Ca fait quelques temps qu’un bruit court au lycée, comme quoi il y aurait de la drogue qui circulerait.
Chaque fois que Sylvie va chercher son fils Damien au lycée, elle lui pose la toujours la même question.
-Tu ne trempes pas là dedans mon chéri, lui demande-t-elle souvent. Je serais très déçu si c’était le cas.
-Mais non maman, répond Damien, ça n’a jamais été mon truc, et ne le sera jamais.
-J’espère, poursuit Sylvie. Sinon, c’est la pension.
Damien va avoir dix huit ans, mais ça n’empêche pas sa mère d’être inquiète.
Sylvie est une belle femme de quarante deux ans, séparée depuis deux ans.
Elle s’habille très jeune, aime mettre son corps en valeur. Mini jupe, haut toujours tendance, qui laisse deviner les formes de sa superbe poitrine.
Les mâles n’ont d’yeux que pour elle quand elle vient chercher son fils au lycée.
Il lui arrive parfois d’avoir une aventure, mais sans lendemain, rien de bien sérieux.
Aujourd’hui, quand elle récupère Damien, il est avec une bande de copains. Tous à l’unisson, ils sifflent d’admiration en voyant la jolie femme.
-Putain, dit Djamel, tu ne nous avais pas dit que ta mère était canon.
-C’est vrai ça, cachotier, ajoute un autre. J’espère qu’elle a un mec au moins.
-Ouais, répond Damien, de temps à autre, le week-end, elle reçoit un copain.
Les jeunes regagnent leurs classes respectives, à part Djamel, jeune maghrébin de dix sept ans, qui doit certainement feinter le cours. Il fixe Sylvie, lui envoie un clin d’œil coquin. Cette dernière s’avance.
-C’est quoi ses manières, lui dit-elle d’un ton sévère, tu veux ma photo.
-Non, répond le jeune maghrébin, par contre moi, je peux vous en montrés.
-A oui, et de qui, reprend-elle. Des photos de cul, c’est ça.
-Pas du tout, répond Djamel, mais assez compromettante pour vous.
-Tu bluffes, dit Sylvie, fait voir
-Il y a une ruelle à côté, et de suite à droite, un porche. Demain à quinze heures.
-Ouais, c’est ça. Tu peux courir.
Sylvie rentre chez elle, mais pense à ce que le jeune arabe lui a dit. Il ne faudrait pas qu’il sache quelque chose sur elle, mais ça l’étonnerait, ou sur son fils. Même si elle a une confiance aveugle en Damien.
Le lendemain, elle fait des courses à proximité du lycée, et décide de tirer cette affaire au clair. Elle prend la pette ruelle, s’enfonce dans le porche. Rien. Elle s’apprête à partir, quand une voix l’appelle. Elle se retourne, et aperçoit Djamel tapis dans l’ombre. Malgré l’obscurité du lieu, elle s’avance vers lui.
-Alors, dit-elle, c’est photos, c’est quoi ? Montre pour voir.
-J’en ai qu’une, répond Djamel, mais vous allez reconnaitre qui c’est.
Sylvie regarde la photo, et reconnait son fils. Il est en train de donner un sachet de poudre blanche à un autre lycéen. Sylvie met sa main devant sa bouche, effrayée par le cliché.
-Oh mon dieu, ne me dis pas qu’il vend de la drogue.
-Et si, Madame, j’ai d’autres photos, mais là, faudra gentille avec moi.
-Sinon, demande Sylvie.
-Sinon, ces photos seront diffusées sur internet. Voila ce que je vous propose, rendez-vous ici demain, à la même heure, je vous montrerais les autres. Mais venez en mini jupe, pas de culotte dessous.
- Pardon, s’offusque Sylvie, t’es pas bien toi. Tu me prends pour qui. Va te faire voir.
-Comme vous voulez, poursuit Djamel, regardez sur internet ce soir. Si vous ne m’obéissez pas, les photos apparaîtront, le visage caché. Tenez mon numéro.
Djamel sort du porche, et se dirige vers le lycée. Sylvie se prend le visage à deux mains. En passant devant le lycée, elle voit son fils avec ses copains, dont Djamel.
Le soir, elle attend que son fils soit dans sa chambre, va sur le site internet que Djamel lui a donné. Les photos sont bien là, le visage floué.
Sylvie a du mal à s’endormir, tourne et retourne dans son lit. Elle a beau réfléchir, mais ne voit d’autre solution, que de rencontrer le jeune maghrébin. Vers minuit, elle décide d’envoyer un message à Djamel. « Ok pour demain quinze heures »
Le lendemain, elle engage sa voiture dans la ruelle, s’engouffre sous le porche, ou l’attend Djamel. Comme convenu, elle a mis sa mini jupe…pas de culotte.
-Approchez que je constate, dit-il.
Sylvie, tremblante de peur, s’avance vers le jeune homme. Celui glisse une main entre ses jambes, d’un doigt caresse la fente, tente de pénétrer la chatte.
-Ca suffit, dit Sylvie en faisant un pas en arrière, montre moi les photos.
Djamel montre les clichés à Sylvie, qui s’appuie contre le mur pour ne pas tomber.
Les photos sont sans équivoques. C’est bien son fils, sans l’ombre d’un doute.
Elle se tourne vers Djamel. Il faut vite négocier, mais que veut-il.
-Combien, demande Sylvie.
-Mais l’argent ne m’intéresse pas madame, c’est vous que je veux.
-Quoi, mais tu n’y pense pas.
-Attention Madame, dit Djamel, un clic sur mon portable, et vôtre vie et celle de vôtre fils sont foutu. Venez, allons dans vôtre voiture.
Sylvie n’a pas le choix. Vaincue, elle suit Djamel à la voiture. Elle s’installe au volant, lui côté passager. Lentement, il passe une main autour de son cou, la force à tourner son visage. Il lui prend les lèvres, tout en glissant une main sous la jupe.
Sylvie le repousse, mais comprend ou Djamel veut en venir. Il veut la posséder. Elle fait barrage en croisant ses jambes, lui maintient le poignet. Mais le jeune maghrébin a plus de force qu’elle. Petit à petit, elle lâche prise, écarte les jambes sous la pression de la main de Djamel. La voix est libre, il peut y aller.
Un doigt caresse la fente de Sylvie, qui a les larmes aux yeux. Puis un autre doigt taquine le clitoris, ouvre les lèvres intimes, pénètre la chatte. Sylvie veut se refuser, mais les caresses sont de plus en plus précises, D’autant que sa chatte se met à mouiller. Sa respiration s’accélère, elle commence à gémir. Sylvie serre les dents quand elle atteint l’orgasme. Elle ne veut pas faire voir à son maitre chanteur, qu’elle prend du plaisir. Mais Djamel s’en aperçoit. Il en profite pour glisser une main sous le chandail, et caresse la superbe poitrine de Sylvie.
-Mais elle à l’air d’aimer la salope, sourit Djamel. Avouez que vous avez aimé.
Sylvie ne répond pas, ne voulant pas montrer qu’elle a vraiment pris du plaisir. Djamel met ce silence à profit, il en veut d’avantage. Sa main repart explorer entre les cuisses ouvertes de Sylvie. Il enfonce deux doigts dans la chatte, et entreprend de la branler. Cette fois, Sylvie ne se retient pas. Elle se cambre sur ses pieds quand elle atteint l’orgasme, le deuxième en une demi-heure. Elle hurle de plaisir.
-Vous voyez que vous aimez, sourit Djamel, vous avez joui.
-Je suis une femme, dit Sylvie, oui, je l’avoue, tu m’as fait jouir salaud.
-On peut aller plus loin si vous voulez, poursuit Djamel en guidant la main de Sylvie sur son sexe. Sentez ma bite comme elle est dure.
-Non, pas ça, dit Sylvie en retirant sa main, ça suffit, remet moi les photos va-t-en.
-C’est les vacances la semaine prochaine, poursuit Djamel, et Damien va chez son père. Je vous les emmène lundi. Je sens qu’on va bien s’amuser tous les deux.
-C’est ça, répond Sylvie, comptes-y.
Le soir, Sylvie a du mal à trouvé le sommeil. Elle y parvient et fait un rêve horrible, un cauchemar. Elle se voit en train de faire l’amour avec Djamel. Celui-ci la baise, se fait sucer la queue, éjacule dans sa bouche. Son corps est pris de spasmes.
Elle se réveille en sursaut, haletante. Elle porte sa main à sa chatte pleine de mouille et de cyprine…Elle a jouit. Tout en dormant, elle a jouit.
Sylvie comprend qu’elle va être obligée de se soumettre à son maitre chanteur.
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