Je suis retournée à ma chambre d'étudiante hier histoire de finir d'amménager quelques trucs avant la prochaine rentrée universitaire. Comme je voulais changer l'emplacement de certains meubles j'ai embauché mon frère. Nos parents nous ont donc vu partir de bonne heure et de bonne humeur ! Je ne sais pas et je ne crois pas qu'ils se doutent de quoi que ce soit mais ils ont l'air d'apprécier notre "bonne entente". S'ils savaiant quelque chose quant à l'existence de notre relation entre frère et soeur je crains fort qu'ils ne verraient pas notre rapprochement d'un très bon oeil.
Une fois arrivé je l'ai mis au boulot direct - changement de place lit armoires et puis il a bien fallu tout nettoyer de fond en comble. bref une fois terminé, après avoir pris une douche nous sommes allés au fast-food du coin - vous savez là où il y a un grand clown rouge et jaune !
De retour à la chambre, j'étais HS, je me suis laissée tomber sur le lit histoire de décompresser. Bien entendu j'ai été vite rejointe par mon petit frère qu est venu se blotir contre moi. J'ai vite senti qu'il se collait à moi et son sexe bien tendu dans son sweat me laissait envisager la suite des évènements sans aucune difficulté...
Je restais allongée sur mon lit et sa main est passée entre mes cuisses en faisant de légers va et vient. Cependant, il n'en n'est pas resté là très longtemps, j'ai vite senti quelques doigts défaire la ceinture de mon jean et baisser la fermeture afin de venir toucher directement ma culotte. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais j'ai beaucoup apprécié ses doigts passant sur le tissus au dessus de mon sexe. Il m'a demandé d'oter mon jean et ce faisant il a fait la même chose de son coté puis s'est à nouveau rapprochée de moi.
Nous étions à nouveau cote à cote, je sentais ses jambes contre les miennes et son long et fin sexe placé tout contre mes fesses. Un doigt assez coquin a vite fait de passer sous l'élastique et est venu titiller délicatement mon bouton. je ne sais pas comment il peut faire, à rester ainsi plusieurs longues minutes sans bouger uniquement sa main. J'étais déjà bien mouillée et ma petite culotte changée quelques heures plutôt trahissait déjà par son humidité mon degré d'excitation.
Finalement j'ai oté ma culotte et me suis allongée sur le dos, cette excitation survenue par ses infiment douces caresses avaient relégué la sieste au second plan. J'ai écarté doucement mes jambes lui offrant, sans mot dire, mon corps. Mon frère s'est alors levé et a oté son boxer. Je voyais à nouveau son sexe long et fin se dresser, il s'est alors allongé sur moi et a frotté son gland le long de mes lèvres déjà entrouvertes à l'annonce du plaisir à venir. Il s'est amusé ainsi assez longtemps portant le gland à l'entrée de mon sexe sans chercher à me pénétrer pour mieux me faire languir. Je n'en pouvais plus alors je l'ai pris dans ma main et l'ai approchée en lui disant simplement : "viens".
En moins de temps qu'il ne fallait il s'est ancré au plus profond de moi. j'ai poussé un long soupir de bien-être absolu, ce sentiment de pénétration rempli d'une telle douceur nous a submergé littéralement. Complètement collé à moi nous sommes restés l'un dans l'autre à nous embrasser très longtemps. Quel bonheur de le sentir en moi pendant que nos langues se cherchaient et que nous nous embrassions avec fougue. Je n'avais pas envie qu'il bouge, nous étions si bien alors j'ai enalcé mes mains autour de son dos et nous nous sommes embrassés très très très longtemps...
J'ai redesserré mon étreinte et il s'est levé sur ses bras, son sexe tendu dans mon écrin a commençé à effectuer quelques légers mouvements qui m'ont procuré d'infinies décharges au bas du ventre. Il a décidé de me faire l'amour en faisant de très lents va et vient. Au fond de moi je me disais qu'il ne tiendrait pas longtemps car la pression serait trop forte et qu'il ne pourrait pas se retenir ainsi trop longtemps. Alors finalement je dois mal le connaître : ce petit jeu a duré un temps infini, j'étais mouillée comme jamais je ne l'avais encore été jusque là , chacun de ses lents mouvements de pénétration était rythmé d'un bruit caractéristique ... J'ai cru mourir tellement les sensations au plus profond de mon ventre étaient intenses. Rythmées par des mouvements de pénétration en tournant ce fut l'extase et j'ai joui d'un coup telle une vague qui m'a littéralement submergée.
Encore pas arrivé à son plaisir il me regardait en souriant tandis que je redescendais doucement sur terre et après s'être retiré il m'a attirée sur le bord du lit. Là , sa pénétration a été plus rapide et j'ai bien senti qu'il voulait m'imposer son rythme jusqu'à son plaisir. J'étais à peine remise de mes émotions que déjà ses mouvements faisaient rejaillir des sensations intenses. Il m'a alors pillonnée littéralement, nos bassins se touchaient avec force comme s'il voulait me pénétrer encore davantage. Ses mains posées sur mes seins il a continué ainsi quelques minutes et je l'ai vu se cripser et s'ancrer au plus profond de mon être. J'ai alors ressenti plusieurs giclées de sperme dans mon sexe. Nous sommes tombés enlacés sans bouger de très longues minutes toujours l'un dans l'autre. Quel plaisir intense partagé...
Après nous être remis de nos émotions re-douche et finalement nous sommes restés devant la télé en papotant. J'avais invité une copine à dîner le soir alors nous avons décidé d'aller faire quelques achats et puis nous sommes revenus à l'appartement où le clic-clac s'est transformé en lit pour mon frère histoire de ne pas choquer mon invitée. L'avantage des plats préparés c'est qu'il n'y a rien à faire : le top du top finalement !
Mon amie Sylvie est donc arrivée et une fois les présentations faites nous avons discuté de pleins de trucs.
Arrivé à ce point de l'histoire je dois juste signaler que Sylvie est bi tout comme moi et que durant notre précédente année de faculté il nous est arrivé de dormir l'une chez l'autre... Ai-je été claire ou désirez-vous davantage de détails ? Alors oui nous avons déjà fait l'amour toutes les deux, c'est une fille grande, mince, rousse avec d'immenses yeux bleus et d'un bleu si bleu qu'on pourrait presque s'y noyer et des tâches de rousseur ...... C'est à croire que ses parents l'ont laissée l'hiver dehors sous la pluie trop longtemps et qu'elle a rouillé tellement son corps en est recouvert !
Le repas a été ponctué de discussions sympa, d'école bien sûr et d'histoires drôles de chacun le tout ponctué de fous rires importants! Mais de fil en aiguille il se faisait tard et une fois le déssert terminé nous avons tous été surpris de l'heure tardive. Sylvie habitant à plusieurs kilomètres de là n'a pas voulu rentrer seule à son appartement car elle devait retraverser quasiment toute la ville. Je lui ai donc proposé qu'elle reste à dormir chez moi. Elle ne voulait pas prétextant qu'elle n'avait pas d'affaires à se mettre mais n'était pas rassurée de retraverser des quartiers résidentiels seule un samedi soir. Finalement elle accepta et nous nous sommes tous regardés pour savoir comment nous allions nous organiser.
Certes nous nous connaissons mais jamais je ne lui avais avouée que je couchais parfois avec mon frère. Alors la logique fut respectée et la morale sauvée : nous avons décidé de dormir ensemble et mon frère garderait son lit habituel (sans commentaires s'il vous plaît...) sur le clic-clac.
Plus de soucis d'heures désormais. J'entrainais donc Sylvie avec moi dans la salle de bains afin de se déshabiller et de revêtir des habits plus adaptés pour aller dormir. En ressortant mon frère nous siffla d'admiration en nous voyant en nuisettes et sous vêtements. Nous l'avaons alors chassé à son tout dans la salle de bains. Quelques minutes après il en est ressorti dans un pyjama qui bien entendu a fait fuser quelques commentaires de notre part : il te va pas rajuste le... là c'est mieux on voit mieux les muscles etc ... etc ...
Nous avons regardé un programme télé assis tous les 3 cote à cote sur le lit. J'étais au milieu entourée de mon frère et de mon amie. Le programme n'était pas des plus passionnant comme à l'accoutumée et nous avons fini par zapper de chaine en chaine. un ancien court-métrage sur la TNT a retenu notrr attention et nous avons regardé en nous prenant au jeu. Une scène toute particulièrement torride du film où un couple faisait l'amour a fait planer dans l'appartement une sensation bizarre de mal-être collectif. Plus aucun bruit, nous regardions l'écran sans dire un mot...
Sylvie a posé sa main sur la mienne doucement tout en feignant de regarder les images. J'étais tellement tendue que j'ai sursauté ce qui a eu pour but de nous faire éclater de rire. Elle n'a pas lâchée sa main et le film a continué, nous étions collées l'une à l'autre désormais. Même s'il avait commençé de façon assez "soft", le court-métrage devenait assez "chaud" par la suite. Au bout d'un moment la main de mon amie s'est posée sur ma cuisse et m'a caressée délicatement. Elle ne prêtait pas attention à mon frère qui regardait tandis qu'une bosse apparassait sous son pyjama, bosse qu'il ne pouvait plus dissimuler à nos yeux respectifs de toute façon! Enhardi, mon frère a posé sa main sur la mienne. Ce geste a stoppé net celui de Sylvie quelques instants et elle a repris le cours de ses caresses en passant du genou au bord de la nuisette. Je ressentais un plaisir certain par cette main habile sur ma cuisse mais le film s'est arrêté et nous nous sommes levés. Mon frère après m'avoir embrassée sur la joue a embrassé Sylvie et s'est mis sur le clic-clac. Nous deux étions dans mon lit cote à cote.
J'ai immédiatement senti la jambes de Sylvie se glisser entre les miennes, le contact de sa cuisse avec la mienne m'a fait vibrer intensèment. Nous étions face à face et nos bouches se sont trouvées, nos langues retrouvées et mélées. Certes nous n'étions pas très discrètes et mon frère dans son canapé à côté s'était tourné afin de deviner nos ébats. Jai caressé la cuisse de mon amie et posé ma main sur sa culotte, sans plus réfléchier je l'ai otée afin de pouvoir la caresser. Elle était déjà bien excitée et elle gémmissait au fur et à mesure que mon doigt titillait sa fente et son clitoris à peine gonflé par l'appel du plaisir...J'otais la couette et ma bouche est descendue vers son minou doucement, elle a alors écarté les cuisses me livrant ainsi son intimité sans plus de retenue se fichant du regard de mon frère qui pour la première fois me voyait donner du plaisir à une de mes amies. N'y tenant plus je me retournais et décidais de subir à nouveau ses caresses par la position classique mais certes très efficace du 69. La chambre fut bientôt remplie de gémissements et de petits cris de plaisirs. Je ne fus pas longtemps à jouir sous ses caresses mais elle continua à me lécher et à boire ma cyprine avec volupté. A mon tour j'accélérais le mouvement afin qu'elle parte également à la rencontre du plaisir...
C'est là que la télé allumée à nouveau par mon frère nous éclaira de sa lueur blafarde. La chaine musical donna un léger fond sonore et ni l'une ni l'autre ne pensions à masquer notre nudité totale au yeux de mon frère qui n'en pouvait plus et se caressait sur son lit. Mon amie a joui d'un coup innondant ma bouche de son jus et m'enserrant la tête entre ses cuisses. Nous nous sommes redressées et cote à cote dans le lit, remises de nos émotions avons vu mon frère. Il avait oté son pyjama et était désormais nu en train de se caresser.
Mon amie et moi nous nous sommes regardées et après quelques secondes de silence nous avons décidé rien qu'en se regardant qu'il fallait qu'il nous rejoigne. Il n'a jamais fait l'amour à une autre fille que moi, je l'ai dépucelé mon joli petit frère mais là je savais à ce moment bien précis qu'il devait enfin connaître une relation non incestueuse.
Assis entre nous deux nous avons laissé nos doigts parcourir son corps. Il s'est allongé et comme par magie, allongés tête-bêche, nos bouches se sont penchées pour descendre vers son sexe. Sylvie a été surprise de me voir face à elle prête à lécher ce sexe comme elle mais nous l'avons finalement partagé à grands coups de langue. Accroupies de part et d'autres de mon frère la télé illuminait nos croupes respectives et éclairait nos fesses si bien qu'au bourt d'un moment j'ai senti la main de mon frère das mon sexe et Sylvie pareillle chose... Il nous a doigtée pendant que nous le l'avons léché tout doucement, sa verge droite et fine appelait un sexe de femme...Le bruit caractériqutiques de sexe féminin empli de mouille s'éleva bientôt dans la chambre ponctué de gémissements de plus en plus forts.
D'un bond Sylvie s'est levée et est venue s'accroupir face à mon frère, de ses doigts elle écarté ses lèvres et s'est empalée d'un coup sur lui. Il a gémi et elle a commençé à monter et descendre sur son pieu tendu comme un arc. Alors je les regardais et n'y tenant plus j'ai posé mon minou sur la bouche de mon frère. J'ai immédiatement senti sa langue me lécher pendant que je regardais Sylvie gémir de plus en plus fort. Le voir me lécher la rendue folle d'excitation et elle a joui quasi immédiatement en se laissant tomber sur lui. Revenue sur terre je lui ai demandé de prendre ma place pour subir le nettoyage de son minou par la langue experte de mon petit frère. Elle ne s'est pas faite prier pour vérifier si le travail promis était correctement réalisé !
N'y tenant plus je me suis alors placée sur mon frère et là j'ai introduit son sexe dans mon vagin. Sylvie m'a alors lancé "mais c'est ton frère t'es folle" et je me suis mise à onduler de plus en plus vite et à monter et descendre. Plus de famille le tabou était brisé Sylvie gémissait très fort, regardait ce sexe m'envahir et voyait que je voulais aller au bout et le faire juter, elle se pencha et m'embrassa sur la bouche fougueusement. Nous avons alors bougé en rythme jusqu'à ce que le sperme chaud innonde à nouveau pour la deuxième fois de la journée mon antre secret...
Sylvie a joui peu de temps après, elle regarda le sperme couler sur la queue de mon frère tout comme je me dégageais et m'embrassa.
Complètement exténués, nous nous sommes endormis nus dans le lit un peu serrés les jambes entre-mélées avec quelques caresses...
Après une grasse matinée le réveil fut super, à trois dans le lit nous nous sommes regardés, embrassés, caressés à nouveau... Le dimanche ne faisait que commencer.
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