Nicolas, huit ans joue au cowboys et aux indiens, avec ses petits copains. L’un d’eux propose de faire une prisonnière. Mais voila, il n’y a pas de fille. Une idée vient à Nicolas. Demander à Sylvie, sa ravissante maman, âgée d’une trentaine d’années, de participer.
-Mais enfin, mon chéri, j’ai passé l’âge pour jouer à ça.
-Allez maman, implore Nicolas, ça va durer un quart d’heure...à peine.
-C’est vraiment pour te faire plaisir mon chéri. Et quel est mon rôle?
-Tu joueras la femme d’un cowboy, prisonnière des indiens.
-D’accord...j’enfile un short et une chemise en jean’.
Arrivé dans une petit bosquet, Nicolas et ses copains, attachent Sylvie à un arbre. Dans cette position, sa poitrine se tend sous la chemise, fait saillir les bougeons. Elle n’a pas de soutien gorge.
Les «cowboys la tienne à l’œil, la surveille de près», puis prétextant l’arrivé des «indiens», s’enfuient.
Sauf que ne son pas des indiens, mais deux jeunes maghrébins, qui rentrent du lycée. Ils ont entre seize, et dix huit ans.
Sylvie s’inquiète en voyant s’approcher les jeunes beurs. Elle comprend qu’ils ne font pas partis du jeu.
-Ouah, dit l’un d’eux en s’approchant d’elle.
-Je vous en supplie, se lamente Sylvie, ne me faites pas mal, détachez moi, laissez moi partir.
-Qu’est-ce que t’en penses Mouloud, on a laisse partir.
-Comme tu veux Djamel, mais on pourrait s’amuser un peu avec elle.
-Je vous en prie, laissez moi rentrer chez moi.
Djamel s’approche, déboutonne la chemise. Les superbes seins, bien fermes, jaillissent. Le jeune beur caresse la douce peau de la poitrine, se penche, suce les bouts. il les sent durcir sous sa langue. Calmement, il glisse une main entre les jambes de la jeune femme.
-Assez, dit-elle, vous allez voir, mon mari est gendarme.
-Mouloud, dit Djamel, baisse lui le short.
-Non...pas ça, j’ai pas de culotte…
-Tu entends, sourit Djamel, elle n’a pas de culotte.
-S’il vous plaît, partez maintenant, je ne dirais rien à mon mari.
Mouloud fait zipper la fermeture éclair du short, demande à Sylvie de lever les pieds, pour l’ôter complètement. Puis il fait rouler les manches de la chemise sur les épaules, jusqu’aux liens qui la tiennent attachée à l’arbre. Sylvie, entièrement nue, est totalement offerte aux jeunes beurs.
Djamel est le plus âgé de la bande. Il vient d’avoir dix huit ans, et à donc quelques connaissances sur les filles. Calmement, il passe un doigt sur la fente, ouvre les lèvres. remonte jusqu’au clitoris, que Sylvie a proéminent. Il commence à le caresser.
-Oh non, pleure Sylvie, pas ma petite chatte...elle va être mouillée après...
-C’est quoi ça, demande Djamel en faisant semblant d’ignorer.
-C’est mon clitoris, répond Sylvie...n’y toucher pas.
-Pourquoi, demande Djamel.
-Vous le savez pourquoi, répond Sylvie.
-Dites le que mon copain l’entende...
-Heu...parce que...les femmes prennent beaucoup de plaisir quand on les caresse à cet endroit.
-Tiens donc, sourit le jeune beur...en le caressant d’un doigt...comme ça.
-Salaud...oui, comme ça...tu devrais mouiller ton doigt, ça serait mieux…hum...hum…
Sylvie fléchit sue ses jambes, pour faciliter l’accès à son intimité. Djamel connaît le fonctionnement du petit organe. Il le doigte jusqu’à ce que Sylvie hurle de plaisir. Elle a un orgasme terrible.
-Vous êtes des polissons de faire ça à une maman. Y a que mon mari qui a droit à le faire.
-Ben maintenant, il y aura nous.
Djamel finit par libérer Sylvie, mais pas pour la laisser partir, mais pour jouer avec elle. Il l’a fait mettre à quatre pattes, et la prend en levrette. Sa résistance se transforme vite en désir, et son corps s’adapte à la situation.
-Oh oui...vas-y, baises moi...elle est bonne ta queue...
-Mais qu’est-ce que tu croyais, que les arabes n’étaient pas bien montés. T’en penses quoi…
-Quelle est grosse...plus grosse que celle de mon mari. Oh putain...tu me fais jouir...oui...oui...
Rapidement, Djamel fait le tour, présente sa bite face au visage de Sylvie.
-Ouvre la bouche, ordonne-t-il, suce moi.
-Mais...je n’ai jamais fait ça…
-Tailles moi une pipe, je t’ai dit...et de tout avaler.
Sylvie n’a d’autre choix, que de se soumettre aux ordres de son agresseur. Elle prend la grosse bite en bouche, et la suce jusqu’à ce Djamel éjacule. Comme prévu, elle avale tout, n’en laisse pas une goutte.
-Ah...putain que c’est bon, souffle Djamel. Se faire tailler une pipe par la femme d’un flic. T’as aimé salope!!
-Oh oui...c’est bon, avoue Sylvie.
-Par contre, dit Mouloud, moi, j’aimerai bien enculer la femme d’un flic.
-Pourquoi pas, poursuit Djamel. Surtout qu’elle doit aimer ça la dame...pas vrai.
-Non, pleure Sylvie, pas ça, je ne l’ai jamais fait avec mon mari...il n’a jamais voulu.
-Hé ben voila...on va régler ça. Vas-y Mouloud, encule la cette salope.
Mouloud se place derrière Sylvie, son énorme calibre en érection. Il teste le petit trou, puis le pénètre. Sylvie pousse un petit cri de douleur, quand la grosse queue du jeune beur pénètre l’orifice flambant neuf. Puis, les cris se transforment en gémissement de plaisir.
-Oh oui, dit la jeune femme, défonces moi...fais moi jouir du cul...oui, enfoiré, je jouis...t’arrêtes pas, vas-y.
Viens Djamel...viens que je te suce...hum...je suis vôtre prisonnière, enlevez moi...emmenez moi dans une cabane, il y en a plein dans le coin.
Pendant deux heures, les deux jeunes beurs vont jouer avec Sylvie. Ils vont, à son insu, faire des photos, ou la jeune femme se fait prendre dans les positions les plus humiliantes. Ils vont même faire un petit film.
Après avoir bien profité de la jeune femme, Les deux acolytes lui ordonne de se rhabiller, et pousse la plaisanterie jusqu’à la rattacher à l’arbre, comme s’il ne s’était rien passé.
Dix minutes plus tard, Nicolas et ses copains, reviennent pour la libérer.
-Alors maman, comment ça c’est passé...t’ont-ils interrogée, t’ont-ils torturée?
-Oh si tu savais mon chéri, ce qu’ils ont fait à maman…
mais non mon trésor, je rigole. Ils m’ont très bien traité.
Bon, tu me détaches maintenant.
-A oui, pardon maman...voila.
-Merci mon chéri, je crois que j’ai mérité une bonne douche. Si un jour, il te manque une partenaire de jeu, une prisonnière par exemple, tu me dis. J’aime bien ce rôle.
Arrivé dans la salle de bains, Sylvie constate les dégâts.
«Oh putain, quels salauds, qu’est-ce qu’ils ont fait à ma petite chatte. Elle est pleine de mouille».
Deux jours plus tard, Sylvie reçoit un petit colis. Elle est pourtant certaine de n’avoir rien commandé. Elle l’ouvre avec impatience, et tombe par cul sur le fauteuil du salon. Des photos très compromettantes, et une clé USB.
Le tout accompagné d’un petit mot.
«Si tu ne te soumets pas, une clé va être envoyé à ton mari, à la gendarmerie. Ci-joint, un numéro ou tu peux me joindre. A très bientôt, Djamel»
Les photos sont sans équivoque. Elles montrent Sylvie, entièrement nue, empalée sur l’énorme queue de Djamel, la bouche ouverte, en train de se caresser les seins...une autre la montre en train de se faire prendre en levrette, ou encore allongée, jambes écartées, en train de se faire branler la chatte.
Le petit film la montre en train de tailler des pipes, tout avaler, Tous ses orifices sont souillés de sperme. Mais le clou de la vidéo, c’est quand Sylvie se fait prendre en double. Une queue dans la chatte, une autre dans le cul. A chaque fois, on entend Sylvie hurler de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Pour finir, les deux queues crachent ensemble dans sa bouche. Elle avale tout.
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