UN AUTISTE QUI FERAIT ROUGIR D’ENVIE UN ACTEUR PORNO.
Je m'appelle Hélène, et j'ai 36 ans. Divorcée depuis peu et sevrée de sexe mais je ne fais pas de soucis, aucun homme ne me résistesi je veux de lui.
Je suisbrune avec une belle poitrine et de belles fesses qui font se retourner les hommes. Cependant, il m'est arrivé une aventure peu commune avec le fils de la voisine, un autiste.
Il s’appelle André et je suis une des seules personnes qu’il accepte dans son
monde. Il est très gentil avec moi mais il peut devenir très violent si on le
contrarie.
Je viens de rentrer de faire les magasins et fait un peu de ménage.
Le soirvenu et ma porte close, j’ai une petite manie, j’aime être nue, je me déshabille complètement et m’étends dans mon divan pour regarder la télé.
Je regarde un film peucaptivant quand j'entends gratter à la porte.
Je
n'attendspersonne, zut, encore un
casse-pieds. J’enfile un tee-shirt de mon ex qui me couvre même les fesses et me
dirige vers la porte, je l’entre-ouvre et me penche dans l’ouverture.
André se tient devant moi. Si son esprit est un peu spécial, son physique lui
est commun, un jeune homme d’une vingtaine d’années mais assez costaud.
- Bonsoir Dédé,
euh… qu'est-ce que tu veux ?
- Hélène! Grommelle-t-il.
- Oui, que puis-je pour toi?
Il essaie de rentrer et je remarque que son regard est braqué sur mon
entre-jambes à peine dissimulé par le tissu. Il marmonne.
- Hélène….. Chaude….. Envie !
Et d’un coup d’épaule il force ma porte et entre la laissant se refermer seule
derrière lui.
Il m’entoure de ses bras posant ses mains sur mes fesses.
Je crie de
surprise, reculant sous sa poussée, nous nous retrouvons dans mon salon.
- Dédé, arrête, mais qu’es ce qui te prends ?
- Dédé aime Hélène….. veut Hélène!
- Ca suffit Dédé, va-t-en !
J’essaiede me dégager, mais il est trop fort pour moi.
Ses mains quittent mes fesses, prennent le
bas de mon tee-shirt et le font passer au dessus de ma tête. Je suis nue devant
lui, il reluque mes seins, mes tétons, mon ventre mince et ma chatte
entièrement rasée.
- Hélène bonne!
J’ai beau me débattre,
hurler, rien n’y fait, il est le plus fort.
Il metripote de nouveau, je le
repousse en gueulant :
- Mais arrête, Dédé, tu ne peux pas me
faire ça, sauve-toi !
Il ne réagit
pasà mes paroles. Je lui mets une violente
claque.
Il retire sa main et se frotte la joue, son visage devient sombre, il bondit sur moi, attrape mes bras et me tient les poignets d'une main dans mon dos, me faisant crier de douleur.
Je me débats mais ne peux dégager mes bras.
De son autre main, il me caressa les seins en s'écriant :
- Hélène…Seins… Bons!
- Arrête, Dédé,
je t'en supplie, je ne veux pas!
Il me tripote pendant environ une minute et je commence sérieusement à avoir
peur.
Puis soudainement, il me pousse violemment me faisant chuter sur le sol.
Je décide
d'attendre un moment d’inattention de sa part pour aller m’enfermer dans la
salle de bain.
André se dévêtit en quelques secondes. Et
là, effrayée la bouche grande ouverte, j’ai le choc de ma vie.
Un axe de
chair de plus de 25cm est dressé juste devant mes yeux, avec des grosses veines
saillantes sur une bite très épaisse.
Je suis tellement impressionnée par la taille et l'épaisseur du sexe d’André que j'en oublie presque ma situation, j’ai peur de la suite.
Jamais de ma vie je n'ai vu un tel gourdin. Mon mari était dans lamoyenne, ce que je vois fait presque le double de longueur !
- Ne m'approche pas ! Criai-je.
- Dédé baiser Hélène !
- Nooooooon !
Il se jette
sur moi me forçant à écarter les jambes, m'écrasant de son corps. Il est trop costaudpour moi,je n’arrive pas à
le repousser.
Je sens un gros gland s’immiscer dans ma chatte. Je pousse un gémissement Il va abuser de moi !
Il ne prend pas de gants et je hurle quand il s’enfonce lourdement en moi.
MonDieu, son sexe est énorme et me déchire le vagin non lubrifié. Jamais je n'ai eu pareil pal en moi.
La quasi-totalité de son braquemart a pénétré en moi. Je n'aurais jamais cru que mon vagin puisse accueillir pareille monstre !
Je me sens salie, souillée, mais je ne peux rien y faire. J’espère seulement que ça se termine vite.
Il commence à remuer en moi, ses coups sont violents, puissants, très rapides. Il pénètre au plus profond qu’il peut, je ressens douloureusement son engin à chaque fois qu’il vient buter mon utérus, pourvu qu’il ne me déchire pas.
Ca fait deux minutes qu’il me baise et la douleur s’atténue laissant place à une forme de plaisir c’est la première fois de ma vie qu’une bite va aussi profond en moi.
Mon vagin a prit les dimensions de son phallus et je sens une chaleur dans mon bas-ventre.
Je sens monter en moi du plaisir sous les coups de boutoir de cette énorme pine quime baisesauvagement.
Je suis complètement
perdue dans des sentiments contradictoires, je ressens du dégoût pour ce qu’il
me fait subir, le pire des outrages, et j'en arrive à éprouver du plaisir. Mais
un énorme coup de queue me ramène à la dure réalité et me fait pousser un petit
cri, mais pas de douleur… Je gémis ne retenant plus mon plaisir.
- Aaahouahhh !
- Ouah ! Hélène bonne !
Sa cadencedevient de plus en plus rapide, il me tringle avec une telle
bestialité que j'en jouis lubrifiant encore mieux ma grotte d’amour ! Je gémis
de plaisir, c’est honteux mais je ne peux pas m’en empêcher!
Contrairement
à ce que j’espérais, il me nique pendantpresque
10 minutes dans cette position avant que
je ne le sente s'immobiliser au fond de mes entrailles, puis il pousse un
grognement de fauve. Il éjacule en moi, un gros jet de sperme vient inonder mon
vagin.
Ma peurse transforme en surprise, cet homme est une vraie fontaine.
Il éjacule d'énormes quantités de foutre continuant inlassablement à se vider les couilles en moi.
Son sexe toujours aussi dur et tendu crache son sperme par vague. Bon sang, c'est incroyable, en une éjaculation, il a produit plus de semence que mon ex pendant un mois !
Mon vaginet mon utérus sont noyés sous son foutre chaud. Enfin je ne ressens
plus aucun soubresaut ni flot de foutre sortir de son énorme matraque toujours
tendue.
Lorsqu'il a terminé, il répète au nouveau :
- André
baiser Hélène !
Que veut-il dire ? Il nese retire toujours
pas, et sa bite est toujours aussi grosse et dure, ce qui commence à
m'inquiéter.
- André, je
t’en prie, va-t-en, je ne raconterai rien, ça sera un secret entre nous si tu
t'en vas tout de suite !
Sa seule
réponse fut :
- André encore baiser Hélène !
- Quoi ?
Je n'ai pas le temps
de réagir
qu'il retire son mandrin, m'attrape par les bras et me jette sur le divan,
bondit sur moi et m’écartant les jambes de force s’empale à nouveau d’une seule
poussée dans mon sexe.
- Mais qu'est-ce que… commençai-je.
Il me reprend une seconde fois avec sa
cadence de forcené, m'arrachant de nouveau un gémissement de surprise. Je gémis.
- Oh
Mon Dieu, André, arrête !!!
Son énorme sexe est toujours aussi gros, bandé et épais. C'est comme s'il ne venait
pas d'éjaculer. Jamais vu ça !
Mon fourreau s’est vite réadapté à cette colonne de chair et il ne me faut que
quelques secondes pour ressentir de nouveau du plaisir, encore plus grand que
la 1ère fois, car je savais ce qui m’attendais, me faire tringler sauvagement.
Mes seins ballottent sous les coups de boutoir de mon amant involontaire, et je commence à éprouver à nouveau du plaisir sous sa sauvagerie animale.
Je
râle
sous ses
coups et en arrive à le supplier.
- Vas-y, Dédé,
baise-moi plus fort, encore, oh oui !
- Hélène
salope !
- Oui, je suis ta salope, fais de moi ta chienne !
Il me baise comme un fou.
C'est tellement bon. Jamais je n'aurais cru cela possible.
Mon ex m’amenait au plaisir, mais ça n’a jamais été aussi intense!
Il se retire, me fait me relever et s'assoit sur le canapé. Il me fait mettre dos à lui me
tirant par les poignets et me fait descendre sur sa queue bien dure et bien
trempée de ma mouille et de son foutre.
Il me prend par les hanches, et accompagnant mes mouvements des siens, me donne
depuissants coups de bite.
Je crie mon bonheur de me faire défoncer de la sorte, je ne me reconnais plus du tout. Les mots crus qui sortent de ma bouchene peuvent être de moi, et pourtant si.
Soudain j’ai un orgasme encore plus fort que tout ce que j’ai connu jusqu'ici !
Mon vagin, mon utérus, les lèvres de ma chatte, tout est jouissance, mon corps tremble et j'hurle comme une folle l’inondant d’un flot de cyprine ininterrompu!
Mais il ne
s'arrête pas là, il me fait me relever, me fait pivoter face à lui pour me
reprendre en me regardant dans les yeux, puis il recommence à me baiser comme un
fou.
Je vois qu’il arrive au plaisir et il crache une seconde fois. À nouveau, je
sens sa semence épaisse et chaude envahir mon vagin et frapper mon utérus et
j'en jouis une nouvelle fois hurlant mon plaisir.
- Oh oui, c'est trop bon !
Et de nouveau le miracle s’accomplit, une nouvelle fois, il se vide les
couilles de façon presque aussi importante que la première fois, je suis pleine
de fierté (et de foutre).
Je le sens arrêter de se vider. Je peux enfin souffler un moment, toujours
empalée sur son énorme sexe.
Je
pose mes mains sur son torse, le regardant dans les yeux.
- Oh putain, c'était bon, t'es incroyable, Dédé, je n’ai jamais été prise deux
fois de suite et surtout pas par un tel membre, et quel jouisseur tu es !
Je ne sais pas s’il a bien comprit ce que je viens de dire mais il me répond.
- Mais non,
je ne veux plus, André, s’il te plaît, me dis pas que tu vas recommencer…
Mais il n’en
a cure. Il me pousse sur le sol et me force à me mettre à quatre pattes.
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