Tournante des infirmières à l’hôpital sur un chibre phénoménal

Récit érotique écrit par mlkjhg39 le 20-07-2015
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Catégorie Couple

TOURNANTE A L’HOPITAL SUR UN CHIBRE PHÉNOMÉNAL

 

LE PATIENT DE LA 112

DROGUE PAR SA FEMME AU VIAGRA ET EXTRÊMEMENT BIEN DOTE PAR DAME NATURE, TOUTES LES INFIRMIÈRES EN PROFITENT A TOUR DE RÔLE LE CROYANT INCONSCIENT.

 

Je viens de me réveiller, mais je ne sais pas ce qui se passe, je suis dans un état second comme si je ne commandais plus mon corps, j’entends quelqu’un parler.

J’arrive à peine à entrouvrir les paupières.

 

-Je vous présente un cas que vous rencontrerez rarement dans votre vie de Médecin, ce jeune homme nous a été amené il y a quatre heures complètement dans les vaps, son cœur a faillit lâcher mais maintenant  sa vie n’est plus en danger.

-Nous l’avons plongé dans un coma léger. Son corps va bien mettre un à deux jours pour éliminer les effets de ce qu’il a prit.

(Ce n’est pas la première fois que je suis anesthésié mais comme je suis très résistant  à ces produits, la dose commune n’est pas suffisante et je suis dans un état semi-conscient.)

-Je vous explique en quelques mots la pathologie si l’on peut dire ça de ce patient, sa femme apprenant l’infidélité de son compagnon s’est vengé par ou il avait pêché.

- Elle a réduit en poudre plusieurs cachets de Viagra et les lui a fait absorber au cours de son repas, il a eu de la chance d’avoir une forte constitution car avec la dose qu’il a ingurgité il ne devrait plus être de ce monde.

-Maintenant il en est quitte pour la plus longue érection de sa vie.

 

- Mesdemoiselles et messieurs les internes, j’en profite pour vous présenter un beau spécimen mâle pour un cours sur l’organe reproducteur  masculin.

Il se saisit du drap qui me recouvre et le retire complètement dévoilant ma complète nudité.

Un « Ooohh » s’élève de l’assistance.

 

Le Mandarin reprend la parole.

-Ce que vous voyez là est exceptionnel, les normes de l’organe reproducteur masculin tournent plus aux alentours de 13 à 14 cm de long en érection et dans les 4 cm de diamètre.

-Le pourcentage pour qu’un homme soit doté comme ce patient tourne aux environs de 2 à 3% pour la taille et encore moins en ce qui concerne son épaisseur mais a un inconvénient, il faut trouver un fourreau en conséquence pour une telle épée.

-Je vous ferez remarquer aussi que contrairement à ce que l’on croit, les hommes d’ethnie blanche n’ont rien à envier bien que ça soit moins courant à l’ethnie noire, la preuve !!!

 

-Vous voyez bien dessiné toutes les veines gonflées qui alimentent les corps caverneux pour les gorger de sang et permettre à la verge d’atteindre ses dimensions maximums et d’obtenir la rigidité requise pour pouvoir pénétrer l’organe féminin et faire son office, ensemencer de son sperme l’ovule de la femme.

D’un geste rapide et assuré, il saisit mon chibre et décalotte le gland.
- Je vous demande tour-à-tour de faire l’examen clinique de ce patient et de faire des palpations de sa verge congestionnée. J’attends vos commentaires.

 

L’un après l’autre, les 8 internes m’examinent. Mais comme s’ils s’étaient donné le mot, ils finissent tous par ma queue. Les hommes y vont franchement, palpations des couilles, certains me serrent tellement la hampe que la peau fine du gland risque d’exploser sous la pression accrue du sang devenant énorme et violacé.

Les filles y vont plus en finesse faisant coulisser leurs mains le long de la verge resserrant les doigts qui ne se touchent qu’au niveau du frein.

-Alors ! Reprend le professeur. Le diagnostic ???

Les commentaires fusent, graveleux, strictement anatomique, interrogatifs et divers suivant les internes. Les superlatifs fusent.

-Une vraie queue d’âne !

-Bien proportionné.

-Ca doit pas être rigolo tous les jours de se trimbaler un tel engin.

Les filles s’échangent en catimini leurs appréciations.

-Tu crois que c’est un bon coup ?

-Je ne sais pas mais j’aimerais bien tester.

-Je me demande si je pourrais supporter un tel pal en moi.

-Tu as deux jours pour essayer, il ne s’en rendra même pas compte.

Elles éclatent de rire.

 

Ils sont enfin partis me laissant seul dans la chambre sans même recouvrir mon corps dénudé.

Mais pas pour bien longtemps car deux aides-soignantes viennent faire leur travail et me découvrent toujours la bite à l’air au garde-à vous perpétuel. Une belle blonde et une Martiniquaise.

Elles se mettent de chaque coté du lit pour le retaper.

Elles ont beaux être blasées, leurs regards sont attirés par Popaul. La blonde attire l’attention de sa collègue.

- Pour une fois ça nous change des grincheux habituels. Tu sais que le téléphone arabe fonctionne bien, en quatre heures, tout le personnel féminin ne parle que de ce patient et de son défonce-cul.

 

-Regarde ça ! Réplique la fille des îles en regardant mon chibre tellement dur qu’il ne repose pas sur mon ventre mais reste décollé de deux centimètres. Aussi raide qu’un bâton de gendarme !

Elle le redresse d’une main à la verticale.

-Dommage que je ne puisse pas l’emmener chez moi, ajoute-t-elle, il me faut les deux mains pour en faire le tour!

-J’ai bien une idée… glousse-t-elle en abaissant le lit.

Je vois en contre jour qu’elles n’ont que leurs sous- vêtements sous leurs blouses.

 

- Tu surveilles la porte ? Chez nous on est habituées au gros calibres  mais là il faut que je vois si ça rentre mais avant il faut huiler cet axe.

Elle se penche et crache sur mon nœud puis écarte les lèvres pour en engloutir  le maximum dans sa bouche distendue et suce mon chibre.

Puis elle passe une jambe par-dessus moi. Elle porte sa main à sa bouche pour humecter ses doigts de salive avant de les glisser entre ses cuisses pour mouiller sa chatte en repoussant sa culotte.

 

Elle s’accroupit sur mes jambes, de l’autre  main elle se saisit de ma matraque.

- Putain, je n’ai jamais touché un manche aussi gros et su dur!

À quelques centimètres de moi je découvre  une grande fente brune qui fend son abricot bombé.

Elle promène mon gland plusieurs fois sur sa vulve prête à s’empaler.

- Attends ! Conseille la blonde en fouillant dans une de ses poches et en ressortant une capote.

-A l’hôpital il faut toujours se protéger, je vais lui mettre son chapeau !

Elle déchire l’enveloppe et pose le préservatif sur mon gland puis déroule difficilement le latex autour de ma queue.

 

-Zut ! S’exclame-t-elle, avec lui il faudrait la taille XXL et là je n’ai qu’un XL, ça force mais je vais bien y arriver !

Elle finit de dérouler le condom avec sa bouche, il ne couvre que la moitié de ma hampe et étrangle ma verge massive.

 Elle en profite pour faire quelques allers-retours de la main puis tient mon sexe à la verticale, droit comme un I majuscule.

La martiniquaise déplie les genoux  pour se relever et redescend lentement approchant millimètre par millimètre mon obélisque de sa chatte.

- Ouah… doucement, tout doucement, vierge Marie, je n’ai jamais connu ça !…
-Le gland est rentré… Lui indique la blonde, tu as passé le plus gros morceau!
- C’n’est pas possible, quelle sensation incroyable !…

 

Elle souffle interrompant la pénétration puis reprend sa descente autour de mon gourdin enfermé dans le latex.

-Tu n’en es qu’à la moitié ! L’informe la blonde.

Elle remonte un peu, puis reprend la descente. Recommence encore et encore, engloutissant un peu plus à chaque fois.

- Aaaaaaah, s’extasie la martiniquaise empalée au maximum sur moi. C’est dingue, sa pine défriche des terres vierges, c’est bien la première fois que je n’arrive pas à tout prendre, je le sens repousser mes chairs comme jamais.

 

Elle pose ses mains sur mes hanches et commence de lents mouvements du bassin, se laissant tomber au maximum dans un râle recommençant sans cesse.

 Malgré le latex, je sens à chacun de ses orgasmes le flot de cyprine couler le long de mon membre, elle arrive avec cette lubrification bienfaitrice et la souplesse de ses chairs intimes qui ont prises la dimension de mon chibre à absorber quelques centimètres supplémentaires.

 Elle s’empale littéralement pendant une vingtaine de minutes, elle a retiré sa blouse et la sueur coule entre ses seins lourds à peine dissimulés dans un soutif minuscule.

 

Je suis toujours comme un légume ne ressentant quasiment rien.

La blonde l’encourage, l’aidant à se relever avant qu’elle ne s’encastre à nouveau  sur mon nœud. Tout à coup, elle s’affale  de tout son poids sur moi dans un dernier orgasme complètement anéantie.

La blonde l’aide à se désolidariser de mon engin.

Elle remet  un peu d’ordre dans sa tenue renfilant sa blouse et avoue dans un souffle.

— Je… je… n’ai… jamais eu autant d’orgasmes… de ma vie… et regarde… toujours aussi dur…

 Elle empoigne ma verge et retire le préservatif, me branle lentement et rajoute.

- Il n’a pas bougé… Un gode fait de chair et de sang !!!
- Et d’après le diagnostic, surenchérit la blonde, il en a encore pour un sacré moment.
- C’est ton tour si ça te dis ! Suggère la martiniquaise, ça te changeras de ton mari.

- Je ne dis pas que je ne suis pas tentée, mais il est trop gros pour moi mais je suis sûre que  d’autres vont  tenter l’aventure.

 

Pendant presque 24 heures, mon chibre a servit de gode vivant pour les infirmières, aides-soignantes et doctoresses de cet hôpital universitaire, le plus souvent j’étais trop dans les vapes pour m’en rendre compte mais à chaque fois que je refaisais surface je trouvais une femelle en chaleur en train de monter et descendre  sur ma tête chercheuse.

L’une d’entre elles avait fait provision de capotes très grandes tailles qu’elle avait posé à la tête du lit.

J’en ai vu de tous les formats, des jeunes et d’autres qui auraient pu être ma mère, des grosses ou des ascétiques, des canons et des moches, en string ou petite culotte sous une blouse qui volait ou un pantalon vite retiré, pendant des heures  elles ont taillés mon gros crayon chauffé à blanc.

Certaines préféraient me faire une fellation n’osant pas tenter la pénétration de peur d’être blessées, d’autres plus hardies présentaient leurs petits trous pour un enculage hors-normes.

Quelques hommes ont voulus aussi profiter de ma tige pharaonique.

Les plus peureuses, convaincues de mon inconscience totale, sont venues en catimini affronter leurs peurs tel l’agneau voulant voir le loup.

 

 Ma tige gonflée ne voulant toujours pas s’avouer vaincue, j’entendais les commentaires qu’elles s’échangeaient en se croisant.

Elles commençaient par prendre le calibre de mon nœud en enfilant une capote avant  de se servir de mon outil pour de longues chevauchées dans des chattes de toutes les dimensions.

J’étais Priape et elles se servaient de moi comme d’un piston par leurs incessants va-et-vient mais pas une seule fois elles n’ont pu goûter à ma semence.  

 

Quand ils ont suspendu les drogues et que j’ai enfin repris conscience, le lit avait retrouvé sa position normale, j’étais dans des draps propres et le ménage avait été fait à fond.

 J’avais mal partout mais si mon pénis avait enfin débandé, il était énormément enflé  à la suite du traitement qu’il avait subit.

 

Le toubib a fait sa visite accompagné d’une interne.

 

Après un examen de mes parties génitales, il s’est étonné de l’enflure de ma bite.

-Je ne comprends pas bien pourquoi vous êtes enflé comme ça mais il faut dire que je n’ai pas de cas clinique de comparaison et vous avez une mine affreuse.

 

-Je vous préconise un repos absolu du coté du sexe.

 

Quand j’ai quitté l’hôpital, tous les regards des filles se fixaient sur mon entre-jambe.

Arrivé chez moi, j’ai trouvé une de mes poches pleine de cartes avec un prénom et un numéro de téléphone.

Affolé que ma jalouse de femme ne tombe dessus, je me suis empressé de les mettre à la poubelle.

JE NE VEUX PAS REVIVRE ÇA, JE RISQUERAIS CETTE FOIS-CI D’Y LAISSER MA PEAU !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


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20-07-2015 0 6213

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