Sylvain et Tatiana, sa superbe épouse de vingt deux ans, vont passer l’après midi chez des amis.
Laure, très belle brune de l’âge de Tatiana, est mariée à Max, représentant de commerce.
Les deux femmes se sont connues sur les bancs de l’école, et ne se sont plus quittées, de la maternelle, jusqu’à la fin de leurs études. Elles sont devenues les meilleures amies du monde.
Cependant, en CP, lors d’une récréation, Tatiana avait humilié Laure, devant quelques jeunes copains. Elle l’avait mise toute nu. Il est vrai qu’à l’époque, les filles n’avaient pas de poitrine, le clitoris n’était pas le point érogène qu’il allait devenir.
« Regardez sa petite fente, riait Tatiana, quelqu’un veut la caresser ? »
Djamel, un jeune maghrébin s’était avancé, avait glissé deux doigts et écarté les lèvres intimes de Laure. Celle-ci s’était mise à pleurer en jurant de se venger.
« Ne pleure pas, ironisait Tatiana, un jour c’est sa queue qu’il te mettra. »
Les deux maris sont partis à la pêche pour le weekend, laissant seules leurs épouses.
Celles-ci profitent du beau temps, en s’installant au bord de la piscine, simplement vêtus d’un bas de maillot de bains.
Tatiana est allongée sur une serviette, Laure est assise à côté d’elle. Elles se remémorent leurs souvenirs, certains douloureux pour Laure, qui, après tant d’années, rêve toujours de se venger
Laure a vu la position du bras de sa copine, et décide de s’allonger. Tatiana n’a pas le temps de lever son bras qui reste coincer sous le dos da Laure. Aussitôt, celle-ci se tourne et passe une jambe sur le corps de sa copine, le bloquant complètement.
-Hey, dit Tatiana, mais tu me coinces. Libère mon bras.
Les deux jeunes amies sont face à face. Un sourire coquin apparait sur le visage de Laure qui, calmement, tire les ficelles qui maintiennent le maillot, le rabat, découvrant ainsi son entre jambe.
-Mais tu es folle, se plaint Tatiana, ont va voir ma petite chatte…arrête…cache-la s’il te plait.
-Chut…calme toi ma chérie, murmure Laure, ça ne te rappelle rien. Ce que tu m’as fait dans la cour de l’école quand j’avais huit ans. Je n’avais pas de poitrine, pas de clitoris. Toi aujourd’hui, tu as de superbes seins, et un petit bouton que je vais bien décalotter, bien doigter, jusqu'à ce que tu jouisses. En plus, je connais un petit arabe, super bien monté. Il adore niquer les petites françaises. On l’appellera tout à l’heure, tu veux ? On a tout le weekend pour s’amuser.
-Oh mon dieu, assez, soupire Tatiana, s’il te plait. On était des petites filles à l’époque…nos corps ne réagissaient pas…mais là, ma chatte va être toute mouillée.
-T’inquiète ma chérie, je vais te la calmer. Je vais enfoncer deux doigts, et te branler.
Les lèvres humides de Tatiana sont froissées par le pouce et le majeur, comme s’il s’agissait d’un papier journal, le clitoris est extrait de son fourreau protecteur, les doigts pénètrent la chatte.
Tatiana pousse un long soupir de plaisir, ne peut résister aux vicieuses caresses de son amie, qui prend plaisir à la gouiner. Le corps de la jeune femme se cambre quand elle atteint l’orgasme.
-Oh oui…c’est bon ma chérie…oui, branle moi…gratte mon petit bouton…oui…oui.
-A, tu vois que je l’ai eu ma vengeance, quinze ans après. Alors maintenant, tu vas m’obéir.
-Oui…fais ce que tu veux, se soumet Tatiana.
-Allonge toi sur le ventre, ordonne Laure, et repli une jambe, que ta chatte soit bien dégagée.
Tatiana obtempère, remonte une jambe sous son ventre pour mieux s’écarter. Laure a une vue imprenable sur le petit trou, et la fente légèrement ouverte de sa copine.
Lentement, elle excite le clitoris à l’aide de son pouce, ce qui a pour effet d’arracher un petit « ah » de plaisir a Tatiana. Mais le petit cri se transforme vite en gémissements, quand les deux doigts de Laure pénètrent violemment la chatte humide, et commence à le branler.
Tatiana ondule du bassin, s’ouvre d’avantage pour mieux s’offrir aux caresses perverses de sa meilleure amie. L’orgasme est imminent, son corps commence à être pris de tremblement, ses reins se cambrent…puis.
-Oh oui…t’arrêtes pas…vas-y, branle moi…je jouis…oui…oh putain…que c’est bon…
-Tu te régales hein ? Petite salope…un bon coup de queue, ça te dirai ? Tu veux que j’appelle mon voisin…tu sais, le jeune maghrébin dont je t’ai parlé.
-Fais ce que tu veux, souffle Tatiana, mais je veux jouir encore…mon mari ne me donne pas en ce moment…j’ai une folle envie de me le faire mettre…je suis en manque de bites.
Laure prend son portable qui se trouve dans son sac, et appelle Djamel. C’est vraiment un voisin proche, il arrive au bout de cinq minutes.
Tatiana est toujours couchée sur le ventre, jambes écartées, un filet de mouille et de cyprine s’échappent de sa fente légèrement ouverte.
D’un geste, Djamel ôte son bermuda, et tombe à genoux devant la magnifique croupe cambrée de la jeune femme. Il avance son visage, et lèche la chatte humide.
-Hum, fait-il, quel appât…et quel gout.
Laure lui saisit la queue, la décalotte et la branle, jusqu’à ce qu’elle atteigne des mensurations respectables. Puis, lentement, elle approche le calibre en érection près de la chatte, récupère un peu de mouille, et la place devant le petit trou de sa copine. Un coup de rein, et voila que la bite pénètre sans difficulté. Ce qui n’empêche pas Tatiana de pousser un petit cri de douleur.
-Oh l’enfoiré, soupire Tatiana…putain, comme il est monté…aie…aie…il va me déchirer le cul ce salaud… doucement…il en reste encore beaucoup à rentrer…ah…ah…ça y est…je sens les couilles…ouf…vas-y maintenant, encule moi, bien profond…je te taillerai une bonne pipe après…
-Hey, s’écrie Laure, calmes- toi, tu sais que tu as un mari.
-Tans pis pour lui, murmure Tatiana, il a qu’à s’occuper de moi…Laure, s’il te plait, clite-moi.
Soudain, le portable de Laure sonne. C’est Sylvain, le mari de Tatiana.
-Allo, Sylvain, ça va ?
« Ben, j’essaie de joindre Tatiana, impossible de l’avoir, je voudrai lui parler ».
-La, tout de suite ? Je ne sais pas si elle va pouvoir, avec ce qu’elle a dans la bouche.
« A bon, je comprends pas ».
-Disons qu’elle est en train de tailler une pipe à mon jeune voisin, alors elle a la bouche pleine.
« Quoi, c’est quoi ça, Elle profite de mon absence pour me tromper, elle a fait quoi encore ?
-Tout, répond Laure. D’abord, je l’ai gouinée, c’est vraiment un plaisir de jouer avec elle, elle a adoré. Ensuite, Djamel l’a niquée, puis il l’a enculée, et maintenant, il se fait tailler une pipe.
Ah, attends, il jouit, oh putain, elle a tout avalé…quelle pute…elle lui nettoie la bite avec sa langue…ça y est…elle a fini, je te la passe…ah…elle me fait signe que non.
Sans éteindre son portable, Laure s’approche du couple enlacé sur les serviettes. Elle veut que Sylvain entende son épouse gémir entre les bras de Djamel.
-Oh oui, soupire-t-elle, nique moi encore, j’ai envie. Pour une fois que j’ai une grosse bite…
-Mais enfin Tatiana, ça fait quatre fois que tu jouis, fait remarqué Laure. Tu en veux encore.
-C’est la première fois qu’un mec me baise comme ça…je veux en profiter…
-Bon, comme tu veux, poursuit Laure, je dis à ton mari de rappeler.
-Non, non, surtout pas, laisse le téléphone ouvert, je veux qu’il m’entende jouir.
Scotché au bout du fil, Sylvain assiste impuissant à l’infidélité de son épouse. Il entend hurler de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Mais il entend aussi les comparaisons humiliantes de son épouse, sur la grosseur du sexe, et les performances.
-Elle est bonne ta meuf, crie Djamel. Si tu voyais comme elle me vide les couilles…la salope…
-Elles sont tellement pleines, poursuit Tatiana, et sa semence a un si bon gout.
-Bon, je vais raccrocher, dit Laure. Si vous rentrez dans la nuit, faites pas de bruit. J’ai une folle envie de m’amuser avec ta femme. Allez Sylvain, ne lui en veut pas trop, et bisous à mon mari.
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