pouvoir etre ensemble qu'au premier cours, à midi et au cours de sport de la fin d'aprés-midi.
Le reste du temps, il va faire la visite du lycée avec sa classe de Londres.
Rien que d'y penser, j'en suis écoeuré.
Je passe ma main dans ses doux cheveux blonds, il s'étire.
Je me positionne alors au dessus de lui et vient déposer sur ses levres un tendre baiser afin de lui procurer le plus doux des reveils.
Il ouvre les yeux et me regarde tendrement.
-Moi: "Bonjour mon amour."
-Aaron: "Bonjour my coeur."
Et nos lèvres fusionnent à nouveau.
Juste à ce moment là.....
Juste à ce moment là, on frappe à la porte, rrrrrrrrrrrrr.
-Ma mère: "Debout les garçons, c'est l'heure."
-Moi (un peu agacé): "On arrive."
Nous nous levons, enfilons boxers et tee-shirts, au passage nous défaisons le lit d'Aaron, froissons les draps et nous dirigeons vers la cuisine.
Seul ma mère est présente, comme tous les matins d'ailleurs.
Sur la table un super p'tit dèj nous attend.
Entre deux bouchées de céréales, nous échangeons des clins d'oeil et des regards complices.
Nos pieds viennent même se frotter l'un à l'autre par moment.
Ensuite direction la salle de bain.
J'aurais bien aimé que nous puissions partager notre douche, mais avec ma mère dans les parages....
Et puis nous n'avons hélas pas le temps.
Qui sait, ce soir peut etre puisque nous avons sport en dernière heure de cours.
Aaron prend sa douche en premier.
Lorsqu'il sort de la salle de bain, il n'est vetu que d'une serviette autour de la taille.
Quelques gouttes d'eau ruissellent sur sa peau.
Quand il me passe devant pour regagner la chambre, il adopte une démarche sensuelle, tel un manequin sur son podium.
Je vous raconte pas mon état quand je retire mon boxer dans la salle de bains.
Ah, le vilain petit coquin, me mettre dans un tel état de bon matin.
Je prend rapidement ma douche et lorsque je rentre dans la chambre vetu de la même façon et adoptant la même demarche chaloupée, oups......
La serviette que portait mon amour est posée sur le lit et il m'offre la vue de ses belles fesses, alors qu'il cherche un boxer dans la commode.
Une petite tape sur ses fesses, il se retourne et m'embrasse à pleine bouche.
Mince, la porte est grande ouverte.
Ouf, personne dans le couloir.
C'est dingue, les risques que nous prenons.
Il est maintenant 7h05 et nous devons etre à l'arret des bus à 7h25.
C'est pour quoi nous nous pressons un peu de nous habiller. 7h15 quand nous quittons la maison.
Lorsque ma mère se gare sur le parking de l'arret des bus, nous voyons Charlie et David venir à notre rencontre.
Ola, ils ont l'air fatigués tous les deux.
Aprés une petite embrassade, je ne peux m'empécher de lancer en riant:
-Moi: "J'en connais deux qui ont du faire des folies cette nuit."
Charlie regarde en l'air, hausse les épaules et me lance un "pfff."
-Moi: "A voir vos mines, tu vas pas me faire croire que vous avez sagement dormi."
Je remarque que David regarde par terre.
Au lieu de me répondre Charlie me dit:
-Charlie (en riant): "A voir les votres, ce serait plutot vous qui avez fait des folies."
-Moi (riant aussi): "Mais j'ai jamais dit que nous avions été sages comme des images."
Et j'adresse à Charlie et David un petit clin d'oeil.
Nous nous mettons à rire tout en nous dirigeant vers le bus.
Je trouve quand même l'attitude de Charlie étrange, ce n'est pas son genre d'habitude de détourner la conversation.
Et puis pour quelle raison David n'osait-il pas nous regarder ?
Tout deux sont semble-t-il hétéro, alors pourquoi etre si génés de ma petite blague?
Il faudra que j'eclaircisse ça, c'est trop bizarre.
Tiens voila Ben'j qui arrive en voiture avec son père.
Il monte dans le bus, prend sa place et deux minutes plus tard le chauffeur démarre, direction le lycée pour une journée qui promet d'etre longue, mais loooooongue.
Tout au long du trajet mon Aaron me tient discretement la main, je devrais etre heureux et pourtant je n'arrive pas à chasser de mon esprit le fait que nous allons etre séparés quasiment toute la journée.
Et qu'est-ce que ça sera samedi matin quand il va devoir faire sa valise pour rentrer chez lui à Londres ?
Non, mais ça va pas d'avoir des pensées comme ça.
Putain, je me mettrais des giffles.
Oui, il y a cette stupide visite du lycée, mais il y a le cours d'anglais ou nous serons ensemble, à midi à la cantine aussi et puis le cours de sport de la fin d'aprem'.
De plus, pour l'instant, il est là, prés de moi, me tenant la main et me souriant, alors les pensées affreuses, oust, du balais.
Le poste diffuse une douce musique, je décide de me détendre et me colle le plus possible contre mon chéri, sans pour autant attirer les regards.
A un moment je tourne la tete vers Charlie pour lui demander de me raconter un peu sa soirée avec David, mais.....
Je m'aperçois qu'il s'est endormi, tout comme David d'ailleurs.
Vraiment étrange.
Charlie se mettrait-il à me faire de cachoteries ?
La soirée aurait-elle été plus qu'une soirée entre amis ?
Mon meilleur ami serait-il devenu gay ?
David est-il gay comme je le pressentais hier ?
Autant de questions auxquelles j'ai bien l'intention de trouver des réponses.
Nous voici presque arrivés devant la grille du lycée.
Au ralentissement du bus, Charlie et David emmergent.
Tiens, voila que maintenant tout en s'étirant ils se regardent et s'adressent un sourire.
Que peuvent-ils bien nous cacher ?
A peine descendue du car, voici Virginie qui se dirige vers nous.
Elle est accompagnée de ses copines, elles-mêmes accompagnées de leurs correspondants.
Virginie se penche pour nous faire la bise à tous, même à Benjamin qu'elle connait trés peu.
Aprés le coup de la vengeance d'hier comment lui refuser un petit bisou sur la joue.
Mais il ne faudrait quand même pas, qu'aprés ça elle s'imagine encore des choses.
Quand à moi, il faut vraiment que je me décide à lui parler. Nous papotons un peu de tout et de rien, de nos soirée de la veille....
C'est donc en petit comité que nous rejoignons nos casiers.
Dans les couloirs, bizarre pas de traces de Grégoire and co. Virginie, prete, se dirige vers les escaliers pour rejoindre la salle d'anglais.
Nous nous appretons Aaron, Charlie, David et moi à faire de même, quand mon amour me dit qu'il va aux toilettes.
Il me demande de l'attendre devant la salle.
-Charlie (en me regardant): "Tu devrais peut etre l'accompagner."
Puis il se met à rire.
Pour le coup nous nous mettons tous à rire, puis mon amour part vers la cour pour aller aux toilettes, tandis que nous prenons les escaliers.
Soudain pratiquement sur le palier nous entendons des cris. -?: "Et tu oserais faire ça ?, Putain mais lachez moi bande de cons que je lui ratatine la tete à cet abrutis."
A ces mots nous montons les marches quatre à quatre.
Arrivés dans le couloir, j'ai du mal à croire ce que je vois.
Mes amis sont aussi surpris que moi.
Hugo et Cédric tiennent les bras de Virginie, Maxime la retient par la taille et face à elle Grégoire faisant mine de la giffler.
Voila maintenant que ce débile se met à vouloir taper sur les filles.
Mais il est comlètement cinglé ma parole.
Ne pouvant laisser faire une telle chose, nous nous précipitons pour aider Virginie.
David attrappe Hugo, alors que je me charge de Maxime.
Charlie quand à lui s'occuppe de Grégoire.
Cédric le grand courageux s'eclipse de lui même.
Virginie parvient à se dégager.
Les coups commencent à pleuvoir quand......
-Cédric: "Et les mecs, arretez, y'a le pion, y'a le pion."
Comme figés sur place, notre bagarre s'interrompt.
Effectivement au fond du couloir passe Laurent (sans Anne-Sophie).
Tout le monde lache tout le monde faisant comme si de rien n'était.
-Grégoire (pensant que personne ne l'a entendu): "Vous me paierez ça."
Non mais quel guignol.
Virginie nous remercie mille fois de l'avoir aidée.
Elle semble toute exicitée et nous offre un bisou à chacun. Plus les évènements passent et plus je sens que notre petite conversation va etre compliquée.
Les copines de Virginie et leurs correspondants arrivent, la sonnerie de début de cours n'étant plus trés loin.
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